Plus je découvre qui je suis et plus je me rends compte de
la complexité de l’humain divin. La lumière qui révèle l’ombre permettant ainsi
de trouver l’équilibre, élargit l’horizon et toutes les croyances apparaissent
comme des cadres de références qui forment des repères tout autant que des
limites. Mais les limites elles-mêmes ne sont plus vues comme des barrières
mais comme des garde fou. Elles permettent d’évoluer dans un espace « protégé »
et lorsqu’on en a fait le tour, on peut alors les sublimer ou les élargir.
Quoi
qu’il en soit, elles appellent à être vues et acceptées afin d’être
reconsidérées.
En amenant une croyance au cœur, au point zéro, en la
considérant sans la juger, on en voit les bénéfices et les inconvénients puis l’alchimie
intérieure qui se réalise en libérant le surplus énergétique va la rafraichir, l'actualiser. On s’en détachera sans
pour autant la considérer comme nulle mais on n’en fera plus une absolue
vérité.
La croyance est l’interprétation mentale des énergies
divines en soi, de l’intuition et de l’interaction entre nous et l’autre, l’extérieur.
Elle n’est pas indispensable pour celui qui ne doute plus de sa vraie nature et
qui veut suivre l’élan du moment.
Cependant elle est très utile lorsqu’on on
est en quête de sens, pourvu qu’elle demeure une marche de l’escalier qui nous
ramène au cœur.