Les
blessures psychologiques se mettent en place durant notre enfance, entre notre
conception et nos dix ans, à travers des expériences anodines ou
douloureuses.
Nous
sommes tous blessés à des niveaux différents ; un même événement peut être vécu
avec une charge émotionnelle différente selon la nature et le caractère de
l’enfant.
Nos
parents ou d’autres figures parentales (grand-parents, oncles ou tantes, frères
ou sœurs aînés, maîtres, professeurs, entraîneurs …) nous ont blessés sans le
vouloir lorsqu’eux-mêmes ont été blessés enfants, ils répètent une chaîne de
souffrance que nous pouvons décider de rompre.
Ces
blessures conditionnent notre personnalité à travers ce que certains
psychologues appellent le faux-self (construction de la personnalité basée sur
des mécanismes de défense qui nous coupent de notre nature profonde). Si vous
avez vécu étant enfant des événements émotionnellement marquants, sachez que ces
blessures psychologiques conditionnent votre vie dans la mesure où elles
orientent vos choix, votre comportement et votre schéma affectif.
Les
blessures psychologiques sont logées dans l’inconscient et nous poussent à
vivre des situations qui nous mettent en souffrance dans notre vie d’adulte
afin que nous nous libérions de cette charge émotionnelle.
La
guérison commence par l’identification de nos blessures en fonction de leur
origine chronologique, de la fausse croyance que nous avons développée en
faux-self, de l’émotion associée ainsi que de l’aspect positif compensatoire.
Blessures
psychologiques
|
Origine
|
Fausses
croyances
|
Faux-self
|
Émotions
|
Positif
|
1°
Rejet
|
Entre
la conception et la naissance
|
Je
n’ai pas droit à la vie
|
Fuite
|
Peur
|
Créativité
|
2°
Abandon
|
Entre
la naissance et 3 ans
|
J’ai
besoin des autres pour exister
|
Dépendance
affective
|
Détresse
|
Engagement
|
3°
Humiliation
|
Vers
8 mois
|
Je
ne suis pas digne
|
Masochisme
|
Honte
|
Empathie
|
4°
Trahison
|
Vers
3 ans
|
Je
ne peux pas faire confiance aux autres
|
Contrôle
|
Colère
|
Bienveillance
|
5°
Injustice
|
Entre
4 et 6 ans
|
Je
doit être parfait pour être aimé
|
Rigidité
|
Indifférence
|
Perfectionnisme
|
1° La blessure psychologique du rejet
Le sentiment de rejet se crée entre la conception et
la naissance.
Il se développe chez les enfants qui n’ont pas été
désirés par leur parents (retour de couche, grossesse non voulue, avortement
impossible, viol etc …).
L’enfant ne se sentant pas désiré, il va développer la
fausse croyance « je n’ai pas droit à la vie ».
Ces personnes ne se sentent pas invitées à la fête de
la vie et ne s’autorisent pas à profiter pleinement de leur existence, ils se
sentent étrangers dans la vie.
Leur besoin d’être différent afin d’être rejeté par la
norme les conduit à des comportements excentriques soit dans leur apparence
physique soit dans leurs relations sociales.
Le faux-self qui se met en place dans le caractère est
la fuite.
On les appelle les fuyants car ce sont des personnes
qui ne font pas face aux problèmes mais les contournent.
Le sentiment de rejet entraîne beaucoup de peurs dont
celle de l’engagement dans les relations affectives. Le sujet peut aussi fuir
les responsabilités d’adulte (travail, logement, stabilité matérielle) dans des
drogues plus ou moins douces, l’alcool, le sexe, ou les jeux vidéos.
L’aspect positif des victimes de la blessure
psychologique de rejet se manifeste dans la richesse de leur monde
intérieur, leur créativité est abondante ainsi que leur capacité à vivre la
solitude de manière sereine.
2° La blessure psychologique de l’abandon
Le sentiment d’abandon se crée entre la naissance et
les trois ans de l’enfant.
Il se développe chez les enfants qui ressentent ou
considèrent qu’ils n’ont pas eu tout l’amour et les soins nécessaires à leur
développement psycho-affectif.
Le sentiment d’abandon se crée facilement dans la
mesure où chaque enfant ne ressent pas l’amour de la même manière ; même si les
parents donnent la même quantité d’amour à leurs enfants, l’un d’eux peut se
sentir moins aimé sans raison objective ou suite à un changement effectif (la
naissance d’un autre enfant, la séparation de l’enfant et la mère dans les
premières 24 heures, une hospitalisation précoce, le placement chez les
grand-parents, l’abandon réel d’un des parents …).
Le faux-self qui se met en place dans le caractère est
la dépendance affective ; « j’ai besoin des autres pour vivre et exister ». Une
fois adultes, ces personnes ne vont bien que si leurs relations vont bien,
elles n’aiment pas être seules et célibataires. Leur vie affective conditionne
leur moral. Leur énergie vitale dépend de la qualité de leurs relations.
L’abandonnique a besoin d’être constamment validé par le regard des autres.
L’aspect positif des victimes de la blessure
psychologique d’abandon se manifeste dans leur manière d’être ; ce sont des
personnes chaleureuses, tactiles, aimantes, sensuelles, très engagées dans les
relations affectives.
3° La blessure psychologique de l’humiliation
Le sentiment d’humiliation se met en place vers huit
mois, lorsque l’enfant prend conscience qu’il est autonome par rapport à sa
mère et qu’il commence à marcher, à apprendre la propreté.
Le sentiment d’humiliation peut être induit par une
mère qui exige une propreté précoce alors que l’enfant ne voyait pas de honte à
se salir.
La blessure psychologique se crée dès lors que le
corps de l’enfant n’est plus respecté (maltraitance physique, morale, sexuelle)
entraînant chez l’enfant la fausse croyance « je ne suis pas digne ».
Le faux-self qui se met en place dans le caractère est
le masochisme ; dès l’école maternelle, ces enfants subissent les moqueries de
leurs camarades et deviennent le souffre douleur des autres. Une fois adultes,
ces personnes font passer les besoins de l’autre avant les leurs, elles ne se
respectent pas et se cachent souvent derrière un surpoids, elles se sacrifient
pour le bien-être des autres.
L’aspect positif des victimes de la blessure
psychologique d’humiliation se manifeste dans leur capacité à être très
serviables, empathiques, loyales en amitié, à réellement se soucier des
problèmes des autres.
4° La blessure psychologique de trahison
Le sentiment de trahison se crée au moment de la mise
en place du complexe d’Oedipe, c’est à dire vers les trois ans de l’enfant. Il
se développe chez les enfants qui subissent tout acte de maltraitance physique
ou morale (abus sexuel, violence, chantage, contrôle, manipulation,
mensonges…).
Le sentiment de trahison peut se créer au moment de la
séparation des parents lorsque le père ou la mère s’engage à prendre l’enfant
un week-end sur deux et finit par ne pas tenir sa promesse sans aucune raison
valable. L’enfant submergé par la déception va refouler les émotions de colère
et frustration au profit de la tristesse.
Le faux-self qui se met en place dans le caractère est
le contrôle selon la fausse croyance « je ne peux pas faire confiance aux
autres ».
L’aspect positif des victimes de la blessure
psychologique de trahison se manifeste dans la force du mental ; ces
personnes deviennent très entreprenantes, très indépendantes et masquent
derrière leur contrôle une sincère bienveillance vis à vis des autres.
5° La blessure psychologique d’injustice
Le sentiment d’injustice se met en place entre la
quatrième et la sixième année de l’enfant. Il se développe chez ceux qui
considèrent ou ressentent que l’on ne les a pas laissé être eux-mêmes en les
privant de leur spontanéité, de leur part d’insouciance, du plaisir de jouer.
Le sentiment d’injustice se crée facilement lorsque
les parents responsabilisent trop tôt l’enfant (l’aîné qui doit surveiller le
petit frère) ou sont trop exigeants (tu dois être sage, ne pas faire de bruit,
avoir de bonnes notes, faire beaucoup d’activités extra-scolaires, être le
meilleur dans le classement etc …).
Le faux-self qui se met en place dans le caractère est
la rigidité selon la fausse croyance « je dois être parfait pour être accepté
et aimé ».
L’aspect positif des victimes de la blessure
psychologique d’injustice se manifeste dans leur rigueur ; ce sont des
sujets méticuleux, précis, perfectionnistes, rigoureux (ils deviennent
souvent militaires, comptables, scientifiques). Leur quête étant la justice,
ils ne lâchent rien, sont déterminés, procéduriers ou défenseurs de grandes
causes.
Comment guérir vos blessures psychologiques ?
Suite à la lecture de ces descriptions, il est
possible que vous vous identifiez à aucune de ces blessures psychologiques, à
l’ensemble des blessures ou à une partie.
En fait nous sommes souvent le mélange de plusieurs
blessures même si notre blessure principale nous confronte régulièrement à des
situations similaires (mécanisme de répétition).
Par exemple, une personne ayant développé le sentiment
d’abandon va obligatoirement attirer des personnes susceptibles de l’abandonner
à nouveau afin de libérer la charge émotionnelle de détresse qui la manipule
dans la croyance qu’elle a besoin des autres pour exister.
De même, une personne dans le contrôle (fausse
croyance : « je ne peux pas faire confiance aux autres) va attirer dans sa vie
sentimentale ou professionnelle des partenaires susceptibles de la trahir.
Sachez que toutes les blessures psychologiques sont
réversibles.
Pour guérir vous devez savoir nommer la blessure
qui vous fait souffrir et vous manipule au quotidien depuis votre
inconscient.
La première étape consiste à repérer l’événement qui
dans votre histoire a crée telle ou telle blessure.
Ensuite le travail se fait sur la libération de la
charge émotionnelle associée à l’événement et souvent refoulée au moment des
faits.
Puis nous verrons comment isoler les manques de votre
enfant intérieur afin de lâcher le faux-self qui s’est construit à partir de
vos blessures.
Histoire et refoulement
En séance de thérapie, la plupart des gens affirment
ne pas avoir de souvenirs avant l’âge de six ans, précisément la période de
l’enfance où se créent les cinq blessures psychologiques détaillées au début de
l’article.
Ce n’est pas par hasard, en effet notre psychisme
possède un système de protection dont la fonction est de nous faire oublier
les événements douloureux ou la charge émotionnelle elle-même.
Prenons un exemple concret pour expliquer ce
mécanisme, le refoulement : imaginez un père de famille qui décide de quitter
sa femme et son enfant de trois ans du jour au lendemain. Le petit assiste à la
scène au moment du départ ; il voit donc son père partir avec une valise et sa
mère effondrée en pleurs.
C’est tellement douloureux d’être confronté à
l’abandon réel du père et à la souffrance de la mère que le psychisme met en
place une stratégie de défense qui peut prendre trois formes :
– le refoulement massif : l’enfant va oublier la scène
et l’affect (une fois adulte il n’aura aucun souvenir du départ, ni de son
sentiment d’abandon).
– le refoulement de l’affect : l’enfant va oublier
l’affect mais pas la scène (une fois adulte il se souviendra d’avoir vu son
père partir mais n’aura pas conscience de son sentiment d’abandon).
– le refoulement partiel : l’enfant va oublier la
scène du départ mais pas l’affect (une fois adulte il portera le sentiment
d’abandon sans savoir d’où il vient).
A travers cet exemple, vous comprenez que plus le
refoulement est réussi (massif / affect) plus la personne est déconnectée de
son histoire et de ses blessures psychologiques.
Il s’agit d’individus qui ne souffrent pas, ressentent
peu d’émotions, et doutent constamment de leurs sentiments ; leur apparente
indifférence, leur manque d’empathie font souffrir plus leur entourage
qu’eux-mêmes.
Dans le cas du refoulement partiel la souffrance du
sentiment d’abandon attirera à nouveau des situations d’abandon afin d’amener
la personne à guérir sa blessure au niveau émotionnel.
Émotions et catharsis
Pour comprendre la guérison émotionnelle, vous devez
connaître le cycle d’une émotion.
L’émotion est une réaction naturelle à un événement
caractérisé ; la peur est là pour nous protéger du danger, la colère pour nous
affirmer et nous défendre, la tristesse pour faire le deuil d’une personne ou
d’une situation alors que la joie est notre état naturel pour vivre.
Nous allons reprendre l’exemple du départ du père pour
comprendre la vie d’une émotion ; le petit garçon a certainement ressenti de la
détresse au moment du départ du père mais la souffrance de sa mère ne l’a pas
autorisé à l’exprimer.
Afin d’éviter de vivre pleinement son émotion, le
psychisme du petit garçon lui a permis de refouler massivement ou partiellement
sa détresse comme nous l’avons vu précédemment.
Une fois refoulée, l’émotion reste active dans
l’inconscient en attirant à elle, telle un aimant, toute la charge
émotionnelle du même acabit (à chaque fois que le petit garçon ressentira
une émotion de détresse il la refoulera automatiquement sans la ressentir).
Toute émotion refoulée est source de souffrance
puisqu’elle nous manipule à notre insu, la colère par
exemple va s’exprimer en nous rendant grognon, de mauvaise humeur, négatif,
râleur, voire violent, sans raison objective.
De même, une tristesse refoulée peut nous rendre
insensible à la souffrance des autres afin de nous protéger de notre propre
souffrance inconsciente.
Si le refoulement dure trop longtemps l’émotion va
s’exprimer dans le corps en créant des « maux » à la place des « mots » ;
c’est pourquoi nous somatisons alors que notre état naturel est la santé.
Adulte, la guérison passe par la connexion à ses
émotions refoulées au lieu de les contourner dans la fuite (dépendances,
jeux, alcool, shopping, sport, sexe, travail) ou carrément ne plus rien
ressentir du tout (mécanisme de l’isolation émotionnelle).
L’exercice consiste à laisser remonter une émotion
liée à son histoire et à la vivre pleinement sans aucune résistance, sans
jugement, juste l’accueillir et reconnaître sa nature.
Si par exemple vous sentez monter de la tristesse, l’accueillir
signifie d’accepter de pleurer sans retenue car parfois le fait de lâcher prise
totalement permet une libération émotionnelle salvatrice, telle une catharsis.
Si vous n’avez aucun souvenir lié à l’origine de votre
blessure psychologique (refoulement massif / affect), l’analyse des rêves en
thérapie individuelle permet de retrouver les événements vécus par le sujet et
les affects refoulés depuis longtemps.
Dans le cas du refoulement partiel, il suffit de
reconnecter l’affect, à la représentation, pour libérer la charge émotionnelle
(dans notre exemple, le sujet pourrait rêver de la scène du départ de son père
en ressentant dans le rêve la détresse du sentiment d’abandon).
Sachez que lorsque nous rêvons d’une émotion refoulée
en la rattachant à la scène originaire, nous guérissons la blessure
psychologique définitivement.
Besoins psychologiques
Pour conclure, vous saurez que vous avez guéri votre
blessure principale lorsque vous découvrirez quels sont les besoins
psychologiques qui n’ont jamais été nourris et qui vous guident vers les
personnes et situations susceptibles de vous en faire prendre conscience.
