La
journée d’hier a été très éprouvante, j’ai écrit 5 pages d'expression de ma
foi, un genre de synthèse des connaissances acquises et validées par l'expérience. Les corps de l'être, les lois de la vie, j'ai tout passé en revue avec beaucoup d’enthousiasme puis au fil de
la journée, je me suis engluée dans la colère. J'ai été bousculée d'un extrême à l'autre en oubliant que c'est prévisible et nécessaire à la maitrise. Quand je me réveille euphorique, l'opposé finit par se manifester, tout naturellement, puisque mon but c'est de trouver le juste milieu.
Je prends conscience du besoin
de guérison du chakra sacré et du chakra de la gorge, de l’énergie qui peine à
passer de la pensée à l’action et par ce constat, à la colère, s’ajoute la culpabilité. Rien de
tel pour rompre la paix intérieure nécessaire à la libre circulation
énergétique.
Où
est passé mon audace ? En fait, j’ai toujours agit par réaction, par
l’effet contraste de la dualité et maintenant que je cherche la paix, l’amour
intérieur, que je ne veux plus porter le masque de la rebelle, jouer ce rôle, j'ai tendance à ramer.
Pourtant, il suffit juste de se centrer, de continuer d’apprendre à canaliser
l’énergie de façon harmonieuse. Comme j’ai tout fait de travers hier après
midi, enfin j’ai jugé que mon comportement n’était pas adapté à ce que je veux
vivre, je me suis tapée dessus !
C’est
exactement ce qui m’a fait dégringoler. Le truc ça n’est pas de se juger d’être
en colère, ou de la refouler, c’est de la laisser s’exprimer sans s’y attacher.
Dans
la soirée, après une courte méditation, le calme étant revenu, j’ai pu voir ce
qui clochait. Je m’en suis voulue de mal gérer la situation alors qu’en fait,
j'ai découvert des aspects cachés, entamé un dialogue et retrouvé la paix. Le manque d'amour et de confiance en soi ont encore été mis en évidence.