Depuis
hier après midi, depuis que j’ai invité les égrégores lourds à passer par le portail de mon coeur, afin de retourner à la source, une étape supplémentaire est
franchie.
Je me sens portée par les énergies christiques.
Selon ma foi, ce sont
des énergies d’amour inconditionnel, une lucidité due à la transparence ou tout
au moins le désir de l’être parce que nous sommes si complexes que chaque jour
on peut découvrir une ‘nouvelle pièce de notre temple’ ou pour être plus
simple, de notre maison intérieure.
On se rend compte finalement, que c’est un
univers entier qui nous constitue. On y retrouve tout ce que l’on peut voir
autour de soi, les archétypes, les éléments, les mondes, la nature, les
règnes,… tout nous reflète et en fait nous sommes Tout.
Chacun porte ‘l’image
intérieure’ de ce Tout.
Puis, les énergies du Christ, sont l’unité, l’harmonie,
la paix, la tendresse et la force, la complémentarité du masculin et du féminin
sans perte, dans le sens où les deux forment une nouvelle création sans perdre
leur particularité. Exactement comme la personnalité, l’ego et ses multiples
facettes n’est pas détruit par le contact fusionnel avec le christ intérieur,
il est sublimé, porté sur ces fréquences qui lui donne l’impression qu’il va
être absorbé mais il n’en est rien.
C’est la notion du ‘moi’ qui s’étiole qui
ne satisfait plus, qui ne correspond pas à la réalité. Le ‘moi’, c’est
l’image, l’énergie de l’identification à l’être qui se croit seul, isolé,
perdu, séparé de tout et surtout de la source, c’est un des nombreux enfants
intérieurs nés de croyances et le vague souvenir de la naissance cosmique.
J’avoue que j’ai encore du mal à bien saisir l’immensité de tout ce que je
suis, de tout ce que chacun est parce que justement c’est énorme ! Mon
cœur sais, sans aucun doute, il est amené à s’ouvrir et ainsi à se souvenir, du
moins à permettre la transmission des connaissances vers le mental.
Comme la personnalité a
tendance à s’affoler face à cet infini, accueillir, accepter, reconnaitre les
peurs qui surgissent favorise l’accueil du nouveau, de l’inconnu.
Encore une
fois, inconnu pour le mental mais parfaitement su pour le cœur, l’âme, la
conscience.
Ma
bouée ou mon gouvernail, c’est l’élan de l’instant dans l’acceptation totale.
Celle-ci passe naturellement par plusieurs phases indispensables à l’ouverture
et l’intégration et chacune de ces étapes, est l’intégration elle-même.
Le fait
d’oser suivre le désir porte sur la fréquence de l’amour, de l’accueil, de
l’enthousiasme, et de ce point de vue, il est plus facile de dire "Oui" à ce qui se
présente. En sachant que toutes nos connaissances passées ont peu de valeur, ne
sont qu’une minuscule part de la vérité, on peut écouter, agir selon le désir
de l’instant et en capter le sens.
Les émotions qui vont surgir offertes à la
grâce de l’amour en soi, s’harmonisent et montrent une plénitude de ce que nous
sommes, comme un cercle qui s’agrandit à mesure qu’on accueille une ombre, une
émotion, une pensée injuste qu’on la laisse s’exprimer en l’écoutant comme si on entendait parler
un enfant, notre enfant.
Et comme le fait l’arbre, mon ami le chêne, on se
contente d’être là, sans parler, sans chercher à expliquer quoi que ce soit
puisque son seul désir besoin, c’est d’être entendu et ainsi reconnu.
Au début,
lorsqu’on veut vivre depuis le cœur, intégrer l’amour inconditionnel ou plutôt
le laisser vibrer en nous, agir, se manifester, on peut s’aider du dialogue
afin d’habituer le mental au fait d’être multiple, de porter en soi plusieurs
voix.
On peut visualiser un cercle, comme je le faisais, et continue de le
faire, en appelant nos corps à s’unir, à se donner la main, à œuvrer ensemble,
à se soutenir mutuellement.
Là encore,
le mental intègre l’idée du ‘nous’ et l’énergie d’amour circule à l’intérieur
par notre volonté, notre désir.
Le verbe, la parole, la pensée ont un pouvoir
indéniable et on peut le constater assez facilement. Il m’est revenu souvent en
mémoire alors que je n’avais pas la foi, de cette puissance dont je constatais
l’efficacité.
L’addiction à la drogue m’a beaucoup appris à ce sujet parce que
j’obtenais toujours ma dose, celle dont j’avais quotidiennement besoin pour
être bien.
C’est toujours le même schéma qui se répète à l’infini ; on
veut quelque chose, on y met toute son énergie et on l’obtient. Mais selon mes
anciennes croyances, je pensais que pour me sentir bien, il me fallait ses
substances alors que mon souhait le plus cher, c’était de vivre l’amour, de
baigner dedans.
Maintenant que je sais la puissance des mots, j’émets un désir
et je sais qu’il se réalisera.
Je ne fais pas dans le détail parce que je sais
que ma vision depuis le mental est très limitée et que celle depuis le cœur
tient compte de multiples facteurs incompréhensibles et même inconcevables pour
la personnalité humaine. La chose à faire, c’est d’amplifier la confiance en
soi, Soi ; Sois, en son cœur, en sa guidance.
Plus
on s’autorise à vivre selon son désir et plus le sentiment de liberté grandit.
On s’habitue ainsi à sortir de sa zone de confort et comme on découvre un
immense paysage en revenant au cœur lorsqu’on a peur de cette grandeur, on
trouve la paix et la confiance qui permettent d’avancer, d’un cœur de plus en
plus léger.
Très
souvent, la peur de l’inconnu nous rend rigide et pour trouver de la souplesse,
de la flexibilité, agir selon son cœur, l’impulsion de l’instant, en sachant
que le but n’est pas de gagner, d’avoir raison mais de s’ouvrir, de s’expanser
dans l’amour lumière, active le féminin sacré en soi.
Cette énergie tendre,
tolérante, bienveillante, nourricière et protectrice dans le sens où elle nous
rassure, nous permet de savoir que tout est parfait, qu’il n’y a pas d’erreur
mais juste besoin de voir avec les yeux du cœur.
Quand
on laisse, les énergies qui se manifestent lorsqu’on décide de suivre son cœur,
comme la peur de l’inconnu, de l’échec, de faire fausse route, d’être ridicule,
d’être critiqué, de perdre la raison, le contact avec les autres, d’être abusé,
vampirisé, possédé, de ne plus être aimé, crédible, accepté, d’être rejeté,
moqué, méprisé, rabaissé, dévalorisé…nous traverser, juste s’exprimer, se
manifester, sans les rejeter, les amplifier, s’y accrocher, on constate qu’elles
sont des facettes de l’être qui vont former notre entièreté, nous rendre
complet, ramener à notre conscience tous nos talents, restaurer l’amour en soi
ou seulement, et c’est énorme, nous permettre de ressentir la paix, l’amour
infini.
Et comme de ces énergies découlent la joie, le plaisir d’être, la
reconnaissance de sa multidimensionnalité, la force d’exister selon ce que nous
sommes en totalité, libre, authentique, spontané, guidé, inspiré et souverain,
on ose alors se confier, tout confier à notre cœur, notre être, notre âme, la
source, sans douter une seconde d’être entendu, aimé au-delà de ce que l’on
peut concevoir.
