Ce
matin, en revenant du jardin et en constatant l’effet des épandages aériens de
ces derniers jours, sur la nature, j’ai senti beaucoup de colère, de tristesse,
de découragement, d’émotions que j'ai laissé s’exprimer puis je suis rentrée
en continuant de râler malgré que je sache que ça ne fait que me pourrir le moral
et n’aide en rien, ni moi, ni les autres.
J’ai ouvert ma boîte mail et suis
tombée sur un article qui parlait de tous les messages défaitistes annonçant la
fin du monde.
Je me suis dit que c’était encore la conséquences des stratégies des médias
qui relayent les infos alarmantes, éveillant la peur en chacun. Le problème des
réfugiés, du climat, les injustices, les scandales sont le reflet de la somme
des angoisses que chacun porte, de l’ignorance de la nature véritable de l’humain
qui s’identifie à l’ego et ses stratégies.
L’effet de la conscience qui s’éveille
tout autant que de la panique généralisée face aux révélations à propos de la
médecine, de l’écologie, des magouilles, des manipulations de masse, de l’injustice
organisée…
Comme
je suis convaincue que je reçois ce que j’émets et puisque jusqu’à aujourd’hui
je n’étais pas tombée sur ce genre d’infos, je me suis dit qu’il était plus que
temps de revenir au cœur.
La paix étant revenue, je me suis laissée guider par
l’élan et cette fois-ci, j’ai trouvé cette vidéo sur la page google qui m’a attirée
avec insistance.
Je ne regrette pas d’avoir suivi cet élan puisque en la
regardant mon cœur s’est à nouveau ouvert et la joie a remplacé la colère.
Par
moments, ce genre de témoignage donne envie de se barrer d’ici mais l’instinct
de survie et la curiosité finissent toujours par l’emporter.
Une fois de plus
je constate la puissance de la focalisation sur le cœur, l’amour et la lumière
de l’être plutôt que sur la misère du monde. Le pouvoir de l’attraction et de
la fréquence sur laquelle on se situe.
Je vous laisse constater par vous-même.
Merci à Clarine pour le partage !
« Entretien avec Olivier Chambon : États
élargis de conscience »
Parfois,
je me dis que l’éveil planétaire pourrait bien passer par la mort de l’humanité
entière vu l’état d’inconscience généralisée. Mais sachant que la conscience
est Une et éternelle, ça ne suscite pas d’émotion particulière. C’est peut-être
ce qui me permet d’accepter la mort, de libérer toutes les peurs qui y sont
rattachées. Il faut certainement passer par la mort des croyances basées sur la
peur, la notion de séparation et de petitesse pour élargir son cœur et sa conscience.
En attendant de "voir" comment les choses évoluent dans le monde extérieur, je continue de dialoguer avec les aspects intérieurs, de me connecter au vivant en moi et dans la nature et à goûter de cette façon à l'amour lumière, à vivre l'unité et l'harmonie dans mon propre monde. La confiance grandit en même temps que le sentiment de liberté.
Je constate aujourd'hui encore, l'effet contraste de la dualité qui m'invite toujours à revenir à l'amour intérieur, la paix, l'unité des corps, des aspects de l'être et l'harmonie.
C’est
marrant, la synchronicité parce que je me suis sentie poussée à parler à mon frère décédé, avant
de sortir ce matin et sans aller jusqu’à dire que j’aie ressenti sa présence, l’idée
de le faire est maintenant naturelle tout comme la conviction qu’il m’entend.
Ça
m’a ramené au souvenir du rêve où on se serrait dans les bras sans se parler.
Je
l’avais vu deux ou trois fois en rêve et à chaque fois, on se rapprochait peu à
peu jusqu’à ce qu’on s’embrasse, dans une paix profonde.
Je n’ai plus rêvé de lui depuis, comme si la
culpabilité, la peur que j’avais à propos de cet horrible accident avaient été
définitivement libérées. C’est arrivé au moment où je lâchais précisément ces
pensées émotions.
Les rêves nous enseignent et nous portent dans d’autres
mondes, d’autres états de conscience, permettant de guérir, de libérer des
traumas.
De la même façon, parler à ses corps subtils, « divins »
compris, à ses guides, créé cette intimité, cette familiarité dont il témoigne
dans la vidéo. C’est subtil comme sensation mais bien réel. On ne peut pas le prouver mais lorsqu'on le vit, on n'en doute pas.
Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci