Depuis
hier après midi, depuis que j’ai invité les égrégores lourds à passer par le portail de mon coeur, afin de retourner à la source, une étape supplémentaire est
franchie.
Je me sens portée par les énergies christiques.
Selon ma foi, ce sont
des énergies d’amour inconditionnel, une lucidité due à la transparence ou tout
au moins le désir de l’être parce que nous sommes si complexes que chaque jour
on peut découvrir une ‘nouvelle pièce de notre temple’ ou pour être plus
simple, de notre maison intérieure.
On se rend compte finalement, que c’est un
univers entier qui nous constitue. On y retrouve tout ce que l’on peut voir
autour de soi, les archétypes, les éléments, les mondes, la nature, les
règnes,… tout nous reflète et en fait nous sommes Tout.
Chacun porte ‘l’image
intérieure’ de ce Tout.
Puis, les énergies du Christ, sont l’unité, l’harmonie,
la paix, la tendresse et la force, la complémentarité du masculin et du féminin
sans perte, dans le sens où les deux forment une nouvelle création sans perdre
leur particularité. Exactement comme la personnalité, l’ego et ses multiples
facettes n’est pas détruit par le contact fusionnel avec le christ intérieur,
il est sublimé, porté sur ces fréquences qui lui donne l’impression qu’il va
être absorbé mais il n’en est rien.
C’est la notion du ‘moi’ qui s’étiole qui
ne satisfait plus, qui ne correspond pas à la réalité. Le ‘moi’, c’est
l’image, l’énergie de l’identification à l’être qui se croit seul, isolé,
perdu, séparé de tout et surtout de la source, c’est un des nombreux enfants
intérieurs nés de croyances et le vague souvenir de la naissance cosmique.