J’ai
pioché ces quelques clefs avant-hier et j’ai suivi ces conseils qui sont venus
avec une telle synchronicité que j’ai totalement lâché la pression à propos du
blog, des publications et surtout les reproches que je me faisais à passer trop de temps dans le mental au détriment des besoins du corps physique, de la réalité du quotidien.
Une pression que j’exerçais sur moi-même et qui
nourrissait la peur et le manque.
Ce n’était pas totalement conscient mais bien
que j’aie déjà eu cette sensation d’obligation, ces clefs ont mis en évidence d’une
façon claire et logique cette tendance à nourrir les rôles du "triangle de Karpman" et la nécessité de lâcher prise.
On
se libère peu à peu des réflexes inconscients, toujours grâce à l’amour et la
lumière intérieurs, en les cultivant ; en prenant conscience de ce qui est
caché en nous et en ayant de la compassion pour soi-même, pour ce qu'on trouve dans les profondeurs de notre inconscient.
C’est
toujours le même processus qui est à l’œuvre dans la reconnaissance de soi, de
notre être véritable et des jeux de rôles, des masques que nous portons, qui se
révèlent simultanément lorsque c’est perçu avec les yeux du cœur.
Il est aussi
évident que nous jouons tous les rôles de ce triangle infernal qui nous empêchent
d’exprimer notre nature véritable, d’être dans la joie et de réaliser notre
plus beau potentiel.
Nous sommes tour à tout victime, puis bourreau et enfin
sauveur.
Il semble que ça tourne dans ce sens puisque lorsque nous sommes
enfant, nous dépendons complètement des autres, à l’adolescence nous commençons
à nous émanciper, à pouvoir agir selon nos valeurs personnelles, à faire des
choix puis à l’âge adulte, le fait d’être parent nous confère le pouvoir et l’autorité
sur des êtres innocents et dépendants de nous.
En général, nous n’en sommes pas
conscients mais la vie nous donne des occasions de le savoir et de choisir d’en
sortir.