lundi 4 janvier 2016

« Réveil nocturne »






Il est3h40 et je me suis réveillée après avoir dormi d’une traite depuis 22h30. 
C’est rare que je ne me relève pas pendant la nuit pour aller aux toilettes et au réveil, bien que je ne sentais ni peur, ni urgence, j’ai commencé à réfléchir à beaucoup de choses en rallumant le feu. Du coup je ne me suis pas recouchée. 
Je sens que beaucoup de choses sont en train de s’ajuster à l’intérieur et que j’ai dû voyager pendant la nuit, être instruite au sujet du passé parc que le mental est en efervescence. 
Mon attrait soudain pour l’origine de l’humanité, l’Égypte, les canalisations de Serge Reiver Nazare ne viennent pas par hasard et ça semble lié à la visite de ma sœur. 

Bien que je laisse de côté la notion de vies antérieures ou simultanées, il y a une certaine logique dans le fait que nous ne soyons pas uniquement une personnalité puisque notre essence originelle est éternelle. La conscience se déploie en permanence et en ce sens il serait bien étonnant que nous n’ayons qu’une seule incarnation. 
Mais comme pour le mental humain, c’est irrationnel et complexe, j’ai souvent zappé la question pour me simplifier la vie.

Il fallait certainement apprendre à gérer les pensées émotions de peur et de culpabilité pour avoir une vision relativement neutre de la question.
Ces énergies de peur et de culpabilité sont humaines, elles n’existent pas au niveau de la conscience élargie qui sait que la vie est expérience, connaissance, apprentissage, expansion, croissance…

dimanche 3 janvier 2016

« Repas en famille »…






Ce matin et depuis hier soir, je parle à mon enfant intérieur qui exprime ses peurs, sa colère et son appréhension à l’idée d’être en contact avec ma sœur. Alors je me contente de ne pas le faire taire, d’appeler tout ce que je suis à rester uni, solidaire, dans la paix et l’harmonie. Je n’ai aucune idée de la façon dont va se passer cette journée et je ne peux même pas dire que je sois confiante. La seule chose que je sache c’est que j’ai envie d’être cash, de ne pas tricher, de dire ce que je pense et de ne m’obliger à rien. Je ne cherche pas non plus à me raisonner, à induire un comportement spécifique en me disant que je devrais être dans le cœur, ou encore appliquer la technique du miroir.

La seule chose qui importe c’est que je puisse maintenir mon attention sur mon monde intérieur, sur mon centre et ne pas culpabiliser par anticipation puisque la colère, la fermeture de cœur sont bien réels en cet instant.

Vouloir agir vis-à-vis de l’extérieur ou remettre un masque serait inutile et même douloureux mais d’un autre côté, je ne veux rien forcer.
Je n’ai même pas envie d’écrire, je suis complètement fermée.
« Présence divine merci d’accueillir l’enfant en moi afin qu’il retrouve la joie de vivre le sentiment de sécurité en la présence de ton amour lumière, des guides et de mon âme ».

« Les gammes de l’Amour sont à l’infini » les êtres de lumière via Monique Mathieu





« Les gammes de l’Amour sont à l’infini, et chaque monde expérimente une gamme, sachant qu’une gamme de l’Amour contient beaucoup de notes.
Pour nous aussi bien que pour vous, il y a encore un très grand chemin à parcourir pour atteindre l’Amour de la Source, mais à chaque fois que vous et nous expérimentons et intégrons une nouvelle facette de l’Amour et que nous l’offrons, nous montons sur l’échelle de l’Amour et nous nous rapprochons de la Source.

Sur Terre, vous vivez l’Amour adapté à la densité, l’Amour de troisième dimension. Cependant les êtres humains (nous espérons qu’il y en aura le plus possible) vont de plus en plus vivre un Amour incomparable, un Amour sans limite que nous allons appeler « Amour du futur » ou « Amour de la cinquième dimension ».

Il est donc très important de vous ouvrir à cette énergie de vie, de création, cet Amour Énergie qui apaise, qui restructure, qui permet de grandir et de comprendre et qui enlève aussi les voiles.

samedi 2 janvier 2016

« La vibration précède, informe et forme la matière de façon simultanée, dans le maintenant »





J’ai passé une longue nuit de sommeil ce qui est le signe que la paix s’installe durablement en moi, que je ne suis plus en guerre avec mon corps physique, que j’apprends à le respecter. Et le respect du corps physique, c’est de l’amour pur qui produit un effet étonnant. La chaleur corporelle se régule à mesure que je me pardonne, que je prends conscience de tout ce que je suis, que je suis reconnaissante d'être en Vie, d'être La Vie. 

En me tournant vers l’intérieur pour appréhender et connaitre mon corps physique, en le considérant comme mon plus grand ami, la perspective change complètement et je comprends mieux ce que veut dire respecter son corps. 
Déjà, le fait que je n’ai pas voulu étudier le corps humain à l’école correspondait certes au fait d’être abusée mais c’était beaucoup plus profond que ça. 

Le corps physique n’est pas seulement une machine parfaite, un ensemble de systèmes mécaniques, c’est un être vivant intelligent, autonome, conscient, qui est relié à la Terre Mère et aux humains, au vivant, à d’autres mondes, à l'univers. 
Je savais intuitivement que la vision des scientifiques est falsifiée, partielle et totalement dépourvue d’amour, de conscience même. 
Je refusais aussi de m’intéresser à l’histoire pour les mêmes raisons. Un tissu de mensonges, une vision subjective visant à formater les humains dès leur plus jeune âge.

Mais tout ça c’est du passé, je sais maintenant de l’intérieur, par la connexion à ce temple extraordinaire, à tous les corps qui le composent, les énergies qui l'animent, les mondes qui l’habitent, ce qu’est véritablement mon corps physique et j’apprends donc à l'aimer, le reconnaitre, le respecter, en tenant compte de tous ses "besoins". 
Même la notion de besoin devient relative dans la contemplation de tout ce que je suis, la présence attentive à ce qui se manifeste en moi.

vendredi 1 janvier 2016

« 2016 : écrire l'histoire » Thomas Marcilly






C'est dans cet espace de l'inconnu, du nouveau... que nous allons écrire l'histoire. 
Notre histoire est ici, maintenant, page blanche... 
 
Dans aucun livre, dans aucune théorie... nous ne trouverons ce que nous pouvons créer depuis notre cœur unique mais interconnecté.
 
Chers amis, 2016 est une grande année, déjà.
 
A nos premiers pas, essentiels, brillants, au service de l'authenticité, du rayonnement de l'amour, de la sortie de nos conditionnements, de la sortie de tout ce qui nous fait rester ancrer dans le "je sais" au détriment de notre évolution individuelle et collective. 

Aujourd'hui, JE SUIS par connaissance et par expérience. 
Mais le JE ne sais rien. 

« Naviguer la mer de la vie » les guides de l’unité via Daniel Desjardins





Avez-vous déjà remarqué que lorsque vous êtes en contact avec certaines personnes, certains groupes ou même certaines situations, vous êtes inexorablement aspiré par leur tourbillon négatif. 
Vous pouvez vous en rendre compte si vous rencontrez des gens qui commencent à déblatérer sur le compte d’autrui ou se plaindre de situations, tôt ou tard cela vous invitera à participer à ce tourbillon négatif et bientôt vous êtes en train de raconter des histoires qui vous sont arrivées ou que vous avez entendues qui critiquent ou vont dans le même sens que le groupe que vous avez joint.
 
De la même manière, vous pouvez vous trouvez à croiser le chemin de groupes, voir même d’entreprises, qui tourbillonnent une certaine forme d’énergie, peut-être de difficulté financière, de négativité, de compétition malsaine ou tout simplement une culture du plus fort. 

Par défaut, si vous ne prenez pas garde vous serez aussi aspirés par ce tourbillon. 

« Le pardon à soi-même, indispensable clef de libération, de révélation et de manifestation de l’être véritable, de l'Amour Lumière intérieurs »






J’ai pioché ces quelques clefs avant-hier et j’ai suivi ces conseils qui sont venus avec une telle synchronicité que j’ai totalement lâché la pression à propos du blog, des publications et surtout les reproches que je me faisais à passer trop de temps dans le mental au détriment des besoins du corps physique, de la réalité du quotidien. 
Une pression que j’exerçais sur moi-même et qui nourrissait la peur et le manque. 
Ce n’était pas totalement conscient mais bien que j’aie déjà eu cette sensation d’obligation, ces clefs ont mis en évidence d’une façon claire et logique cette tendance à nourrir les rôles du "triangle de Karpman" et la nécessité de lâcher prise.

On se libère peu à peu des réflexes inconscients, toujours grâce à l’amour et la lumière intérieurs, en les cultivant ; en prenant conscience de ce qui est caché en nous et en ayant de la compassion pour soi-même, pour ce qu'on trouve dans les profondeurs de notre inconscient.
C’est toujours le même processus qui est à l’œuvre dans la reconnaissance de soi, de notre être véritable et des jeux de rôles, des masques que nous portons, qui se révèlent simultanément lorsque c’est perçu avec les yeux du cœur. 

Il est aussi évident que nous jouons tous les rôles de ce triangle infernal qui nous empêchent d’exprimer notre nature véritable, d’être dans la joie et de réaliser notre plus beau potentiel. 
Nous sommes tour à tout victime, puis bourreau et enfin sauveur. 
Il semble que ça tourne dans ce sens puisque lorsque nous sommes enfant, nous dépendons complètement des autres, à l’adolescence nous commençons à nous émanciper, à pouvoir agir selon nos valeurs personnelles, à faire des choix puis à l’âge adulte, le fait d’être parent nous confère le pouvoir et l’autorité sur des êtres innocents et dépendants de nous.  
En général, nous n’en sommes pas conscients mais la vie nous donne des occasions de le savoir et de choisir d’en sortir.