Jeudi
24 décembre :
Ce
matin ça fuse et je dois respirer calmement régulièrement pour équilibrer les
énergies en moi. Calmer l’excitation due au fait d’entrer dans le monde de
l’invisible. Celui des esprits que Bilou m’a aidée à pénétrer.
Quand on dit que
le cœur est la porte des mondes, ça veut dire que l’âme répond à la volonté du
cœur, de l’amour.
Si c’est notre mental seul qui veut connaitre les choses, les
portes restent fermées par ce que seul l’amour peut les ouvrir.
La volonté du
mental répond à un besoin, un besoin de sécurité généré par une peur, or cette
peur n’est pas un obstacle, elle est la clef, le moyen de franchir la porte.
Ça
peut paraitre contradictoire mais ça ne l’est pas, je dis bien que la peur est
le moyen puisque c’est en l’observant sans jugement qu’elle est harmonisée à
l’amour qui va alors ouvrir la porte que la peur appelait à trouver.
Bon, je vais
chercher du bois sec en forêt parce que le poêle recommence à enfumer.
Ah, ça
c’est le mental qui stress ! On se calme et on agit dans l’ordre logique
des choses, d’abord, préparer à manger, ensuite les courses puis le bois. J’ai
envie de me faire une galette à nouveau. Le temps qu’elle cuise, la douche
nettoyage extérieur et intérieur, en offrant à la source ce qui passe en tête
dans l’instant et en remplissant l’eau de lumière dorée.
Ce soir, j’ai envie
d’inviter à ma table, ma famille intérieure ; l’enfant intérieur ou christ
en devenir, le père ou le masculin sacré, l’aspect masculin de la conscience
Une, la mère ou l’âme ou l’aspect féminin de la conscience Une, le féminin
sacré.
Puis
pourquoi pas mes deux frères, mon frère de sang qui réside de l’autre côté
du voile et le Chris ou Jeshua, frère d’âme, ainsi que mes guides.
Tant les
êtres chers décédés que ceux qui m’accompagnent, les anges, archanges et maitres
ascensionnés.
Ces énergies sont en chacun de nous et elle s’activent plus ou
moins selon notre degré d’ouverture, notre ouverture de cœur et de conscience.
Ce que dit Aurélie d’Arcadie à ce sujet résonne fortement parce
qu’effectivement selon les périodes de sa vie, selon ce qu’on expérimente, ou
ce qu’on veut comprendre, intégrer, développer, on est guidé par des énergies différentes.
J’avais
fermé la porte à ces mondes invisibles par peur de tomber sur le miroir de mes
propres ombres et pour être plus ancrée dans la réalité mais je continuais tout
de même à lire le 4ème tome des rayons sacrés de Joéliah puisque
j’ai beaucoup d’affinités avec elle. C’est elle qui m’a ouvert à tout cela et
sa personnalité m’a toujours mise en confiance par son authenticité, sa
simplicité, son expérience et son côté maternel. Et sa force de caractère, sa
détermination à suivre son intuition malgré le contexte, malgré le fait que
dans les années 2000 personne ou presque ne parlait des mondes parallèles de
cette façon, malgré le fait aussi qu’elle ait commencé par faire carrière dans
l’armée où elle était dans le domaine des transmissions de messages.
Au passage
cette reconversion n’était pas si éloignée.
Bref, il lui en a fallu du courage,
de la foi, de l’humilité, pour oser publier ses livres elle-même sans aucun
soutien de l’extérieur.
J’ai
d’ailleurs commandé le dernier tout frais sorti de l’imprimerie malgré mes
faibles revenus, c’est un outil nécessaire bien qu’il ne soit pas non plus
indispensable puisque tout est en soi mais c’est un soutien pour moi et une
façon de lui rendre hommage, ça marche dans les deux sens.
C’est le genre
d’investissement qu’on ne regrette jamais et qui en plus peut se relire en y
apprenant à chaque fois de nouvelles choses. On peut ainsi mesurer son degré d’évolution
ou d’ouverture de cœur et de conscience selon la façon dont on comprend ce qui
est dit.
Ces enseignements sont d’une grande sagesse et novateurs ce qui en
garantit la valeur.
Je
me suis souvent sentie très proche du rayon violet et du rayon rose mais tous
sont complémentaires et nécessaires à la complétude de l’être.
Je bloque un peu
sur les représentations qui sont faites des maitres mais de l‘intérieur, je les
perçois plutôt comme des énergies en mouvements aux couleurs différentes et
harmonieuses.
Ce n’est pas la forme qui compte mais le contenu et l’effet que
ça fait sur la personnalité. Si l'ego prend de l'importance, si on se sent au dessus des autres, ou même inférieurs aux autres, c'est qu'on a contacté nos peurs, nos manques et pas les énergies qui élèvent, les énergies de la source qui se manifestent dans la paix, l'équilibre. Et ci se sont nos peurs qui se manifestent c'est l'occasion de les amener au cœur afin qu'il les harmonise à l'amour.
Le fait d’avoir littéralement regardé la mort en
face a été douloureux sur le moment mais ça m’a ouvert à nouveau le cœur et
l’esprit.
Avec
un léger recul, tout ce que j’ai vécu en 48h a été très initiatique, beaucoup
de prises de consciences ont eu lieu ; la peur de la mort regardée en face
m’a fait sentir la présence de Bilou, à refait surgir l’idée de passeur d’âme,
l’intérêt pour les mondes invisibles et là encore, c’est le fait de reconnaitre
la peur qui m’a permis de passer un cap.
Et ce qui vient maintenant me
confirmer la valeur de mon intuition tant par les synchronicités « à la
chaine » que le lâcher prise, la reconnaissance de tout ce que je porte et
offre dans l’instant à la source, c’est le mail de Magali. Elle me confirme
tout ce que j’ai ressenti avec quelques points supplémentaires dont je n’avais
pas conscience mais comme ça ne me concerne pas ça n’a pas d’importance.
Je
me sens inspirée et j’ai retrouvé la voix de mon âme ou de mes guides enfin des
énergies des mondes parallèles tellement proches, carrément superposés à
celui-ci.
Il
me fallait aborder ces mondes depuis le cœur parce que si c’est la volonté qui
motive, le manque d’amour est derrière. C’est une stratégie de l’ego qui vise à
amplifier l’amour, la confiance en soi par l’intermédiaire du regard des autres
puisque le phénomène de channeling est à la mode si on peut dire.
Quand on a une faible estime de soi, on va chercher la reconnaissance extérieure et comme les blessures ont isolé le cœur et la personnalité qui se coupe du monde extérieur, l'attrait des mondes invisibles motivés par le manque n'en permet pas l'accès.
On va être face à nos pensées émotions refoulées et peut être même à des égrégores du bas astral attirés par nos propres pensées, par le phénomène d'attraction.
Mais tout ceci peut être l'occasion de libérer la peur en offrant cela à la source en soi. On est toujours face au même processus d'identification. Quand on a une faible estime de soi, on se cherche en l'autre, on s'identifie aux vedettes, aux maitres, aux chefs religieux...simplement parce qu'on ne se connait pas de l'intérieur, parce qu'on ne veut pas regarder ses blessures en face et accueillir les pensées émotions de l'enfant en nous. Le christ intérieur reste à l'état d'embryon.
Quand
on parle d’enfant intérieur, on devrait parler de toute une tripotée !
Entre l’ego qui est un enfant par son ignorance, l’enfant, enfin ses
caractéristiques vibratoires qui peuvent aussi bien ‘figurer’ l’âme que le christ en
devenir, l’innocence en soi, l’enthousiasme, l’authenticité, la transparence,
la joie naturelle, la sagesse de la simplicité d’être.
Puis il y a aussi toutes
ces aspects qui sont dans l’illusion, l’ignorance, les égrégores créés par les
pensées qu’ils émanent et forment parfois des entités, tellement ces pensées
sont contenues et donc nourries.
La conscience créé en permanence et comme nous sommes une
parcelle de celle-ci dotés des mêmes attributs, nous créons aussi en
permanence, des pensées, des émotions qui lorsqu’elles sont enfermées dans
l’inconscient, prennent de l’ampleur, de la densité donnant l’impression d’être
manipulé de l’intérieur et de l’extérieur puisque tout est lié.
Ces
démons qu’on pense venir des mondes parallèles en viennent effectivement mais
ils sont d’abord en nous et attirent des êtres de fréquence similaire, de la
même façon que les êtres de lumière.
Quand on cesse de juger, soi-même où les
autres quand on regarde ses énergies en face, sur le moment, on doute
naturellement de l’efficacité du processus puisqu’on est empli de ces pensées
émotions, de ces énergies et comme il faut les ressentir afin de les libérer en
les offrant à l’amour lumière en soi, on est un peu dans la confusion.
Mais si
on fait confiance, on peut sentir la paix derrière le chahut et la lumière nous
montre alors l’aspect positif de ces ombres, leur valeur énergétique, la valeur
de ces rayons. L’arc en ciel n’est pas uniquement constitué de couleurs pastels
ou claires, il y a aussi des teintes sombres et toutes sont nécessaires à la
beauté de l’ensemble.
En lâchant progressivement la notion de bien et de mal on
comprend que tout est utile à notre équilibre, que l’amour ça n’est pas de la
guimauve et que la solution réside dans l’équilibre, le juste milieu.
En ce
moment, quand je sens que je suis excessive, tant du côté dit "positif" que du
côté "négatif", j’appelle la source ou l’amour lumière en moi à rétablir
l’équilibre énergétique, l’harmonie.
Parce que c’est le signe que je ne suis
plus dans le cœur, que je marche à la peur, l’instinct de survie.
Puis par le
phénomène de la dualité, les pensées émotions opposées se manifesteront avec la
même intensité et comme je n’ai pas
encore le réflexe d’accueillir dans le centre cœur, tout ce qui se manifeste en
moi, j’aurais encore l’impression de chuter, d’avoir fait quelque chose de mal,
la confusion sera là.
Jusqu’à ce que je pense à me centrer, à offrir la peur,
la culpabilité, le rejet de soi…à la source.
Alors autant détecter les
déséquilibres internes au plus vite et s’épargner des désagréments. De toute
façon on aura toujours des pensées émotions dites négatives parce que nous
fonctionnons selon des croyances basées sur le mérite, la récompense, la
punition, le devoir, l’obligation…que ça vienne de notre passé, des autres, de
vies antérieures, simultanées, de mondes parallèles, que ça nous appartienne ou
pas, comme les énergies sont volatiles, changeantes et éphémères, autant aller
directement au centre plutôt que de tergiverser et souffrir en
conséquences.
Quand on sait ce qu’on veut, à savoir la paix, on ne se complique
plus à savoir si c’est bien ou mal parce que la notion même de jugement
apparait comme fondée sur des valeurs obsolètes, des références limitées aux
apparences qu’on sait être trompeuses ou du moins incomplètes.
L’avantage d’être
hypersensible, c’est qu’on perçoit l’énergie au-delà des mots, des images, des
gens. On ne voit pas forcément des couleurs ou des formes mais on sent quand ce
qui est dit est sincère ou non.
On sait si une personne flatte ou si elle aime
vraiment, si elle est authentique ou si elle s'exprime au travers d'un rôle, si elle porte un masque.
Après, l‘autre peut s’imaginer qu’il vous aime sincèrement mais sa façon d’aimer est toujours liée à l’amour
de soi. Et dans ce domaine, très peu de
gens sont capables de s’accepter entièrement. Parce que le véritable amour est inconditionnel et il commence vis à vis de nous même.
On traine tous des casseroles,
des idées préconçues, des illusions au sujet de l’amour parce qu’une fois de
plus on confond l’idée de l’amour et sa vibration.
L’amour n’est pas un
concept, c’est l’énergie de vie, de la source qui s’exprime au travers de
chacun, en une combinaison énergétique définie par les croyances personnelles
et chacun en exprime un échantillon.
Mais en réalité l’amour vrai est une vibration qui se manifeste dans sa
pureté, par une combinaison spécifique contenant Tout de façon harmonieuse.
J’ai
du mal à expliquer ce que je sens parce que justement ça ne peut pas
s’expliquer, ça se vit avec plus ou moins d’intensité selon l’harmonie
intérieure.
C’est plus l’état d’unité qu’une énergie spécifique ou un groupe
d’énergies considérées comme bonnes ou positives.
Parce que l’amour
« guimauve » et une forme d’amour conditionnel, par exemple.
Il est
incomplet, c’est plus l’expression d’un manque, motivé par le besoin de plaire,
d’être considéré comme quelqu’un de bien.
Comme l’amour d’un parent envers son
enfant sera empreint de peur de le perdre, de projections, de désirs, qu’on projette
sur son enfant dans lequel on reconnait une part de soi.
On va l’aimer quand il
nous ressemble et avoir tendance à le rejeter s’il ressemble à son père surtout
quand on est en conflit avec ce dernier.
Cette reliance est pure au niveau du
cœur mais elle passe par les filtres du mental, de l’émotionnel qui vont la
pervertir.
C’est
clair que je ne vais pas définir ici, en quelques phrases, ce qu’on met une vie
ou plus à tenter de comprendre. La complexité, la multidimensionnalité de
l’humain rend la chose compliquée mais on peut le
ressentir à l’intérieur.
On peut y associer des valeurs telles que la tendresse, la
douceur, la liberté…
Bon je n’ai toujours pas pris ma douche et je crois que je
vais reporter les courses à samedi, comme d’habitude. Les magasins devraient
être ouverts enfin je suppose.
J’essaie de lâcher le sentiment d’urgence en ce
moment parce que c’est quelque chose qui me pourrit la vie et devient
handicapant puisque je grille de l’énergie inutilement.
Du coup, j’ai déjà
envie de dormir comme je viens de finir de manger.
Je ne vais pas me maintenir
éveillée en buvant du café par exemple parce que c’est encore nourrir les croyances illusoires, la peur…je
vais aller m’allonger sans scrupules !
Quand
on parle d’ancien monde, on se réfère aux comportements gérés par le système de
survie, l’inconscient et tout ce qui avant fonctionnait de cette façon, ne
marche plus.
Du moins quand on devient de plus en plus conscient des bénéfices
qu’il y a à vivre depuis le cœur, à suivre ses élans, on ne peut plus
fonctionner comme avant.
On ne peut pas anticiper puisque l’intelligence du
cœur est un mystère pour le mental, on sait juste qu’il faut s’abandonner,
faire confiance et suivre les impulsions du moment, qui vont nous apprendre,
nous guider vers notre cœur.
Alors après soit on lâche prise en conscience, en
sachant que c’est la meilleure chose à faire soit on résiste par des questions
et on devra les lâcher pour avoir les réponses.
Le temps entre la question et
l’abandon à l’amour sera un moment de souffrance qui donnera de l’intensité à
la délivrance afin de fortifier la foi.
Mais quand on est convaincu de
l’intelligence du cœur, on n’a plus besoin de souffrir parce qu’on s’abandonne
de suite à l’amour.
Bon, je vais quand même finir de manger ma galette qui est
sortie toute belle du four.
Là aussi à force de tester différente proportions,
mises en forme, ça devient à la limite de la perfection enfin disons
plutôt à mon goût ! Je peux voir aussi que selon mon état d’esprit du moment,
mon attention, le résultat ne sera pas le même.
Tout est régit par le même principe dans la dualité et la perfection se situe dans l'équilibre. Perfection dans le sens où c'est notre nature sublimée, l'humain et le divin associés qui s'expriment
Puis
à propos des courses, de la sensation d’urgence qui s’est manifestée alors que
je les fais habituellement le samedi, je me suis dis que j’étais encore
absorbée par les énergies extérieures, influencée par ce mouvement de panique
générale qui précède le réveillon.
Tout le monde court pour aller chercher
l’ingrédient, le cadeau oublié. Comme ce qui sort de l’ordinaire demande de
l’attention et nous sort de notre train train habituel, ça créé du stress. D’un
côté on a envie de faire la fête mais de l’autre comme la mémoire s’en mêle et
fait ressurgir des émotions de l’enfance, comme les publicités ont fait leur
boulot de pousser à la consommation, on se sent pris dans une spirale d’achat
compulsifs.
L’esprit de Noël est plutôt, perverti mais malgré tout, ça reste un
moment de partage, de joie pour les enfants qui communiquent leurs vibrations
spécifiques, un moment de lâcher prise quand tout est préparé et même si on tombe
dans l’excès, la gueule de bois du lendemain n’efface pas les bons souvenirs.
Enfin s’il en reste.
Je ne sais plus où j’ai lu une suggestion intéressante
pour les fêtes de Noël puisqu’en général on le fête en famille, c’est de voir
ses membres avec les yeux du cœur, de respirer avant de réagir, d’appliquer les
connaissances spirituelles de façon à guérir les blessures d’enfance.
Dans
cette démarche, on ne regarde pas les autres de haut parce qu’on apprend à se
regarder soi-même d’en haut !
Le
fait d’avoir reconnu que l’enfant en moi soufrait de se sentir exclu de la fête
que ma mère et ma sœur passent ensemble, a absorbé ce sentiment d’isolement et
d’exclusion.
Là encore, sur le moment ça n’était pas très agréable mais comme
je n’ai rien retenu ça n’a pas duré longtemps et il semble que ça ne suscite
plus de réaction intérieure.
Je dis "semble" puisque par nature, tout ce qui est
inconscient est inconnu.
Mais je n’ai pas de pensées émotions et d’ailleurs
j’en parle juste parce que l’idée m’est venue en écrivant au sujet des fêtes.
Ça aussi, le fait qu’une idée vienne en tête de façon spontanée c’est une forme
de révélation personnelle.
Quand quelque chose nous vient à l’esprit, c’est que
c’est le moment d’étudier la question. Enfin de laisser le cœur nous montrer la vérité.
Il n’y a pas de hasard et sans scruter
cela, simplement en repérant la récurrence du thème puisqu’en général il
revient régulièrement sur le tapis, on peut savoir que c’est un sujet à
creuser, un thème qui sera étudié par l’intelligence du cœur si on porte son
attention dessus, depuis l’espace neutre et serein de l'amour lumière intérieurs.
On finit par avoir la réponse
ou une partie si le sujet est vaste mais on peut être sûr que la clarté viendra
dans la mesure où on peut lâcher prise, lâcher les questions et les attentes. Le
seul fait d’en avoir pris conscience et de ne pas juger, suffit à activer
l’intelligence du cœur.
C’est un phénomène remarquable qui permet de mieux
comprendre comment le cœur fonctionne ou ‘pense’. C’est clair qu’il puise des
infos dans la conscience Une qui pourront être traitée par le mental qui
répondront à ses connaissances, ses références, et vont lui permettre de
comprendre, d’interpréter l’info de façon cohérente.
C’est
hallucinant de découvrir cette sagesse interne qui se dévoile dans l’abandon en
confiance à l’amour lumière en soi.
L'intuition qui s'associe à la raison dans le centre de l'être, dans l'abandon à l'amour lumière en soi, et ne laisse aucun doute.
Mon réveillon sera composé d'une soupe de poireaux pommes de terre. Je ne sais pas si c'est l'abus de chocolats ou les libérations émotionnelles mais j'ai envie de liquide salé.
La soirée a été calme et méditative, contemplative. J'ai allumé trois bougies et me suis éloignée de l'ordi pour me reposer, me laisser aller à somnoler.
Je n'ai même pas relevé les images qui venaient ni les idées qui surgissaient de nul part.
Le sens, s'il y en a un, me sera donné au moment opportun.
Je me suis contentée d'apprécier de retrouver la confiance en ce mode de communication avec les aspects subtils de soi, de savourer les énergies de paix, d'unité, d'harmonie, de détente mentale.
Cette sensation qu'il n'y a rien à faire pour manifester sa vraie nature mais juste à Être. Permettre que tout en soi s'unifie, s'harmonise, c'est ça, à mon sens, l'esprit de Noël.
Et quand on le porte en soi, il rayonne naturellement vers l'extérieur avec qui on échange de cœur à cœur, que ce soit dans le monde visible ou dans d'autres mondes plus subtils.
L'amour divin n'a pas de barrières, de frein, de limites, de frontières, de préférences, d'exigences, d'obligation, de contraintes, de conditions...il se révèle dans la transparence, l'authenticité, la vérité de l'instant, la confiance, la foi en sa toute puissance, éternelle et infinie.
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l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr