dimanche 17 avril 2016

« Assister à la transformation intérieure »





Je suis dans un état qui s’approche de l’extase parfois tellement les choses avancent à grands pas. Difficile de suivre et quelque part c’est très bien parce que ça me place dans un contexte idéal puisque ça demande de l’attention, de la présence, de la spontanéité et de l’authenticité. Les ingrédients qui permettent de suivre l’élan du moment, d’écouter son intuition, en conscience et d’agir selon sa propre guidance et personnalité. 

Le clash avec ma mère m’a rendue ma liberté d’être et de faire. Ça peut sembler bizarre de dire ça surtout à plus de cinquante ans mais c’est un fait, jusqu’à maintenant, je n’arrivais pas à sortir de la relation mère/fille simplement parce que je n’étais pas suffisamment consciente de jouer le jeu de la victime. 

Certainement que d’autres y arrivent mieux quand elles deviennent mère à leur tour mais ça n’est pas non plus un gage de réussite. L’enfance traumatique a amplifié les jeux de rôles à un tel point que je ne pouvais pas suivre le modèle parental. 
Mais quand on est impliqué émotionnellement il est difficile de faire la part des choses. Malgré tout, mon sens de la justice ou peut-être que je devrais plutôt dire mon horreur pour l’injustice m’a poussé à réagir. 
Et comme j’ai pu offrir à la source les pensées émotions réactionnaires, petit à petit, je suis sortie de la vision de la victime qui accuse même si c’était nécessaire de l’exprimer.

« Les fruits de votre création » Les guides de l’unité via Daniel Desjardins





Très chers humains,
Aujourd'hui nous voulons vous parler des fruits de votre conscience. 
Comme vous le savez, les arbres et arbustes à fruits donnent certains fruits, vous donnez aussi des fruits. Et comme vous êtes uniques, vous donnez ainsi chacun des fruits uniques. 

Est-ce que tous les humains aiment tous les fruits ? Non. 
Est-ce que les humains ont des préférences pour certains fruits ? Oui bien sûr ! 
Il en est de même pour vos préférences pour les fruits des autres humains. 
Vous allez naturellement être attirés par les fruits de certains humains dans certains stades de votre vie, et possiblement vous changerez de goûts dans d'autres stades de votre vie. Vos goûts évoluent.

Pour ceux et celles qui offrent des services et des produits (ou autre, sachez que la même logique s'applique à tout ce que vous faites), ne perdez pas votre temps à essayer de faire des produits et services qui vont plaire à tout le monde, ce n'est pas possible, chaque humain à ses préférences ! Tout comme vous.

samedi 16 avril 2016

« La vie est une apprentie-sage permanente »






Il n’y a décidément pas de hasard ! La vie nous donne tous les moyens de trouver notre propre pouvoir et même si parfois ça fait mal parce que c’est au travers de nos blessures que notre potentiel peut se déployer, ce passage est nécessaire. Plus on sait comment fonctionne le système de défense interne, plus on peut prendre du recul et plus se sera "facile", réalisable. 
Ça demande la foi, c'est-à-dire la confiance en soi, en cet aspect infiniment sage qui constitue notre essence et la vie qui nous anime, nous traverse tant bien que mal. 
Si je fais une distinction entre ces deux aspects de la source, c’est parce que je le ressens de cette façon, il y a l’essence, la substance dans laquelle nous baignons tous et son mouvement. Chacun l'exprime à sa façon et c'est cela qui nous différencie, nous individualise sans pour autant nous diviser.
Puis l’énergie de la terre, l’énergie de la vie, l’énergie sexuelle, l’énergie du désir et de la création, c'est le feu qui rencontre l’amour lumière intérieur, la conscience source, et ensembles, ils créent la forme, la manifestation, la réalisation.

L’énergie de vie est souvent bloquée par les blessures, les traumas, les histoires d’amour conditionnés, douloureuses, les choix effectués souvent par résignation, la division, le maintient de la séparation entre nos aspects internes.  

vendredi 15 avril 2016

« Culpabilité et attachement » les EDL* via Monique Mathieu & vidéo d'Isabelle Padovani






"Les êtres humains, depuis leur plus tendre enfance, fonctionnent avec la culpabilité, parce qu'elle leur est inculquée par leurs parents ou grands-parents qui leur disent en permanence : « Ne fais pas ça, ne parle pas comme ça, n'agis pas comme cela ». 
Ils sont ainsi enfermés dans une énergie de culpabilité.

Celle-ci peut être générée par des peurs, mais elle est pratiquement toujours générée par une souffrance. Au lieu de vous départir de cette souffrance, vous nourrissez la culpabilité.

Imaginez tout simplement que la culpabilité est une vibration et non ce que vous pourriez appeler "défaut" dans votre langage.
La culpabilité est présente chez pratiquement tous les êtres humains, sauf chez ceux qui ont compris et qui ont suffisamment lâché prise par rapport à leurs comportements, à leurs émotions et à leurs ressentis. 

Dans votre société, il est fait en sorte que vous puissiez nourrir cette culpabilité en permanence, que ce soit au niveau affectif, dans le monde du travail ou dans le monde relationnel.
Il est très facile de culpabiliser un humain, et encore plus facile de se culpabiliser soi-même.

« Les croyances » le groupe Miriadan via Magali largement commenté





Les croyances forment la cohérence de votre horizon de vie. 
Vous modelez à chaque instant votre environnement selon la façon dont vous projetez autour de vous, à partir de vos certitudes, doutes et limites.
 
Il n'existe pas la Vérité au sens où vous l'entendez, car celle-ci se trouve dans l'intégralité de la Création, au niveau de l'Un. Cependant, nous sommes tous créateurs de vérités puisque nous les matérialisons en nous et autour de nous. 
Chacun de nous vit selon ses propres principes de fonctionnement. Et aussi ses illusions puisque nous faisons partie d'un univers qui possède des trésors, et aussi des limitations dans la compréhension du Jeu de l'Un.
 
Peut-on penser que la Vie elle-même génère des croyances ? 
Oui, cela est compréhensible. Si nous nous ouvrions à la Vérité de l'Un, sans plus de limites ou de partialité, nous ne pourrions répondre à son souhait d'explorer ses profondeurs.

jeudi 14 avril 2016

« Ça n’est que dans la spontanéité et l’accueil de ce qui se manifeste en soi, l’abandon des résistances, que l’amour peut agir ».





Ces dernières 24 heures ont été éprouvantes mais comme je sais que tout est fait pour me permettre de lâcher les jeux de rôles, guérir les blessures d’enfance et devenir plus libre et autonome, j’ai lâché prise et laissé les pensées émotions de la victime intérieure me traverser. J’ai amené en la paix du cœur ce bagage énergétique qui nourrissait la souffrance, les rôles et toujours en suivant l’élan de l’instant, je me suis laissé guidée et dépouillée du superflu. 
J’ai écris comme chaque jour ce que je ressentais et vivais mais j’ai préféré aller au jardin pour que tout en moi s’harmonise naturellement au contact de la nature. Je copie-colle une partie de mes ressentis d’hier :
(Mercredi 13 avril)
Comme toutes les nuits, je me suis levée vers deux heures pour aller aux toilettes avec le souvenir très net d’avoir été enseignée durant mon sommeil. J’ai la sensation qu’il s’agissait plus d’une forme de mise au point entre les différents aspects de la psyché, comme un dialogue interne entre l’âme et la conscience.

Lorsque je lis des messages canalisés, ou des infos concernant le développement personnel, je retiens ce qui fait écho en moi et je me dis qu’à un certain niveau de la conscience, elle n’est plus isolée, comme si elle était une individualité faisant partie d’un collectif.

mardi 12 avril 2016

« Laisser la vie nous guider vers plus de paix, de clarté, de lucidité, de capacité d’aimer »





Lundi 11 04 
Ce matin, je baigne dans une paix intérieure profonde. Je déguste le fait d’avoir relâché des énergies liées au passé, des énergies qui étaient enfermées dans mon corps, mon inconscient, depuis l'enfance, qui conditionnaient ma vision de moi-même, du monde et mon comportement général. 

Il y a la paix relative à une forme de compréhension mentale, aux choix qu’on peut faire en conséquence et il y a la paix qui vient de l’alchimie émotionnelle, de cette ouverture de cœur, du lâcher prise, de la reconnaissance et de l’acceptation de ses propres énergies "négatives" générées pas les croyances adoptées dans l’enfance. 

Trop souvent, on pense être victime des autres et on les accuse d’être injustes à notre égard alors qu’elles ne font que répondre à notre vibration intérieure. Il est clair qu’un enfant n’est pas responsable de ce qu’il vit et s’il est victime, dire qu’il a attiré cela par sa vibration serait injuste et cruel.

Au niveau humain, il est effectivement l’objet du comportement extérieur, victime de son entourage. Cependant, au niveau de l’âme, la probabilité que les choses se passent de façon dramatique a été envisagée et c’est même ce qui a déterminé le choix des parents, du contexte familial, environnemental, sociétal.