dimanche 24 janvier 2016

« Se libérer de la prison intérieure » Nicolas Karels & « Tout est parfait » Sylvain Didelot






J’ai passé la journée d’hier à suivre l’intuition pour agir, comme je le fais maintenant en conscience et en confiance, sans douter de la pertinence de l’élan de l’instant et en sachant qu’il me mène toujours vers une plus grande ouverture de cœur, de conscience, de compréhension, de clarté. 
Je sais aussi que la compréhension mentale vient après que je me sois confiée en mon cœur en tout confiance, que j’aie lâché prise sur les peurs, les émotions relatives à la petitesse et au sentiment d’indignité. 
Une confiance totale en tout ce que je suis qui me permet après l’ouverture de cœur et de conscience, d’être en mode réceptif et de pouvoir capter, voir le sens de ce que j’ai vécu. 

La plupart du temps, il s’agit d’un ajustement intérieur, dû au fait de lâcher les conditionnements, les réactions, les réflexes automatiques. 
Dans un premier temps, une peur émerge et en l’offrant au cœur, à la source d’amour lumière intérieure, en ne cherchant pas à l’occulter, la nier ou la rejeter, elle est harmonisée, équilibrée dans la paix du cœur, ce qui a pour effet d’amplifier la foi, la confiance en soi et de se libérer des conditionnements. 

Peu à peu, émerge une conscience nouvelle, une vision plus large, bienveillante et claire de ce que je suis et de ce qui est. 
C’est la réunification des aspects de l’être qui apparaissent alors dans toute leur lumière, leur pertinence. Une conscience qui s’élargit dans l’ouverture et le mouvement qui consiste à puiser dans la sagesse de la conscience collective éclairée qui s’exprime au travers de ceux qui sont conscient de leur nature véritable et multidimensionnelle.

vendredi 22 janvier 2016

« Chacun a ses propres outils de révélations, de connaissance et d’action qui viennent de sa propre guidance interne »






Ce matin, c’est une douleur aigüe au rein droit qui m’a obligée à sortir du lit. Seule la position assise soulage ce tiraillement qui semble marquer un déséquilibre interne et une vision faussée des choses.
L’hyper enthousiasme enfantin à écouter les vibraconférences de Jérôme Matanaël et l’idée de lâcher la notion de besoin semblent motivés en sous-sol par la peur de ne pas être à la hauteur, une façon de chercher un soutien extérieur pour pallier certaines carences. 
Bien que mon raisonnement puisse sembler capilotracté ou pour faire plus simple, « tiré par les cheveux », c’est ce que je ressens intérieurement.

Enfin ce sont les idées qui me sont venues en essayant de comprendre honnêtement, le sens de cette douleur qui me titillait déjà depuis hier et peut-être même avant-hier mais comme c’était en sourdine, je n’y ai pas prêté attention.

Déjà, les douleurs aux talons qui marquent la peur de ne pas être à la hauteur et le sentiment de manquer de soutien, selon Lise Bourbeau me semblent correspondre à la situation. 
Depuis toujours et avec beaucoup plus de certitude ces trois dernières années, je sais que ma raison d’être ici et maintenant, c’est de transmettre des clefs de libération ; de vivre, d’expérimenter l’auto-guérison, le chemin de l’éveil à sa nature véritable et multidimensionnelle afin d’en témoigner et d’apporter ma contribution en le partageant.

jeudi 21 janvier 2016

« Besoins ? » & « Lumière sur l’abondance » et « baptême de l’ére » par Jérôme Matanaël et Sylvie





Il y a un temps pour tout, un temps pour aller à l’intérieur, un temps pour s’exprimer, s’extérioriser et généralement, quand on apprend à écouter et à suivre son cœur, au-delà des croyances et conditionnements, on entre dans une logique, une compréhension de soi et du monde qui devient très intime et surtout complètement neutre. 

Je n’ai pas eu envie ou plutôt je n’ai pas été poussée à écrire hier parce que j’étais bien trop occupée à porter mon attention sur l’univers intérieur et ses réactions aux stimuli extérieurs, puis en soirée, totalement absorbée par les vibraconférences de Jérôme Matanaël et Sylvie. 
J’ai rendez-vous avec la conseillère professionnelle cet après midi et comme avant ça suscitait beaucoup de pensées émotions liées aux croyances de petitesse, de déni et de rejet de soi, je me suis sentie poussée à être très attentive à ce que je vivais et comment ça se traduisait en moi.

Quand on comprend intellectuellement que l’extérieur nous reflète notre monde intérieur, nos croyances, nos blessures et les aspects internes qu’on tente de se cacher ou qu’on ignore carrément, le système de survie avec lequel on fonctionne naturellement, va enclencher de nouvelles stratégies d’évitement, de fuite et de déni. 
Un genre de rafistolage nécessaire à notre équilibre.

mercredi 20 janvier 2016

« Tout est Un-terre-reliée, Un-terre-connectée » & vibraconférence Jérôme Matanaël





19 01 2016 C’est toujours un plaisir de lire les messages de Jeshua ou de Marie Madeleine, reçus par Pamela Kribbe parce qu’ils résonnent intensément et viennent confirmer ce que je ressens, pense, et surtout ce que je vis, expérimente, découvre de l’intérieur, dans les situations les plus banales du quotidien.

Pas besoin d’aller dans des salles de cinéma pour voir des images fantastiques, ni dans les musées pour contempler des chefs d’œuvre, pour constater la beauté de la création, notre corps est si magnifique et complexe qu’on n’aura pas assez d’une vie pour en révéler les trésors.
Même si les images internes ne sont pas « aussi nettes » que celles qui apparaissent sur un écran, ça n’a aucune importance parce que l’association des corps et l’unité entre tout, révèle les choses dans leur globalité, leur ensemble et leur beauté dans l’harmonie constatée. Puis ce monde des profondeurs de l'être est celui des dimensions subtiles.

Une idée, une intuition, une image symbolique, émerge et par synchronicités, par l’attention à ce qui est, à ce que l’on voit, vit et ressent, les pièces du puzzle se rejoignent donnant une vision élargie et approfondie des choses. 
On devient ainsi de plus en plus conscient de la relation intime, la guidance constante avec "l’autre soi", je devrais dire "les autres sois" parce qu’il semble que chaque corps soit le porte parole de la source. 

mardi 19 janvier 2016

« Découvrir l’énergie du Bouddha » Marie Madeleine via Pamela Kribbe





Chers amis, frères et sœurs, je suis Marie Madeleine, votre sœur-amie. 
Je suis ravie d’être ici, avec vous, aujourd’hui. 
J’aimerais tant que vous puissiez voir votre beauté à travers mes yeux. 
Vous seriez alors bien moins préoccupés par le regard des autres ; vous vous sentiriez plus libres. 
Vous avez tellement l’habitude de chercher à savoir si vous faites ce qu’il faut faire et si vous savez ce qu’il faut savoir. 
Pourtant, tout ce dont vous avez besoin afin de trouver votre chemin, se trouve à l’intérieur de vous. Vous avez un véritable radar interne en vous, et ce radar, ce guide intérieur, se situe au niveau du ventre.

J’aimerais vous parler aujourd’hui de l’importance d’amener votre conscience au niveau du ventre et d’être pleinement présent à cette zone de votre être. 
C’est une triste réalité que de constater que de nombreuses femmes n’arrivent pas à investir leur propre ventre, qui est le siège physique des émotions. 

Le ventre est également le siège de l’intimité et de la sexualité ; le lieu de la conception et du développement des nouveaux êtres. 
Cette partie du corps est ainsi profondément reliée à la vie sur terre.

lundi 18 janvier 2016

« Lâcher toutes les croyances pour se fier uniquement à l'intelligence du cœur qui unifie les corps…»





Je continue de m’émerveiller de la magie de la vie, des synchronicités, de la simultanéité de l’ouverture de cœur et de conscience, des questions « jetées en l’air » sans attentes, qui trouvent naturellement les réponses, simplement en se laissant guider par l’élan lui-même porté par l’enthousiasme, la passion d’être en vie, ici et maintenant.

L’abondance est révélée dans cette profusion d’idées émergeant de façon logique, cohérente, sous la direction du cœur qui harmonise et donne une vue d’ensemble qui en révèle la beauté, l’intelligence, la pertinence et la reliance.

Ce message de Miriadan vient encore à point puisqu’il pose les bases d’une réflexion que seuls le  désir de paix et d’unité intérieures permettent de concevoir. 
C'est la description du monde des cellules, des atomes, des molécules, la chimie interne, l'univers infini de l'intérieur de notre corps qui est en perpétuel mouvement, où les cellules se divisent, se multiplient, se régénère, c'est fascinant. La synchronicité est aussi dans le fait que lorsque je me connecte à la terre, je puise la chaleur en son magma, cette énergie qui impulse le désir d'agir.
On peut aussi voir que dans cet espace matériel, éthéré, énergétique, l'instantanéité de la manifestation et les lois universelles qui sont à l’œuvre. La manifestation des pensées, l'inter reliance entre les cellules, l'harmonisation des corps dans un simple mouvement qui démarre d'une intention et se concrétise par tous les systèmes inconscients faisant appel au cerveau, aux muscles... 

« Les 3 premières dimensions de notre univers » Miriadan via Magali





La première dimension repose sur le principe de l'impermanence. 
Il s'agit d'une dimension de frictions et d'interpénétrations perpétuelles au sein d'une matrice où le temps est indistinct, voire quasi absent et donc éthéré. 
Il n'y a qu'immédiateté, absence d'avant et d'après. 
Là se trouve un océan de lave en mouvement permanent, dans lequel les éléments divins se cognent ou fusionnent continuellement. 
Ils sont noyaux vibratoires qui se repoussent après contact ou s'épousent selon leur résonance. 
Il ne peut y avoir de formes cloisonnées comme nous les connaissons car chaque élément est sans cesse modifié par ses rencontres quasi immédiates. 
Ces échanges continus participent à la génération des potentialités de vie qui vont se placer dans les formations électro-magnétiques en gestation. 

Tout est déjà conscience, car toute étincelle de vie issue de la Source est conscience. 
Les consciences y développent la joie de faire partie d'un tout indistinct, sentiment qui leur rappelle leur origine primaire. C'est une dimension d'effusion. Nous sommes dans la mise en place du Plasma (voir le lien).
 
La deuxième dimension est celle de la forme distincte. 
Elle se place dans un état où le temps ralentit les mouvements de la 1ère dimension en densifiant les éléments.  Cela s'étire sur des milliards d'années.