En effet l’émotion liée à la blessure psychologique
indique en fait un besoin non comblé depuis l’enfance mais souvent ignoré
par le sujet lui-même :
Blessure psychologique
|
Émotion
|
Besoin psychologique
|
Sentiment de rejet
|
Peur
|
Besoin d’appartenance
|
Sentiment d’abandon
|
Détresse
|
Besoin d’amour
|
Sentiment d’humiliation
|
Honte
|
Besoin de respect
|
Sentiment de trahison
|
Colère
|
Besoin de confiance
|
Sentiment d’injustice
|
Indifférence
|
Besoin de reconnaissance
|
En thérapie individuelle, nombreuses sont les
personnes qui découvrent un manque complètement ignoré jusque là à cause de
l’isolation émotionnelle mise en place par leur faux-self.
Sachant que le manque est le moteur du désir (nous
avons envie de ce qui nous manque), il devient enfin possible de faire les
choix qui nous correspondent.
Guérir ses blessures psychologiques revient alors à
identifier ses manques afin de combler ses besoins psychologiques en toute
conscience.
Source de l’article original : www.psycoach06.com
Le
livre de Lise Bourbeau présente les "5 blessures qui empêchent d’être soi-même" et
une nouvelle édition en décrit la guérison au travers de témoignages. En voici
la présentation sur son site puisqu’elle édite ses livres :
« La
guérison des 5 blessures » Lise Bourbeau
Voici
la suite tant attendue du livre à succès de Lise Bourbeau, Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même, paru en
2000, qui ne cesse de battre des records de vente avec ses éditions en 16
langues.
À
l’aide de multiples exemples, l’auteure partage, dans « La guérison des 5 blessures », ses nombreuses découvertes professionnelles et
expériences personnelles qui guideront les personnes à la recherche de moyens
concrets pour guérir leurs souffrances.
Les
lecteurs apprendront à reconnaître les mécanismes des blessures et à
mieux cerner quand celles-ci sont activées. En appliquant les conseils
suggérés, ils prendront conscience des innombrables occasions où l’ego dirige
leurs pensées, leurs paroles et leurs actes.
Cette prise de conscience est non
seulement une condition indispensable à la guérison, mais saura
également les aider à manifester les besoins essentiels de leur âme pour les
mener vers la maîtrise de soi et la paix intérieure.
Disponible
également en version électronique.
En
lisant ces articles, ce qui me vient en tête, c’est la façon dont l’ego, le
système de protection, le refoulement dans l’inconscient, de la charge
émotionnelle, tous ces processus témoignent de la bienveillance de notre être, de
l’intelligence de ce que nous sommes.
A l’image d’une mère qui protège son
enfant des intempéries, l’ego nous préserve des tempêtes émotionnelles et ce
système parfait de protection ne verrouille pas totalement les infos.
Il laisse
échapper cette mémoire au moment où nous sommes capables de gérer la charge
émotionnelle. Il nous oriente vers notre intériorité à mesure que notre conscience s'ouvre.
Tout au long de notre vie, il nous donne des signes au travers
des rencontres, par l’effet de résonance, l’effet miroir, afin que nous
prenions conscience de l’enfant intérieur, de ses souffrances, des émotions
refoulées, de notre potentiel énergétique, de la puissance de l’amour, de la
vibration et de l’essence divine en nous, de la loi de résonance, d’attraction…de
la présence et de la guidance constante de l’âme.
On comprend la valeur des
émotions dites négatives ou refoulées communément associées à l’ombre qui
peuvent nous révéler notre essence, notre multidimensionnalité, les forces et
les corps qui composent notre être.
Dans l’accueil, l’écoute de leur message, on
apprend à se connaitre en profondeur et à utiliser nos sens, à cultiver l’écoute,
l’attention, l’intuition, à utiliser les perceptions extra-sensorielles et à reconnaitre les
besoins non assouvis, qui sont cachés en elles.
Et ces besoins sont exactement
ce que nous sommes en essence !
Ne sommes nous pas parfaitement constitués et complets !
Tous les systèmes qui nous soutiennent, ne sont-ils pas motivés par l’amour !...
Merci
de laisser les références, les liens, si vous souhaitez diffuser cet article
dans son intégralité et de mentionner aussi ce blog (http://lydiouze.blogspot.fr )
afin d’honorer l’expression unique de chacun.