mardi 30 décembre 2014

« Notre pire ennemi c’est nous-même » par Isabelle Taubes





Les parents ne sont pas seuls en cause ! Manquer d’audace ou se dévaloriser, c’est aussi une histoire entre notre moi et notre surmoi…

Les petites phrases insidieuses, les comportements et les désirs étouffants des parents n’ont d’effet que lorsqu’une part de nous – que, naturellement, nous ne maîtrisons pas – leur donne son assentiment.

Trompeur, notre moi est loin d’être fiable
" Une patiente, se souvient Gérard Louvain, ne cessait d’évoquer son manque de confiance en elle. Alors j’ai clos la séance ainsi : “Vous avez parfaitement raison de douter de la fiabilité de votre moi.” Ma patiente est restée sans voix. Je voulais lui signifier que le moi n’est qu’une façade trompeuse, le siège de croyances qui mentent sur nos désirs réels et nous égarent. " En effet, le moi est une construction, fabriquée à partir des différents modèles – papa, maman, l’institutrice, le héros du feuilleton télé… – adoptés au cours de notre vie. Nous avons besoin d’eux pour bâtir notre personnalité, mais, simultanément, ils nous empêchent de savoir qui nous sommes et ce que nous voulons réellement. C’est notre moi qui, par exemple, nous incite à être, tel papa, un grand séducteur. D’où, comme par hasard, une forte inhibition au moment du passage à l’acte amoureux : l’imiter, n’est-ce pas en quelque sorte prendre sa place ? Pour protéger notre idole, une seule solution : échouer là où il réussit.

« Identités multiples unifiées »





Je n’ai pas envie de bouger aujourd’hui et pourtant, je dois m’occuper de la paperasse. Il n’y a pas vraiment urgence mais j’aime mieux régler les choses au plus vite de façon à être tranquille, à ne pas risquer d’oublier. J’ai beaucoup progressé à ce niveau là ! Je ne pouvais m’identifier à un numéro, un genre, à mon nom de famille, mon lieu de naissance et tout ce qui s’y attachait. C’était pour moi totalement réducteur et à côté de la réalité, celle de mon ressenti, et cela avant même que je m’intéresse à la spiritualité, du moins telle que vécue sur terre, que je ne m'y retrouvais pas.
Maintenant que j’ai fait la paix avec mon passé, ma famille, et que je sais sans aucun doute qui je suis réellement, même si je ne peux le définir précisément sans me heurter aux limites crées par le fait de nommer, d’étiqueter, ce volet administratif, la façon dont la société m’a rangé dans une case, ne me dérange plus puisque ça n’est qu’une facette de ce que je suis en réalité, en totalité. Ce ne sont plus l'extérieur ni mes choix de vie qui me définissent
A la question qui suis-je, se succèdent une série de réponses qui en s’ajoutant forment un ensemble qui me caractérise. S’identifier à un seul de ces aspects revient à s’amputer, à se renier, à limiter son potentiel et ça créé une sensation de petitesse, de manque/besoin, de confusion, d’impuissance et de division qui amène à croire que l’autre, l'inconnu, est un ennemi potentiel.

lundi 29 décembre 2014

« Communiquer avec nos proches défunts » vidéo créée par Sandy





C’est puissant ce matin ! Comme je me laisse guider de plus en plus par les élans, les désirs, que je ne cherche plus à refréner ou à interpréter systématiquement ou encore à évaluer si c’est approprié ou non, tout s’écoule facilement et à propos. 
Ma méditation sur le trône, (en fait c’est juste un « rituel » où je remercie la Terre Mère de me nourrir, de soutenir mon corps physique, de me faciliter grandement le quotidien en prenant en charge l’aspect matériel des choses), m’a amenée à parler à mon enfant intérieur et à ma famille galactique dont l'origine serait Orion, selon ma guidance intérieure. 
Puis, c’est venu comme une évidence, cet enfant en moi, est un membre de cette famille, il est cet aspect intérieur directement relié à l’âme et à la présence divine, comme leur enfant, leur création commune que j’incarne sur cette terre. 
Mon rôle, c’est de lui permettre de s’exprimer, de libérer les traumas enregistré par l’âme afin qu’il puisse grandir et s’épanouir en toute quiétude. Retrouver la conscience divine père mère en moi, reconnaitre ma filiation et ma mission de vie, qui consiste à être et laisser être cet aspect lumineux intérieur que j’ai géré avec des drogues faute de connaitre mes capacités à le prendre en charge. 
Cet enfant, il est ce que je suis en vérité, sans fard, sans faux semblant, sans honte ni culpabilité, amoureux de l’amour, de la paix, de la liberté et de la Vie. Il est mon audace innocente et rêveuse et pour le prendre en charge, il me suffit d‘appeler les énergies de la source père mère, de l’âme, de la présence, afin qu’il puisse s’épanouir et exprimer son originalité, ses couleurs particulières, sa combinaison énergétique spécifique, sa propre mélodie.

dimanche 28 décembre 2014

« Vous êtes en train de devenir des citoyens galactiques » l’Archange Michael via Ronna Herman





Bien-aimés, le Conseil Cosmique de Lumière est en train de rendre les enseignements avancés de sagesse disponibles de toutes les façons possibles, de sorte que tous ceux qui souhaitent le faire aient l’opportunité de rejoindre les rangs de l’Humanité en Ascension.
Précédemment connu comme La Grande Fraternité Blanche, le Conseil Cosmique de Lumière est une division de l’ordre de Melchizedek. Il est composé d’Êtres spirituels, non physiques, supérieurement évolués venant de toutes les régions de cet univers ainsi que de membres choisis du Royaume Angélique, d’un grand nombre de Maîtres Ascensionnés de la Terre, et aussi de beaucoup d’Initiés avancés de la Terre qui représentent le grand nombre.
Que vous acceptiez ceci comme votre vérité ou non, vous êtes en train de devenir des citoyens galactiques, et une des futures étapes de conscience cosmique sera la réunion avec de nombreux membres de votre famille de Lumière solaire et  galactique. Dans un temps futur, soyez assurés qu’il sera demandé à certains d’entre vous de rejoindre le Conseil de Lumière en tant que représentants de l’humanité et de la Terre en ascension.

« Un temps d’hibernation propice à l’écoute bienveillante de soi et à la paix » & dernière vidéo Darpan





Je savoure encore la bonne nouvelle du stage reporté, qui me donne la possibilité de vivre cette période d’hibernation dans le confort, sans aucune pression. La tombée des masques et le déchiffrage des langages, mode d’expression des corps, qui demande d’être à l’écoute de soi, en totale confiance, se réalisent dans l’intimité, et c’est facilité par le confort du corps physique, qui favorise le calme mental approprié dans l’accueil de ce qui se manifeste en soi.
Tous les personnages intérieurs ont été élaborés à partir de croyances fausses, de la peur, du manque et du besoin et en observant depuis le cœur, dans l’accueil des pensées et émotions qu’elles génèrent, l’équilibre qui se réalise naturellement, les ramènent à leur juste place. En amenant ces énergies au point zéro, par la respiration consciente, le fait de casser le réflexe premier de déni, de rejet, restaure l’équilibre énergétique et en même temps l’amour vrai de soi.
C’est un processus qui me fascine tellement c’est libérateur et révélateur de notre vraie nature. « Il n’y a rien à faire mais juste à être » commence à prendre tout son sens dans cet exercice.

samedi 27 décembre 2014

« Gratitude infinie »





J’ai le cœur en fête depuis hier après midi, depuis que je sais que le stage ne commencera pas avant le printemps ! Bien que j’aie une grande envie de m’immerger dans la société, la vie active, je ne me sens pas tout à fait prête à le faire sans risquer de retomber dans les jeux de rôle. 
L’introspection bienveillante me montre les schémas de survie qui se mettent en place et je commence à bien connaitre mon enfant intérieur et son pouvoir de saboter tout ce qui n’est pas conforme à son idéal. 
Je pourrais tout aussi bien parler de mon âme puisque ces deux énergies sont très semblables. 
Ce que « l’adulte », c'est-à-dire la personnalité formatée, considère comme de l’auto-sabotage est en fait une tentative de la source de vie de nous ramener à la raison du cœur, à oser se faire confiance en totalité.
L’élan ce martin, m’a poussé à cliquer sur le lien du site de Pamela Kribbe où j’ai eu l’agréable surprise de trouver trois nouveaux messages qui viennent amplifier la confiance en ses élans que je continue de réfréner quand il s’agit d’exprimer des émotions que personne n’aime vivre et voir. 
Mais ça change au fur et à mesure que je m’autorise à être tout ce que je suis. 
Et je constate que l’élan est toujours légitime pour un aspect intérieur ou même plusieurs.

« Le Son est le souffle de vie en mouvement » l'énergie des élohims via Aurélie Pech





L’énergie des élohims, retrouver la connexion…
Chère sœur de lumière, nous sommes en toi maintenant, nous sommes les élohims, les maîtres du Son originel.
Le Son est le souffle de vie en mouvement, nous maîtrisons le son afin de projeter la volonté de la Source dans tout le Cosmos. Afin que cette volonté prenne forme, prenne Vie.
La Vie c’est le Son, le souffle de la Source en mouvement est ce Son.
Il se décline en plusieurs octaves, en plusieurs niveaux sonores, à l’infini. 

Il existe une infinité de formes dérivées du Son, il existe ainsi une infinité de Mondes qui se superposent les uns les autres sur des bandes de fréquences variées.
Vous êtes partout à la fois en réalité, car vous êtes une forme qu’à pris le Son pour s’exprimer dans le cosmos.