L’être
humain espère le meilleur mais ne met pas toujours en place son propre
changement pour cela. L’attente extérieure est souvent sa motivation.
Il attend
souvent une aide extérieure et ne s’implique pas dans sa propre progression.
Il
attend aussi de la lumière qu’elle créée le nouveau monde, qu’elle change en
lui ce qui l’empêche d’avancer, qu’elle le libère.
Ainsi, aucun élan n’est
donné à ses rêves et à sa propre transformation. Il invoque souvent la lumière
plutôt qu’il n’élargit son regard pour voir enfin le reflet de son illusion
dans la vie qui l’entoure.
Il
a en lui une volonté intellectuelle de comprendre, d’assimiler toutes sortes
d’informations mais il n’applique pas toujours ce qu’il sait. Il laisse la
connaissance au niveau de son intellect. Il s’en nourrit grâce au mental qui
l’abreuve de celle-ci et ne la descend pas au niveau du cœur pour la vivre et
s’accomplir.
Il est souvent dans l’incapacité de reconnaitre sa propre
responsabilité dans ce qu’il voit autour de lui et dans ce qu’il vit. Il
n’accepte pas le reflet que lui renvoie l’humanité. Il reste séparé de
celui-ci.
L’œuvre
de lumière à construire débute en soi et non à l’extérieur de soi, ça nous le
savons tous. Pourtant il reste encore une longue tâche d’acceptation à établir
dans nos cœurs.
Chaque être doit établir la volonté du changement en discernant
les rouages de l’ego afin d’agir pour une transformation durable mais aussi
pour purifier les mémoires qui le retiennent dans l’illusion.
Il désire prendre
part au grand changement actuel et ce n’est pas en recherchant des béquilles
hors de lui qu’il l’établira en lui. Les limites posées par l’ego ôtent la
vision claire et simple de ce qui est. L’être s’ancre ainsi dans ses croyances
illusoires qui limitent sa progression.
La
peur de s’ouvrir aussi à ses propres blessures et traumatismes lui ferme la
porte de la libération. Il en ressort un manque de volonté individuelle pour
accomplir l’œuvre libératrice et pour s’ouvrir à ses propres blessures.
L’être
s’en remet alors à l’extérieur, attendant de la vie, la clé qui le transformera
ou le soulagera de ses maux.
Il attend souvent de l’autre qu’il se transforme à
sa place car il n’entre pas dans l’acceptation de ses propres créations. Il
n’accepte pas d’être le créateur de ce qu’il vit, de ce qu’il attire à lui.
Pourtant tout est fait pour le mettre face à lui-même.
Il joue le rôle de sa
vie inconsciemment la plupart du temps.
L’attente
est un arrêt sur notre chemin de vie. Elle peut durer longtemps, toute une vie
et même plus… Or aujourd’hui, alors que la lumière inonde de sa puissance
vibratoire chaque zone d’ombre, la volonté en chacun doit se mettre en place.
Elle permettra ainsi d’aller vers la libération intérieure et donnera l’élan
aux projets par la foi qui activera l’énergie du cœur.
Le
temps de se sentir victime des autres et de la vie est maintenant terminé.
Le
temps de l’attente également.
La volonté d’avancement est un axe qui peut tout
changer lorsque le regard se pose en soi pour voir et ne pas juger, pour
accepter les expériences, pour ouvrir sa conscience à sa propre création de vie
en s’impliquant totalement dans le rôle de l’énergie universelle qui active la
transformation.
Pour
trouver les failles et les blocages, il suffit de regarder en soi.
Pour avancer, il suffit de les accepter.
Pour se libérer, il suffit de se pardonner.
Pour avancer, il suffit de les accepter.
Pour se libérer, il suffit de se pardonner.
Elles sont ainsi purifiées par
amour.
Rien
ni personne d’extérieur à nous-mêmes ne peut agir pour une transformation
durable. Chaque être est seul face à lui-même, seul à pouvoir se libérer de la dualité
et de ses souffrances en s’ouvrant à la rigueur et à la volonté, en prenant sa
propre responsabilité dans ce qu’il vit.
Les autres personnes ne sont pas
responsables des situations que nous attirons.
Ce que nous voyons à l’extérieur
de nous est bien notre reflet.
La tristesse de notre monde est notre tristesse.
La violence également. L’illusion aussi.
Le reflet de qui nous sommes se
répercute à l’extérieur de nous et l’énergie nous renvoie celui-ci afin que
nous voyions ce que nous avons à modifier, à transformer en lumière.
Pour
œuvrer vers un changement durable sur Terre, nous devons œuvrer en nous et
comprendre que tout reflet extérieur négatif nous apporte l’opportunité de
grandir.
La
lumière est notre phare mais elle ne fait pas tout. Nous avons à accepter nos
propres expériences duelles et leurs mémoires pour nous placer dans l’axe de la
transformation. S’il n’y a pas d’acceptation, il n’y a pas non plus de
libération.
Pour
aider le monde à se relever, il est nécessaire d’entrer dans la compréhension
du rôle de l’énergie de lumière qui se déverse autour de nous et en nous.
Comprendre et y entrer avec volonté et rigueur, mais avec simplicité aussi.
Élargir également sa conscience pour la rapprocher de celle du Tout.
Chaque
être a sa propre tâche à effectuer et il est temps de s’impliquer avec amour et
discernement.
Nous
ne devons rien attendre mais tout espérer de la vie et de nous-mêmes.
Mirena,
le 1er Septembre 2015
Vous pouvez partager ce texte à condition de le faire dans son intégralité, y compris ces deux phrases, et en faisant référence au site : http://audeladesmots.org
Vous pouvez partager ce texte à condition de le faire dans son intégralité, y compris ces deux phrases, et en faisant référence au site : http://audeladesmots.org
Il
est difficile d’admettre ces vérités par l’intellect puisque c’est en faisant l’expérience
des choses qu’on les intègre. C’est ce que nous faisons quand la vie nous met
face à nos peurs, nos colère, notre violence et que nous choisissons de penser
que tout est fait pour nous faire grandir, nous libérer et nous épanouir.
C’est
encore une preuve de la loi de résonance qui m’a poussée à faire du ménage sur
mon bureau et à mettre en évidence ce qui résonne parfaitement avec mon vécu du
moment. Ce texte date de deux mois et il faisait partie de la liste des
messages que je mets de côté simplement en lisant le titre et en sentant la
résonance qu’il produit au niveau du cœur.
Ça commençait à me cacher le défilé d’images
de fond d’écran tellement j’en accumule !
À l’image de la gestion
émotionnelle ; il faut souvent que j’attende que ça remue avec intensité à
l’intérieur pour que je tourne vers mon cœur !
Mais après tout c’est le jeu
de la vie, des miroirs, et la raison d’être de la dualité.
Il faut arriver au
bout d’un pôle pour vouloir se centrer, aller très loin de sa terre natale pour retrouver le goût du foyer et l’envie d’y retourner. En l’occurrence,
je parle de la source originelle dont nous sommes tous issus…
Je
m’en vais accueillir la peur qu’on croit que je "copie", que je tire mes connaissances de lectures, lol ! C'est une pensée plutôt égotique et paranoïaque. Chaque fois que je me justifie c'est que je me sens coupable alors c'est un sentiment à regarder avec les yeux de l'amour, une énergie à offrir à la source...
Une fois la
chose amenée au cœur, elle apparait comme une énième occasion de prendre
conscience de l’unité, de la reliance entre tous et de la sagesse innée en
chacun. Puis du caractère universel des questions existentielles de l’humain,
ces questions que tous se posent un jour où l’autre et ce, depuis que la terre est
habitée par l'homme.
Les réponses sont là, en
nous-même et comme on y accède en se plaçant sur la fréquence de la source
en soi, il est naturel d’y rencontrer d’autres humains qui expriment ce même
point de vue, cette même vision. En ce sens on peut parler de vérités
universelles, intemporelles et impersonnelles, que chacun peut embrasser et faire siennes.
Merci
de laisser les références, les liens, si vous souhaitez diffuser cet article
dans son intégralité et de mentionner aussi ce blog (http://lydiouze.blogspot.fr )
afin d’honorer l’expression unique de chacun même s'il s'agit du même discours au fond.