Après avoir pas mal culpabilisé et cogité, j’ai cédé à l’envie de fumer de l’herbe. J’ai aussi hésité à en parler ici pour plusieurs raisons et le seul fait d’en faire la liste m’a montré ce qui devait être encore libéré.
Mon objectif étant de tomber les masques, j’ai résisté à l’envie
en me disant que j’ajouterais encore un filtre déformant, que c’était une fuite…
Puis,
en revenant au cœur, j’ai laissé parler toutes les voix et une fois le brouhaha
apaisé, j’ai vu les choses d’un tout autre œil. La tentation de calmer le mental
l’a emporté sur le jugement et les peurs de mal faire. Comme j’en suis à lâcher
le jugement, voir ce « problème » à partir du cœur pourrait m’aider à
m’en détacher. Bien que la démarche soit une folie pour le mental, je fais
confiance au cœur, à l’amour.
Il est logique de vouloir compenser puisque je diminue les
doses de médicaments. Puis, j’ai appliqué le raisonnement qui m’aide à
relativiser les choses dans la recherche de pureté au niveau alimentaire et
environnemental.
Rien n’est plus vraiment naturel, l’eau, l’air, la terre, les sources,
tout est pollué sans parler de la nourriture falsifiée et trafiquée. Face à ce
constat, que faire ? Minimiser l’effet poison en choisissant des produits
les plus purs possibles. Appeler les énergies de la source à purifier tout ce
que l’on consomme et puis garder à l’esprit que cette vie est éphémère, que
nous finirons tous par mourir.