Il
est3h40 et je me suis réveillée après avoir dormi d’une traite depuis 22h30.
C’est
rare que je ne me relève pas pendant la nuit pour aller aux toilettes et au
réveil, bien que je ne sentais ni peur, ni urgence, j’ai commencé à réfléchir à
beaucoup de choses en rallumant le feu. Du coup je ne me suis pas recouchée.
Je
sens que beaucoup de choses sont en train de s’ajuster à l’intérieur et que j’ai
dû voyager pendant la nuit, être instruite au sujet du passé parc que le mental est en efervescence.
Mon attrait
soudain pour l’origine de l’humanité, l’Égypte, les canalisations de Serge
Reiver Nazare ne viennent pas par hasard et ça semble lié à la visite de ma sœur.
Bien que je laisse de côté la notion de vies antérieures ou simultanées, il y a
une certaine logique dans le fait que nous ne soyons pas uniquement une
personnalité puisque notre essence originelle est éternelle. La conscience se
déploie en permanence et en ce sens il serait bien étonnant que nous n’ayons qu’une
seule incarnation.
Mais comme pour le mental humain, c’est irrationnel et
complexe, j’ai souvent zappé la question pour me simplifier la vie.
Il
fallait certainement apprendre à gérer les pensées émotions de peur et de
culpabilité pour avoir une vision relativement neutre de la question.
Ces
énergies de peur et de culpabilité sont humaines, elles n’existent pas au
niveau de la conscience élargie qui sait que la vie est expérience,
connaissance, apprentissage, expansion, croissance…
Tant
qu’on pense selon les croyances mondaines, humaines, on reste limité dans un
cadre très étroit qui ne nous permet pas d’accéder à d’autres réalités.
Mais
malgré ça, comme le mental est une extension de la conscience, lorsqu’il ne
fonctionne plus principalement depuis la peur et l’inconscience, il est en
mesure de comprendre des notions spirituelles selon sa logique, ses nouvelles
connaissances.
Il faut pour cela qu’il ne doute pas de sa nature divine, qu’il
soit élevé par l’énergie, la vibration amour lumière afin de libérer les
croyances collectives conscientes et inconscientes. Que le tronc cérébral ne
soit plus le directeur de la pensée, que la personnalité devienne consciente de
ses limites et comprenne les systèmes qui régissent l’être en l’absence de
conscience, de présence.
Il
est nécessaire de pouvoir aborder les choses de façon neutre, objective parce
que si on est identifié aux pensées émotions de peurs, de manque d’amour de
soi, on va s’égarer dans l’orgueil, le système de comparaison va troubler la
vision.
Pour cette raison, tant que je sentais que j’étais encore dans le rejet
de certaines parts de moi, dans le conflit, la lutte vis-à-vis de certains
aspects de l’être, je préférais ignorer la question des vies antérieures et
encore plus celle de vies galactiques ou d’incarnation non terrestres.
J’ai
senti un écart entre ma sœur et moi dans la façon de penser et d’être que j’assume
bien que j’ai essayé d’utiliser la technique du miroir pour savoir ce qu’elle
me reflétait.
Cet outil est difficile à gérer avec le mental parce qu’on peut se
perdre dans le reflet, être dans la confusion et surtout se sentir coupable de
voir ce que nous portons inconsciemment.
Puis une image m’est venue, une pensée
évidente ; nous portons tout en nous, plusieurs systèmes et ce qui est à
retenir c’est surtout lequel d’entre eux choisissons nous.
Soit nous savons que l'amour est la vérité essentielle, que la conscience divine est notre nature véritable et on se laisse guider
par le cœur, soit on demeure dans la peur, les basses fréquences, c'est-à-dire qu’on
laisse notre système de survie diriger notre psyché.
Il est plus confortable de
cerner le fonctionnement du système de survie et de choisir qui nous voulons
être, quel rôle nous voulons jouer, d’autant plus que ça se détermine sans qu’on
en soit vraiment conscient, ce sont les circonstances de l’enfance qui vont
nous amener à jouer un des rôles du triangle de Karpman.
Nous jouons les trois
lorsque c’est le système de survie qui gère notre personnalité mais un d’entre
eux sera dominant ou du moins on s'identifiera plus à un de ses personnages.
La
difficulté, si nous choisissons de suivre notre cœur, c’est qu’on ne peut rien
contrôler, prévoir, anticiper, saisir, on ne peut pas comprendre de façon
globale, totale.
D’où l’importance de cultiver la confiance en la vie, de lâcher les
peurs.
Déjà pour changer peu à peu de système interne, puis de cultiver aussi l’amour
véritable de soi, de lâcher les croyances relatives aux rôles qui nous limitent
au mental. Qui enferme notre conscience dans un système de pensée rationnelle
où les croyances limitantes prédominent.
Choisir
l’amour et se laisser guider par le cœur demande donc du courage, pour
affronter l’inconnu, le sens de l’aventure, le goût de la recherche, de l’exploration,
une foi solide en notre essence qui se révèle justement en cessant de juger, d’activer
le système de survie.
Là encore, je m’émerveille devant l’intelligence de ce
phénomène !
On est très loin de l’amour romantique, bisounours ou gnangnan !
Tant
que la peur, le rejet, le déni de soi ou la culpabilité nous dirigent, on va interpréter
ce que l’on vit à un niveau humain selon les croyances communes.
J’ai une
douleur, une pointe dans le dos juste en face du cœur qui me fait penser à un
coup de poignard. Comme si la douleur suivait la trace d’une lame qui va jusqu’au
cœur.
Selon les croyances du monde, un individu irait voir un médecin ou un
cardiologue afin d’établir un diagnostic mais comme c’est venu subitement et qu’il
y a eu des libérations hier, je me contente de faire confiance et de rester
réceptive afin de pouvoir capter une image, une idée.
Déjà,
je ne rajoute pas de peur sur cette douleur relativement supportable.
Il est clair
que ce que j’ai vécu hier est chargé d’enseignements mais je n’essaie pas de
comprendre intellectuellement.
Déjà parce que si je me réfère aux notions de
karma, ça embrouille considérablement les choses et ça m’éloigne de mon seul
pouvoir qui est celui de choisir ce que je veux cultiver en moi.
Il
me faut déjà lâcher la culpabilité de me sentir très différente de ma sœur,
comme si le fait de m’affirmer dans ma foi me désolidarisait d’elle, de ce que
nous avons subi enfants. On était liées par ce trauma et les liens étaient
maintenus dans cette souffrance commune. Mais comme c’est la meilleure façon de
nourrir les jeux de rôles et que c’est loin d’être de l’amour puisque les rôles
sont gérés par la peur et l’impuissance, il me faut couper ces liens. Et la
meilleure façon de le faire, c’est d’affirmer à chaque instant mon choix de
suivre le cœur. De cette façon l’amour demeure mais il n’est plus conditionné
par les épreuves partagées. Ça va peut-être demander un éloignement physique mais comme
je n’ai pas besoin de voir les gens pour nourrir l’amour ou l’amitié que j’ai
envers eux, ça ne me pose pas de problème.
C’est
un des avantages de devenir autonome affectivement de cultiver l’amour et la
conscience en soi, de la présence à soi.
Là
encore, ça n’a rien de narcissique puisqu’il s’agit de se regarder
objectivement et entièrement, depuis le cœur, dans la bienveillance, avec
compassion. Et plus on est conscient, plus on agit en conscience et moins on
nourrit le mensonge, plus on est sincère avec les autres. Sincère et
bienveillant puisque la compassion qu’on a pour soi devient le nouveau filtre de notre vision.
On
ne peut pas se regarder avec le cœur et voir le monde autrement. Même si le
temps d’avoir suffisamment confiance à l’amour lumière en soi fait passer de la
vision du cœur à celle de l’ego, il arrive un moment ou on ne peut pas faire
autrement que de choisir l’une ou l’autre si on ne veut pas loucher ou être
incohérent.
Ces deux visions ne s’opposent pas totalement mais l’une est large
tandis que l’autre est très étriquée. La vision du cœur ne rejette pas l’ego ou
la notion d’individualité mais le système de pensée n’est plus du tout le même.
J’ai
senti le besoin de piocher quelques clefs pour éclairer un peu ma vision au
sujet de mes interrogations autour des êtres galactiques pour lesquels j’ai une
forte attirance depuis samedi. Je n’ai jamais rejeté l’idée en bloc mais je ne
me sentais pas prête à regarder dans cette direction.
Le mental va essayer de
comprendre les choses selon son système de comparaison, d’étiquetage et tenter
de mettre les gens dans des cases pour se situer.
C’est un système de
compréhension basique qui ne peut pas s’appliquer aux choses spirituelles ni
extra-terrestres.
Il est adéquate pour comprendre comment fonctionne le monde,
les systèmes, patriarcales, pyramidaux, la façon dont fonctionne la nature d’un
point de vue scientifique ou logique selon l’observation purement matérielle,
cyclique, le fonctionnement du corps humain au niveau "mécanique", les systèmes de la psyché de façon superficielle, mais il n’est pas adapté pour comprendre ce qui est plus subtil, invisible
puisqu’il se base sur les sens pour appréhender le monde matériel. Il peut
comprendre le fonctionnement de la psyché, de l’inconscient, du subconscient
mais de façon très basique, toujours par système de comparaison mais il n’a pas
les clefs pour comprendre en profondeur, de façon subtile. Les émotions et
sentiments sont une autre façon d’appréhender le monde mais là encore, la façon
dont le mental va traduire cela est très limitée.
Clef
457
« Les
temps sont là, les temps sont venus et vous devez accepter tout ce qui se
présente à vous. Surtout, même si en ce moment et encore pendant un certain
temps vous devez subir désagréablement certaines énergies, dites-vous que cela
vous mène à votre devenir, à ce que vous serez vraiment, à ce que vous êtes
vraiment.
Nous
aimerions aussi vous dire ceci : si vous vivez des choses un peu difficiles,
n’ayez aucune crainte, ayez toujours confiance.
A
partir du moment où vous êtes dans la confiance et où vous appelez l’Amour et
la Lumière sur vous, certaines énergies sont moins bousculantes, moins
difficiles à intégrer, et il faut absolument vous laisser emporter par ce
nouveau flot d’énergies ».
Là aussi, je me félicite d’avoir acquis suffisamment de confiance en l’amour
lumière intérieurs pour ne plus avoir à essayer de comprendre mentalement des choses qui
le dépasse.
Je ne cherche plus à comprendre parce que je sais que j’aurais la
réponse en temps voulu et que la seule chose qui m’appartienne, qui soit à ma
portée, c’est de cultiver l’essence divine intérieure, l’amour et la
conscience. Le lâcher prise et la présence à soi.
C’est déjà tout un travail
qui occupe pas mal le mental.
Clef
1100
« Il
y a en vous des parties d'ombre, et l'ombre est le manque de conscience que
vous avez de vous-mêmes, le manque d'Amour que vous avez pour vous-même !
Si vous marchez un tout petit peu plus, vous verrez que le soleil est là parce
que vous avez compris, parce que vous avez tourné la page, mais il y aura mille
et une pages à écrire, à tourner ».
Tu
m’étonnes ! Mille et une page, c’est sûr que plus on ouvre son cœur et sa
conscience, plus on accueille son ombre et plus on élargit sa vision.
Une même
chose sera perçue avec plus d’acuité, plus de profondeur. D’ailleurs je le
remarque à chaque fois que je relis un livre de Joéliah sur les rayons sacrés
ou tout ce qui concerne la spiritualité.
Il y a plusieurs niveaux de lecture et
en lâchant la peur, les croyances inconscientes ou communes, l’horizon s’élargit.
Cette possibilité de comprendre une même chose en élargissant son point de vue,
rend humble parce qu’en matière de spiritualité, on ne fait jamais le tour d’une
question.
Puis comme la compréhension est plus de l’ordre de l’intime, de l’intuition
et comme elle va à l’encontre des croyances admises par l’ensemble, on ne peut
pas s’en vanter !
La prudence est de mise, lol !
Clef
77
« Vous
devez travailler de plus en plus en plus l’humilité car vos capacités vont
beaucoup se développer et l’humilité permettra qu’elles se développent en
harmonie et le plus parfaitement possible. »
C’est vrai que le risque de se la péter, c’est dans
les conversations entre personnes qui ont une vision élargie des choses mais
comme la communication est encore principalement mentale, on sait que les
filtres risquent de fausser la vision et l'interprétation.
Ce que l’on ressent n’est pas de l’ordre
de la croyance et par le fait, on ne peut pas argumenter selon les références
mentales. Même si on est convaincu de son ressenti comme il est difficile de l’exprimer
avec le langage et ses codes, ça calme.
Et en général, arrivé à un certain
stade de confiance au divin intérieur, à son intuition, on n’a plus besoin d’argumenter
pour se rassurer, pour amplifier sa foi qui n’est plus de l’ordre de la
croyance mais qui est vécue, sentie, ressentie.
Malgré tout, j’ai les chevilles
enflées depuis hier soir.
Selon le dicton populaire, ça veut dire que la
personne est orgueilleuse et selon Lise Bourbeau, bien qu’il y ait aussi cette
notion, ça veut surtout dire qu’il y a de la difficulté à trouver les moyens d’avancer,
à avoir l’impression de faire du sur place, à ne pas pouvoir avancer ou encore ça peut signifier un
manque d’ancrage, une tendance à vouloir fuir, une difficulté à se poser, une
forme de surmenage, de vouloir trop en
faire, et enfin qu’on se valorise plus par rapport au faire qu’à l’être.
Tout ceci peut correspondre mais quand je regarde dans ce livre, c’est plus
pour calmer et orienter le mental. Je ne m’accroche pas à une proposition plus
qu’une autre, je rassure le mental de sorte qu’il ne cogite pas et je lâche
prise sachant que la réponse intuitive viendra. Ça demande juste d’être à l’écoute.
Clef 716
« La
Joie a une grande importance. La Joie est un facteur d’élévation, elle élève
votre fréquence vibratoire, elle vous nettoie de toute lourdeur, de toute
pensée inférieure que vous avez pu générer dans votre quotidien ».
C’est
vrai qu’il est important de penser à faire des choses qui procurent une joie
simple surtout quand on fait ce travail d’introspection, d’observation de son
monde intérieur.
Clef
325
« N’oubliez
pas ceci : avec notre aide, avec votre pouvoir intérieur, votre transition
devrait et doit se passer merveilleusement bien. Petit à petit votre
conscience deviendra beaucoup plus claire, les choses deviendront beaucoup plus
simples pour vous, même les expérimentations que vous aurez à vivre, car vous
les vivrez avec un autre état d’esprit, avec une plus grande acceptation, et
aussi avec une plus grande compréhension ».
Vrai
aussi d’ailleurs j’ai remarqué hier que le seul fait de revenir au cœur, sans
chercher à comprendre le sens d’une situation m’avait aidé à rester dans une bonne vibration.
Chaque pensée émotion de l’enfant, chaque plainte, incompréhension, offerte à la
source créé une détente qui stoppe les questions parce que la confiance
grandit.
Clef
29
« Vous
captez, sans vous en rendre compte, d’immenses énergies ; plus vous les captez
plus votre cœur s’ouvre, plus vous accumulez cet Amour magnifique, cet Amour
Universel.
Si vous ne restituez pas cet Amour le plus possible, si vous n’avez pas la conscience de le donner à la Terre, c’est un peu comme s’il vous asphyxiait !
Plus vous serez le canal des énergies de Lumière et d’Amour, moins vous ressentirez les effets secondaires de ces immenses charges énergétiques que vous recevez ! Si vous ne savez pas comment redistribuer toute cette énergie et afin qu’elle ne se focalise pas au niveau de votre centre de force cardiaque, redonnez-la deux, trois, quatre fois dans la journée à ceux qui en manquent ou à la Terre ! Vous êtes simplement en surcharge et il faut que vous puissiez vous décharger de tout ce que vous recevez. Cette surcharge peut se manifester par une grande fatigue, elle peut se manifester de façon positive ou "négative", quoique nous n’aimions pas utiliser ce mot. »
Si vous ne restituez pas cet Amour le plus possible, si vous n’avez pas la conscience de le donner à la Terre, c’est un peu comme s’il vous asphyxiait !
Plus vous serez le canal des énergies de Lumière et d’Amour, moins vous ressentirez les effets secondaires de ces immenses charges énergétiques que vous recevez ! Si vous ne savez pas comment redistribuer toute cette énergie et afin qu’elle ne se focalise pas au niveau de votre centre de force cardiaque, redonnez-la deux, trois, quatre fois dans la journée à ceux qui en manquent ou à la Terre ! Vous êtes simplement en surcharge et il faut que vous puissiez vous décharger de tout ce que vous recevez. Cette surcharge peut se manifester par une grande fatigue, elle peut se manifester de façon positive ou "négative", quoique nous n’aimions pas utiliser ce mot. »
C’est
peut-être ça qui est la cause de ma douleur au cœur.
C’est vrai que je ne pense
pas à redistribuer cet amour que j’oriente systématiquement vers l’intérieur
mais en fait pour que cette énergie amplifie en soi, il lui faut s’expanser,
donc aller vers l’extérieur, je vais essayer de penser à la diriger en
conscience, à l’offrir. Remarque je le fais quand même envers les animaux, les
voisins, les plantes, la nature mais je ne prends pas le temps de le faire
pendant les méditations.
Je n’y avais pas pensé mais c’est à tenter.
Il m’arrive
parfois de penser spontanément à l’envoyer à ceux qui souffrent et aux dirigeants, à ceux dont le
comportement influe sur le plus grand nombre, mais je dois dire que c’est
plutôt rare.
C’est un des inconvénients de l’introspection, on a tendance à
rester focalisé sur soi et encore plus quand on pense manquer d’amour.
Cette
prise de conscience est si logique et si évidente qu’il me sera
plus facile de l’appliquer, enfin d'y penser.
Je n’aime pas agir par devoir ou par obligation
parce que ça sonne faux. L’énergie qui est alors diffusée est une basse
fréquence qui n’aide pas.
Bon,
je crois que je vais arrêter là parce qu’il reste encore 5 clefs et comme je ne
peux pas m’empêcher de commenter, de développer, j’en ai pour des heures.
Je
vais aller me recoucher. J’ai bien fait de rallumer le poêle parce qu’il pleut.
Du coup je ne culpabilise pas d’aller m’allonger ! J’ajoute tout de même
cette dernière clef qui parle de culpabilité et en écrivant la phrase
précédente, je me suis dit que j’allais offrir cette culpabilité à la source…
Clef
850
« Nous
insistons sur ceci : ne culpabilisez jamais, même si vous n’arrivez pas à
atteindre le ou les buts que vous vous êtes fixés. Vous réaliserez demain ou
après-demain ce que vous n’avez pas pu réaliser aujourd’hui ! Surtout de
culpabilisez pas ! La culpabilité nourrit l’erreur ! La culpabilité
vous immobilise dans une certaine énergie.
Certes, vous pouvez constater, mais
vous ne devez jamais nourrir cette constatation !
Il en est de même pour
tous les sentiments inférieurs !
Ne nourrissez jamais les pensées
inférieures et les sentiments inférieurs ! »
Je
viens d’offrir l’amour lumière à la terre, au monde, aux règnes puis aux êtres
qui m’ont accompagnés, ceux qui constituent mon entourage et arrivée à ma sœur,
bien que j’aie un peu bloqué, en très peu de temps, ma vision a changé, j’ai vu ce qui nous rapproche au niveau du cœur,
les qualités dans nos défauts, nos blocages, nos réflexes basés sur le manque d’amour
véritable de soi. C’est carrément instantané !
Je vais pouvoir aller me
rendormir tranquille parce que bien que la culpabilité soit toxique, elle n'est pas non plus inutile, elle
enseigne aussi quelque chose : elle demande de trouver le juste milieu, de
regarder objectivement, entre autres et de mieux savoir ce qui est juste.
Clefs
de sagesse trouvées sur le site de Monique Mathieu : http://ducielalaterre.org
Si
vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure
et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain
divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr