dimanche 8 novembre 2015

« Questions de pouvoir »





Ce matin, j’ai envie de partager avec vous cette énergie de paix et de joie qui me remplit abondamment depuis que je me suis interrogée en toute sincèrité. Et pourtant, le ciel est rempli de particules formant un voile opaque, depuis hier après midi et le monde devient de plus en plus fou.
Hier soir, j’ai parcouru les réseaux sociaux et constaté la montée en puissance de la peur, des horreurs, des infos les plus terribles véhiculées en masse sur la toile.

Je suis absolument convaincue que c’est la manifestation de la somme des pensées énergies refoulées et de ce qui se manifeste en chaque individu.

Et oui le contexte est dramatique et rien que ce fait devrait mettre la puce à l’oreille de ceux qui savent que nous sommes tous reliés et que le monde est la projection des pensées de tous. 
Il est vrai qu’il est difficile à comprendre pour la personnalité humaine que nous participons tous à l’élaboration de ce monde, par les vibrations que nous portons, quand on connait les manipulations de l’élite. Quand on sait que la science et les technologies sont capables d’accomplir des prodiges, enfin je devrais dire des monstruosités et que ses ‘progrès’ fulgurants ont été réalisés sur des cobayes humains lors de la dernière guerre mondiale.
L’attrait du pouvoir est tel que ceux qui veulent se maintenir à la tête sont capables des pires horreurs, des mensonges les plus gros, afin de maintenir leur dominance. 

Mais face à tout ceci, nous ne sommes pas impuissants !

« L’attente ou la volonté du changement ? » Mirena





L’être humain espère le meilleur mais ne met pas toujours en place son propre changement pour cela. L’attente extérieure est souvent sa motivation. 
Il attend souvent une aide extérieure et ne s’implique pas dans sa propre progression. 
Il attend aussi de la lumière qu’elle créée le nouveau monde, qu’elle change en lui ce qui l’empêche d’avancer, qu’elle le libère. 
Ainsi, aucun élan n’est donné à ses rêves et à sa propre transformation. Il invoque souvent la lumière plutôt qu’il n’élargit son regard pour voir enfin le reflet de son illusion dans la vie qui l’entoure.

Il a en lui une volonté intellectuelle de comprendre, d’assimiler toutes sortes d’informations mais il n’applique pas toujours ce qu’il sait. Il laisse la connaissance au niveau de son intellect. Il s’en nourrit grâce au mental qui l’abreuve de celle-ci et ne la descend pas au niveau du cœur pour la vivre et s’accomplir

Il est souvent dans l’incapacité de reconnaitre sa propre responsabilité dans ce qu’il voit autour de lui et dans ce qu’il vit. Il n’accepte pas le reflet que lui renvoie l’humanité. Il reste séparé de celui-ci.

« Le plus grand obstacle à notre bien-être, c’est le rejet de soi ».





7 novembre; Finalement le plus grand obstacle à notre bien-être, c’est le rejet de soi qui nous coupe de notre cœur et pousse à se replier sur soi-même.
La peur est une dynamique, une énergie qui peut nous amener à grandir, à acquérir plus d’audace, de force, de confiance en soi, si nous la considérons de cette façon et laissons l’amour l’embrasser, l’équilibrer.

Ce qui fait souffrir, c’est l’excès, le déséquilibre, mais surtout le manque d’amour et quand nous renions une part de ce que nous sommes, nous nous coupons de cet amour, de notre être divin, unifié. 

Quand nous rejetons un aspect interne, généralement le plus fragile ou ignorant, nous nous interdisons de ressentir l’amour et la paix qui viennent de l’acceptation, de la reliance à l’amour lumière en nous-même.

En mettant en ligne l'article précédent, j’ai écouté à nouveau la vidéo d’Isabelle Padovani, que je remets plus bas, « Souffrir ou s’ouvrir ». C’est un rappel essentiel et tout à fait logique des bienfaits de l’acceptation. 
On parle beaucoup de la connaissance de soi dans le milieu du développement personnel et spirituel mais en fait qu’est-ce que ça veut vraiment dire ?

samedi 7 novembre 2015

« Apprendre à accepter ses émotions » & « Nier ou accepter » nospensées.com & vidéo Isabelle Padovani





« La sagesse c’est l’art d’accepter ce qui ne peut être changé, de changer ce qui peut l’être et, surtout, de connaître la différence »

« Ça ne sert à rien de s’inquiéter pour ça ». « Ça n’en vaut pas la peine ». « Tu n’as pas de raison d’être triste ». « Allez, arrête de pleurer ». « Tu dois te relever ».

Combien de fois avons-nous déjà entendu ce genre de phrases, prononcées avec la meilleure des intentions ?
On nous a donné ces conseils et nous les avons donnés également à d’autres, car ils paraissent bons et sensés. 
Cependant, lorsque nous tentons de les mettre en pratique,  nous ne parvenons pas à trouver la formule magique.

Malheureusement, nos émotions ne sont pas régies par des normes et ne suivent pas toujours notre volonté. 
Il ne suffit pas de vouloir changer les émotions que l’on ressent, car les sentiments sont là, bien présents, et ne disparaissent pas aussi facilement.
De plus, il est très fréquent que nous nous sentions frustré. 
Le fait de se sentir bien devient une sorte d’obligation, et si nous ne parvenons pas à atteindre ce but, nous finissons encore plus mal qu’au départ, c’est à dire maladroit, coupable, et nous croyons que n’importe qui est capable de gérer ses émotions, sauf nous.

vendredi 6 novembre 2015

« On ne résout pas les problèmes en feignant l’indifférence mais en les regardant en face »






Comme je le disais tout à l'heure, je suis en pleine libération émotionnelle et dans ce lâcher prise, un genre de fièvre apparait indiquant que le corps physique intègre, finalise, le processus. 
J’ai aussi remarqué que la majorité du temps, lorsqu’on est affaibli physiquement, on lâche prise beaucoup plus facilement, le mental n’est plus en roue libre, il se calme, comme s’il jetait l’éponge.
J’ai dû effectuer pas moins de trois méditations hier, pour retrouver la paix et la joie. Chaque fois que je pleure et c’est plutôt rare du fait que je prends des médicaments qui agissent sur le laboratoire chimique interne, inhibant les émotions, il se produit une détente profonde et un flot de tendresse s’écoule librement à l’intérieur. Un genre de « caresse de l’ange ».
Il y a deux jours, je reconnaissais la valeur de l’ego et un peu de culpabilité et de doute ont émergé. Je les ai offerts à la source et la confiance est revenue en même temps que la paix et l'harmonie intérieures.
Il est clair que le fait d’être en mode contrôle ou de se protéger est une stratégie de survie mais bien qu’elle sécurise pour un moment, ça nous coupe de notre pouvoir, de notre cœur, ça nous insensibilise. 
La phase d’acceptation d’un des aspects de soi créé un sentiment de sécurité mais on peut vite basculer dans une assurance un peu excessive qui trahit un manque de confiance en soi. 
Quand on accepte un aspect « fort » ou masculin, il est nécessaire et même logique lorsqu’on cherche l’harmonie intérieure, l’équilibre, qu’il faille aussi honorer sa vulnérabilité ou son côté sensible. 
C’est une façon de sacraliser le masculin et le féminin en soi et de les harmoniser. 
Enfin c'est de cette façon que je conçois et applique l'union et la sacralisation des forces complémentaires.

jeudi 5 novembre 2015

« L’art de s’accepter soi-même consiste à se connaître soi-même » Agnieszka Rouyer






L’absence de l’acceptation de soi, les exigences excessives, une critique incessante envers soi-même, agissent tel un frein à main pour le développement de notre potentiel intérieur. Comment donc comprendre le processus et apprendre à accepter nos comportements et décisions ?
Vous arrive-t-il de vous énerver sur quelqu’un parce qu’il a pris telle décision plutôt qu’une autre ? Ou parce qu’il a fait une chose qui ne vous a pas plu ? Sans doute, et plus d’une fois ! Revenez sur ces moments et demandez-vous quelle était la raison de ce sentiment de colère ? Je devine que ce sentiment était accompagné d’une pensée dans le genre : « il n’aurait pas du faire ou dire ça ! »

Quand n’acceptons-nous pas ce que les autres font ? 
Le plus souvent quand nous ne comprenons pas leurs comportements. 
Nous ne connaissons pas leur motivation, donc leurs actions nous semblent dénuées de sens. Compte tenu de notre connaissance de la situation, nous sommes convaincus que l’autre doit agir différemment. Mais…

Je vous invite à vous rappeler d’une situation dans laquelle, au début, vous n’acceptiez pas un comportement ou une décision d’une autre personne, et qu’ensuite, après en avoir discuté avec elle, vos sentiments ont totalement changé. 
Comment cela s’est produit-t-il ?

« Vous pouvez découvrir d’autres façons de penser si vous vous en donnez la liberté » Lise Bourbeau





Pensez-vous être capable d’accepter d’autres façons de penser que les vôtres? 
Je vous suggère de noter votre capacité sur une échelle de 1 à 10 et de vérifier également auprès de minimum cinq personnes qui vous connaissent bien, s’ils trouvent que vous êtes ouvert d’esprit. 
Posez-vous ensuite les questions suivantes: Est-ce difficile d’entendre leur point de vue sur le sujet s’il diffère du mien? Quelle est ma première réaction intérieure? Puis-je accepter qu’ils ne pensent pas comme moi à ce sujet? 

Je me souviens d’une situation vécue il y a plusieurs années. À plusieurs reprises, j’avais entendu mes sœurs dire que maman les appelait pour savoir comment ça allait. Chaque fois, je me sentais un peu plus rejetée. « Pourquoi ne m’appelle-t-elle pas MOI aussi ? » 
Ça m’a pris au moins deux ans avant de me décider à lui poser la question. 
Elle m’a répondu aussitôt : « Mais toi je sais que je n’ai pas besoin de t’appeler parce que ça va toujours bien, tu te sors facilement de tes problèmes et je peux te faire confiance ».  

J’ai réalisé que dans le temps, en bonne personne rigide, je faisais croire à tout le monde que tout allait bien dans ma vie. 
En acceptant sa façon de penser, je me suis sentie très aimée tout à coup. 
J’osais même espérer qu’elle m’aimait plus, ce qui satisfaisait fort bien mon ego.