Je
téléphone à ma mère tous les dimanches et tout le mois passé, je me retrouvais
à l’appeler à l’heure où elle mange, le soir parce que j'anticipais à devoir faire un genre de bilan de ma semaine. Je me dévalorisais à chaque fois, trouvant que je n'avais pas fait grand chose, du moins de valable à ses yeux. Puis, selon l'effet miroir, j'ai utilisé son point de vue, ses critiques sous-entendues ou supposées, pour amener en mon cœur toutes ces pensées finalement injustes. Je ne ressassais pas trop mais je m'endormais en faisant ma séance de relaxation comme pour ne pas entendre ces pensées...
Alors pour ne pas risquer de la déranger,
cette fois-ci, j'ai donc ramené mes projections mental en moi, accueilli ce qui montait en énumérant "mon évaluation hebdomadaire" et je me suis assise dans le lit pour me détendre sans m’endormir. Puis je l’ai appelée vers 18h.
Et
elle n’était pas là ! J’ai commencé à m’inquiéter
qu’elle ne réponde pas puis le mental a envisagé le pire, comme très souvent et
au lieu de le croire, j’ai regardé tout ceci d’un point de vue neutre, en
observatrice de ce monologue, de ces questions réponses.
J’ai tout mis à plat,
jusqu’à me dire que s’il fallait aller habiter chez elle pour la soutenir en
cas d’accident, j’étais prête à déménager. Le mental est très fort pour
imaginer tous les scénarios possibles mais quand on l’écoute raconter ses
histoires, on peut déjà se détendre et en plus dans tout ceci, on verra notre
vraie nature se manifester. En l’occurrence, l’amour et la lumière puisque la
décision de retourner aux sources, s’il fallait qu’elle perde son autonomie, a
révélé ce qui compte le plus pour moi : Vivre par, pour, dans l’amour.
Puis d’autres scénarios moins dramatiques sont apparus, l’équilibre s’est
installé.
Mais dans tout ceci, j’ai pu constater que j’étais moins attachée à
mes anciennes croyances, au sujet de la liberté, qu’elle n’était plus liée aux
circonstances extérieures, comme le choix du lieu de vie, auquel je ne suis pas
si attachée non plus.
Bref, ça m’a permis une introspection, une plongée dan mes profondeurs très intéressante.
C’est vrai qu’il me faut peu de choses pour
être heureuse. Je n’ai jamais été trop attachée à l’aspect matériel des choses
mais là, en regardant ce dont j’avais besoin pour être épanouie, la liste a été
réduite à l’ordinateur, les livres, les fringues et bien sûr les animaux.
Le
jardin ça n’est pas un problème puisqu’elle en a un magnifique en plus.
En un
trajet en voiture, je peux être sur place en une journée avec ma maison
dedans ! C'est sûr que tout ceci reste de la théorie, dans la réalité, je ne suis pas certaine qu'on puisse s'entendre, se respecter mutuellement dans nos différences, 24h/24.
Elle m’a rappelé un peu plus tard et m’a dit qu’elle était chez
son amie pour fêter son anniversaire. Elle a eu un malaise et s’est un peu
affolé à chercher le pourquoi mais comme elle est transparente, directe et
pratique, on a pu réfléchir à la question sereinement, ouvertement, sans tomber
dans les jeux de rôles et j’ai amené mon point de vue de la façon la plus
neutre possible.
Il ne fait aucun doute pour moi que c’est un problème situé au
niveau du corps émotionnel et du cœur.
Les émotions de peur, de contrariété, d'anxiété...nous renseignent sur notre état interne,
on sait que notre cœur se ferme, qu’il y a une tension, une forme de rigidité,
une résistance. Et comme elle règle la question des émotions, de la même façon que la majorité
des gens, (dont je fais encore relativement partie), en les empêchant de s’exprimer, il arrive un moment où le corps n’en
peut plus.
J’ai senti que j’étais guidée pour dire les choses de façon à ne pas
créer une fermeture ou un rejet supplémentaire et je crois qu’elle osera mettre
en pratique le seul "conseil" que je lui ai donné ;
se poser 5 minutes par
jour, sans rien faire, en essayant de se détendre par la focalisation sur la
respiration en laissant sortir tout ce qui a besoin de s’exprimer. Une façon de
s’habituer, de s’autoriser à vivre des émotions.
Elle a beaucoup de mal à
concevoir que tout le monde a des émotions naturellement. Elle s’imagine que
parce que les siennes sont calmes, enfin qu’elle n’a pas de peur excessive, de
sensations fortes, elle est sûre de ne pas en avoir. Évidemment puisqu’elle a
toujours exercé un contrôle dessus.
Pour elle, exprimer des émotions, ça
concerne les personnes malades, faibles, déséquilibrées. C’est la vision de la
majorité des gens et surtout de sa génération. J'en ai aussi hérité mais ça change.
L’article que j’avais publié le
matin même : "Exercice de pleine conscience autour des émotions", m’a aidé à trouver les mots et à lui faire admettre que c’est normal
d’avoir des émotions.
Heureusement qu’elle ‘croit’ au fait que notre corps nous
parle au travers des symptômes. C'était plus facile de parler de tout ça sans passer par la spiritualité!
Même si elle ne va pas jusqu’à lui parler ou
plutôt si elle s’adresse à lui en des termes assez violents et dans
l’injonction ou le reproche la plupart du temps, elle établit un contact et ça,
c’est très important. Le corps physique est rempli de sagesse, de connaissance
auxquelles nous pouvons accéder par l’écoute, l’attention. Et il n’est pas
nécessaire qu’il y ait un dialogue, le seul fait de suivre son intuition, son
désir, suffit à vivre cette unité intérieure.
On
se parle de plus en plus d’adulte à adulte, on est enfin sorties des rôles mère
fille même si je resterai son enfant. Je n’ai même pas pensé à lui souhaiter la
fête des mères !
Une chose qui me confirme que c’est le christ intérieur
qui me guidait, qui s’exprimait au travers de ma personnalité humaine ou plutôt
avec, c’est le fait qu’au départ, elle était très fermée puis peu à peu, elle a
fini par être plus souple, par reconnaitre sa rigidité.
Elle est allée jusqu’à
la limite de la dévalorisation mais je n’ai pas nourrit cela, au contraire, je
lui ai rappelé combien elle restait un guide pour moi, un miroir fidèle qui me
ramenait très souvent dans le juste milieu. Une gardienne bienveillante de mon
intégrité même si parfois c’est avec un peu de brutalité mais je sais que c’est
juste l’expression de la peur.
J’ai beaucoup apprécié de ne pas tomber dans des
jeux de rôles, de victime sauveur ou de montrer avec fierté que les ‘rôles’
mère fille avait été inversés, le temps de la conversation. J’ai juste était heureuse qu’on puisse se parler
en toute intimité, d’égal à égal, de cœur à cœur.
Finalement, il n’était pas utile d’en rajouter
en lui souhaitant une bonne fête parce que l’amour que j’ai ressenti et qu’elle
a dû ressentir aussi est un cadeau inestimable pour toutes les deux.
Ceci
m’amène à penser que l’énergie christique est très féminine, maternante.
Il
semble logique de penser que ce corps est ‘androgyne ‘ pas asexué mais
doté des qualités féminine et masculine. Et par cela aussi enfantine puisque
ces deux énergies de ‘base’ créent continuellement.
La
soirée a continué sur ces douces énergies et je suis allée sur facebook pour
mettre en ligne les articles publiés sur le blog. J’ai reçu une nouvelle
demande d’ami comme à chaque fois que j’y vais. Je devrais dire le peu de fois
où j’y vais parce que j’ai encore du mal à poser des limites. Ou à ne pas me
critiquer si j’y passe trop de temps, à interagir, discuter en message privé.
J’ai répondu à un appel de détresse et cette fois-ci, je n’ai pas eu de
reproches à me faire parce que j’ai répondu à l’appel de mon cœur. Le sentiment
d’amplifier l’amour en moi lorsque je laisse parler mon cœur est de plus en
plus fort et la sensation aussi. Je vérifie constamment la loi du don et de la
réception qui veut que lorsqu’on donne, on reçoit immédiatement.
Cet
amour est si nourrissant que je n’ai rien mangé hier soir. Je n’ai pas eu envie
et n’ai pas eu "peur" d’en subir des conséquences telles qu’une perte d’énergie.
Au contraire, je sais par expérience que le jeûne est très bénéfique. C’est un
des rituels de l’église où j’ai passé dix ans et bien que je n’ai pas gardé
cette habitude régénératrice, je suis convaincue de son efficacité.
Seulement,
pour que ce soit vraiment bénéfique, il faut que l’élan vienne du cœur, que l'envie soit spontanée, pas dogmatisée, que la
motivation soit celle de l’amour.
L’amour de soi, du christ en soi, du corps
physique et la reconnaissance de son travail incessant puis de son besoin de
repos légitime.
Par
contre, le réveil était plutôt troublé mais comme j’ai filé à la rivière à
l’heure où le soleil reflète sa lumière en elle, et accompli mon nouveau rituel
matinal revigorant pour tous les corps, ça m’a permis de rester dans l’amour et
la paix.
J’ai arrosé copieusement le jardin du voisin et le mien. J’adore voir
la terre se gorger d’eau, la végétation se dresser vers la lumière,
resplendissante de vie ! La batterie de l’appareil était déchargée et j’ai
raté des supers vues. La rosée était abondante ce matin, c’est un spectacle
magnifique !
Je crois que je vais changer mon petit déjeuner qui me pèse
sur l’estomac. J’ai pourtant déjà modifié le contenu, remplacé deux tiers de
lait de vache bio par du lait d’amande mais ça reste lourd. J’ai cueillie de la
menthe fraiche et je m’en suis bu un litre dans la soirée.
Je pense qu’aujourd’hui, ça va constituer mes
repas, au moins un des deux.
Je suis à plat, je vais m’allonger.
Hormis la digestion, je
dois être en train d’intégrer des énergies ‘élevées’ enfin puissantes parce que
j’ai dormi près de six heures d’affilée cette nuit !
J’ai remarqué aussi que je
change de visage ! Il y a quelques jours, j’ai pleuré de voir la tête de
mon père et j’ai confié à la source mon désarroi de ne pas voir dans la glace
ce que je suis moi, vraiment ! On dirait que j’ai été entendue parce que
je me ressemble de plus en plus !
Quatre
heures de repos dont la moitié peut être, où j’ai été guidée à envoyer de l’amour
lumière sur des périodes de ma vie ; l’enfance et l’adolescence.
J’ai
pensé comme une évidence, que l’enfant que j’étais ressentais cette énergie ce
qui expliquerait pourquoi malgré tout, à l’époque j’étais détendue, tranquille.
Je me suis ensuite focalisée sur la période où j’avais souffert de la mort de
la chienne qui me donnait l’affection que je ne recevais pas de ma mère puisqu’elle
allait bosser.
J’avais hurlé ma colère et c’est ce qui m’a valu une séance chez
un psy alors que je devais avoir 10 ans. J’ai pris ça comme une énorme
injustice à l’époque et n’ai pas décroché un mot.
J’ai parlé à tous les animaux
qui ont fait partie de ma vie et les ai remercié en étant émue jusqu’aux larmes.
Puis je ne sais pas si ensuite c’était des rêves ou des projections mentales
dans le temps mais j’avais vraiment l’impression d’y être, au point de me pincer
dans l’un d’eux pour voir si je ne rêvais pas ! J’ai aussi vu de la
lumière et chose étonnante, des personnages dans le livre de Steve Rother que
je suis en train de lire. Enfin, que j’essaie de lire parce que je m’endors au
bout d’une page. Mais je sens que le message passe et qu’il agit, qu’il est
intégré pendant le sommeil par ces rencontres conscience inconscience ou
subconscient. Comme si les trois cerveaux s’unifiaient ou se rejoignaient ;
néo-cortex, reptilien et lymbique. Rien que les mots employés désignent la
façon dont l’humain se considère. Les émotions associées aux lymbes, au monde
animal et les reptiliens qui pourraient naitre de ces connaissances
scientifiques et répondre aux questions "pourquoi la haine, le meurtre, la
violence…?" Comme une raison intérieure "naturelle" pour les scientifiques et une cause extérieure due à la manipulation d'entités pour les personnes qui croient aux théories archontes, ou à celles des démons, qui expliquerait le comportement de l’humain
inconscient. J'avoue que j'ai du mal à croire à ces théories et sachant le pouvoir de création de la pensée, je pencherais plutôt pour la formation d'égrégores et pas celle de "mauvais extra-terrestres"...
Ma mère dirait que c’est une façon de se décharger de sa responsabilité tout comme
la foi en dieu qui permet aux humains de revendiquer leur supériorité sur d’autres
personnes, races, peuples...et justifie les guerres.
Le poids de la culpabilité
amènerait à s’inventer des dieux et diables pour soulager sa conscience, ou
encore ‘c’est pas moi, c’est ma main’...
J’ai
lu un message de Miriadan hier soir, qui parle des vies parallèles ou simultanées.
J’avais déjà entendu parler de ça par Inelia Benz mais ça me paraissait trop
complexe bien que plausible. Là encore, mon mental patauge mais mon cœur ou mon
esprit semble à l’aise, en terrain connu. J’ai l’impression que c’est ce que
mon cerveau essaie d’intégrer en ce moment. Comme s’il cherchait à comprendre et à
interpréter.
Puis
j’en reviens toujours à la même conclusion, "est-ce que l’info te permet de
mieux t’aimer, de mieux aimer les autres, la vie ? Est-ce que ça te
procure de la joie ou de l’angoisse ?"
Pouah !
J’ai encore envie de dormir ! Le ciel a un aspect qui ne donne pas du tout
envie de sortir, c’est plombé comme si j’habitais une mégapole ! A ce
propos, j’ai vu une vidéo qui m’a bien fait marrer puisqu’elle reflète ce que
je vis et le processus de lâcher prise qui l’accompagne. Je ne suis pas allée
jusqu’à acheter une arme, mais j’y ai pensé ! Pas évident à gérer ce truc…
« Vilain copain : Vilains chemtrails »
de Burkina films
Une autre belle synchronicité des fois que je culpabiliserais
à l’idée de me reposer :
« En ce jour de votre vie, je crois que Dieu
souhaite que vous sachiez …
que courir à gauche à droite pour s’occuper de tout,
ou pour « être prêt », ne vous mènera nulle part.
que courir à gauche à droite pour s’occuper de tout,
ou pour « être prêt », ne vous mènera nulle part.
Soyez en mouvement, bien sûr, mais ne vous
précipitez pas.
Il y a une différence. La précipitation supprime la décision,
la remplaçant souvent par la panique ou l’irrationnel
ou, au mieux, par des choix mal pensés.
Il y a une différence. La précipitation supprime la décision,
la remplaçant souvent par la panique ou l’irrationnel
ou, au mieux, par des choix mal pensés.
Continuez à évoluer. Ne vous arrêtez pas. Mais
ne vous
précipitez pas. Arrêtez de courir. Certitude et constance
vous mèneront toujours au bon endroit, à chaque fois.
précipitez pas. Arrêtez de courir. Certitude et constance
vous mèneront toujours au bon endroit, à chaque fois.
Vous savez exactement pourquoi vous avez reçu ce
message.
Avec tout mon amour, votre ami … »
Neale Donald Walsche
Neale Donald Walsche
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci