Lorsque vous exprimez une opinion limitative, un jugement, vous vous enfermez
dans une prison intérieure.
Vous croyez émettre un avis sur une personne, une chose, un événement mais en fait vous lancez un cri d'alarme et de douleur.
Vous croyez émettre un avis sur une personne, une chose, un événement mais en fait vous lancez un cri d'alarme et de douleur.
Le jugement est un appel à l'aide. Il est l'outil que votre ego apporte à votre
attention afin que vous regardiez en vous l'enfant intérieur qui souffre.
Lorsque vous jugez, vous pensez sincèrement que vous vous appuyez sur des
faits, des idées concrètes ou sociétales issues de l'équilibre grégaire.
Lorsque vous jugez, vous faites resurgir en vous vos frayeurs, vos doutes, vos expériences douloureuses de votre vie. Vous matérialisez les peurs cachées dans vos placards.
Lorsque vous jugez, vous faites resurgir en vous vos frayeurs, vos doutes, vos expériences douloureuses de votre vie. Vous matérialisez les peurs cachées dans vos placards.
Si vous jugez au cours de la journée, arrêtez-vous un instant pour observer ce
qui vous y a poussé.
Puis allez chercher en vous cette partie en colère, en
pleurs ou en défense. Et écoutez-la. Elle a beaucoup à vous dire, si ce n'est
qu'elle a besoin de vous, de votre tendresse et de votre réconfort.