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01 2016 C’est toujours un plaisir de lire les messages de Jeshua ou de Marie Madeleine, reçus par Pamela Kribbe parce qu’ils résonnent intensément et
viennent confirmer ce que je ressens, pense, et surtout ce que je vis,
expérimente, découvre de l’intérieur, dans les situations les plus banales du
quotidien.
Pas
besoin d’aller dans des salles de cinéma pour voir des images fantastiques, ni
dans les musées pour contempler des chefs d’œuvre, pour constater la beauté de la création, notre corps est si magnifique
et complexe qu’on n’aura pas assez d’une vie pour en révéler les trésors.
Même
si les images internes ne sont pas « aussi nettes » que celles qui
apparaissent sur un écran, ça n’a aucune importance parce que l’association des
corps et l’unité entre tout, révèle les choses dans leur globalité, leur
ensemble et leur beauté dans l’harmonie constatée. Puis ce monde des profondeurs de l'être est celui des dimensions subtiles.
Une
idée, une intuition, une image symbolique, émerge et par synchronicités, par
l’attention à ce qui est, à ce que l’on voit, vit et ressent, les pièces du
puzzle se rejoignent donnant une vision élargie et approfondie des choses.
On
devient ainsi de plus en plus conscient de la relation intime, la guidance
constante avec "l’autre soi", je devrais dire "les autres sois" parce qu’il semble que chaque
corps soit le porte parole de la source.
Le message de Marie Madeleine reçu par
Pamela Kribbe, a suscité tout un tas de ces images symboles comme ce fut le cas
pour le message de Miriadan d’hier, et c’est la continuité du questionnement à
propos des perceptions du monde, de ces dimensions et la notion d’unité, le
fait que tout contienne le tout. Puis c'est aussi ce qui m'a poussée à vouloir sonder le profondeurs, sentir le ventre, ce lieu qui a besoin d'être éclairé par le divin et perçu avec les yeux de l'amour qui a enclenché ces questions, réponses, visions.
L’apothéose,
c'est la vidéo qui illustre ce phénomène de l’unité en l’unicité, en l’être multiple et
infini, tout comme l’univers, que j’ai trouvée sur ma page d’accueil face de
book. (cliquer sur le lien ci-dessous pour accéder à ce chef d’œuvre...)
Ce
genre d’expérience confirme l’importance de s’écouter, de se faire confiance,
l’effet de l’alchimisation des pensées émotions liées aux vieilles croyances,
qui laisse place à une nouvelle façon d’être, de voir et de concevoir le
vivant.
Nous sommes effectivement divins, infinis et l’univers est inscrit en
notre corps physique, comme le témoignage vivant de la reliance à la source.
Cette
sensation de grandeur, de vertige intérieur est redoublée par le contraste, dans
le regard que je portais avant, sur tout ce qui touche l’aspect matériel des
choses, cette enveloppe charnelle que je méprisais, par mimétisme.
Là encore un
conditionnement est perçu mais je vois aussi que c’est ce qui m’a permis de
relativiser cette vie, de ne pas m’attacher excessivement à la matière, de
chercher la vérité ailleurs, dans les plus hautes sphères ou les mondes plus
éthérés.
Preuve incontestable que Tout a sa raison d’être, le "bon"
comme le "mauvais", le "beau" comme le "laid", preuve aussi qu’une
conscience "supérieure" planifie, organise et guide la personnalité
dans les moindres détails, à chaque instant.
Ce qui veut dire aussi qu’il n’y a
aucune raison de stresser, de craindre de se planter, ou d’être sur le mauvais
chemin. Là encore tout dépend de la façon d’observer les choses et on revient
encore et toujours à la nécessité de se placer au centre de l’être pour avoir
une vision juste de soi, des évènements de notre vie et de notre environnement.
Plus encore de chaque pensée, chaque geste, chaque situation du quotidien.
Le
fait que la science permette de voir les cellules, les atomes, les neurones,
tout ce monde intérieur au microscope est la révélation majeure de notre époque
qui vient mettre en forme, en image, les enseignements des sages.
Une
révolution immense quant à notre façon de concevoir dieu, le corps humain et le
fait qu’il n’y a aucune séparation, bouleverse toutes nos croyances.
L’amour
de soi n’a plus rien de narcissique, ça devient l’amour pour la création, le
créateur et la merveille que nous sommes tous.
La combinaison des corps
subtils, l’harmonie que le cœur réalise à chaque instant et révèle la valeur de
chaque cellule, chaque élément, chaque système, la conscience qui habite chacun
d’eux, nous amène à considérer le monde et les autres de la même façon.
Quand
on comprend que la notion de dualité conflictuelle, que le jugement qui est
toujours une forme d’accusation, donc de déni de soi, nous empêche de voir la
réalité de ce qui est, on ouvre complètement son horizon.
On
ne perd pas le sens de la mesure puisqu’on confie au cœur, à son intelligence,
la gérance de notre royaume intérieur.
Enfin je devrais plutôt dire puisqu’on
sait que quelque chose d’infiniment plus intelligent que notre personnalité
humaine dirige tout d’en haut. D’en haut et d’en bas, de partout, en tout ce
que nous sommes.
Le
désir d’unité intérieure, d’harmonie révèle précisément que tout a toujours été
dans cet état de cohérence et que seul le point de vue depuis l’ego qui se
croit séparé, isolé du reste du monde et surtout de l’amour lumière divins,
donnait l’illusion de la séparation et d’une imperfection. Ça donne le vertige !
Je
ne me considère plus comme un « Je » mais comme un « Nous »
à mesure que je prends conscience de tout ce qui me constitue. C’est ça qui est
grandiose, hallucinant même ! Cette connaissance me fait basculer dans une
autre dimension où l’amour apparait comme la substance qui maintient la
reliance entre tout ce qui est, et la conscience, le mouvement qui permet de
créer cette illusion de séparation.
Selon son point de vue, elle expérimente
différents états d’être, de voir de connaitre jusqu’à donner la vision au
mental de cette horloge interne et cosmique parfaite.
Comme
la vision change, le système de pensée, le verbe, le vocabulaire suivent.
L’attention portée à son monde intérieur et l’apprentissage des lois
universelles directement sur le terrain, amènent à être beaucoup plus conscient
de ce que l’on est, de ce que l’on vit.
Déjà
pour ma part, je n’ai plus envie de fuir mon corps ce qui constitue un immense
progrès. Là encore, la vision de soi détermine l’état d’être…
Il
est vrai que durant des siècles, l’humain a cru, selon sa façon de percevoir
les choses comme étant séparées, qu’il fallait se couper de quelque chose pour
obtenir ce qu’on voulait. Qu’il fallait sacrifier une chose pour une autre. Au
niveau spirituel et religieux, ça voulait dire de mépriser la chair pour
toucher le ciel, de mépriser l’incarnation pour obtenir le salut dans
l’au-delà. Alors que c'est le contraire qui permet de savoir, de connaitre en vérité qui nous sommes sur les plans divins.
L’univers,
la vie, se présentent tels que notre conscience l’envisage et c’est là notre
pouvoir en même temps que la justice divine. Notre pouvoir de penser, de voir
les choses selon nos croyances.
C’est aussi ce qui démontre que tout vient de
nous, commence en nous, en notre être profond.
Les lois de résonance et
d’attraction se vérifient dans ce processus où la conscience projette et attire
l’objet de sa vibration, de ses attentes inconscientes.
Ce
qui est magnifique c’est de découvrir les lois universelles d’une façon légère
et plus par des scénarii catastrophes. La peur, qui est perçue comme une énergie
de révélation dans ce système de comparaison de dualité, de contraste, perd son
pouvoir négatif quand on la considère de façon neutre.
En
ce moment même en parlant de cette énergie je la sens et l’offre à la source en
disant : « j’accueille en l’amour lumière de la source, ces énergies
troublantes afin qu’elles se sentent aimées et reconnues. Même si je ne les
comprends pas, je sais qu’elles ont une raison d’être ».
En
l’occurrence la peur de mettre le feu qui se manifeste chaque fois que la
flamme est haute, j’apprends à dédramatiser, à lâcher les à priori à son sujet.
Là aussi, l’image est fort symbolique, parlante !
Alors
je ferme les yeux, je respire en profondeur en scannant les tensions jusqu’à me
sentir totalement relaxée tant physiquement que mentalement.
J’essaie
d’être précise dans mon ressenti pour mieux utiliser ce mode de perception et
les papillons que je sens dans le ventre, la chaleur dans le cœur ne sont pas
désagréables.
J’ai
encore vues de belles couleurs, roses, orangées et violettes, qui semblent
témoigner du changement de vibration.
Je
remarque que ces couleurs apparaissent quand je suis dans un état de paix
intérieure et il semble que ce soit simplement une vision de ce qui est continuellement.
Que ce soit juste le fait d’être dans une vibration de paix au niveau physique,
émotionnel et mental, qui ouvre la vision au monde ou plan des énergies.
Ce qui
est sûr c’est qu’en prenant l’habitude de sentir ce qui se passe en moi
régulièrement juste pour ressentir, connaitre, je lâche la peur des mouvements
intérieurs ; le peur de la peur.
Bon,
je n’ai plus envie d’écrire, je passe à autre chose. Puis je constate aussi
qu’une tension me pousse à me centrer et de cette façon j’apprends à maintenir
mon taux vibratoire sur des fréquences élevées.
Maintenant
comme le ciel s’obscurcit, je vais offrir à la source les pensées émotions à
propos des chemtrails puisque pour le moment je fais mine d’ignorer le truc comme
j’ai encore le temps de préparer le jardin avant de semer mais il va falloir
que je m’y colle aussi !
Plus
ça va et plus je me dis que cette vie est une expérience transitoire, une étape
qui permet de passer d’un monde, donc d’une vision à une autre.
Une
ouverture de cœur en conscience et une ouverture de conscience en le cœur.
Une
occasion d’être au point zéro à chaque instant.
C’est
ce qui permet de faire la jonction entre ces deux paradigmes qui au départ
semblent très éloignés mais qui finissent par s’imbriquer, se superposer.
Ça me
ramène à la façon d’être du cœur et de la nature aussi puisque rien n’est perdu
ou éliminé, tout est perpétuellement recyclé, renouvelé, transformé.
Cette
autre vidéo est aussi fascinante puisqu’elle révèle, ce phénomène cyclique de
la nature. Même si notre monde est régi selon des lois d’attraction et de
répulsion selon l’espace temps linéaire, passé, présent, futur, ça illustre
aussi la notion d’éternité.
Ce qu’on retrouve dans la division cellulaire, la
respiration, le battement de cœur, ces mouvements qui sont les mêmes au niveau
du cosmos comme on peut le voir dans la première vidéo de cet article.
On
retrouve toujours la notion de mouvement, de vide et plein, de matière et de
non matière, de vie et de mort qui sont un cycle éternel, et tout ça danse en parfaite harmonie, synchronicité.
D’ailleurs,
c’est marrant parce que sur ma page d’accueil face de book, j’ai remarqué qu’il
y avait beaucoup de vidéos de danse…
J’ai
écris ça hier matin, dans la foulée, mais comme j’ai eu envie et même besoin de
bouger, je n’ai pas pris le temps de le publier. Il y a encore de la résistance
à répéter toujours les mêmes choses et comme j’ai repéré ce manège intérieur,
ces critiques, je les ai aussi reconnues et acceptées, offertes à l'amour lumière.
Je
me laisse complètement portée par l’élan, la vie, et ce lâcher prise m’amène
exactement où je dois être pour avancer sur ce chemin de reconnaissance de soi,
de sois.
Du coup, en fin de soirée j’ai atterri sur les vibraconférences de
Jérôme Matanaël dont les métaclefs me parlent intensément.
Il est clair que
tant son discours que sa vibration ont un effet puissant sur tout mon être et
bien que je suive ses publications sur google+, je bloquais encore sur quelques
notions qui maintenant sont beaucoup plus claires et même évidentes.
Je
constate que c’est cette acceptation totale de soi, même s’il reste des petits
détails ou ajustements à réaliser, des prises de conscience à faire, qui m’ouvre
la conscience et le cœur permettant d’intégrer ou de retrouver de nouvelles infos.
Précisément
celles que ma vision négative du masculin me voilaient. Et les soucis avec le poêle
qui exprime ma peur de la puissance divine, de cet aspect affirmé de soi, me
montrent justement parce qu’il n’y a plus de problème à ce niveau là, que l’équilibre
se créé.
Ce
qui résout le problème de réglage de la flamme tant extérieure, qu’intérieure,
c’est l’accueil des émotions, le lâcher prise sur la peur et la culpabilité
parce que ça aussi, c’est un poison. Enfin un poison dans le sens où ça pourrit
la vie, ça maintient l’illusion de petitesse.
Mais c’est aussi le signe qu’il
reste des ajustements à faire relativement à l’amour de soi. Jusqu’à maintenant,
je rejetais tellement d’aspects de ma personnalité que cet amour de soi était
encore trop fragile. Je sentais que l’orgueil pouvait être un frein ou une
mauvaise direction. Disons que je craignais d’avoir à prendre des grosses
claques pour arriver enfin à m’accepter en totalité.
Je
suis allée me coucher à 22h après avoir piqué du nez deux ou trois fois sur la
vibra, la deuxième parce qu’une fois que j’ai eu fini d’écouter la première, je
n’ai pas pu m’empêcher de voir la deuxième.
Quand je m’endors sur quelque
chose, c’est qu’au niveau vibratoire, il y a comme une saturation. Saturation
dans le sens où la vibration ajuste les énergies, les corps subtils, enfin un
travail s’effectue en profondeur pouvant donner l’impression que quelque chose
en soi ne va pas bien, créer des symptômes physiques, en l’occurrence, des
douleurs au crâne.
Je
n’ai aucun doute à ce sujet parce que je n’ai normalement jamais mal à la tête
et ça correspond toujours à une ouverture de conscience, la compréhension qui s’affine,
se précise…
Un
autre signe du travail interne qui se réalise à l’écoute des conférences comme
celles de Jérôme, c’est le fait que je me sente irrésistiblement attirée et ne
puisse pas lâcher l’écoute. Je suis tout de même allée me coucher puisque l'intégration se réalise avec plus d'aisance la nuit et surtout parce que j'apprends à respecter les besoins de mon corps physique.
Ça m’a carrément réveillée à 4h du matin et après avoir
ravivé la flamme du poêle, m'être connecté à la terre, au feu, à la source ou le divin
intérieur, de façon très spontanée et naturelle, mes pensées sont revenues sur
ce qui a été dit dans la vibra.
D’ailleurs, c’est dès le réveil que j’y étais
plongée comme s’il n’y avait pas eu de rupture entre l’écoute du soir, de la
nuit et les pensées du réveil.
Des signes qui ne trompent pas, c’est l’heure de
passer à quelque chose de nouveau, d’intégrer une nouvelle réalité et de la
manifester dans la matière.
Vibraconférence avec Jérôme Matanael ( http://www.guidancelumiere.com )et Sylvie de la télé du grand changement ( http://legrandchangement.tv/1/ )(16 juillet
2015)
Je
ne sais pas quoi exactement ni comment mais je suis certaine que ça touche l’affirmation
de soi, la raison d'être ici, la mise en place de ce service que je veux
proposer sans trop savoir quelle forme lui donner.
Depuis toujours, je sais que
c’est ma voie mais le manque de confiance en soi faisait tellement défaut que je
ne voyais que les carences, blocages…
Là aussi la vibra a éclairci quelques points essentiels, Merci Jérôme.
C'est marrant aussi le fait que les Jérôme aient eu des rôles initiateurs dans ma vie.
Par le passé, dans la douleur, révélant le manque d'amour de soi, les fausses croyances et maintenant dans la lumière...
Pour
autant, bien que je sache depuis toujours ce que mon âme me pousse à faire, ce qui me porte, je ne vais pas élaborer un plan puisque je sais pertinemment que c’est
la source ou le soi qui guide et dirige tout. La création de ce blog a été inspirée et j'ai un peu lutté avant de m'y mettre puis finalement quand j'ai accepté le truc, ça s'est fait tout seul.
La source qui guide en tout temps, c’est beaucoup plus
complexe que ça enfin il n’y a pas uniquement le soi, l'âme et la personnalité qui entre en jeu.
A l’image
de ce que nous sommes sur ce plan, les multiples personnalités qui nous habitent, les guides, les anges, archanges, sont aussi
en présence, en activité, interviennent dans l’élaboration de toutes choses. Les rayons sont en nous en potentiel plus ou moins activé, tout comme l'énergie ou logos christique, bouddhique...
C’est
aussi pour ça que j’apprécie les enseignements de Jérôme parce que ça confirme
mon ressenti aussi au niveau de l’équipe au sol en relation avec celle des
sphères invisibles.
Je
repense aussi à une idée qui m’est venue hier alors que je venais de charrier
des buches en sac après les avoir fendues à la hache, que cet équilibre masculin
féminin à l’intérieur, n’est pas si précaire que ça. En effet, j’ai été
épatée de constater que je pouvais passer aisément d’une activité manuelle
plutôt physique à une activité plus intellectuelle ou créative. Ou dit
autrement d’une tâche attribuée généralement aux hommes à d’autres
habituellement attribuées aux femmes.
Bon,
je retourne à l’écoute de la deuxième vibraconférence. Elles ont été réalisées
et mises en ligne cet été et je suis complètement passée à côté alors que je
reçois les mails qui préviennent des dates et heures de ces rencontres.
Remarque il y en a quotidiennement et comme cet été, j’étais à lâcher les
conditionnements liés à l’enfance, c’est
normal que je n’y ai pas prêté attention.
De toute façon, je me laisse guider.
En plus, j’ai toujours préféré
savoir de l’intérieur plutôt que de gober bêtement ce que d’autres ont digéré.
En cela je peux voir une forme d’orgueil ou de détermination, selon l’endroit où
j’observe les choses.
Depuis le cœur, tout s'équilibre, l'orgueil devient audace, affirmation de soi et comme l'amour de soi repose sur l'acceptation sans conditions de tout ce que je suis, la reconnaissance de la lumière et de "l'ombre", cet orgueil équilibré me préserve de l'arrogance qui nait de la comparaison, d'un amour de soi "déplacé".
Pareil pour la notion de karma, c’est un sujet très
délicat qu’il vaut mieux éviter d’aborder tant qu’on est dans la dualité conflictuelle, le rejet de soi.
Ce sujet tel que véhiculé depuis des siècles est
un outil de manipulation des masses ! Toutes ces pensées que je n'osais m'avouer ont été dites par Jérôme avec une telle confiance que ça m'aide à accepter ce que je pressentais, à faire confiance à ce que je perçois, ressent et comprend.
Il
y aurait beaucoup de choses à dire au sujet du karma mais pour le moment, je me
contente de lâcher la notion de punition et de récompense, je laisse à la
source, où l’amour lumière, le soin de me montrer la réalité.
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter
l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr