Ce
matin, j’innove, j’écris ce qui me vient en tête tout en vaquant à mes
occupations.
C’est un bon moyen de ne pas être sous pression et de trouver le
temps de tout faire. D’autant plus que le fait d’être dans l’action tout en
étant présente à soi-même, permet de recevoir quelques phrases qui viennent
d’on ne sait où mais qui sont souvent pleines de sagesse. Parfois, elles sont
longues comme celles-ci et résultent d’une réflexion menée sur une période de
temps où on a expérimenté quelque chose et ça apparait comme le résumé ou la
conclusion :
« Définir
ses priorités, suivre l’élan, le désir, l’instinct, qui marchent ensembles,
être prêt à recevoir et suivre la guidance du divin pour agir efficacement
selon ses aspirations intimes. »
Un genre de rappel de l’essentiel, un
ancrage dans le mental de nouvelles idées validées par l’expérimentation.
Puis
il y en a d’autres très courtes comme la suivante mais qui donnent à 'réfléchir'.
Un peu comme si la première une fois intégrée et adoptée laissait la place à un
nouveau thème à explorer.
Quelque chose de ressenti comme une vérité, de façon
intuitive, qu’il va falloir essayer de vérifier dans le quotidien ou qui a déjà
été validée mentalement mais dont on ne voit pas encore systématiquement
l’application dans la vie de tous les jours :
« Cela
est parce que je le veux »
C’est
vrai que lorsque je vis une expérience spéciale qui m’amène à me centrer, une
fois que les pensées émotions sont harmonisées, avec un certain recul, je vois
l’aspect positif ou l’enseignement à tirer de la situation et le bien-être, la paix, la force qui en résultent.
Puis en faisant de
plus en plus souvent ce retour au cœur, soit par l’alchimie, soit par le désir
d’unité, soit lors d’un dialogue avec soi-même, d’une ‘prière’…, on commence à
voir les choses avec les yeux du cœur et on se rend compte que notre volonté
s’aligne sur l’amour, sur celle de l’âme du divin.
Mon
rituel matinal d’ancrage, de connexion à l’âme de la terre et à l’âme du ciel, m’a amené à m’adresser au
christ intérieur et l’idée qu’il me connecte à l’âme du ciel me semble
évidente. Quand je dis l’âme du ciel, je pense à la conscience Une, celle où
tout est Un.
Si
je distingue de plus en plus les deux âmes, celles de la terre et celle du
ciel, c’est que le ressenti, la connexion et les ‘rôles’ ne sont pas tout à
fait les mêmes bien que chacune d’elles servent l’ensemble de ce que je suis,
le vivant et la croissance, ça se situe à différents niveaux de l’être.
L’âme de la terre, mon âme individuelle,
celle qui forme ma personnalité, est la reliance avec l’âme de la terre qui me
connecte à mes frères et sœurs incarnés dans cette dimension; ma famille, ceux
que je croise dans la chair.
Puis elle me guide pour apprendre à gérer mon
corps physique via l’instinct, l’intuition et le désir.
Elle porte le souvenir
des différentes incarnations ou par se reliance à tous les humains, dans
l’instant présent, elle me permet d’accéder à la masse de connaissances de l’humanité,
en expériences, savoirs temporels… Pas de façon précise mais suffisante pour
m’ouvrir l’esprit et me permettre de comprendre certains aspects de la vie.
C’est comme si j’avais accès aussi à leurs points de vue, leur perspective
particulière ce qui augment la confiance en l’autre et l’amour en moi et envers
toute vie.
Le
corps christique, ou l’énergie qu’il a incarnée, a une vue plus large de ce qui
est, du plan divin et la connaissance de ce qu’est l’amour à un niveau
universel.
Cette énergie
m’enseigne les lois de l’amour, me connecte à ma famille d’âmes celle avec qui
je suis en reliance depuis la sphère galactique, que je peux retrouver sur terre
par la résonance que créé les textes que je lis sur la toile ou par des contacts spontanés, des rencontres par synchronicité.
Elle
me permet de voir ceux qui me 'dérangent' d’un point de vue beaucoup plus aimant
et par sa connexion permanente avec l’âme de la terre, cette double vision m’aide
à aimer tous les humains, enfin à être moins ‘sectaire’.
Elle
me connecte aussi aux plans de lumière où elle ‘réside’ et me prépare à
rencontrer ma famille universelle, pour le moment via les chanels qui entrent en
résonance avec ce que je suis et dont je peux ressentir une connexion très
profonde toujours par résonance.
Le corps christique plus proche vibratoirement
du plan terrestre et de la galaxie, capable de relier les deux, me prépare à
recevoir plus d’amour lumière de l’âme céleste qui est sur des fréquences
vibratoires trop pures et lumineuses pour que ce que je suis puisse le
supporter, l’intégrer.
Mais en nettoyant, les filtres du mental émotionnel et
en intégrant l’amour christique, en redevenant comme un enfant, par les énergies
du christ qui a effectué cette résurrection sur terre et en porte l’énergie, me
permettant de renaitre par le christ intérieur, la rencontre avec mon âme
céleste devient possible et ça semble être la suite logique de ce parcours.
Pour
cela, il me faut ouvrir ma conscience et mon cœur à l’amour inconditionnel, m’y
abandonner en totalité, en toute confiance, sans forcer, en étant dans l'accueil de ce qui est. C'est à dire en laissant passer les premières réactions, sans m'y attarder.
De cette façon, je prends conscience de ma reliance et
de mon interdépendance avec les autres, mais n’en souffre pas au contraire, ça
m’expanse et je ne perds pas ma singularité puisque c’est à travers l’enfant
que je suis, au regard de la source, et par la guidance de mes corps divin, que
la renaissance, l’émergence du christ intérieur se réalise, à travers mon
unicité.Selon
ma propre vibration et ma personnalité libérée de la peur.
L’amour
universel amène à libérer la peur de l’autre (par l'acceptation de ses propres 'défauts') et à reconnaitre en cette famille
d’âme, une voix commune qui fait que lorsqu’un d’eux s’exprime, c’est comme si
je m’exprimais.
De
cette façon, les notions de 'moi' deviennent 'Je' et sont absorbées, incluses, dans le 'nous', sans
perte, sans sentiment d’être abusé, lésé. La jalousie, l’envie, détectées et offertes à l'amour en soi, sont absorbés
par le fait de vivre selon les aspirations et les élans de son cœur, de son
âme.
Il
n’y a plus non plus de ‘risque’ d’être trop empathique ou de se faire pomper l’énergie
puisque la notion d‘individualité assumée et équilibrée par celle du 'nous'
fait que l’unité en soi reconnait l’unité avec les autres sans avoir besoin de
poser de limites puisqu’il n’y a plus de frontière entre tous ces corps. Du
moins l’unité intérieure et reconnue parce que vécu dans l’accueil de ses propres
ombres et aussi de sa propre lumière.
Bien
que la lumière appartienne à tous et nous relie tous, c’est dans ce corps qu’elle s'exprime, dans cette incarnation, ici et maintenant, que je peux la
diffuser, en l’intégrant par l’acceptation de tout ce que Je suis et de tout ce
qui est.
Bon,
c’est l’heure maintenant de ma connexion reliance à l’âme de la terre par ma
ballade dans la nature et le contact avec ‘l’arbre’ et la rivière’ ; une
façon symbolique et physique de nourrir les éléments qui me relie à la planète
et d’équilibrer les forces, les énergies intérieures, le masculin, le féminin
et l’enfantin.
Chacun
d’eux trouve sa correspondance dans la nature, dans ces forces et éléments et
tous se relient, sont énergisés et calés sur la fréquence de la terre mère à
travers la terre, l’eau, le minéral le végétal et l’animal. Et en même temps du
ciel, à travers le vent, l’air, l’éther et le soleil.
On compare souvent le
soleil à l’énergie masculine et la terre à l’énergie féminine mais il me semble
que chacun d'eux étant autonome, doit être complet, composé des deux énergies puisque
tout comme l’humain ils sont issus de la source.
Cet
ancrage équilibrage me situe en mon cœur, au point zéro et me permet d’unifier
les corps, de façon a être pleinement ancrée dans le
présent et de pouvoir le voir comme un cadeau. De pouvoir aussi bénéficier de
tout mon potentiel pour écrire ma journée au fur et à mesure, avec le soutien
de l’invisible, mes âmes célestes et terrestres.
Si
je parle de la connexion avec le corps christique c’est aussi par ce qu’il me
forme, m’enseigne les lois universelles
que je mets en application dans mon quotidien.
Il
est en quelque sorte le maitre enseignant et aussi guérisseur puisque sa reliance
à l’âme céleste, à la source permet d’infuser ses énergies d’unité, d’harmonie,
de santé en toutes mes cellules.
L’âme
de la terre y participe aussi puisqu’elle est reliée en permanence au christ
intérieur et à l’âme céleste, c’est le soleil et la terre qui se sont embrassés
donnant naissance à l’humanité ; la figure du masculin et du féminin
unifiés et créateur dans la matière.
L’âme de la terre me parle au travers de
mon corps physique, des symptômes, des 5 sens, d'envies qui stimulent l’appétit
par l’odorat, et l’intuition qui est reliée au christ intérieur qui lui me
parle au travers de l’intuition aussi, des sens aussi mais à un niveau plus
éthéré. Dans tous les cas, ces deux aspects de l’être se rejoignent dans le
cœur et c’est par ce portail que je suis en contact direct avec leurs énergies
L’âme
céleste, au travers du corps christique pour le moment, m’inspire, me montre
les énergies, les mondes subtils par des visions intérieures lors de
méditations, elle élargit ma conscience et insuffle ses énergies via le mental
éclairé du christ intérieur. Ce que certains appellent le mental supérieur. J’y
accède en étant calme, relaxée physiquement, en positon d’ouverture, de
recevoir et lorsque mon mental est calme, relativement silencieux ou lorsque je
ne me focalise plus sur les pensées, lorsque je les laisse s’écouler sans jugement
ou commentaire.
Ce processus se passe encore beaucoup via le sommeil mais peu à
peu, à mesure que le mental est relié au cœur, dans le processus
alchimique de la pensées émotion, ça se passe en conscience, par des visions,
des sensations bien que le terme ne soit pas tout à fait approprié puisque 'la
sensation' relève plutôt de l’âme terrestre via les 5 sens.
Ceci peut se traduire
par des frissons, une chaleur dans le ventre et au niveau du corps christique
par une ouverture de conscience de visions, des rêves éveillés et la sensation
de paix, de plénitude, de joie subtile.
Le
sommeil permet au corps physique de se reposer et aux énergies terrestres et
célestes de se rejoindre avec aisance. Au niveau mental, l’inconscient et le
subconscient se superposent, et via le corps éthérique les ajustements de fréquence
sont réalisés.
Les corps subtils sont vivifiés tout autant que le corps
physique et l’épuration de l’inconscient via les rêves, libère les corps
émotionnels et mental de la surcharge, du trauma qui pourront être revécu de
façon à libérer ce qui a besoin de l’être, un genre de reset, de renouvellent,
permettant de rejouer les scènes offrant l’opportunité de les dépasser.
Comme
l’être évolue constamment, une situation vécue et acceptée dans le quotidien permettra
de libérer les énergies bloquées et la mise à jour au niveau de l’intellect
sera réalisée de nuit permettant de passer à d’autres situations qui élèvent
l’esprit et ouvrent encore plus le cœur conscience.
Au matin, on se sentira inspiré,
connecté.
Tout ceci me vient d’une traite et je suppose que ce point de vue du
mental est le résultat de cette mise à jour suite aux libérations effectuées
ces derniers jours. C'est un point de vue subjectif qui n'est pas donné comme une vérité mais qui représente ma façon de vivre et d'interpréter tout ceci.
Une
marche rapide, quelques photos et une connexion avec le chêne et la rivière,
voilà un ancrage et une action qui me propulse dans cette journée. C’est encore
un peu la course puisque justement, je dois aller en courses…J’accueille donc
cette tendance à courir qui continue de me porter en ayant confiance que le
fait d’accepter cela en rétablira l’équilibre.
J’ai
glané quelques messages donnés par d’autres humains connectés que je souhaite
partager ici, afin de maintenir ce blog sur des énergies d’amour lumière, de
joie et de liberté d’être. Un espace de reliance à soi au travers du témoignage
d’humain comme tout le monde juste conscient de leur nature multidimensionnelle.
« Donner
la parole aux autres c’est comme parler soi-même ». Un sujet essentiel que
tout le monde a besoin de saisir et d’intégrer. Je suis souvent d'accord avec le point de vue de cet homme dont j'ignore le vécu et même s'il est encore en vie. Il semble être une référence dans les milieux spirituels puisque je trouve souvent des citations de lui sur ma page d'accueil facebook ou celle de google+
« S’aimer soi-même »
Osho
Si tu ne t’aimes pas
toi-même, tu ne pourras jamais aimer quelqu’un d’autre.
Si tu ne peux pas te
traiter avec tendresse, tu ne peux pas non plus traiter les autres avec
tendresse.
C’est psychologiquement impossible.
Si tu te détestes, tu
détesteras aussi les autres; de fait, on t’a appris à te détester !
Jamais, personne ne t’a dit : « aime-toi toi-même ! ».
L’idée elle-même semble
absurde : s’aimer soi-même ?
L’idée elle-même n’a pas de
sens !
On pense toujours que pour
aimer, on a besoin de quelqu’un d’autre.
Mais si tu n’apprends pas à
t’aimer toi-même, tu ne pourras pas non plus aimer les autres.
On t’a conditionné en te
répétant sans arrêt que tu ne vaux rien.
On t’a dit et on t’a démontré de
toutes les façons possibles, que tu es indigne, que tu n’es pas comme tu
devrais être, que tu n’es pas acceptable tel que tu es.
Il y a beaucoup de
« tu devrais » qui pèsent sur ta tête, et ces « tu
devrais » sont quasiment impossibles à satisfaire. Et quand tu ne peux pas
les satisfaire, quand tu n’y arrives pas, tu te sens maudit. Une haine profonde
surgit envers toi.
Le premier pas est de t’accepter tel que tu es.
Laisse tomber tous les « tu
devrais ». Ne trimbale aucun « tu devrais » dans ton cœur !
Tu n’as pas à être quelqu’un d’autre,
tu n’as pas à faire autre chose que ce qui t’es propre. Tu as juste à être
toi-même.
Détend-toi et sois seulement toi-même.
Respecte ton individualité, et
aie le courage d’apposer ta propre signature.
Cesse de copier les signatures
des autres.
Quand tu n’essayes pas de
te convertir en quelqu’un d’autre, alors, simplement tu te détends; et c’est
alors que la grâce surgit.
Tu te sens plein de dignité, de splendeur,
d’harmonie…
Parce qu’alors il n’y a pas de conflit !
Nulle part où aller,
aucune raison de lutter, rien à forcer, à t’imposer violemment.
Tu deviens
innocent.
Dans cette innocence, tu as
de la compassion et de l’amour pour toi.
Tu te sens tellement heureux, que même
si Dieu venait frapper à ta porte et qu’il te dise : « Aimerais-tu te
convertir en quelqu’un de différent ? »
Tu dirais : « T’es
devenu fou ? Je suis parfait, merci ! Surtout ne change rien en moi,
je suis parfait comme je suis. »
Si tu vas voir une peinture
de Picasso et que tu dis : « Ça, ça ne va pas… et ça, ça ne va pas
non plus… et cette couleur aurait dû être comme ça… », tu renies
Picasso !
Quand tu dis : « Je devrais être comme ça », tu
tentes de perfectionner Dieu !
Ce que tu dis c’est :
« Tu t’es
planté, j’aurais dû être comme ceci… et tu m’as fait comme cela ! »
Tu essayes de perfectionner Dieu ! Ce n’est pas possible.
Ta lutte est
inutile, tu es condamné à l’échec.
Et plus tu échoues, plus tu
te détestes. Plus tu échoues, plus tu te sens maudit.
Plus tu échoues, plus tu
te sens impuissant.
Et de cette haine, de cette impuissance, comment pourrait
surgir la compassion ?
La compassion surgit quand tu es parfaitement
centré.
Dis plutôt : « Oui, c’est comme ça que je suis ».
Et
sans idéaux à satisfaire, aussitôt, la plénitude est là !
Les roses fleurissent
merveilleusement parce qu’elles n’essayent pas de se convertir en lotus. Et les
lotus fleurissent merveilleusement parce qu’ils n’ont pas entendu d’histoires
d’autres fleurs.
Tout dans la nature fonctionne à merveille, en harmonie, parce
que nul n’essaye d’entrer en compétition avec qui que ce soit d’autre, nul
n’essaye de se convertir en qui que ce soit d’autre. Tout est comme il se doit.
Comprend juste ce
point !
Sois juste toi-même et rappelle-toi que, quels que soient tes
efforts, tu ne peux être nul autre que celui que tu es.
Alors détends-toi.
L’Existence a besoin de toi tel que tu es.
Il n’existe que deux
chemins : l’un, c’est de te rejeter – ou de te condamner – mais au fond
de toi tu continueras d’être le même, tu seras toujours le même.
L’autre, c’est
de t’accepter, de lâcher-prise en jubilant, en te réjouissant, et là aussi, tu
seras toujours le même.
Ton attitude peut-être différente, mais au fond de toi
tu seras toujours la personne que tu es. Dès que tu t’acceptes, la plénitude
surgit.
Osho
Cette
vidéo d’une jeune fille éclairée vue sur facebook hier soir, m’a enthousiasmée
dans un premier temps, de constater l'intelligence et la force de la jeunesse. Mais au fil de la journée, des pensées de regrets, des « si
j’avais su tout ça quand j’étais jeune et fraiche… » Alors, j’ai offert
une fois de plus tout ceci à la source, sans plus me préoccuper quel ‘corps’
entend et répond...
Aurane
Kree
« Les
jugements: les resituer comme simples outils. »...
...« La
dualité est à dépasser dans notre façon de voir la vie et le monde, mais ce
n'est absolument pas une chose à rejeter. Le mental est un prisme par lequel il
faut cesser de tout regarder, mais il n'est pas à détruire. Les jugements sont
limitants quand ils nous empêchent de voir la vraie nature des choses, mais
remis à leur juste place ils nous aident à grandir. »
Vous pourrez lire l’intégralité de la présentation de sa vidéo en cliquant ci-dessous.
Vous pourrez lire l’intégralité de la présentation de sa vidéo en cliquant ci-dessous.
Elle a fait d'autres vidéos que je découvre en ce moment et que je publierais dans un article où le thème sera en synchronicité. Puis j'apprécie celle-ci où elle s'adresse au monde, en étant simple, elle-même, ce qui illustre bien les propos d'Osho et ce que j'explore en ce moment; la relation à soi, à son image...
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci