Bien
que je me sois couchée à 1h du mat’, je me suis levée à 5h30, afin de photographier le lever
de soleil sur la rivière. Un rendez vous que je rate depuis que j’ai décidé de
le faire. Mais plutôt que de m’en vouloir, de me critiquer comme pourrait le
faire ma mère en me disant, tu fais n’importe quoi, tu vis n’importe
comment…j’y vois là un clin d’œil de ma guidance intérieure, qui me connait
très bien et sais que j’ai vite fait de me lasser de quelque chose.
Les
promenades dans la nature m’ouvrent l’esprit, le cœur, me permettent d’être en
communion avec l’intérieur et l’extérieur, les éléments, mais le mental a
besoin de nouveauté, d’être émerveillé, surpris. Comme un enfant qui se lasse
de son nouveau jouet au bout d’une semaine voire deux jours.
Mais ça n’est pas
non plus un problème puisque ceci me permet de découvrir, d’explorer, de porter
l’énergie du changement indispensable en cette période spécifique.
J’ai coupé
des roseaux pour attacher les tomates et enregistré quelques chants d’oiseaux
puis pris en photo les trainées de produits chimiques à côté du soleil voilé.
J’ai laissé sortir tout ce qui venait à ce sujet et comme je devais sortir le
chat des voisins partis en vacances, j’en ai profité pour faire des
photos de fleurs couvertes de rosée.
Il y a trois moments dans la journée où
j’adore le rendu des photos, le lever de soleil ; la rosée et
l’étincellement que ça créé, le coucher
de soleil et le crépuscule. Entre le lever de soleil et le moment où il éclaire
la rosée, il y a deux heures d’intervalle à peu près.
J’ai lu quelques messages
du site Miriadan cette nuit, et suis tombée sur un d’eux qui parle de se
reconnecter avec les éléments, enfin avec les guides des règnes, minéral,
végétal, animal et éthérique.
J'ai choisi spontanément de m'adresser à celui du règne végétal. En
fait, je me suis dit que je le fais depuis quelques temps, en parlant au chêne
et à la rivière mais ça reste à sens unique, du moins je n’entends pas leur
voix.
Déjà, il faut surmonter le doute, les pensées du style, "je me fais un
film". Puis je me dis aussi que seuls les humains ont la faculté de parler, de
communiquer par la parole.
Mais à bien y réfléchir, le vivant a forcément une
conscience enfin, de ça, je suis certaine et ça veut dire qu’il pense.
S’il
pense, il peut émettre ses pensées et donc communiquer; la télépathie est pour moi une réalité même si je ne l'expérimente pas consciemment. Les synchronicités en sont une expression.
Il m’apparait que ce
qui m’empêche d’entendre la voix du chêne et celle de la rivière, c’est d’abord
l’incrédulité, la peur de tourner zinzin et aussi l’incapacité à écouter par
mon côté encore très égocentrique.
Puis c’est un peu pathétique de considérer
que son ami le plus proche est un arbre, du moins celui de mes amis qui est accessible
7j/7, 24h/24. Tout comme le fait de dire à son chat que c’est le plus bel amour
de sa vie.
Mais comme ça ne me ferme pas aux autres, au contraire ça me permet d'être plus à l'aise dans mes contacts avec l'extérieur, ça pose une fondation sûre qui nourrit le besoin de communion.
Si j'appelle ce chat "mon amoureux", c’est parce que je le ressens, tant dans la vibration que dans
l’échange. Tout comme dans la façon dont il m’enseigne à aimer au-delà de la possessivité, du
besoin de changer l’autre, du risque de le manipuler puisqu’un chat ne se force
pas à aimer et quand il ne veut pas être caressé on ne peut l’obliger.
Avec ce félin, je peux être entièrement moi-même, parfaitement authentique sans que ça
n’affecte notre relation.
En ce moment il passe la plupart de son temps au
jardin et va chez la voisine d’à côté, témoin de Jéhovah qui vit seule bien
qu’elle ait des enfants dont une fille qu’elle refuse de voir parce qu’elle n’a
pas suivi la voix choisie par sa mère. Elle vit sa vie en marginale, comme un
papillon, élève son fils seule et chante dans les cafés, les restaurants, pour
ajouter un peu de liquide à ses allocations. C’est une belle femme qui utilise
son pouvoir de séduction, ses talents et s’autorise à être libre.
Bref, j’ai un peu râlé
contre mon chat et sa façon de me bouder depuis que la chatte Bilou squatte
enfin l’appartement après quatre années passées dehors. Puis, connaissant sa
capacité de catalyser l’amour et de le faire circuler de cœur à cœur, je me suis dit qu’elle devait en avoir
cruellement besoin ce qui a calmé mes rancœurs.
L’idée qu’il la prépare à
passer de l’autre côté du voile me vient en tête assez souvent.
Hier soir,
tandis que j’étais au jardin, Féliz est venu puis s’est allongé sur mes genoux
alors que je faisais une pause clope. Je lui ai parlé longuement, dit qu’il me
manquait, je n’ai rien réfréné, enfin le mental n’a pas fait barrage et je n’ai
pas non plus pris en considération le fait qu’on puisse me voir ou même
m’entendre, je m’en fous. De toute façon, dans le quartier, on est tous à
parler à nos animaux de compagnie alors ça n’est pas un problème. C’est aussi
en cela que je reconnais mes voisins comme des êtres assez proche au niveau de
la personnalité et aussi de l’âme puisqu’on partage des moments et l’espace
vital.
J’ai
lu dans plusieurs titres de messages spirituels, que la période de cette pleine
lune appelée le Wesak, était un moment où les énergies de Christ et du Bouddha
se déversaient sur la planète. Et c’est assez marrant de constater que j’aie eu
cet élan de parler au christ intérieur ou corps christique justement hier ou avant hier, je m'embrouille dans les jours, les dates, avec mes deux sommeils/réveils quotidiens.
Je
dois dire que je n’accorde pas trop d’importance ou du moins plus du tout comme
avant à tous les messages délivrés par les ‘maitres’ ascensionnés, les anges,
les guides.
Comme j’entre en contact direct avec mon monde intérieur,
à mesure que je le fais, le besoin de se tourner vers l’extérieur diminue
proportionnellement.
Non seulement c’est logique puisque le but du jeu, est
justement de devenir un ‘Je’ autonome, souverain, mais c’est une étape
nécessaire qui vient naturellement lorsqu’on accepte de devenir responsable de
ses pensées émotions.
Ceci dit, on ne devient pas mature du jour au lendemain puisque
c’est par les énergies de l’enfant intérieur qu’on entre en contact avec le
monde émotionnel, le vivant en soi.
Il est évident qu’on est obligé de
reconnaitre qu’on est un petit enfant par rapport à la source et totalement
novice en matière de gestion de son monde.
Je reconnais tout de même l'importance de trouver des humains en accord avec son degré d'ouverture afin d'amplifier l'amour en soi et envers les autres, ce qui revient au même, puis pour se soutenir mutuellement sur ce chemin qui va à contre courant de celui du monde. J'ai longtemps refusé de devenir dépendant de la relation à l'autre et les médicaments m'en 'protégeaient'. Le seul problème c'est que ça me coupait en même temps de mon propre cœur donc du divin intérieur.
L'humain a besoin de communion, d'échange, de partage, de fusion, c'est quelque chose que je reconnais cependant, le vivre au travers de la peur ne pouvait pas me satisfaire.
Il a fallu que je passe par tout un parcours pour être enfin capable de m'ouvrir aux autres, reconnaitre que cet amour ne dépendait pas de ma relation avec l'extérieur, pour oser aimer et être aimée sans craindre d'être absorbée.
Maintenant que je sais que nous sommes de toute façon interreliés à tous les niveaux, je peux aller vers l'autre depuis mon propre cœur, par l'amour inconditionnel que je porte et moins par la peur que j'émets.
On peut être relié de façon douloureuse à notre insu via les égrégores sombres mais on peut, en accueillant ces énergies 'sombres' en soi, reconnaitre l'unité avec toutes choses sans en souffrir et en conscience.
La différence est énorme et quand on sait que l'autre nous reflète une part de nous-même, on ne se sent plus obligé ni de se protéger ni de fuir ou d'éviter ceux qui nous 'dérangent' puisqu'ils ne bousculent plus de l’intérieur sans qu'on sache comment agir. Dans cet état d'esprit, aller vers l'autre devient un jeu de miroir qui reflète tant notre ombre que notre lumière.
J'ai aussi accepté l'idée que bien que je sois capable d'autonomie comme chacun, recevoir de l'aide de ceux qui sont dans l'unité, l'amour divin, qu'ils soient humains ou aient d'autres formes, est profitable et il n'y a pas de risque à le faire puisque justement, ils sont autonomes affectivement, nourris de l'intérieur. Pour le moment, je me contente d'aller vers les humains et de contacter les êtres de l'invisible par des lectures mais en contactant mes mondes intérieurs je m'ouvre aussi à ces mondes. Pour cela, être relié de cœur à cœur avec des humains sur le même chemin, selon les mêmes modes de pensée, constitue un soutien indéniable.
D'ailleurs, ça se passe à d'autres niveaux, depuis d'autres plans et ça fait partie de l'expérience de retrouver ses dons ou capacités spirituelles. C'est un soutien réciproque puisque l'effet miroir est double et lorsque chacun en est conscient, c'est magique!
Pour en revenir aux émotion et au fait d'être mature, simuler,
nier, refouler, faire comme si de rien n’était, comme si on gérait ses pensées
émotions comme un grande, ça n’est que stratégie de l’ego. Une façon d’agir
selon les critères du monde, de se conformer à la norme. A ce propos, j’ai
préparé un article qui parle de la gestion émotionnelle et de la conscience, du
fait que d’accueillir, d’accepter d’être traversé par nos émotions, nous
connecte à la conscience divine.
Bon je n’ai pas encore tout lu ni fait les
exercices proposés parce que j’aime utiliser mes lectures pour déclencher des
envies, ouvrir des pistes, (par la résonance que ça créé), que j’explore
ensuite à ma façon. C’est un site dédié
à la psychologie positive, à l’éducation des enfants et les articles peuvent
tout à fait servir à contacter l’enfant en soi.
Pour
en revenir aux chemtrails, puisque ce matin, ça bombarde, j’ai donc dans
un premier temps, laissé sortir tout ce
qui venait en voyant le ballet parallèle des avions, le soleil voilé, sans
rien retenir ni porter de jugement sur mes paroles tantôt agressives, tantôt
chargées d’impuissance et de tristesse.
Tandis que je donnais à manger au chat sur la fenêtre et
que par le fait, j’étais face à ce spectacle navrant, l’idée m’est venue de
proposer au divin intérieur, d’utiliser mon cœur, comme un portail pour y
recevoir et transmuter toutes les pensées émotions que ça suscitait. Tant les
questions du style, « comment peuvent ils agir de cette façon, quelle
haine d’eux-mêmes ou quelle ignorance de leur vraie nature les poussent en ce sens ? »,
que le point de vue de ceux dont je fais partie, qui mangent quotidiennement ces produits. Là, c’est
plutôt toute la colère, l’indignation, la tristesse, le sentiment
d’impuissance, d’être manipulé…que je me suis proposée de faire passer par la
porte de mon cœur afin que mes âmes
céleste et terrestre recyclent tout ceci.
J’ai fermé les yeux et visualisé un
cordon de lumière allant de mon corps émotionnel jusqu’au cœur de la terre,
comme le suggère le groupe canalisé par Steve Rother, dans le livre
« R-appelez-vous », que je bouquine page par page depuis quelques
temps. Je me suis connecté au ciel, au soleil en même temps instinctivement.
Puis, j’ai vu un portail lumineux s’ouvrir en mon cœur et une énergie
sombre me parcourir depuis l’extérieur en passant par le cœur et se mélanger à
la lumière dorée puis descendre sous cette forme jusque dans la terre. Et
encore, depuis le cœur de la terre, remonter à la surface illuminant les
arbres, la végétation. C’était très furtif comme images mais vraiment
magnifique. Je soupçonne Féliz de m’avoir inspiré à faire cela. Il a le don de
me ramener en mon cœur ! Comme la fois où je voulais réagir à la furie de
la voisine et qu’il m’avait croqué le mollet l’air de dire, "tu veux avoir mal, tiens!" !
Je
n’ai pas eu du tout l’impression de faire quelque chose d’extraordinaire ou
glorifiant mais plutôt un acte naturel et logique selon ma foi en l’humain
divin, l’amour lumière que je suis, la reliance avec la terre mère, l’amour
immense qui nous relie. C’est par la connexion intime avec elle que j’ai apaisé
les rancœurs vis-à-vis de ma mère biologique et du manque affectif que je
trainais qui a été absorbé dans cette relation à la conscience Mère de la
Terre.
C’est
l’heure de prendre un premier bout de cachet parce que le plexus solaire
m’irrite.
Je continue de porter un regard bienveillant sur ce geste et le
mental commence à admettre que c’est La solution pour en guérir. Il ne force
plus à vouloir contrôler les choses, à diminuer selon un calcul, un ‘savant’
dosage parce qu’on a convenu ensembles de la marche à suivre ; on a décidé
de se fier à l’élan et de mettre un cadre de limites à ne pas dépasser. Non parce qu’il "faut" arrêter mais juste pour tirer uniquement les bénéfices de ce
produit, à savoir, ne pas être trop perturbé
physiquement tout en pouvant être dans le moment présent, au contact des émotions, le plus
conscient possible sans que ça devienne du flicage. Par l’observation des
ressentis physiques, la façon dont les pensées émotions deviennent difficiles à
gérer parce qu’elles me submergent, j’ai déterminé une dose spécifique et un
temps de prise n’allant pas au-delà de 14h afin que le sommeil soit réparateur.
D’un
autre côté, comme je deviens plus à l’aise dans l'accueil des émotions, je me
fie à cela, du moins je vois que l’élan à retirer un bout de cachet, vient de
cette confiance qui s’installe avec mon corps émotionnel, ma guidance
intérieure.
Je ne sais pas si c’est l’influence de mes ballades, l’appel au
guide du règne végétal effectué cette nuit ou les deux mais je n’éprouve pas de
gêne à exprimer tout cela.
Ce qui m’a aussi incitée à vouloir approfondir ma
connexion à la nature hormis la peur de la maladie qui en a été le moteur,
c’est le contact spontané avec le christ intérieur mais aussi la vue de toutes
les nouvelles orbes sur les photos prises ces dernières 24 heures. C’est
peut-être un des modes de communication de la nature ?
Je pourrais me dire
que c’est l’appareil qui fait ça mais comme ça n’apparait pas toujours alors
que l’angle, la prise de vue est la même, j’ai tendance à croire que ce sont
des entités énergétiques. Le soleil gagne en puissance malgré les épandages continus.
Bon, c’est sûr que plus il s’approche du zénith et plus il est fort mais on
peut dire qu’ils mettent la dose aujourd’hui et malgré tout, le soleil est visible !
Honnêtement,
je ne pense pas qu’en se révoltant contre ce fait largement reconnu, on puisse
arrêter les dégâts. Ceux qui sont aux commandes et leurs exécutants, n’ont pas
forcément d’intention de nuire, dans l’ensemble.
On leur donne la
responsabilité de gérer le monde alors ils font selon ce qu’ils pensent être le mieux à l’échelle mondiale.
Mis à
part la petite proportion versée du côté sombre, (et encore s'ils naissent dans une famille 'illuminati' ils ne peuvent pas être objectifs ) les autres soient pensent bien
faire puisque les scientifiques disent que la planète se réchauffe, soit parce
qu’ils n’ont aucune idée de ce qu’ils font, (je pense ici aux pilotes par exemple), mais
agissent parce qu’ils ont totalement confiance en leur hiérarchie.
Les uns
comme les autres, obéissent à leurs convictions, l'autorité référente, de la même façon que ceux qui
font partie des mouvements spirituels ou écologiques. D’ailleurs, si on regarde de ce
côté-là, on va constater aussi des incohérences, des imperfections. Se dire sauveur, c'est agir selon une stratégie de l'ego, porter un masque.
Celui
qui se dit éveillé, déjà, il y a un problème parce que ça n’est pas une
étiquette. Lorsqu’on s’éveille à soi-même, on ouvre automatiquement son cœur et
on constate que l’éveil c’est déjà de devenir conscient de soi, de son ombre, de
l’embrasser pour accéder à sa propre lumière.
Le mental peut s’ouvrir à de
nouvelles croyances mais tant qu’il ne fait pas l’expérience de l’amour sans
conditions, en "vrai", et que pour cette raison, il accepte de s’unir au cœur, la
personnalité sera maintenue dans le cadre étroit de la dualité et de l’amour
conditionné.
C’est devenu tellement évident pour moi que le fait d’accepter son
ombre, de voir ce qu’on dissimule à sa conscience, de l’embrasser, permet de
trouver l’unité, enfin d’aller de plénitude en plénitude, que j’ai zappé les
deux derniers chapitres du livre de Debbie Ford. C’est prévu au programme mais
tout va si vite et comme je favorise l’élan de l’instant, ça viendra au moment
opportun.
J’ai remarqué un truc plutôt récurent c’est le fait qu’à mesure que
je lâche prise, je reconnais certains aspects, mode de fonctionnement interne
et leur origine. Puis, comme je ne refoule pas cela, comme je m’accepte, le
reconnais et puisque ceci permet à l’énergie d’amour de circuler librement, la
vie me montre comment ça change les choses de façon quasi simultanée.
Je
restais encore soumise à la vision des statistiques, au nombres de pages vues
sur ce blog, qui me donnait la mesure de l’intérêt que les autres portent sur
ce que j’écris. Mais comme ceci démontre un manque d’amour et de confiance en
soi, en plus de l’attachement, la dépendance à ce type de reconnaissance, j’ai
offert tout ceci à la source. Du coup, quand je sens que je commence à
m’inquiéter de ne pas avoir le temps de publier, quand je dois choisir entre
m‘occuper de moi sur le terrain, dans la matière ou écrire, publier et que je
choisis de mettre mes besoins physiques en priorité, les chiffres montent d’une
façon stupéfiante !
J’ai
plus l’impression que c’est un ‘tour de magie’ de l’invisible puisque les
chiffres des pages vues et ceux des articles lus ne correspondent pas. Un genre
de clin d’œil, un truc pour me motiver à définir mes priorités et à faire
passer mes vrais besoins en premier et en même temps, une façon d’augmenter la
confiance en l’invisible, en ma guidance intérieure. Puis aussi en la loi
d’attraction, de résonance qui manifeste instantanément, les pensées sur
lesquelles on se focalise.
Ce
qui me ramène aux solutions par rapport aux chemtrails. Il y a d’une part une
vérité vérifiable: la pensée c’est de l’énergie et celle-ci va
rejoindre des énergies similaires dans l’invisible. D’autre part, on peut tous
faire l’expérience de l’alchimie émotionnelle et constater que le fait
d’accepter un défaut nous donne la paix et libère le potentiel de l’énergie
opposée qui s’harmonisant au cœur, permet de créer en conscience, d’attirer l’objet
de nos désirs ; l’amour en soi, des rencontres agréables…
En gros, que
notre monde intérieur change lorsqu’on regarde ce qui est, à partir du cœur et
ce pouvoir de focalisation, de centrage créé selon nos aspirations les plus
élevées.
Sachant
cela, pour en faire l’expérience concrètement et par la bonne vieille logique,
il semble juste de penser que si on porte un regard bienveillant, du moins si
on amène au cœur nos pensées violentes vis-à-vis des manipulations, des gens
qui jouent le rôle de bourreau ou de simples exécutants, il y a de grandes
probabilités pour que le monde change, que les humains se réveillent à l’amour
en eux.
J’arrête
de parler de ça parce que ça n’est pas un point de vue que le mental peut
envisager sans que le cœur ne l’inspire et pour cette raison, il serait vain
d’essayer de vous convaincre. Puis ce serait encore vouloir jouer les sauveurs…Je constate tout de même qu'un vent léger s'est levé poussant les nuages...
Bon,
je vais au jardin planter des glaïeuls, semer des carottes, cueillir les
fraises…enfin ça, c’est ce que je me propose de faire, on verra bien sur place…
En
relisant ce texte écrit spontanément, d’une ‘traite’, ce matin, je me rends
compte que la vidéo de Magali à propos des égrégores est en fait ce qui m’est
revenu en mémoire dans mon offre à la source, ce matin. J’avais complètement oublié cela
d’ailleurs j’ai plutôt fait référence à un conseil donné par un autre groupe,
celui que canalise Steve Rother puisque c’est ce que j’ai lu hier soir. C’est
par cette vidéo que j’ai connu Magali et la résonance a été très forte puisque
j’étais tout à fait en accord avec ce qu’elle disait, tant au niveau de l’intuition
que de la logique. Du coup, je reposte la vidéo et le lien de l’article qui la
présentait (la vidéo).
« Les
égrégores » Magali guérisseuse
A
chaque fois que j’écoute cette vidéo, ça me fait un effet d’expansion au niveau
du cœur et là, c’est carrément une douce chaleur qui m’a envahie ! Je me
suis laissée guidée et j’ai déroulé toute une liste dont la peur du manque, de
l’addiction, et d’autres dont je ne me souviens plus.
Je crois que je vais
faire cet ‘exercice’ régulièrement.
J’ai vécu un truc similaire hier, au niveau
de la sensation intérieure, lorsque la
chienne s’est mise à grogner en pleine nuit vers une heure du matin alors qu’il n’y avait personne, pas un bruit
dehors. J’ai senti la peur monter en moi et la connexion internet cafouiller d’un
seul coup sans raison. J’ai juste respiré en me calmant et en repensant à la
demande de contact avec le guide du règne végétal que je venais de faire un peu
avant. Du coup, le mental ne s’est pas emballé à chercher la raison de cette
réaction puisque j’ai aussi dit à cet être que je trouillais quand même.
Le
résultat a été immédiat, tout est revenu à la ‘normale’, l’émotion absorbée,
transmutée en paix et la connexion à nouveau opérationnelle, je n’ai pas trop
relevé le truc puisque ça n’a duré que quelques secondes.
Je me demande si l’élan
à revoir cette vidéo n’est pas justement pour me préparer à cette rencontre ?
C’est clair que la peur brouille l’écoute (oui, c’est une contrepèterie, il
faut bien démystifier) et fausse l’entendement. Pour cette raison, il semble
logique d’effectuer une épuration préalable. Je vais essayer d’inclure ce ‘rituel’
à mes connexions quotidiennes à la source.
J'ai fait un drôle de rêve cette nuit dont je ne me souviens pas trop, il me semble que je remontais les gorges du Tarn toute seule mais il y avait aussi d'autres personnes comme moi, faisant le même périple et on se croisait. Des images reviennent peu à peu. Je vais m'allonger et voir si je le retrouve...
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci