Ce matin, je me suis encore réveillée à 4h20 mais cette fois ci, je
me suis recouchée bien que je n’avais pas l’impression d’être fatiguée. En
voyant la lune bien grosse hier, j’ai compris pourquoi j’avais tant d’énergie.
Je n’ai
plus besoin de faire de sieste contrairement à l’année passée où je pouvais
rester allongée pendant deux heures. J’avais besoin de me relaxer, de me
calmer, de me tourner vers l’intérieur afin de goûter la paix et de me maintenir
sur cette fréquence tout au long de la journée.
La peur me manipulait encore et ces
moments d’introspection dans le calme et la détente m’ont permis de libérer
beaucoup d’énergies bloquées. Il a fallu deux heures de relaxation quotidiennes,
pendant plus de deux ans pour inverser la tendance au niveau énergétique ;
pour passer de la peur à la sérénité. Parallèlement, en revenant au cœur régulièrement,
le mental a pu faire le tri dans les croyances et surtout celles relatives à la
vision que j’avais de moi-même.
Maintenant que le mental a élargit son champ de vision par
son contact conscient avec le cœur, il n’a plus autant besoin de preuves et le
bavardage se fait plus calmement. Il m’arrive même d’avoir des moments de
silence intérieur !
La tendance à juger n’est plus automatique même si j’ai
encore besoin de me poser parfois quand quelque chose me dérange au point de
faire baisser mon taux vibratoire. Je précise que lorsque je parle de taux
vibratoire, je pense aux différents états d’être plus ou moins proches de l’amour.
C’est relatif à la sensation éprouvée et pour le moment j’essaie de reconnaitre
ces différents états et les pensées qui leurs sont associées.
De cette façon,
dès que mon mental nourri celles qui sont injustes, dans le sens de dépourvues d'amour, je peux revenir au cœur,
avant même qu’une émotion se manifeste. En calmant le corps physique, je peux
alors laisser l’émotion s’exprimer sans crainte.
L’abandon du jugement m’a
permis de revisiter mes croyances en profondeur et de les relativiser. Les énergies libérées
des étiquettes positives et négatives, se montrent d’une toute nouvelle façon,
beaucoup plus équilibrées.
Je continue de nourrir consciemment celles qui sont
relatives à l’amour inconditionnel, la paix, la liberté et la joie et je n’alimente
plus la peur. Je ne cherche pas à l’éradiquer puisqu’elle a son utilité, dans l’instinct
de survie ou les automatismes physiques.
J’apprends à la détecter derrière des
émotions qui reflètent des croyances de rejet de soi, de sentiment d’illégitimité,
de victime…et constate qu’elle est une mise en évidence du blocage de la
circulation de l’amour, à chaque fois.
J’ai été étonnée de constater que je nourrissais de la
jalousie alors que j’imaginais que ça n’étais pas le cas. Être à l’écoute de l’enfant
intérieur permet de savoir ce que nous portons et nourrissons, au plus profond
de notre être, dans l’inconscient.
Les croyances adoptées dans l’enfance
continuent de faire loi tant qu’on ne les voit pas. J’ai conservé dans ma
mémoire la jalousie naturelle, vécue
entre sœurs dans l’enfance et bien qu’elle ne fût pas franchement active, elle continuait
de fausser ma relation aux autres, aux femmes, en particulier. Ma conscience d’adulte
est sereine à ce niveau là mais les souvenirs d’enfance, les schémas comportementaux
créés à l’époque, continuent de fonctionner dans mon dos, si on peut dire.
Je
peux voir dans quelle mesure j’ai libéré cette croyance, selon ma réaction à la
lecture de messages publiées par des femmes.
La rivalité entre femmes est un schéma de l’inconscient collectif, qui s’ajoute à mon propre vécu. L’éducation
basée sur l’esprit de compétition amplifie cette rivalité qui existe jusque
dans les foyers entre sœurs mais surtout entre mère et fille.
Je ne suis
pas mère mais j’imagine une femme de quarante ans qui gère tant bien que mal le
temps et ses effets, l’image qui se fane, et en même temps qui voit sa fille
devenir celle qu’elle n’est plus !
Les cycles d’évolution de l’humain permettent de se
détacher peu à peu des apparences, des croyances egotiques, du besoin de
contrôle, mais pour cela, il faut être en contact avec le divin en soi, savoir
quelle est notre vraie nature.
L’âme ne manque pas de nous appeler mais la peur
nous empêche de l’entendre, peur de ne pas être digne, de ne pas mériter l’amour
ou encore d’être jugé, puni, impur, imparfait…
Pendant l’enfance, on apprend à connaitre le monde qui nous
entoure, on est attiré vers l’extérieur, vers les néons des villes, les foules, curieux de savoir comment fonctionne
le monde, la société, puis à l’adolescence, les énergies de la sexualité qui
circulent alors, poussent à la rencontre de l’autre intimement, en même temps
que l’on choisit de s’orienter professionnellement.
Ce qui cause problème, ce
sont les méthodes d’éducation inadaptées aux cycles naturelles. Non seulement
on n’apprend rien à propos des émotions, des énergies mais en plus tout étant
basé sur la compétition, on s’éloigne de son cœur au fur et à mesure que l’on
voit comment tourne le monde.
Il faut passer les trois quarts de sa vie à se lever comme
un robot, tous les matins, pour aller gagner sa vie, pour arriver à comprendre
que le monde des apparences, l’aspect matériel de la vie est synonyme d’illusion,
que la société nous formate et que la compétition ne peut pas nous satisfaire. Pour
sortir de ce train train quotidien, de cet endormissement, il faut parfois une
crise, un deuil, une rupture tellement nous sommes éloignés de notre cœur. Pour
remettre en question nos croyances à propos de l’amour, on devra connaitre la
douleur d’une séparation.
On a vite fait d’associer l’amour à la souffrance
parce qu’en fait on ne sait pas aimer. Bien que ce soit la nature essentielle
de l’humain, son essence primordiale, toutes nos croyances sont faussées parce
qu’on appréhende l’amour à partir de l’intellect.
L’amour que nous vivons, est
chargé de peurs, notre conception même de ce qu’il est faussée parce qu’on
croit en être privé. Et pour cause puisque dès l’enfance, on se conforme aux attentes
des autres, par nécessité.
On s’éloigne de son ressenti, de son intuition, parce
qu’elle nous isole du reste du monde. Le cœur fonctionne à l’inverse du courant
de la société et quand on ose suivre son cœur, si on ose être vrai, on est vite
marginalisé. Mais on s’exclue soi-même parce que notre ego dirige notre vie, la
peur nous empêche de ressentir que nous sommes l’amour.
Mon cœur est devenu mon refuge, mon confident, mon
générateur d’ondes de Vie, mon soleil intérieur, qui nourrit mon besoin d’amour,
de paix et de joie. Comme je n’associe plus l’amour aux émotions, comme j’ai
compris que l’émotion m’invite à venir en mon cœur, qu’elle est une messagère
de l’âme, j’apprends à faire ce mouvement intérieur qui transforme ma vie en
douceur. A mesure que je diminue les cachets, ma vraie nature se manifeste et
tout se fait naturellement, sans forcer. Mes habitudes changent petit à petit,
je m’occupe plus de mon corps physique, je l’écoute, détecte les signes de
tensions, le froid, le chaud, je retrouve des sensations naturelles, mon
potentiel, mes vrais besoins.
Là aussi, au début, c’était assez flou, j’essayais
de déterminer quels étaient mes vrais besoins mais c’était une stratégie
mentale, une tentative de contrôle. Mes vrais besoins s’expriment dans l’instant,
dans l’élan du moment et il me suffit de suivre mon cœur puisque le plus grand besoin, c'est l'amour.
Il n’y a pas de
parcours déterminé, de régime spécial à suivre, la vie s’exprime en moi selon
sa volonté et comme je fais confiance au divin, à mon corps physique et à la bienveillance
de la vie, je me laisse porter par son mouvement.
J’ai fait un petit tour sur le
site de Monique Mathieu où j’ai pioché ces clefs :
Clef 850
« Nous insistons sur ceci : ne culpabilisez jamais,
même si vous n’arrivez pas à atteindre le ou les buts que vous vous êtes fixés.
Vous réaliserez demain ou après-demain ce que vous n’avez pas pu réaliser
aujourd’hui ! Surtout de culpabilisez pas ! La culpabilité
nourrit l’erreur ! La culpabilité vous immobilise dans une certaine
énergie. Certes, vous pouvez constater, mais vous ne devez jamais nourrir cette
constatation ! Il en est de même pour tous les sentiments
inférieurs ! Ne nourrissez jamais les pensées inférieures et les
sentiments inférieurs ! »
Clef 571
« Mettez à profit le petit temps qui vous est accordé
pour parfaire ce que vous êtes. Pour que vous puissiez réellement vous
transformer, il faut que vous ayez conscience de ce que vous avez à transformer
en vous-même, et si vous êtes suffisamment à l’écoute, vous le saurez avec
certitude ».
Clef 161
« Petit à petit, vous vous rendrez compte
de tout ce que votre corps peut vous restituer ; vous retrouverez la clé de la
porte d’accès à des fonctions que vous ne connaissiez pas, que vous ne
soupçonniez pas en lui. N’oubliez pas que votre corps est un véhicule parfait,
un outil extraordinaire et qu’il faudra, dans la prochaine dimension, que vous
appreniez à vous en servir dans sa totalité. »
C’est exactement ce que je
ressens. L’introspection par le ressenti révèle la beauté du corps physique, de
son fonctionnement, de son potentiel. Maintenant que je le considère comme un
ami au même titre que le divin intérieur, j’ai envie de l’honorer, de le
respecter et de découvrir d’autres trésors, talents, dons…
Clef 821
« En ce moment, beaucoup d’êtres humains somatisent
dans leur corps ; c’est le résultat des pensées inconscientes imprégnées dans
le subconscient. En ce moment, beaucoup d’êtres humains nettoient toutes les
imprégnations d’émotions, de souffrance, de tristesse vécues dans cette vie ou
dans d’autres ; c’est le grand nettoyage avant l’émergence totale vers cette
autre partie d’eux-mêmes, vers une autre partie d’eux-mêmes sublimée. Avant
qu’ait lieu l’émergence du double de vous-mêmes, il faut nettoyer, donc évitez
de somatiser, évitez de vous charger plus que ne le faudrait ! C’est pour
cette raison que nous avons dit maintes et maintes fois de couper
émotionnellement, avec toute souffrance et toute tristesse que vous avez vécues
dans cette incarnation ; bien sûr, vous pouvez avoir de merveilleux souvenirs,
mais que ces souvenirs vous remplissent de joie et non de tristesse. A ce
moment-là, vous serez certains qu’il n’y aura pas d’imprégnation de
l’inconscient dans le subconscient et qu’il n’y aura pas de somatisation. »
Clef 324
« N’oubliez pas que vous tous et tout ce qui habite ce
monde, êtes en train de vivre une renaissance. Une renaissance est toujours
difficile, surtout dans les conditions dans lesquelles vous devez la vivre, car
il vous faut oublier tout ce que vous avez été, il vous faut simplement donner
de l’énergie à ce que vous êtes, à ce que vous devenez. »
Clef 2
Si vous aviez seulement une plus grande idée de
ce que vous êtes, vous rayonneriez en permanence l’Amour et la Lumière. Tout
vous paraîtrait facile ! Vos difficultés ne sont souvent qu’une vue de
l’esprit ! Vous devez toujours vous placer au-delà de toute difficulté,
au-delà de toute souffrance.
Clef 501
Lorsque vous avez des soucis, quels qu’ils
soient, essayer de vous raconter, même dans votre tête, des histoires qui
peuvent vous faire rire ou de penser à des moments où vous avez manifesté de la
joie, et vous verrez que cela vous aidera à relativiser beaucoup les
expérimentations plus ou moins difficiles de votre vie.
Bien que j’accueille ce qui vient
au fur et à mesure, je connais aussi la rapidité du mental à se faire des films,
encore plus en cette période de mise à nu, alors j’ai anticipé le risque de
déprimer à cause du sevrage, en écoutant des émissions de radio qui traitent l’actualité
avec dérision. Enfin j’ai suivie cette envie puisque l’élan est une expression
de la vie en soi, et même si je n’en comprends pas le sens sur le moment, avec
du recul, je constate que c’était pertinent. Suivre son cœur dans des
situations qui n’engagent que soi est relativement facile mais quand il y a d’autres
personnes concernées, ça n’est pas évident.
J’ai regardé ces deux vidéos hier matin et j’ai préparé l’article
pour le publier mais au moment de le faire, j’ai commencé à me dire que j’avais
déjà posté des vidéos qui abordent le thème de l’expérience de mort imminente.
Je me suis sentie poussée à les regarder alors que je n’en avais pas « besoin »
puis j’ai douté que ce soit une inspiration de mon âme.
Je me suis tellement
posé de question que j’ai fini par laisser tomber en me disant que si c’était
un élan de mon âme, elle m’inciterait à le publier aujourd’hui. Et bien c’est
fait ! Mon ego se demande pourquoi mais bon il faut qu'il s'habitue à lâcher le contrôle.
J’ai copié-collé la présentation de la vidéo, publiée sur You
Tube. Pour ceux qui voudraient entrer en contact avec les intervenants, vous
trouverez les liens de leur site respectif, sur la page d’origine, (en cliquant
sur le lecteur « regarder sur You Tube »).
Là encore, je suis mon cœur
bien que le mental s’interroge. Ce qui me confirme l’origine de cet élan, c’est
la teneur de ces questions. Elles sont portées par des peurs que seul l’ego
peut craindre.
"Au-delà de notre vue" est un documentaire qui
traite des expériences aux frontières de la mort, du fonctionnement de notre
cerveau, et de la communication avec l'au-delà.
Nous vous proposons de partir à la rencontre de personnes ayant eu des visions de l'au-delà à la suite d'une mort clinique ou d'un coma.
Le Dr Jean-Jacques Charbonier, qui récolte les témoignages de ces « expérienceurs » depuis de nombreuses années, nous livre une explication de ces phénomènes grâce à une modélisation inédite du cerveau humain. Cette grille de lecture ouvre la porte à l'hypothèse selon laquelle la conscience peut subsister après la mort physique, et que nous pouvons communiquer avec un au-delà.
Les médiums Reynald Roussel et Florence Hubert témoignent de leur extraordinaire faculté à percevoir dans leur quotidien, cet au-delà.
Que vous soyez sceptique ou non, ce documentaire vous enrichira et il vous fera vous poser des questions passionnantes sur cette question universelle que représente la mort.
Intervenants :
- Jean-Jacques Charbonier (anesthésiste-réanimateur)
- Reynald Roussel (médium)
- Florence Hubert (médium et expérienceuse)
- Cathy Cavaleiro (expérienceuse)
- Jean Morzelle (expérienceur)
Nous vous proposons de partir à la rencontre de personnes ayant eu des visions de l'au-delà à la suite d'une mort clinique ou d'un coma.
Le Dr Jean-Jacques Charbonier, qui récolte les témoignages de ces « expérienceurs » depuis de nombreuses années, nous livre une explication de ces phénomènes grâce à une modélisation inédite du cerveau humain. Cette grille de lecture ouvre la porte à l'hypothèse selon laquelle la conscience peut subsister après la mort physique, et que nous pouvons communiquer avec un au-delà.
Les médiums Reynald Roussel et Florence Hubert témoignent de leur extraordinaire faculté à percevoir dans leur quotidien, cet au-delà.
Que vous soyez sceptique ou non, ce documentaire vous enrichira et il vous fera vous poser des questions passionnantes sur cette question universelle que représente la mort.
Intervenants :
- Jean-Jacques Charbonier (anesthésiste-réanimateur)
- Reynald Roussel (médium)
- Florence Hubert (médium et expérienceuse)
- Cathy Cavaleiro (expérienceuse)
- Jean Morzelle (expérienceur)
« Au-delà de notre vue »
Partie 1, EMI ou NDE en anglais
Notre esprit peut-il survivre à la mort ?
Que se passe-t-il après ? Où allons-nous ?
Des êtres qui nous étaient chers peuvent-ils toujours nous voir
et nous ressentir après leur décès ?
Quels sont leurs messages ?
Ce documentaire indépendant (54') se propose ainsi d'être une suite du documentaire « Au-delà de notre Vue »
Que se passe-t-il après ? Où allons-nous ?
Des êtres qui nous étaient chers peuvent-ils toujours nous voir
et nous ressentir après leur décès ?
Quels sont leurs messages ?
Ce documentaire indépendant (54') se propose ainsi d'être une suite du documentaire « Au-delà de notre Vue »
Partie 2, la médiumnité
Réalisation : Anthony Chene
http://www.anthonychene.com
Musique : Rémi Saïki
Si vous souhaitez commander le DVD :
https://www.paypal.com/cgi-bin/webscr...
Contact : tistryaprod@gmail.com
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci