La
journée d’hier a été très éprouvante, j’ai écrit 5 pages d'expression de ma
foi, un genre de synthèse des connaissances acquises et validées par l'expérience. Les corps de l'être, les lois de la vie, j'ai tout passé en revue avec beaucoup d’enthousiasme puis au fil de
la journée, je me suis engluée dans la colère. J'ai été bousculée d'un extrême à l'autre en oubliant que c'est prévisible et nécessaire à la maitrise. Quand je me réveille euphorique, l'opposé finit par se manifester, tout naturellement, puisque mon but c'est de trouver le juste milieu.
Je prends conscience du besoin
de guérison du chakra sacré et du chakra de la gorge, de l’énergie qui peine à
passer de la pensée à l’action et par ce constat, à la colère, s’ajoute la culpabilité. Rien de
tel pour rompre la paix intérieure nécessaire à la libre circulation
énergétique.
Où
est passé mon audace ? En fait, j’ai toujours agit par réaction, par
l’effet contraste de la dualité et maintenant que je cherche la paix, l’amour
intérieur, que je ne veux plus porter le masque de la rebelle, jouer ce rôle, j'ai tendance à ramer.
Pourtant, il suffit juste de se centrer, de continuer d’apprendre à canaliser
l’énergie de façon harmonieuse. Comme j’ai tout fait de travers hier après
midi, enfin j’ai jugé que mon comportement n’était pas adapté à ce que je veux
vivre, je me suis tapée dessus !
C’est
exactement ce qui m’a fait dégringoler. Le truc ça n’est pas de se juger d’être
en colère, ou de la refouler, c’est de la laisser s’exprimer sans s’y attacher.
Dans
la soirée, après une courte méditation, le calme étant revenu, j’ai pu voir ce
qui clochait. Je m’en suis voulue de mal gérer la situation alors qu’en fait,
j'ai découvert des aspects cachés, entamé un dialogue et retrouvé la paix. Le manque d'amour et de confiance en soi ont encore été mis en évidence.
Puis
la phase qui suit le centrage, c’est celle du dialogue avec les parts en
souffrance, notamment l’ado intérieure qui continue de trouver le monde injuste
et bloque sur ce constat. Le dialogue a été enrichissant et a permis d'actualiser les croyances.
La justice, c’est à l’intérieur qu’il faut
l’instaurer et ça demande d’écouter les voix internes et de traduire leurs
pensées émotions en besoins. En l’occurrence, et entre autres, le besoin d’agir que l’ennui met en évidence.
Je
prends aussi conscience que j’ai besoin de m’ancrer tous les jours, non pas
comme un rituel évasif mais avec toutes mes tripes. Puis dans un but, celui de
définir ce que je veux véritablement, pas seulement au niveau mental mais en
définissant des actions à mener pour aller dans la direction de mon objectif,
pour faire ne serait-ce qu’un pas.
Évidemment c’est l’auto critique qui me
coupe les pattes. La peur de ne pas être à la hauteur vient aussi saboter le
processus et tout cela bloque l’énergie qui tourne en rond au niveau du chakra
sacré et finit par exploser.
Quand
on se dévalorise, quand on se fait des reproches, on ne peut plus réfléchir
correctement. Il faut déjà instaurer la paix en soi puis voir la situation
objectivement.
De cette façon, je passe de la vision de l’ado rebelle à celle
de l’adulte conscient des potentiels, capable de se centrer et de ramener
l’équilibre intérieur.
Ce qui m’empêche de passer à l’action, ce sont plusieurs
choses, le fait de trop réfléchir et de focaliser sur les faiblesses puis de
placer la barre trop haut.
Puis
jusqu’à maintenant, je focalisais mon attention sur la nécessité de faire la
paix en dedans, sans aller plus loin. Je cherchais le coupable, ce qui
sabotait, me focalisait dessus lui donnant de l’énergie et j’en faisais un
monstre, un obstacle insurmontable.
Tant
que je me dis que c’est la dépendance aux médocs qui pose problème, je ne peux
pas avancer. Si j’accuse, je condamne et tue le coupable qui pourtant a son mot
à dire et porte une énergie que je peux utiliser si elle est harmonisée.
Je
crois que je vais recommencer les séances d’EFT parce que le seul fait de
formuler des phrases, c’est une façon de pointer les blocages et aussi les valeurs puis par la ronde
des taping, j’intègre l’acceptation à un niveau profond, au niveau physique,
cellulaire.
Déjà,
ne pas rester scotché sur l’écran serait une bonne chose parce que c’est
addictif et stérile finalement. Je m’en suis prise au mental égoïste comme si
je n’avais pas le pouvoir de décider. D'une certaine manière, c'est le cas puisque c'est l'être profond qui créé des situations afin d'acquérir la compréhension et la maitrise énergétique. Et pour s'aligner, à la volonté du divin en soi, à ce que je veux véritablement, il me faut revenir au centre, commencer par accepter ce qui est pour en voir la pertinence, le sens.
Puis dans la gestion de son monde
intérieur, il y a l’éducation. C'est-à-dire parler à l’enfant intérieur,
l’ado et leur transmettre de nouvelles données afin d’orienter les énergies, de conserver l'unité intérieure, l’intégrité. Accepter le fait de ne pas arriver
à nourrir mes besoins, de ne pas être tout le temps en paix puisque le "but" de ce jeu, c'est de savoir gérer les conflits internes et de comprendre les messages que contiennent les pensées émotions discordantes. La colère bien orientée
c’est de l’énergie, de la détermination, de l’audace.
Il
ne s’agit pas d’agir en force, d’écraser
les plus faibles mais de les intégrer en son cœur. La série Kaamelott montre
les différentes façons d’exercer le pouvoir et je me suis plus identifiée au
roi Arthur qu’aux autres. Il cherche des solutions qui satisfassent tout le monde, écoute l'opinion des autres, créé la table ronde afin de remplacer le conflit par le dialogue; expérimente le pouvoir de différentes manières, non violentes...
La figure du chevalier qui défend les opprimés par la
violence, qui agit selon ses valeurs en niant les besoins des autres, incarné
par Lancelot du lac, est paternaliste, c'est le rôle du sauveur. C’est l’utilisation du pouvoir au nom de
valeurs sacrés qui sont plutôt des façons de pallier ses carences. Le portrait
de celui qui joue les sauveurs, qui combat les dragons pour ne pas avoir à
affronter ses peurs, ses énergies sombres. Ce n’est pas par hasard s’il est
vêtu de blanc. Il incarne l’excès de zèle, le déséquilibre des forces
complémentaires.
J’ai
eu la désagréable sensation de tourner en rond, de régresser même.
La colère
vient du fait de voir relativement clairement et de constater que ça bloque.
Mais ça n’est pas du tout de cette façon que l’énergie peut circuler à nouveau. Plus on focalise sur ce qui ne va pas et plus on amplifie l'impuissance, plus on nourrit la victime.
Trouver
la paix intérieure en accueillant ce qui se manifeste, sans juger, puis
continuer de maintenir l’harmonie interne, de traduire les besoins exprimés
dans ces manifestations excessive, rétablir l’équilibre qui créé la dynamique
permettant de passer à l’action.
La vie est en mouvement et quand je viens au
cœur de ce que je suis, il me faut ensuite déterminer quoi faire, utiliser mon
intelligence et sentir si c’est le bon choix, sentir comment ça réagit à
l’intérieur.
Il
est clair que je ne vais pas entendre la voix de l’âme si des pensées de colère
prennent toute la place. Tant que je ne fais pas la paix dans la tête, juste en
respirant calmement, en cessant de forcer, de lutter contre moi-même, contre
les pensées, ça n’avancera pas.
Ceci dit, par moments, être ferme avec le
mental, dire stop aux pensées critiques est nécessaire.
La fermeté n’est pas la
violence, il ne s’agit pas d’écraser l’autre en l’accusant mais d’accueillir
l’énergie excessive et de reformuler son but. Le mien, c’est d’agir en conscience,
dans la paix et l’amour.
Ce qui veut dire que lorsqu’une pensée injuste se
manifeste, je la laisse s’exprimer à l’intérieur et lorsque la charge
énergétique est libérée, je redéfinis mes besoins.
Puis je peux alors entendre
les idées nouvelles, bénéficier de la vision de l’âme et de son inspiration.
Une fois que la paix est revenue, des idées jaillissent.
Même si pour le moment, je ne sais pas encore où je vais, je
commence par me faire confiance.
Puis
il faut que je me souvienne que lorsque je baigne dans l’amour intérieur, si
une pensée émotion négative arrive, par l’effet contraste, je subirais un choc
m’amenant à croire que je suis agressée. Mais ceci est juste la conséquence de
la dualité et ça m’invite juste à me centrer. Je suis encore retombée dans la
parano hier.
Ne
refaisons pas les mêmes erreurs : Je pense à m’ancrer, me centrer
et me connecter, à appeler mes corps à s’unir, comme parmi eux, il y a les corps relatifs à la personnalité et ceux relatifs au divin,
et puisque dans le cœur, l’amour de la source unifie, harmonise, tout s’équilibre naturellement.
Je
viens d’ailleurs d’en faire l’expérience en deux minutes. La connexion Internet
a été rompue et j’ai juste prononcé, vécu, cette phrase que je viens d’écrire et la
connexion est revenue. C’est une façon de valider concrètement ma foi.
J’ai
envie de faire court et simple ce matin.
Une des raisons de ma colère d’hier,
c’est le temps que je passe à écrire, à publier au mépris de mes besoins
physique qui passent en second plan.
J’ai toujours vécu dans ma tête et là, il
me faut faire preuve de patience mais aussi de fermeté.
Il faut que je me
souvienne de penser à traduire le besoin qui se cache derrière la colère, la
peine, les pensées émotions lourdes.
C’est ce que j’appelle écouter l’enfant et
l’ado. A propos de l’ado, j’ai retrouvé mon premier
ami masculin de cette période dont j’ai peu de souvenir.
C’est très émouvant de
pouvoir échanger nos souvenirs et ça n’est pas le fruit du hasard. Là encore,
l’effet miroir, la loi d’attraction sont démontrés.
Il me parle de celle que
j’étais avant de plonger dans le monde flou de la drogue.
Du coup, les
souvenirs reviennent et les pensées émotions de l’époque refont aussi surface.
La vie a des moments magiques ! Je suis très à l’aise dans cette relation
parce qu’il n’y a pas eu de liens, d’attachement, créés par la sexualité.
C’est
le moment de résumer le processus alchimique d’accueil des émotions
Quand
une pensée émotion injuste, c'est-à-dire, une critique, un reproche, une
accusation, un jugement se manifestent, je fais une pause.
Je
m’assois, ferme les yeux et laisse l’émotion s’exprimer sans rien faire d’autre
que de l’observer.
Je
ne commente pas, j’attends que la paix revienne et ainsi l’amour lumière
agissent.
Résultat, je comprend ce que la vie veut me dire, j’entends la voix
de mon âme qui m’inspire et je sais alors quoi faire.
Au
niveau énergétique, il n’y a pas de rupture, de blocage et l’amour lumière
harmonisent les énergies excessives qui sont canalisées, utilisées pour le bien
de l’ensemble, l’harmonie intérieure qui favorise la clarté nécessaire à
l’action juste.
L’action juste, c’est celle qui correspond à mes aspirations
profondes.
Les énergies pacifiées, le masculin et le féminin créé la dynamique,
le désir d’agir que manifeste l’énergie de vie qui circule librement dans le
chakra sacré et remonte jusqu’au cœur, où elle s’équilibre et n’est plus en
conflit.
Elle peut alors monter jusqu’au chakra de la gorge, qui gère les fonctions de
communication, la parole, ce qui permet le dialogue intérieur pacifique, celui qui donne
la parole aux aspects internes et lorsque l’énergie monte dans le troisième
œil, la vision neutre, claire, permet d’être objectif et de traduire la
pensée émotion ‘négative’ en besoin.
Le besoin caché derrière l'émotion, est l'expression du but de mon âme.
Puis dans la couronne, les énergies
contraires se complètent, se dynamisent pour créer selon mes besoins
véritables, ceux que la vision claire aura révélés.
Les énergies masculines et
féminines se complètent dans ce chakra et créent la dynamique qui suscite le
geste approprié, l’idée lumineuse permettant d’agir dans le juste milieu, selon
mes aspirations profondes non plus selon la peur, en mode réactif.
Le pouvoir
utilisé en mode survie, écrase, domine, accuse et rejette mais quand on prend
la responsabilité de ce monde intérieur, qu’on prend le temps de souffler afin
que la paix et l’harmonie reviennent, l’idée inspirée va jaillir.
Et si ça
n’est pas le cas, le seul fait d’être en paix valide le processus
d’alchimisation, de responsabilisation qui
libère des rôles et permet d’être soi-même, libre d’être et d’agir selon
ses propres visions, aspirations et désirs.
"Pardon
mes corps d’avoir usé de violence hier, de ne pas avoir eu le réflexe simple
mais efficace de chercher avant tout à rétablir la paix intérieure". D’une
certaine façon, ça me montre aussi que toute expérience est utile puis la
patience avec les aspects moins éclairés ou fragiles, c’est l’amour
véritable en action.
Il
est clair que la période révèle encore ce qui est à pacifier en soi mais il n’y
a pas d’autre moyen d’acquérir la maitrise nécessaire à la création consciente,
délibérée. Puis c’est aussi de cette façon que la foi s’installe durablement.
La foi en soi, en tout ce que je suis, en l’harmonie possible.
Le
processus de libération des conditionnements se résume en quelque mots :
pacifier puis écouter afin de traduire les besoins cachés derrière les
pensées émotions explosives, éduquer l’enfant intérieur et l’ado, orienter
l’énergie, puis agir selon le désir révélé dans le processus.
Par
exemple, la colère a révélé le doute de soi et le besoin d’agir que l’ennui met
en évidence. Pour comprendre le besoin derrière le cri, l’excès, la colère, il
a fallu calmer les tensions internes. Pour cela, chacun a sa propre technique
mais en tous les cas, il faut commencer par détendre le corps physique. Cela
favorise la libre circulation énergétique et redonne à chaque corps sa fonction
dans l’équilibre et l’harmonie entre touts, la cohérence, l’alignement entre la
pensée, l’émotion et l’intention qui vont créer l’impulsion adéquate, le geste
approprié, inspiré.
On
a tendance à compliquer les choses et d’ailleurs, c’est ce que je fais en
expliquant à plusieurs reprises ce processus pourtant simplissime :
Trouver
la paix et aligner les corps à la fréquence voulue.
Ça peut se résumer en
quelques mots, qu’est-ce que je veux comment j’y parviens ou qu’est-ce que je
fais ?
Bien entendu, l’écart entre
la volonté et l’action ne doit pas être trop important.
C’est souvent là que je
cafouille. Déjà parce que je peine à savoir ce que je veux véritablement, ou
plutôt concrètement et pour cela, rien de tel que l’écoute et la traduction de
l’émotion en besoin.
Le dialogue avec les voix internes permet justement de ne
pas tomber dans la violence, de ne pas rejeter, refouler et ainsi de pouvoir entendre et
comprendre ce qui se cache derrière l’émotion.
Une fois que les désirs sont
repérés que le choix est fait, il s’agit de faire un pas dans la bonne
direction.
Par exemple pour arriver à être indépendante financièrement, j’ai
défini ce que je voudrais faire dans l’idéal, si je n’avais aucun obstacle.
Pour ma part, il s’agit de transmettre des connaissances qui permettent de
devenir autonome, de gérer son monde intérieur, en bref, de transmettre le
processus que je vis.
Le seul fait d’énoncer cela, soulève des peurs qui
accueillies au centre de l’être révèlent les besoins et potentiel, la raison
d’être de mes choix ou mes aspirations profondes.
En l’occurrence, contribuer
au bien être de l’ensemble en partageant des clefs de libération, de réalisation.
Plutôt que de me dire ; je ne suis pas prête, je manque de ci ou de ça, je
vis tout simplement le processus et je l’écris. Et pas l’inverse comme j’ai
tendance à faire parfois. Puis plutôt que de bloquer sur ma dépendance,
j’amplifie l’amour en moi en acceptant cela. Une fois que j’accepte, je vois ce
qui est positif dans cette situation, commence à comprendre le sens, les
raisons, les peurs et surtout les besoins qui se cachent derrière.
Puis
c’est à chaque instant qu’il me faut vivre le processus de retour au cœur.
Là
encore, j’ai tendance à me dire, je ne vais pas passer ma journée assise, les
yeux fermés ! C’est encore la peur qui est cachée derrière ces pensées puisqu'en qu'en trois respirations, la paix revient à l'intérieur!
La
peur de ne pas être à la hauteur qui peut être vite résolue en plaçant la barre
moins haut. Pour mon projet professionnel, je peux y aller pas à pas.
Augmenter
la confiance en soi, sur le terrain, en commençant par écrire la lettre de
motivation pour la candidature au stage de recyclage d’objets.
C’est loin de
mon projet mais, c’est un premier pas puisque c’est une occasion d’être dans
l’action, chose qui devient urgente pour mon équilibre. La possibilité de vivre
en directe live, le processus de responsabilisation dans la gestion de mon
monde intérieur.
L’occasion de déterminer mon potentiel, mes capacités, déjà
dans la lettre de motivation. Cet exercice va mettre en évidence tant mes
qualités que ce qui bloque. Comme le fait de voir cela comme une façon de se vendre.
La peur de m’ennuyer, d’être en conflit avec l’autorité, les autres…toutes les
peurs de l’ado qui me paralysaient sont révélées et peuvent être alchimisées.
La peur du conflit avec l’extérieur me renvoie à rechercher la paix à
l’intérieur et en le faisant, j’y trouve mon pouvoir puisque c’est le divin
intérieur, l’amour lumière qui agissent et donc se révèlent.
Quand on ressent cette force qui nait
de l’alchimie interne, le pouvoir extérieur n’est plus perçu comme un danger.
Le
pouvoir de création étant celui de la pensée émotion intention énergie
alignées, personne d’autre que moi ne peut interférer. Seuls mes croyances et l’identification
à la peur, à l’état de victime, peuvent me donner le sentiment d’être dominée.
On
craint d’être manipulé par les énergies extérieures, les ondes invisibles des
appareils électronique, des téléphones portables…mais la solution est très
simple, il suffit de doser, de les utiliser seulement lorsque c’est vraiment
utile.
Un
objet sensé nous faciliter la vie a vite fait de nous rendre esclave. C’est
comme avec la télé, on se plaint que les médias tiennent un discours qui vise à
maintenir les gens dans la peur, on voit toutes sortes de manipulations mais il
suffit de ne pas l’allumer pour ne pas en être victime. Au niveau des pensées, c'est la même chose, on croit et on nourrit celles qu'on veut.
Le
bon sens est méprisé sous prétexte que nous avons accès à toutes sortes d’infos,
de connaissances. Mais il suffit d’user de discernement et de revenir à ses
valeurs, de se tourner en soi pour y trouver la sagesse innée.
Quel intérêt de
connaitre les étoiles, les extra-terrestres ?
On veut connaitre l’extérieur
par peur de se connaitre à l’intérieur et du coup, on passe à côté de notre
vérité, la seule qui ait un intérêt, une réelle utilité.
Tout ce que nous
cherchons à l’extérieur est en nous-même.
L’extra terrestre, c’est la part
invisible, le divin en soi puisqu’il s’étend à l’infini et reste un mystère, un
inconnu pour la majorité des gens et pour ceux qui le "ressentent", il est difficile de nommer cela.
Les voyages, l’exotisme tant prisé c’est une
projection des besoins et désirs de l’âme qui invite la personnalité à effectuer
le voyage en soi, à découvrir l’être authentique, divin, multidimensionnel que
chacun est.
Après,
c’est une question d’équilibre entre le retour au centre et l’extériorisation. Quand
on suit l’élan de vie en soi, le flux de la source qui s’écoule, tout est
facilité et se réalise naturellement. Le truc à faire c’est d’ôter le voile des
illusions, de la peur et des croyances passées, des conditionnements. C'est bon cher mental, on ne va pas tourner en boucle...
Bon,
une douche est bienvenue. Le corps physique a besoin d'eau pour se régénérer tout comme les pensées, émotions, énergies, ont besoin de souplesse, de fluidité...Et en ce moment, c'est indispensable...
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respecter l’intégralité, l’auteur et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » http://lydiouze.blogspot.fr