Ce titre un peu provocateur a été choisi intuitivement pour montrer que tout le monde est issu de cette conscience Une et par conséquent que chacun est potentiellement capable de devenir autonome et co-créateur conscient de sa vie. Tout est question de perspective…
vendredi 25 décembre 2015
« Permettre que tout en soi se pacifie, s'unifie, s'harmonise, c'est ça, à mon sens, l'esprit et la magie de Noël »
Jeudi
24 décembre :
Ce
matin ça fuse et je dois respirer calmement régulièrement pour équilibrer les
énergies en moi. Calmer l’excitation due au fait d’entrer dans le monde de
l’invisible. Celui des esprits que Bilou m’a aidée à pénétrer.
Quand on dit que
le cœur est la porte des mondes, ça veut dire que l’âme répond à la volonté du
cœur, de l’amour.
Si c’est notre mental seul qui veut connaitre les choses, les
portes restent fermées par ce que seul l’amour peut les ouvrir.
La volonté du
mental répond à un besoin, un besoin de sécurité généré par une peur, or cette
peur n’est pas un obstacle, elle est la clef, le moyen de franchir la porte.
Ça
peut paraitre contradictoire mais ça ne l’est pas, je dis bien que la peur est
le moyen puisque c’est en l’observant sans jugement qu’elle est harmonisée à
l’amour qui va alors ouvrir la porte que la peur appelait à trouver.
Bon, je vais
chercher du bois sec en forêt parce que le poêle recommence à enfumer.
Ah, ça
c’est le mental qui stress ! On se calme et on agit dans l’ordre logique
des choses, d’abord, préparer à manger, ensuite les courses puis le bois. J’ai
envie de me faire une galette à nouveau. Le temps qu’elle cuise, la douche
nettoyage extérieur et intérieur, en offrant à la source ce qui passe en tête
dans l’instant et en remplissant l’eau de lumière dorée.
Ce soir, j’ai envie
d’inviter à ma table, ma famille intérieure ; l’enfant intérieur ou christ
en devenir, le père ou le masculin sacré, l’aspect masculin de la conscience
Une, la mère ou l’âme ou l’aspect féminin de la conscience Une, le féminin
sacré.
jeudi 24 décembre 2015
« Se donner le temps, s’autoriser à être, à recevoir, c’est de l’amour en soi » & vibraconférence Aurélie d'Arcadia
Je
soupçonne mon âme de m’enseigner la force du centrage dans le mouvement de la
vie parce que les moments de joie qui sont suivi de tristesse enfin les hauts
et les bas extrêmes que j’ai vécu ces derniers jours l’ont été dans la paix
malgré tout.
La journée d’hier a commencé dans la tristesse légitime et petit à
petit, en suivant la guidance de l’âme, en agissant selon l’élan de l’instant,
sans me forcer, sans rien retenir, la joie s’est manifestée.
Une joie simple
mais profonde qui résulte du fait de se sentir vivant et reconnaissant de
l’être. Certainement que les documentaires m'ont ouvert l’esprit, le cœur et
l’espace me permettant de sortir de ma bulle.
La veille c’est l’inverse qui
s’est produit, j’étais en joie le matin puis après la méditation je me suis
levée d’un bond tracassée par le fait de ne pas avoir vu Bilou pendant trois
jours. Il semble que je devais faire face, aller au-delà de la peur et de la
culpabilité de ne pas savoir quoi faire. La pensée du jour (mercredi) de Neale Donald Walsch:
Libellés :
Animations couts métrages,
Aurélie d'Arcadia,
Vidéos d'éveil,
Wim Hof
mercredi 23 décembre 2015
« La paix du cœur dans les épreuves de la vie » et vidéos à propos de l'autre côté du voile...
Ce matin, je suis encore bouleversée par ce qui s’est passé hier. J’ai pu constater à quel point l’enfant en moi était encore en souffrance et j’ai passé la soirée à unifier ses énergies de l’enfant, de l’adulte même et celle de l’âme, à l’amour lumière intérieurs.
J’ai offert à la source, la peine immense, la
culpabilité, l’hypersensibilité et même si j’ai pleuré toute les larmes de mon
corps au point d’avoir les yeux gonflés ce matin, une paix infinie m’a soutenue
et continue de me remplir.
Je
redoutais d’avoir à emmener Bilou chez le véto parce que je sentais qu’il ne
saurait pas faire autre chose que de la piquer. Je m’en suis voulue de lui
faire vivre cette violence, de la laisser dans les mains de cet homme qui la manipulait
avec mépris.
Alors je l’ai ramenée à la maison en l’entourant de tout mon amour
puis je suis allée l’enterrer dans la forêt en lui demandant pardon.
Elle était
au jardin quand je suis allée voir si les gamelles de nourriture placées près
de ses cachettes avaient été touchées et quand je l’ai vue si affaiblie, je n’ai
pas hésité à l’emmener chez le véto malgré mes peurs, peur de la mort, peur du manque de moyens, tant financier que vis à vis des capacités de guérison du véto.
La culpabilité a été
minimisée par le fait qu’il n’ait pas su établir un diagnostic ni un
traitement. Il n’y aurait pas eu de solution même si je l’avais amenée avant et
c’est quelque chose qui m’a énormément soulagée.
Je n’ai jamais eu le courage d’affronter
la mort de si près, jamais été capable d’assister à un enterrement parce que je
ne supporte pas la moindre violence. Ni dans la réalité ni dans les films et même dans les dessins animés!
lundi 21 décembre 2015
« 5 clés pour apaiser le corps et l'esprit en ouvrant son cœur » Jonathan Rigottier
Vivre
avec le cœur ouvert augmente sa vitalité, son équilibre émotionnel et sa
capacité à vivre avec fluidité.
Quand notre cœur est ouvert, nous sommes au
contact de nos besoins et de nos désirs en étant en plus de meilleurs
communicants.
Le
cœur est fermé quand certaines blessures sont encore bloquées dans notre corps
et dans notre tête. Que cette idée résonne avec vous ou non, je suis sûr que de
façon très simple, vous pouvez ressentir les effets négatifs de l’inquiétude et
des pensées qui vous hantent tout au long de la journée.
Ces pensées sont comme
des barrières émotionnelles épuisantes à vivre et revivre encore et encore.
Bien sûr, nous n’expérimentons pas en permanence de grosses difficultés et nous
pouvons apprendre à vivre avec. Mais aussi longtemps que le cœur et l’esprit ne
peuvent s’en détacher totalement, nous restons bloqués et il est difficile
d’ouvrir pleinement son cœur.
La
question est donc : comment commencer à apaiser ses blessures passées ?
« Comment se centrer en son cœur de façon pratique, avec la cohérence cardiaque »
Le
dernier article publié hier à propos du don et de la réception a eu un effet
libérateur et apaisant. J’ai la sensation physique, comme un déchirement, à la
limite de la douleur, que mon cœur s’est ouvert encore plus. Comme si ma
poitrine s’élargissait pour permettre au cœur de s’épanouir.
C’est une
sensation qui n’est pas désagréable et comme je suis convaincue de l’intelligence
du corps physique, de sa capacité naturelle de régénération cellulaire, d’adaptation
et puisque mes corps subtils, tout mon être s’ajuste, il n’y a pas de peur ni de questions.
L’épaule
droite tiraille aussi un peu et j’y vois le signe de l’abandon du rôle de
sauveur.
Tout en soi est "bénéfique", "utile" et pertinent mais ça demande juste à être équilibré, unifié,
harmonisé à la source, à l’amour lumière.
Je
parle beaucoup à mes corps, aux personnages internes, à la source, aux guides
et c’est un des avantages de vivre seul puisque dans ce dialogue à soi-même, la
sensation de complétude grandit de jour en jour. La connexion au divin, au
vivant en soi, amplifie dans la confiance et la foi devient de plus en plus
évidente.
La
force qui vient de l’unité intérieure se manifeste tout autant que la tendresse qui dans l’accueil,
l’offrande à la source de tout déséquilibre interne, restaure la paix et l’harmonie.
Ce ne sont pas seulement des mots,
c’est l’amour en action, l’usage inspiré de ces magnifiques outils de communication
que sont le mental, l'intuition, le verbe, l’ouïe, l'intention...qui permettent à la conscience unifiée de
pouvoir s’exprimer.
dimanche 20 décembre 2015
« Donner et Recevoir »
Pour faire simple, et pour ceux qui n'ont pas envie de lire ce texte en entier, sachez déjà que vous êtes sur la bonne page. Il n'y a pas de bouton paypal pour plusieurs raisons expliquées plus bas. Il s'agit donc de m'écrire à l'adresse suivante: po.beju@wanadoo.fr afin que je vous communique mes coordonnées postales pour que vous puissiez m'envoyer un chèque. Oui, c'est compliqué mais on ne lâche pas des croyances et peurs du jour au lendemain, ce choix de paiement fait partie du processus de libération, d'acceptation de ses limites...
20/12/2015 Il aura fallu deux ans pour que j’ose ajouter une rubrique « don » sur cette page.
20/12/2015 Il aura fallu deux ans pour que j’ose ajouter une rubrique « don » sur cette page.
Plusieurs
fois, je me suis dit que je donnais beaucoup de temps à ce blog au détriment des
besoins de mon corps physique mais le besoin du mental était plus fort que
tout.
J’y trouve de toute façon une forme de récompense par le seul fait de
partager mais par moments, je sentais que ça n’était pas "juste", pas équilibré. Puis je me disais que ça nourrissait les croyances passées que ça bloquait l'abondance, la réceptivité...
Malgré tout ces arguments "valables" pour le mental, je sais aussi qu'il ne sert à rien de forcer, que tout vient en son temps et j'ai lâché prise à ce sujet.
Il semble que le moment soit venu parce que l'idée me trotte en tête depuis hier mais sans pour autant me déranger, sans que ça suscite plus de peur que toute nouvelle démarche peut faire émerger.
Même
si ces confidences (journal intime) peuvent sembler indécentes et outrageuses pour certains je
sais que c’est un soutien pour d’autres.
Je
n’espère pas non plus recevoir quelque chose mais déjà, le fait d’être capable
de proposer cette rubrique, représente un pas de plus dans l’abandon des rôles, l’affirmation
et le respect de soi.
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