mercredi 10 décembre 2014

« Cet indispensable amour de soi »





S’aimer soi-même ne va pas forcément de soi. Notre image est pourtant fondamentale pour structurer notre comportement. Et, à travers lui, notre rapport aux autres.
Isabelle Yuhel
Si Dieu devait dicter ses commandements à Moïse aujourd’hui, il ajouterait certainement aux dix existants : « Tu t’aimeras toi-même, autant sinon plus que ton prochain, tu prendras soin de toi, tu veilleras à ton bien-être, etc. » !
A l’ère de l’individualisme triomphant, de la valorisation tous azimuts du "moi" et de ses formidables potentialités, l’amour de soi prend figure de devoir. Il apparaît même, pour 69 % des Français, comme la condition sine qua non de l’amour d’autrui (in “Francoscopie”, G. Mermet, Larousse 1999).

L'importance de s'aimer
A première vue pourtant, l’idée de s’aimer soi-même paraît futile, ridicule comme s’il n’y avait rien de plus important dans l’existence ! – ou très prétentieuse. 
Traditionnellement et culturellement, c’est sur la capacité d’aimer autrui qu’est mis l’accent. 

mardi 9 décembre 2014

« Le chant de la Grâce » par Alain Degoumois





Au-delà des apparences visibles se tient quelque chose qui n’est pas visible avec les yeux.
Au-delà du langage se tient quelque chose qui n’est pas accessible avec les mots.
Au-delà de l’écriture se tient quelque chose qui échappe aux phrases.
Au-delà de tous les enseignements de sagesse se tient une sagesse qui échappe aux enseignements.
Au delà de tout ce que l’on peut dire, lire, croire ou répéter, réside quelque chose qui est de l’ordre de la Grâce.
La Grâce ne nous appartient pas. Elle ne peut être ni saisie ni asservie. Elle arrive comme un voleur…
Ce qui nous appartient uniquement, c’est notre façon d’être présent à nous-mêmes, de nous écouter et de nous pardonner. Laisser tout ce qui remonte à nous s’exprimer, avec compassion, sans attachement. Laisser nos nébulosités remonter à la clarté de notre conscience.
Être tout simplement le spectateur compatissant et attentionné de soi-même.
Accepter et pardonner, s’accepter et se pardonner.
Apprendre à nous connaître en nous autorisant nos imperfections, nos colères, nos peurs et nos rancœurs.
Car c’est en autorisant nos rancœurs que notre cœur se rend à nous…

« On est libre, dès lors qu’on dit « Oui » à ce qui est »






Tout comme hier, l’envie d’écrire n’est pas prédominante. Il y a comme une lassitude générale à parler de mon quotidien et la sensation que l’heure est plutôt au silence. Comme si quelque chose se tramait en profondeur, un genre de germination dont je n’ai aucune idée du résultat. En lâchant certaines croyances, les anciens repères qu'ils formaient, n’ont plus de sens et ça créé une sensation de perte, de vide, que je ne crains pas parce que je ne suis plus dans l’attente mais plutôt dans la confiance. Ce n’est pas non plus vraiment un vide mais un espace nouveau se créé en moi comme pour accueillir le nouveau. 
Par définition, c’est un parfait inconnu il est donc inutile d’anticiper. Il s’agit plutôt de continuer de maintenir la paix en dedans, d’observer ce qui est et de s’offrir la liberté d’être. A ce niveau, les résistances tombent en même temps que les masques.

Cette liberté que je pensais trouver en dehors, pour laquelle je pensais devoir me battre, que je revendiquais, est en fait un état d’être que je peux m’autoriser à vivre, à chaque instant, simplement en suivant l’élan du moment.

lundi 8 décembre 2014

« Mickaël transforme son épée en pont de Lumière » les EdL* via Monique Mathieu





Je ressens l'énergie de Mickaël. Il a une énergie très puissante, encore beaucoup plus puissante que jamais. Il me dit :
« Pour toi qui transmets, je vais essayer de minimiser un petit peu la puissance de mon énergie afin qu'elle ne te gêne pas.
Vous avez pratiquement terminé une année supplémentaire. Chacun de vous a œuvré, chacun de vous a vraiment voulu avancer, et je le sais ! Beaucoup de vous m'ont sollicité plusieurs fois, et une infime partie de ce que je suis a été près d'eux.
Il y a fort longtemps, je vous ais dit qu'avec mon épée de Lumière je pouvais trancher les chaînes qui relient à votre passé, un passé plus ou moins douloureux dont vous devez absolument vous défaire.
Maintenant ce n'est pas mon épée de Lumière que je brandis pour couper les liens avec votre passé. Je la mets devant vous comme un pont extrêmement lumineux entre votre présent et votre futur, entre ce que vous êtes et ce que vous devenez.
Vous pouvez franchir ce pont qui est offert à chacun de vous, mais pour le franchir il est bien évident que vous devrez lâcher encore et encore prise avec votre façon de vivre, d'être et de concevoir. Vous devrez vous dépouiller, et à ce moment-là mon épée se transformera réellement en un pont que je mets à votre disposition pour vous faire passer d'une rive à l'autre, et surtout pour vous faire passer de la conscience actuelle à la conscience supérieure.

dimanche 7 décembre 2014

« Aie confiance en tout ce que tu es, laisse l'amour te ramener à la Vie en douceur »





Le vent est violent ce matin mais la chaleur accumulée durant la soirée maintient l’appartement dans une douce et paisible ambiance. J’ai demandé à être guidée pendant la nuit, vers ma présence divine et qu’elle charge la part « voyageuse nocturne », d’énergie d’amour, de tendresse, de fluidité et donc de guérison, afin qu’elle les ramène en mon corps physique. Je n’ai pas de souvenir précis de cette rencontre mais je ne doute pas qu’elle ait eu lieu puisque ce matin, je suis sereine, la douleur de la sciatique est toujours là mais comme un « bruit de fond », un léger rappel à être présente, ancrée, centrée et à lâcher prise.
Cette notion est très difficile à intégrer parce que ça demande de s’abandonner totalement, d’avoir une confiance aveugle en la source et en son cœur. C’est un mode de fonctionnement complètement inverse de celui du mental qui ne sait pas faire un pas sans savoir où il s’aventure. Il n’y a pas non plus à lui en vouloir mais juste à se mettre "à sa place" pour comprendre qu’il ne lutte pas mais qu’il ne fait que continuer son job de protecteur et à l’amener en douceur, à se diriger vers le cœur dès que ça coince en dedans. Je peux vous garantir qu’il se réjouit de la rencontre avec l’âme envers qui la confiance grandit à mesure qu’il est imprégné d’amour divin dans cette communion.

samedi 6 décembre 2014

« Au-delà de notre vue » 2 vidéos d'Anthony Chene: témoignage EMI et médiumnité





Ce matin, je me suis encore réveillée à 4h20 mais cette fois ci, je me suis recouchée bien que je n’avais pas l’impression d’être fatiguée. En voyant la lune bien grosse hier, j’ai compris pourquoi j’avais tant d’énergie. 
Je n’ai plus besoin de faire de sieste contrairement à l’année passée où je pouvais rester allongée pendant deux heures. J’avais besoin de me relaxer, de me calmer, de me tourner vers l’intérieur afin de goûter la paix et de me maintenir sur cette fréquence tout au long de la journée. 
La peur me manipulait encore et ces moments d’introspection dans le calme et la détente m’ont permis de libérer beaucoup d’énergies bloquées. Il a fallu deux heures de relaxation quotidiennes, pendant plus de deux ans pour inverser la tendance au niveau énergétique ; pour passer de la peur à la sérénité. Parallèlement, en revenant au cœur régulièrement, le mental a pu faire le tri dans les croyances et surtout celles relatives à la vision que j’avais de moi-même.
Maintenant que le mental a élargit son champ de vision par son contact conscient avec le cœur, il n’a plus autant besoin de preuves et le bavardage se fait plus calmement. Il m’arrive même d’avoir des moments de silence intérieur !

« Votre corps vous enverra des messages jusqu’à la fin de vos jours » par Lise Bourbeau





J’ai décidé de parler de ce sujet, car j’entends souvent des gens dire à ceux qui font du développement personnel : "Je ne peux pas croire que tu sois malade avec tout le travail que tu fais sur toi depuis quelques années". 
Si vous vous faites dire quelque chose de ce genre, cela indique que vous croyez à cette notion, que vous n’avez plus le droit d’être malade ou d’avoir des problèmes relationnels parce que vous faites du développement personnel. C’est la raison pour laquelle vous vous attirez de tels commentaires. 
Je sais que cette leçon est particulièrement plus difficile à gérer pour les formatrices d’Écoute Ton Corps ou toute autre personne qui enseigne dans ce domaine. Lorsqu’il nous arrive un problème physique ou un accident lors de mes ateliers, nous en profitons pour partager tout de suite aux participants ce que notre corps est en train de nous dire. Ça donne l’occasion de leur rappeler qu’ils doivent accepter le fait que tout au long de leur vie, ils auront des messages. 
Seulement notre ego peut croire que nous n’avons plus besoin de messages de notre corps, que nous sommes arrivés à la perfection.