La
guidance interne motivée tant par l’ennui, que par l’élan de découvrir ou la
curiosité, m’a amenée sur cette vidéo intéressante qui résonne avec ma vision,
mon point de vue.
Je précise ce qui m’a guidée, pour montrer la dynamique de ce
contexte particulier du monde polarisé où l’énergie s’exprime dans sa globalité
et s’étend du pôle négatif au pôle positif ou l’inverse.
Chaque
pensée, chaque émotion trouve son opposé et c’est cette division ou extension
de l’énergie qui permet de comprendre la portée, la valeur des fréquences et de
choisir notre positionnement.
Cela
créé un mouvement, une dynamique, un élan à passer à l'action. L’ennui pousse à agir, à chercher, à créer, à se
divertir, à aller vers les autres. La peur oblige à trouver des stratégies
d’évitement, des solutions pour se préserver du manque, de la perte, de
l’accident…les pensées polarisées nous enseignent à propos de nos besoins non satisfaits et en venant au centre, on saura poser le bon geste, entendre la réponse...et ainsi affiner nos perceptions, nos sens, notre écoute, notre attention...
Bien
sûr plus on est conscient de qui on est, de ce que sont la vie et la mort, plus
on accueille les peurs, plus on prend l’habitude de se positionner dans la
neutralité et plus on peut observer comment on fonctionne. On comprend mieux la mécanique de la pensée et celle du coeur...
Le
but à mon sens n’est pas de plonger dans l’absolu, le vide, le néant, ni de
devenir un pur esprit puisque c’est ce que nous sommes déjà, au-delà de ce
corps, de cette vie.
Cette incarnation vise plutôt à passer de l’inconscience,
de l’ignorance, à la connaissance, progressivement.
En
chemin, dans la connaissance, la reconnaissance de soi, de ce que nous sommes,
on trouve notre vrai moi, notre nature multiple et essentielle qui est Joie, désir et
mouvement ou expansion.
La
Joie véritable vient de cette découverte progressive qui révèle la grandeur de
"l’humain divin". J’emploie encore ce terme bien qu’il soit chargé de
toutes sortes de connotations mais chacun y trouvera ce qui résonne et pour
ceux qui me lisent régulièrement, le sens dans lequel je l'utilise leur est connu.
Puis
nous sommes tellement immenses et à peine au début de cette reconnaissance
qu’il n’y a pas de mots assez justes pour exprimer cette grandeur, pas de termes qui
ne soient chargés d’énergies, d’anciennes croyances limitantes.
Il
faudrait peut-être trouver un nouveau langage ou cultiver la communication
vibratoire, et c’est aussi cela qu’on découvre dans l’introspection, on apprend
à reconnaitre la voix du cœur, de l’âme, on relie ainsi la tête au cœur de
façon très concrète.
C’est certainement le mode de communication du futur mais
ça demande déjà de se connaitre, de reconnaitre le langage de l’amour, du cœur,
de savoir vibrer sur ces fréquences de la transparence, de la confiance et de
lâcher les références passées.
Et c’est dans la communication intérieure avec
l’âme, les corps subtils, avec les aspects de l’être qu’on apprend ce langage vibratoire,
qu’on apprend à distinguer les différentes fréquences, les différentes énergies
des pensées, des intentions, des émotions.
Lorsqu’on
choisit de se positionner dans le cœur ou dans la neutralité, abandonnant la
notion de dualité qui n’est plus la référence absolue, on comprend mieux le
sens et la dynamique de la dualité. Elle est révélatrice par effet contraste de
ce que nous sommes, de ces dimensions qui nous constituent des énergies qui
nous traversent.
On peut constater qu’il nous faut arriver à la limite, à l’extrême,
pour choisir de changer sa vision, son point de vue, son comportement.
Les nombreuses initiatives dans le monde, en matière d’écologie, par exemple, qui se développent
de plus en plus, ont été motivées par la nécessité, par la peur de la destruction de l'environnement, la peur de la mort.
Il a fallu arriver à la limite
de la destruction de cette planète, pour enfin prendre conscience de sa valeur,
la regarder comme une mère nourricière, une intelligence capable de vivre dans
l’harmonie, une intelligence suprême qui sait gérer ses forces, ses éléments,
ses règnes, dans l’interdépendance respectueuse.
Elle a tant à nous enseigner de
par sa conception et sa façon de gérer le vivant!
Chaque règne qu’elle porte,
apporte sa contribution spécifique à l’ensemble et la moindre de ses créatures
est à sa juste place.
On ne peut douter qu’elle soit dotée d’une conscience en
voyant cette intelligence prodigieuse, cette interdépendance et l’organisation
divine qui la place aussi au sein du cosmos, de l’univers, en parfaite
cohérence, dans l’harmonie du système solaire.
L’observer
permet de changer ses croyances et de savoir aussi comment nous sommes faits à l’intérieur,
de constater qu’on communique avec elle par nos vibrations et qu’elle est
sensible à notre amour, à notre présence. En regardant tout ce qu'elle nous offre, on ne peut qu'être empli de gratitude et de confiance en son amour.
Je reviens sur la dynamique de la dualité parce que j’y
vois encore l’intelligence ou simplement la logique des lois universelles. En
effet, quand on sait la puissance de l’intention pure, on comprend mieux l’intérêt
de la polarisation.
Une intention pure réunit autant la volonté du cœur, de l’âme,
de l’esprit, de l’individu que celle du corps physique.
Tant qu’on n’atteint
pas le point de bascule, tant que l’intention n’est pas suffisamment intense,
il ne peut pas se produire de changement.
Si la pensée consciente n’est pas
alignée à l’émotion, à l’intention, la détermination ne sera pas suffisante.
Et
par l’effet de la dualité, c’est quand on est au bout du rouleau qu’on lâche
vraiment prise, de tout notre être. Le désir de paix est suffisant pour qu’on
se laisse guider par cette intention sans que les pensées inconscientes ne nous
en éloignent. Elles ne viennent plus interférer parce qu'on a compris la valeur de la paix et de l'unité, on ne doute plus de la pertinence de ce choix.
Déjà parce qu’on a compris que ces pensées inconscientes ne nous
appartiennent pas, elles sont des énergies intrinsèques aux rôles et
conditionnements, que le désir de paix et d’unité suffit à harmoniser.
Quand on
cesse de résister contre ce qui se manifeste en soi essayant ainsi de contrôler
en vain, nos pensées, nos émotions, lorsqu’on les offre à la source et qu’on s’en
détache, la fluidité et l’harmonie s’installent peu à peu.
Les pensées
émotions spontanées sont alors l’expression de notre nature véritable qui est
amour, paix, harmonie, unité et joie.
Cette
interview suscite des réflexions par l’écoute de la résonance interne, la
reconnaissance de ce qui entre en résonance avec ma vision, ma compréhension
des facultés spirituelles ou extra sensorielles.
Serge Boutboul: « Développer ses facultés
psychiques » interview Tistrya
La
conscience qui s’élargit permet de comprendre l’environnement, les lois
universelles, de porter un regard plus lucide sur ce qui est mais nos corps
subtils, nos sens, ont leur propre mode de perception et de fonctionnement
qu’il nous appartient de découvrir et de développer. Dès qu’on enlève les
filtres du jugement, on peut alors ouvrir son esprit, élargir son champs de
vision et de compréhension.
Il
est évident que les lois universelles qui régissent le vivant sont immuables,
éternelles et que nous pouvons accéder à la connaissance de toutes choses de
par notre constitution multidimensionnelle ou par le seul fait d’être doté d’un
cœur et d’une conscience.
Nous disposons
d’outils de perception qui offrent des points de vue différents et c’est leur
association, le fait que leur vision soit unifiée, qui ouvre les sens.
Comme
tout appareil qui permet de voir il est essentiel de nettoyer nos outils de
perception que sont le mental, l’émotionnel et le ressenti.
Il nous faut avant
tout laisser de côté les croyances et conditionnements du monde pour se fier à
cette vibration du cœur, à l’intuition. Parce que le fait de porter l’attention
sur un objet participe à la forme particulière dans laquelle il nous
apparait.
Nos
croyances déterminent non seulement notre vision mais aussi l’interprétation
qu’on se fait de la réalité. En ce sens l’effet miroir est révélé tout comme la
loi de résonance. C’est aussi cela qui nous montre l’importance de purifier
notre vision, notre mental et notre émotionnel afin d’avoir une vision neutre.
Je
partage son point de vue concernant les mondes invisibles et la force de
l’intention.
Si on va vers ces mondes avec l’intention d’obtenir du pouvoir sur
les autres, on va être confronté à ces mêmes énergies, ces égrégores de prédation, de manipulation, de dominance, de séduction...
Ce
n’est pas par hasard si ces mondes ne sont pas encore perceptibles pour la majorité
des gens et ça n’est pas une question de don, de privilège ou de supériorité, comme il le dit. C'est une question de conscience plus ou moins éclairée, lucide.
Pour
voir l’invisible, il faut avoir élevé sa vibration, sa vision, au-delà des croyances
fondées sur la peur et l’idée de division, de bien et de mal.
L’âme n’a pas
d’intérêt à nous montrer quelque chose qui risque d’abaisser nos vibrations et
notre système de survie bloque nécessairement tout objet, image, qui risquerait
de nous mettre en danger par une interprétation faussée.
L’instinct
de survie bloque tout ce qui n’est pas compréhensible pour la conscience de l’individu. En ce sens, savoir accueillir la peur est déterminant.
Notre âme s’incarne dans cette dimension afin qu’on puisse expérimenter la
matière à travers un corps physique élaboré volontairement avec des limites
apparentes et tangibles.
Le
contexte particulier, la notion d’espace et de temps sont nécessaires à la
connaissance de soi, à l’expérience qui permet de connaitre ce que nous sommes,
ce qui nous traverse et le sens de cette vie.
L’immensité de l’être est tel, la
puissance de l’amour, de l’énergie de vie si intense, la lumière de la
conscience si lucide qu’on ne pourrait pas supporter de voir les choses ni tout
ce qu’on est, en totalité. Les séances de reconnexion âmique proposées par Magali sont une approche qui témoignent de la grandeur de l'être.
On
perçoit ce qui correspond à notre vibration du moment, tant ce qu’on émane que
ce qu’on attire. On reçoit les infos
qu’on peut intégrer, traiter, comprendre et si on est convaincu qu’on peut être
manipulé par des forces invisibles, on risquera de l’être.
Les forces
invisibles sont celles que nous portons, l’essence de vie polarisée, contrariée
ou contenue, la forme de nos pensées, des émanations psycho émotionnelles. Les nôtres et celles de l'humanité depuis la genèse.
La
faculté première de l’humain c’est l’imagination, le fait de pouvoir projeter
sa conscience dans le temps et l’espace, de pouvoir former des images à partir
d’idées, de concepts.
C’est à la fois une force mais ça peut aussi être la
cause de nos plus grandes souffrances parce que ces projections sont "vivantes",
énergétiques, vibrantes et selon la fréquence des pensées récurrentes, leur intensité va
donner de la puissance aux formes pensées.
Je
ne suis pas d’accord avec ce qu’il dit concernant le chemin de vie, l’idée
qu’il y ait des chemins qui ne seraient pas "les bons". Je pense plutôt que tous
les chemins sont "bons" dans le sens de nécessaire parce que c’est la connaissance
qui mène à la réalisation, l’accomplissement de soi.
C’est la force d’intention qui permet
d’élever sa vibration au-delà de la souffrance, de l’inconscience. L’intention
qui est simplement mentale, intellectuelle, n’est pas suffisante.
Il nous faut
arriver au bout d’une expérience, en avoir fait le tour, avoir compris
viscéralement que ce n’est pas cette voie qui nous mène au bonheur ou qui nous
permet de vibrer l’amour, pour passer à autre chose.
Cette
vidéo déjà publiée, mais un rappel est nécessaire au mental afin qu’il puisse
intégrer les nouvelles données, d’Oprah Winfrey, exprime ma vision de l’erreur.
Oprah Winfrey " Il n'y a pas d'erreur "
La
notion d’erreur est issue de l’idée d’un modèle de perfection à suivre qui est
une illusion puisque chacun est unique et la perfection réside en l’essence qui
nous anime.
Et la joie se trouve dans, la reconnaissance et la manifestation de celle-ci.
Comme cette essence est
commune, c'est la façon dont on l'exprime, par notre singularité, qui donne un sens à notre personnalité.
Chaque
expérience a sa raison d’être, elle constitue une initiation. Elle nous permet de
nous intérioriser et de comprendre ce qui a vraiment de la valeur, de mieux
nous connaitre, de reconnaitre la vibration de l’âme, d’en ressentir la portée,
de savoir ce qui la constitue et d’éclaircir notre vision afin de reconnaitre
le moi véritable, celui qui est au-delà des masques, des rôles. L'expérience d'incarnation nous révèle notre essence et comment s'y aligner afin d'être comblé, complet, épanoui.
C’est
souvent le problème à mon sens quand on parle de facultés psychiques parce
qu’on tombe vite dans les travers du pouvoir. On confond la volonté de l’être,
de l’âme et celle de l’individu soumis à la peur et aux croyances. On mélange l’être
et le personnage, celui qui est élaboré
sur des constructions mentales, des croyances et des conditionnements.
Cet
extrait de dialogue entre Neale Donald Walsche est venu nourrir ma réflexion du
moment et ma vision du divin qui s’affine de jour en jour, à mesure qu’elle est
intégrée patiemment en tout mon être.
Neale donald walsch - quel est le but?
Vouloir
être puissant pour ne pas souffrir de la dominance extérieure est à mon avis un
leurre. La volonté de l’individu qui tente de contrôler la vie, de dépasser la
mort, c’est le mode de fonctionnement de la société et de la médecine actuelle.
Il
y a une différence entre connaitre ses mondes intérieurs, les mystères du
vivant et vouloir les contrôler, vouloir contrôler ses émotions et même ses
pensées.
C’est toujours l’intention qui prime, qui crée, qui attire et si on
cherche à fuir, que ce soit la réalité, les émotions, les objets qui nous
dérangent, à travers des expériences comme les sorties de corps, on ne trouvera
pas l’amour lumière ou l’essence de l’être, on sera face au vide incapable d'en saisir la portée. On sera face à nos peurs, nos
ombres, nos limitations conceptuelles, nos jugements et nos croyances. J'en ai fait l'expérience en prenant des substances hallucinogènes et le fait de constater le caractère illusoire, éphémère du corps, de la personnalité, peut engendrer la dépression, la confusion.
On
n’a aucun pouvoir direct sur les pensées qui émanent, on ne peut pas empêcher
leur émergence à moins de se faire lobotomiser. C’est la même chose avec les
émotions, on ne peut pas empêcher leur manifestation à moins de les anesthésier
mais en le faisant, elles continuent de vivre en soi et de grandir jusqu’au
jour où elles vont exploser.
On le voit dans la nature lorsqu’on détourne un
fleuve, lorsqu’on essaie de contrôler la nature. Dans l’immédiat, ça peut
sembler n’avoir aucun impact mais au bout d’un certain temps, on constate les
glissements de terrain, des digues explosent.
Ça
n’est pas à la nature de s’adapter à l’humain, c’est l’inverse.
L’humain doté
d’une conscience est à même de comprendre son environnement et de vivre avec,
en bonne intelligence, d’utiliser ses forces pour se nourrir, pour prendre soin
de son confort, de la vie en lui. Et la meilleure façon de s'adapter à son environnement, c'est de le connaitre, de l'observer objectivement.
L’intelligence est cette capacité à connaitre
et à s’harmoniser avec l‘extérieur, les autres. C’est ce que fait la nature, ce
que font nos cellules.
Chaque
dimension m’apparait comme l’image de notre conscience, le reflet de nos
croyances et de notre vibration, la projection vibratoire
(mentale/émotionnelle/énergétique) de notre degré de compréhension de ce que
nous sommes.
En ce sens, une même image, situation ou personne, nous apparaitra
aussi de façon différente selon notre vibration du moment. On peut tous en
faire l’expérience.
Plus on lâche les croyances limitantes et plus on se rend
compte de notre potentiel immense. Et de la place idéale qui nous permet de
voir au-delà du voile formé par la peur, au-delà de l’illusion, de façon de
plus en plus lucide, au centre de l’être.
On peut sentir selon nos pensées du moment dans quelle dimension
on se situe et connaitre aussi au travers de l’effet miroir, notre état d’être
inconscient, les croyances et rôles qui s’activent encore.
Il
faut de la patience et de la persévérance pour faire du retour au centre, un
réflexe conditionné, j’en ai eu encore la confirmation hier. Quand j’ai vu que
la mécanique de la victime, du bourreau et du sauveur se jouait encore, j’ai eu
un premier sentiment de découragement mais en offrant ces pensées à la source,
j’ai élevé légèrement mon taux vibratoire et donc ma vision s’est élargie.
Je me
suis rappelée que j’ai toujours le choix de réagir ou non, de m’identifier au
rôle ou pas et que la seule chose à faire dans l’instant, c’est d’orienter la
pensée et l’émotion sombre, en direction du cœur.
Je sais aussi que c’est en
revenant à la paix, la confidence sincère à la source que les énergies s’harmonisent
et que le changement de vision arrive après ce temps de pause, apportant des
réponses, de nouvelles façon de voir et d’être.
Que c’est un processus graduel
qui fortifie la foi, la confiance en ce pouvoir d’accueil et que c’est par la
patience que l’amour se déploie.
On
parle de la triple flamme, du fait qu’on peut l’activer mais on pense que c’est
un processus mental alors que c’est un potentiel, qui demande de choisir et d’agir
en conséquence.
L’action étant toujours d’abord au niveau des pensées, dans le
choix de ne pas juger ce qui émerge puis l’accueil de l’émotion associée, le
fait de ne pas s’y attacher, amènent nécessairement le geste approprié et spontané.
C’est cela activer la triple flamme : aligner la volonté de la personnalité à
celle de la source en soi, aligner le mental, l’émotionnel sur l’intention de
paix, unir la pensée, l’émotion, l’intention et le geste, dans un même élan.
Et
si je répète cela inlassablement c’est parce que je connais la façon dont le
mental intègre de nouvelles données, comment il actualise les croyances, par la
répétition qui permet la création de nouvelles autoroutes neuronales. Lorsqu’elles
sont bien formées, le chemin est parcouru avec facilité et avec légèreté, ça devient
un réflexe naturel.
Chaque jour, chaque tension, nous donne l'occasion de choisir de revenir au centre, à la lumière ou de fuir dans le mode automatique.
La maitrise, dans le sens d'expertise, vient peu à peu, à mesure qu'on devient de plus en plus conscient, attentif.
Cette dernière vidéo qui explique la formation d'un diamant est encore le témoignage de tous les enseignements qu'offre la nature.
La patience requise dans cette phase de nettoyage n'est pas grand chose si on considère l'évolution d'une âme...et la beauté du diamant donne toute sa valeur, son sens, le caractère précieux de cette incarnation où on peut rejoindre le point de vue de l'âme!
On est dans la phase de découverte qui demande de creuser et de se laisser guider pour voir l'éclat, la brillance de notre âme...
Comment la Terre fabrique-t-elle les diamants?
Le
processus par lui-même est très révélateur !
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l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr