mardi 17 janvier 2017

« Reconnaitre la lumière en l’ombre » & « Être un repère » Magali





Alors que je me rendais compte que je critiquais mon mental, que je lui reprochais de répéter inlassablement les mêmes choses, de n’être pas assez structuré, intelligent, j’ai appelé la source à rayonner l’amour lumière sur cet aspect interne. Puis, ce faisant, j’ai éprouvé de la compassion et j’ai vu que mes critiques étaient injustifiées.
Déjà, je dois préciser ce qui m’amène à prendre conscience que je rejette cet aspect de soi avant même d’écouter les pensées qui abaissent ma vibration et suscite de la colère. 

Ces émotions de colère que je ne contiens plus, sans toutefois m'y attacher, sont le signe d’un déséquilibre et du rejet du masculin en moi. Le mental étant aussi plutôt masculin, quand je m’acharne sur lui, cela se reflète aussi dans ma relation aux animaux, le chat est distant, voire agressif et la chienne m’agace alors qu’elle ne fait rien de spécial. 

Ce sont ces signes qui m’aident à me souvenir d’observer les pensées du moment et de les confier à la source. Le manque de présence à soi et les conditionnements font que je doive utiliser l’effet miroir pour revenir à ce qui se passe en moi dans l’instant. Et tous ces signes dont je parle, ce sont les alertes ou ce que je considère comme telles mais ça n’est pas tant l’interprétation que j’en fais qui a de l’importance ou encore qui est vraie, l'intérêt premier c’est que ça m’amène à m’intérioriser, à me tourner vers l'intérieur.

Appeler la source, c’est juste lâcher le jugement et revenir à la neutralité du cœur, à la conscience que ma vision est encore conditionnée par les croyances et notamment celles concernant le masculin, l’incarnation, la supériorité de l’esprit sur ce qui est humain.

« Voici comment guérir vos blessures psychologiques » Sandrine Allenic






Les blessures psychologiques se mettent en place durant notre enfance, entre notre conception et nos dix ans, à travers des expériences anodines ou douloureuses. 

Nous sommes tous blessés à des niveaux différents ; un même événement peut être vécu avec une charge émotionnelle différente selon la nature et le caractère de l’enfant. 

Nos parents ou d’autres figures parentales (grand-parents, oncles ou tantes, frères ou sœurs aînés, maîtres, professeurs, entraîneurs …) nous ont blessés sans le vouloir lorsqu’eux-mêmes ont été blessés enfants, ils répètent une chaîne de souffrance que nous pouvons décider de rompre.

Ces blessures conditionnent notre personnalité à travers ce que certains psychologues appellent le faux-self (construction de la personnalité basée sur des mécanismes de défense qui nous coupent de notre nature profonde). Si vous avez vécu étant enfant des événements émotionnellement marquants, sachez que ces blessures psychologiques conditionnent votre vie dans la mesure où elles orientent vos choix, votre comportement et votre schéma affectif.

Les blessures psychologiques sont logées dans l’inconscient et nous poussent à vivre des situations qui nous mettent en souffrance dans notre vie d’adulte afin que nous nous libérions de cette charge émotionnelle. 

La guérison commence par l’identification de nos blessures en fonction de leur origine chronologique, de la fausse croyance que nous avons développée en faux-self, de l’émotion associée ainsi que de l’aspect positif compensatoire.

« Rien n’est solide "tout est énergie" » Claire C.





Des physiciens lauréats du prix Nobel ont prouvé sans le moindre doute que le monde physique est une vaste mer d’énergie qui projette abondamment en partance et à destination en millisecondes, encore et encore.

Rien n’est solide.
Tel est le monde de la physique quantique.

Ils ont prouvé que les pensées regroupent solidement le champ d’énergie qui est en constante évolution dans les objets que nous voyons.
Alors pourquoi voyons-nous une personne au lieu d’un clignotement d’énergie ?
Pensez à une bobine de film.
Un film regroupe environ 24 images par seconde. Chaque image est séparée par un espace. Cependant, en raison de la vitesse à laquelle une image remplace une autre, nos yeux croient voir une image continue et en mouvement.
Pensez à la télévision
Un tube de télévision est simplement un tube avec des tas d’électrons qui frappent l’écran d’une certaine manière, créant l’illusion de la forme et du mouvement.
C’est ce que sont les objets de toute façon. 

dimanche 15 janvier 2017

« Développer ses facultés psychiques » Serge Boutboul & autres vidéos





La guidance interne motivée tant par l’ennui, que par l’élan de découvrir ou la curiosité, m’a amenée sur cette vidéo intéressante qui résonne avec ma vision, mon point de vue. 
Je précise ce qui m’a guidée, pour montrer la dynamique de ce contexte particulier du monde polarisé où l’énergie s’exprime dans sa globalité et s’étend du pôle négatif au pôle positif ou l’inverse.
Chaque pensée, chaque émotion trouve son opposé et c’est cette division ou extension de l’énergie qui permet de comprendre la portée, la valeur des fréquences et de choisir notre positionnement.

Cela créé un mouvement, une dynamique, un élan à passer à l'action. L’ennui pousse à agir, à chercher, à créer, à se divertir, à aller vers les autres. La peur oblige à trouver des stratégies d’évitement, des solutions pour se préserver du manque, de la perte, de l’accident…les pensées polarisées nous enseignent à propos de nos besoins non satisfaits et en venant au centre, on saura poser le bon geste, entendre la réponse...et ainsi affiner nos perceptions, nos sens, notre écoute, notre attention...

Bien sûr plus on est conscient de qui on est, de ce que sont la vie et la mort, plus on accueille les peurs, plus on prend l’habitude de se positionner dans la neutralité et plus on peut observer comment on fonctionne. On comprend mieux la mécanique de la pensée et celle du coeur...

Le but à mon sens n’est pas de plonger dans l’absolu, le vide, le néant, ni de devenir un pur esprit puisque c’est ce que nous sommes déjà, au-delà de ce corps, de cette vie. 
Cette incarnation vise plutôt à passer de l’inconscience, de l’ignorance, à la connaissance, progressivement.
En chemin, dans la connaissance, la reconnaissance de soi, de ce que nous sommes, on trouve notre vrai moi, notre nature multiple et essentielle qui est Joie, désir et mouvement ou expansion.

« Quel est votre chemin ? » les guides de l’unité via Daniel Desjardins





Très chers humains,
Aujourd'hui, nous désirons vous parler avec Amour de votre chemin sur Terre. 
Nous vous parlons régulièrement de votre chemin, mais aujourd'hui nous souhaitons clarifier, car lorsque nous parlons de votre chemin nous parlons de cette suite d'événements, d'actions, de créations que vous alignez dans votre moment présent. 

Et si vous étiez pour prendre un certain recul face à votre chemin, vous verriez qu'il est en constante évolution. Il y a toujours de multiples pistes devant vous qui s'offrent à vous et vous avez toujours le choix, jusqu'au dernier instant de choisir sur quel chemin vous allez faire votre prochain pas. 
Il y a devant vous une multitude de possibilités que vous créez et que vous co-créez avec les autres êtres qui partagent votre cheminement sur Terre. 

Vous êtes conscients et conscientes de certains d'entre eux, alors que d'autres cheminent à vos côtés même s'ils sont comme cachés par des ombres et pourtant ils sont là et contribuent avec grande joie à votre vie et au niveau de votre Source vous vous connaissez et travaillez de connivence avec Joie à créer chacun votre chemin.  

samedi 14 janvier 2017

« Quand tout devient une occasion de manifester l’Amour spontanément »





Et bien je ne m’étais pas trompée, accueillir la colère, pacifier le masculin en soi, libère le potentiel créatif, le désir d’agir, de passer à l'action. Le fait que je prenne plaisir à faire du ménage en est l’expression ! C'est le signe que le désir d'habiter mon corps physique, grandit de jour en jour à mesure que je connais mieux ce que je suis et que je me sens plus à l'aise avec mon corps émotionnel, avec tous mes corps, qui s'harmonisent à la fréquence d'amour et de lumière de la source.

Cette douce association entre le féminin et le masculin qui se réalise dans l’accueil des émotions, l’abandon du jugement, désactive les anciennes croyances et conditionnements liés aux genres. 
Je pouvais comprendre que ma façon de considérer le ménage était fortement influencée par l’inconscient collectif féminin, par le vécu de mes ancêtres, de ces générations de femmes soumises à leur mari qui étaient obligées de prendre soin du foyer. Mais ma vision du ménage était également influencée par ma propre enfance puisque comme ma mère travaillait, dès l’âge de 6 ou 7 ans, il fallait participer activement aux tâches ménagères.  Les mémoires ancestrales ont été activées dans l'enfance à travers ce vécu.

Ce n’est pas tant les faits qui me dérangeaient mais plus la façon dont c’était imposé, le fait que ce soit amené comme une obligation, une corvée, plutôt que comme une forme de responsabilisation ou un acte d’amour.

jeudi 12 janvier 2017

« Pacifier le masculin en soi »





Je ne regrette pas d'avoir honoré l'envie du moment, d'avoir profité de la sensation de plénitude qui a suivi la libre expression des émotions refoulées samedi dernier et qui m'a laissée dans un état proche de la béatitude durant tout le week-end. 
Je ne me suis imposé aucune contrainte et j'ai bien fait de reporter au lendemain la sortie courses en ville à vélo parce que ça m'a permis de réfléchir à la raison pour laquelle la voiture n'était toujours pas réparée, à faire face à mes croyances au sujet du masculin et à offrir à la source toutes les pensées concernant les hommes. Ma vision du masculin étant faussée par le passé, la relation difficile à mon père et par toutes les croyances inconscientes, les blessures du féminin...  

Cela m'a renvoyée à mes mondes intérieurs, à la nécessité de libérer la colère refoulée vis à vis de mon père et à comprendre qu'en refusant de l'extérioriser, je me limitais dans mon potentiel, mon pouvoir d'action, de manifestation, de création. 
Le pardon est essentiel pour sortir du rôle de victime mais il est indispensable de libérer les émotions de colère, d'injustice, d'écouter et d'embrasser l'enfant en soi, de l'autoriser à extérioriser tout ce qu'il a refoulé alors. 

Il est nécessaire de se donner le temps de libérer cela et d'intégrer de nouvelles énergies, de digérer l'amour lumière de la source jusque dans le corps physique. 
Le corps émotionnel étant plus "proche" de la sphère physique ou plus incarné que le mental, son temps de digestion et d'intégration est plus long que pour le mental qui peut changer de point de vue en quelques secondes. 
De plus comme cela impact la matière, le corps physique, un temps de repos est nécessaire. Il l'est aussi pour intégrer les nouvelles infos au niveau du cerveau où sont traitées les émotions dans la partie limbique tout autant que les pensées. Les émotions sont autant logées dans le cerveau que dans la mémoire physique, les gènes et le ventre.

Le temps de pause est donc indispensable à l'intégration des nouvelles fréquences, pour chaque corps et pour qu'ils puissent s'harmoniser. J'ai constaté aussi que je pouvais faire confiance à mon ressenti, mon intuition, puisque dès hier, j'ai été portée avec entrain à aller en ville.