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01 Dans le désir d'abandonner toute forme de jugement, l’offrande à la source des croyances basées sur
le notion de division, l’association malheureuse entre le comportement de
l’homme et l’énergie masculine, de nouvelles infos viennent répondre à ma
demande. Des infos qui me montrent les choses de façon plus objective au niveau de l'énergie mais aussi les pensées injustes que je continue de nourrir.
Ces pensées souvent inconscientes ou tellement habituelles qu'on ne les remet pas en question mais elles limitent la libre circulation de l'amour en soi et nous maintiennent dans l'identification aux rôles du triangle de Karpman, aux rôles de victime, de bourreau et de sauveur.
En
effet dans le désir de laisser tomber les conditionnements, les croyances, au
sujet du masculin tout comme au sujet du féminin puisque le mental en associant
la forme à l’énergie selon ce qu’il voit, fausse la réalité, la réduit, des
réponses ou infos viennent tout simplement par la guidance, l’élan spontané.
Et la première chose qui est mise en évidence, c'est le caractère injuste du jugement, le fait que cette approche nous limite, nous enferme, nous empêche vraiment de sentir l'amour et de voir ce qui est, de façon juste. On interprète les faits selon la position de victime.
Cette
courte vidéo bien que ce soit une pub pour l’énergie des éoliennes, rappelle
les attributs des forces de la nature, des éléments qui nous composent et qui
maintiennent, façonnent la vie sur notre planète.
C'est un bon moyen de mettre à jour les croyances et de revenir à la simplicité mais néanmoins extraordinaire puissance de l'énergie, de l’Être, de l'invisible et du potentiel créatif qui s'ouvre à chacun.
Libérons
l'énergie du vent !
Considérer
les choses d’un point de vue énergétique me semble maintenant indispensable,
évident, parce qu’en voyant les choses sous cet angle, on redéfinit ce qui est,
du moins, on se libère des croyances et conditionnements et on va vers la maitrise, la
capacité de créer en conscience.
Retrouver un regard pur et innocent sur le monde et en voir la beauté, le potentiel, plutôt que de s'attarder sur le comportement des humains et de s'attacher à ces croyances fondées sur le jugement.
Le jugement nous empêche de considérer les choses d'un point de vue élargi, neutre et objectif et en plus, ça limite le flux d'amour et de lumière intérieur.
Plus on s'ouvre, plus on perçoit le fonctionnement humain basé sur la peur et la survie, plus on en voit les conséquences fâcheuses, et en même temps, la nécessité d'abandonner toute forme de jugement en faisant confiance à l'âme devient une évidence.
D'autant plus qu'en ayant cette confiance aveugle en l'intelligence qui nous habite, on est porté par la grâce. J'en ai encore fait l'expérience aujourd'hui et c'est magique!
On
a beaucoup mis l’accent sur la loi d’attraction en la présentant comme une
baguette magique mais comme pour toute réalisation il est nécessaire de
connaitre le matériau qu’on utilise et les forces, les lois, qui les régissent.
Les
éléments, les forces, les énergies, les pensées, les émotions, l’intention, constituent ce matériau et lorsqu’on choisit
de pacifier nos mondes intérieurs, en revenant au centre, à la neutralité, on
va pouvoir effectuer des mises à jour et toucher la matière brute, pure.
Ainsi,
le masculin et le féminin perçu par l’angle énergétique, la force de chacun
d’eux, leur potentiel et la façon dont ils s’expriment au travers des éléments,
me semble être une bonne façon de pacifier, de sacraliser la vision de ces
forces complémentaires et de se maintenir sur les fréquences de l’unité. On veut vivre dans la paix, on a soif de justice mais on continue de se fier aux jugements et croyances basées sur la division, le rejet, la lutte.
On
associe l’homme à la violence, la prédation, la domination, parce qu’on observe
l’état du monde et les rôles que chacun y joue mais si on observe
objectivement, on va constater que l’amalgame nous empêche de connaitre en
vérité la puissance du masculin, ses qualités, ses attributs et la façon dont
il s’associe au féminin, la dynamique de création de ces forces qui œuvrent
dans le respect mutuel, se soutiennent et se servent mutuellement.
Les séances
de reconnexion âmique aident à prendre conscience de ces forces qui nous habitent
et à savoir, à sentir que nous sommes multidimensionnels, que nous sommes
constitués d’une myriade de consciences autonomes, intelligentes qui sont
inter-reliées, qui travaillent ensemble. C'est un angle de vision qui nous ouvre sur une nouvelle perception du corps physique et des énergies qui le traversent.
La
notion d’unité nous échappe parce que nous sommes encore plus souvent
identifiés à la personnalité isolée mais en ramenant l’attention au centre, en
éclairant chaque aspect de l’être, en offrant chaque énergie polarisée à notre cœur,
on commence à mieux comprendre cette vibration, cette notion d’unité.
Les
guides de l’unité canalisés par Daniel Desjardins nous en parlent et quand on
vient en son cœur, on comprend, on ressent que nous ne sommes pas seuls sur ce
chemin de retour à la source. On sait que nous sommes accompagnés en permanence
par des êtres au travers des synchronicités, des signes. Ces êtres ou énergies sont en nous, on peut les considérer comme des dimensions de l'être qui sont autant à l'intérieur que dans l'univers. En ce moment, il est
rare que je ne voie pas un chiffre miroir lorsque je regarde l’heure.
Ce n’est
pas tant le fait de voir cela qui me confirme l’accompagnement constant ou le fait d'être multidimensionnel mais c'est ce
que je ressens à ce moment précis, et les circonstances ou les pensées que je nourris
dans ces instants.
Plus je m’intériorise et plus je prends conscience de cette
multitude qui m’habite et de l’évidence que les ajustements internes sont
l’œuvre de plusieurs aspects, énergies associées.
J’ai toujours eu la sensation
que les anges, les guides, les maitres étaient en moi tout comme les rayons et
dans l’observation interne, l’effet de résonance, il est clair que
l’interaction avec l’extérieur est infinie.
L’énergie n’ayant aucune limite,
l’amour reliant toutes choses, toute vie, on admet tout naturellement qu’il n’y
a pas de séparation.
Les sphères de conscience élargie sont celles où la
reliance est perceptible et en tant qu’humain, on en a un aperçu tant par le
caractère universel des rôles, des stratégies que par les besoins ou
motivations qui sont les mêmes pour tout le monde.
L’empathie naturelle en est
aussi l’expression ou la manifestation de ce principe de résonance et
d’attraction qui révèlent l’unité de tout ce qui est.
Notre
nature humaine par le désir d’appartenance, de communion, de partage, de
recherche d’un partenaire de vie, manifeste la vibration de la source et
démontre notre nature énergétique, vibratoire.
Même la chaine alimentaire dans
la nature nous montre l’interdépendance entre toute vie et quand on sait que la
mort est un passage, que le cycle vie/mort est la Vie même, le mouvement
permanent, l’évolution de la conscience, on constate que tout est relié, dans
l’harmonie, éternel ou permanent.
Les
libérations, les ajustements, se font par paliers successifs, selon le même
cycle de vidange et de remplissage et chaque étape de ce processus est
ressentie d’une façon spécifique.
On passe par tous les états, de la lourdeur des émotions de tristesse, de peur, de colère... à la joie
procurée par l’allégement de la vibration lorsqu’on laisse à la source le soin
d’harmoniser les énergies.
On est amené
à voir ce qui en nous est caché, faussé ou rejeté puis à sentir la paix du cœur
lorsqu’on lâche prise.
Cet abandon procure un sentiment de bien-être, de joie et comme on prend l’habitude de confier
tout à la source, de nouveaux aspects refoulés se manifestent afin d’être
ramenés dans l’amour.
Puis on prend l’habitude de ne plus être affecté par les
émotions dites négatives parce qu’on ne les retient plus, elles s’écoulent
librement sans qu’on y prête attention, sans qu'on les juge.
Le fait de désirer vivre dans la paix
et l’unité suffit à ne plus s’identifier aux pensées qui nourrissent l’idée de
séparation, de division mais ça demande un effort de notre part.
Cet effort,
c’est juste d’être conscient et de renouveler le désir d’unité chaque fois que
ça bouge à l’intérieur. C’est ça qui est magique et qui en même temps révèle la
puissance de l’amour, de l’être unifié.
Pour
le problème de voiture en panne, je ne cherche plus à le solutionner mais
j’offre à la source toutes les pensées que cela suscite. Que ce soient la colère,
la tristesse, la peur du manque, le sentiment de trahison, les critiques envers
la gente masculine, envers le rôle de victime que je me reproche de continuer
d’endosser, envers le fait que je réagisse, j’offre tout cela à la source et
même le désespoir, le doute et la confusion.
Il devient de plus en plus évident
que cette situation vise à me faire lâcher les croyances et conditionnements,
que cela m’oblige à me positionner dans le cœur, à abandonner tous mes préjugés, à nourrir la confiance en la source afin de
suivre aveuglément les élans portés par la joie et l’amour. Afin de me laisser porter par la grâce.
C’est aussi
l’occasion d’affirmer mon désir de prendre soin de mes besoins puis de constater
que cette panne n’est pas si négative que cela parce que le besoin actuel le
plus pressant, c’est de ramener tout dans le cœur, d’agir à l’intérieur, de ne
pas s’éparpiller et de constater que tout est en moi, que tout commence dans ce
choix déterminant de vibrer la paix et l’unité.
Plus
on devient conscient des dimensions multiples en soi et plus on perçoit l’âme
comme un ensemble de corps subtils, d’énergies, de vibration imbriquées dans le
tout.
Je me demande si l’âme de chaque individu n’est pas la même que celle de
la Terre, si au niveau de la dimension unifiée, il existe une seule et même âme
comprenant les incarnations, toutes les incarnations, tous les règnes et la
planète.
Finalement,
la seule chose qui soit individuelle, c’est la personnalité, la forme. La forme
constituée d’un ensemble d’énergies, de vibrations combinées et compactées
selon le point de focalisation, les préférences.
Ce
qui me semble de plus en plus évident, c’est le fait qu’en activant les
mémoires de l’âme, on soit en contact directe avec les êtres qui vibrent les mêmes fréquences, au moment où ils vivent la situation qui a créé une blessure, une
incompréhension, un blocage, une rupture.
C’est comme si on vivait ce qu’ils
vivent, comme si on répétait les schémas récurrents vécus par l'humanité entière, tous ces schémas qui soutiennent l'idée de lutte, de division, de séparation. Et lorsque la pensée, l’émotion, l’énergie qui éveille la mémoire du
trauma se manifeste, selon notre volonté à ramener les pensées émotions
difficiles ou polarisées dans le cœur, cela permet une reconstitution de
l’unité, une réunification dans l’amour.
La reliance est alors portée par la vibration d’unité qui nous permet d’accéder aux qualités acquises
par les émanations en question. On porte en latence ses qualités que
l’alchimisation va activer ou amplifier, rendre manifeste. Mais par dessus tout on va sentir une sensation d'unité, d'expansion intérieure.
En apportant une
nouvelle réponse, direction, au blocage, en faisant la lumière sur ce qui a été
incompris, on ouvre le champ des possibles en toutes directions. On offre cette
vibration à la personne qui peut alors guérir, changer sa vision sur ce qu’elle
a vécu et on reçoit en échange les qualités qu’elle porte. Mais avant tout, on vibre sur la fréquence de l'amour et plus sur celle du rejet, de la division.
Mon raisonnement est
peut être faux mais il me semble qu’il y ait un échange d’info, d’énergie, qui
nourrit chaque émanation de l’âme et qui profite à l’ensemble. Un échange équitable au lieu d'une vampirisation énergétique où la reliance est soulignée par une interdépendance douloureuse.
En observant les
fourmis que j’avais mises sur la fenêtre pour ne pas les brûler puisqu’elles
avaient élu domicile dans les buches, j’ai constaté que seules, elles étaient
perdues. Sachant qu’elles vivent en communauté et que leur raison d’être est
liée à leur rôle parmi le groupe je me suis dit que le fait de les isoler,
c’était les tuer.
Je change peu à peu ma vision de l'interdépendance douloureuse à celle de l'unité harmonieuse, par le fait d'observer autrement, de façon plus neutre même si j'en tire des conclusions peut-être erronées.
Je ne prétends pas dire des vérités mais ce que je sais, c'est que la vision de l'humain est limitée par le jugement et le fait de s'accrocher aux croyances, au besoin d'avoir raison.
25 01 J'ai failli revivre le même scénario où j'aurais été victime du manque de parole d'un homme et comme je ne comprenais pas pourquoi, je me retrouvais encore dans ce genre de scène, j'ai parlé à mon âme sans rien lui cacher de mes pensées et surtout de mon incompréhension.
C'est là où je me suis dit qu'en essayant de comprendre mentalement, je m'accrochais encore au rôle de victime parce que je partais du principe que j'avais raison et que l'autre avait tort.
Le truc ça n'est pas de savoir qui a raison, qui est juste, mais de lâcher les raisonnements, les jugements, les pourquoi, les comment, et de faire confiance à l'amour lumière en soi.
Reconnaitre qu'on est dépassé, laisser les émotions s'exprimer et juste maintenir la reliance interne, le désir de laisser l'amour agir, amène toujours à ouvrir son esprit et son cœur.
J'ai pu voir que je continuais de nourrir des croyances injustes, que ma vision était faussée et au lieu de bloquer sur le comportement de l'autre, je me suis occupée de ma vibration, de ce que je veux porter, vibrer et de mon quotidien.
Et j'ai bien fait d'aller en courses ce matin plutôt que d'écrire ou de cogiter, de suivre cet élan à agir parce que la personne qui devait tronçonner le bois est venue le faire. J'ai pu allumer du feu juste avant que la neige ne tombe. Par ici, c'est plutôt rare! Tout a été fait dans l'élan et la synchronicité, la fluidité.
J'avais hésité aussi à lui donner un peu d'argent pour qu'il coupe le bois puisqu'il n'y en avait pas beaucoup et comme je ne suis pas très riche, je me suis dit qu'il pouvait me rendre ce service et que si je lui payait l'essence, ce serait suffisant mais peu à peu, ma vision a changé et je n'ai pas regretté de lui payer aussi sont temps de travail.
Après tout, il ne me doit rien même si on est voisin et ça n'est pas parce que je n'ai pas beaucoup d'argent que je doive abuser de son temps ou être injuste.
Ce n'est pas tant le fait qu'on peut se rendre service mais plutôt l'idée qu'en ne le payant pas équitablement, je nourris le rôle de victime, l'idée que je suis pauvre et impuissante.
Je nourris l'injustice alors que je me plaignais de la subir, c'était incohérent!
Puis ce comportement est aussi issu du conditionnement culturel, l'homme doit s'occuper de la femme, la protéger, être galant...autant de schémas qui maintiennent dans l'ignorance du pouvoir véritable en chacun. Et on a beau se dire que les choses ont évolué, on porte cela en soi de façon plus ou moins consciente.
La victime attend toujours réparation et joue sur son statut pour obtenir des privilèges c'est d'ailleurs pour ça qu'on a souvent du mal à en sortir. On ne s'en rend pas compte mais on se présente comme une victime pour attirer la compassion en niant totalement le fait que chacun ait ses propres problèmes, ses besoins à satisfaire. Très souvent quand on est identifié à la victime, on se focalise sur ce qui est injuste mais on recherche les privilèges, on reproche aux autres de ne pas être juste alors qu'on ne l'est pas soi-même.
Il ne s'agit pas non plus de culpabiliser mais de prendre conscience de notre comportement, de nos pensées de jugement, de se positionner dans le cœur afin de voir les choses objectivement même si ça nous montre les comportement injustes qu'on peut avoir. C'est très souvent inconscient mais la lumière nous le révèle et elle le fait de façon à ouvrir notre cœur afin qu'on ait plus de compassion pour soi-même et envers les autres.
Si on culpabilise, c'est qu'on n'est pas encore convaincu de la nécessité de lâcher toute forme de jugement. La question n'est jamais de savoir qui a tort ou qui a raison mais de savoir quelle fréquence on veut vibrer à l'intérieur, comment on veut se sentir maintenant.
En revenant de courses, j'ai eu l'agréable surprise de trouver une lettre d'une lectrice qui me fait un don. C'est venu confirmer non seulement le soutien constant de l'âme au travers d'humains, le bon choix d'être équitable et le fait que ce choix libère aussi la peur du manque. D'ailleurs je n'ai pas pensé à prendre toute la dose de médicaments avant 15h alors qu'habituellement, j'ai tout pris à 12h ou 13h.
Je m'étais proposée ce matin, d'espacer les doses même si je peine à vélo et de simplement y aller doucement, de faire plus attention à ne pas forcer. Et ça c'est passé beaucoup mieux que la veille où je suis allée en ville en râlant tout le long du chemin. J'avais pris toute la dose en peu de temps pour ne pas sentir la douleur et cela n'a fait qu'augmenter la colère, la culpabilité, le mal-être.
Je n'ai pas voulu réfréner la colère mais comme la balade avait été désagréable, je me suis dit qu'aujourd'hui, je ferais autrement.
Là encore, le fait de ne pas avoir jugé ma colère m'a permis d'envisager d'autres solutions et d'en tirer les bénéfices immédiats. Je n'ai pas souffert de douleur, j'étais portée par la joie, la connexion à l'âme, la confiance.
Même si je n'arrive pas encore à vivre de ce que je partage, la façon dont ça évolue est très encourageante. En tous cas, la confiance, en soi, en l'âme, grandit de jours en jours! Et comme tout vient de là, c'est parfait!
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« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr