samedi 8 novembre 2014

« Comment être libre véritablement » par Lise Bourbeau





Si vous croyez que vous êtes libre parce que vous vivez seul, parce que vous avez atteint une liberté financière ou parce que vos enfants ont quitté votre maison, sachez que tout ceci n’a rien à voir avec la vraie liberté.   
La liberté véritable ne peut venir que de l’intérieur de vous. 

La plupart des gens confondent être libre avec être libéré de contraintes. Il va de soi qu’avoir moins de contraintes vous donne plus de liberté mais c’est rarement une liberté réelle. 
Prenons l’exemple d’une personne qui se croit libre parce qu’elle a décidé de vivre seule. Cette personne peut quand même vivre des moments de solitude ou avoir des problèmes financiers. Elle a des contraintes qui l’empêchent d’être totalement libre. 
C’est la même chose pour quelqu’un qui se croit libre parce que sa situation financière est très agréable. Cette situation peut lui causer des problèmes relationnels tels des désaccords au plan financier avec son conjoint et ses enfants. Elle peut aussi avoir peur de n’être aimé que pour son argent et vivre de la frustration en pensant qu’on profite d’elle ou avoir peur de perdre son argent. La vraie liberté ne peut pas être atteinte lorsque seul le plan matériel est satisfait. 

vendredi 7 novembre 2014

« Face à la folie du monde » & une courte vidéo d'Etienne Chouard





J’ai bien l’impression que les doses homéopathiques pour limiter les bouffées de chaleur, font effet seulement la journée. Le toubib m’a prescris des doses hebdomadaires dont la première prise a été très efficace le premier jour puisque je n’ai pas bouilli de l’intérieur avant le milieu de la nuit. Je me contente d’observer le phénomène pour essayer de le comprendre. 
Je pars du principe que chaque cycle de la vie apporte son lot de nouvelles expériences avec des leçons de sagesse à la clef. Déjà, ça aide à accepter ce qui est, puis au lieu de subir, ça donne l’impression d’accompagner le truc. 
Il semble que ça corresponde à des montées d’énergie parce qu’à chaque fois, je sens comme un trop plein, quelque chose qui pourrait ressembler à de la colère mais qui se vit sans agressivité, sans emportement.
Je suis retombée sur un article qui parle de la plainte portée par un père contre Jacques Lang et cette fois-ci, je l’ai lu intégralement et j’ai regardé les vidéos. Je n’ai pas pu aller au bout parce que les émotions suscitées par les témoignages ont dû être traitées. 
J’ai pu constater dans cet exercice, que j’avais effectivement allégé la charge énergétique puisque la gestion émotionnelle fait partie de mon quotidien.

jeudi 6 novembre 2014

« On ne peut pas en même temps être victime et responsable »





Pas évident de faire de l’accueil émotionnel, un réflexe premier ! Je constate que j’ai libéré pas mal de peur ou du moins de sa charge énergétique et pourtant il semble qu’elle continue de diriger ma vie, du moins d’être active. Son emprise est fortement diminuée mais elle continue de manipuler plus ou moins mon état d’être. 
Déjà, libérer la peur de la peur peut constituer un jeu délicat. Je choisis volontairement ce terme pour ne pas nourrir les schémas duels, pour ne pas créer des fantômes, donner corps à la peur et toutes ses créations.
On peut constater que chaque état d’être produit des fruits dans l’instant et à long terme. On peut sentir combien l’amour nous libère de tous les schémas de prédation et peut donner à la peur une toute autre apparence. 
Toutes les hypothèses à propos des extra-terrestres manipulateurs généticiens me semblent encore être le fruit de notre difficulté à regarder nos peurs en face. 
C’est aussi la conséquence de notre incompréhension face à la dualité, à ce caractère double que  nous portons. L'incompréhension crée une barrière, une forme de résistance.

mercredi 5 novembre 2014

« Métamorphose » par Joanna





Métamorphose, un mot soufflé à mon oreille par Malek à qui je racontais ces deux derniers mois de transformation.

Comment toucher avec les mots la subtilité d'un changement intérieur si ténu que je n'arrive pas moi-même à en comprendre la substance ?

Septembre, octobre, la routine. Les gadins habituels, les joies et hasards du quotidien mais ce jeu de dominos là, cet alignement particulier d'événements à ouvert mon cœur comme jamais auparavant.

N'essaye-t-on pas tous de changer, de modifier notre environnement pour être heureux ? Ne met-on pas du relief sur les manquements des autres pour lustrer notre auréole ? "Bien sûr que non" me direz-vous car vous avez conscience que tout est en vous, que tout part de vous. Moi aussi j'en avais conscience, enfin je le croyais.

« Le juste milieu libère de la dualité, de l'illusion »





Depuis mon réveil tardif ce matin, je savoure la chaleur du poêle allumé depuis hier soir ! Il ne fait pas si froid dehors mais comme il a pas mal plu, l’appart commençait à sentir l’humidité. Enfin, ça n’est pas tout à fait l’odeur d’humidité mais un genre de relent désagréable que je ne saurais définir. En tous cas, je prends cette odeur comme une invitation à chauffer l’appart. 
La sensation de confort m’a permis de repousser la prise du premier bout de cachet. Je ne l’ai pas calculé, ça s’est fait tout seul et c’est ce que j’aime, ce qui m’encourage à poursuivre cette expérience de sevrage. 
J’insiste sur l’aspect expérimentation de l’affaire parce que ça me situe sur une fréquence légère qui favorise l’acceptation de ce qui est, le lâcher prise et fait de ce sevrage un jeu comme un autre. 
La volonté ici, est celle de l’authenticité et comme elle est portée par l’énergie du cœur, elle est équilibrée et donc ne pousse pas à performer, à forcer les choses. 
Le chat a passé la moitié de la nuit avec moi et m’a réveillée à deux heures du mat’ ! Je me suis levée pour lui ouvrir la porte non sans lui faire remarquer qu’il abusait. Du coup, j’ai ravivé le feu avant de me rendormir et c’est une bonne chose parce que ce matin, il y avait encore des braises chaudes. 
Malgré les moments assez difficiles, j’arrive mieux à me recentrer et je peux en avoir la preuve par le fait que l’intellect intervient de moins en moins dans le processus d’accueil de ce qui se manifeste en dedans.

mardi 4 novembre 2014

« Libérer le mental par l’écriture »





Je suis profondément touchée par la lecture de l'article qui parle de la circoncision. C’est une info à laquelle je n’avais prêté aucune attention jusqu’à aujourd’hui mais elle vient d’ouvrir un peu plus mon cœur et ma conscience à propos du masculin, de l’énergie mais surtout de l’homme. 
Si on considère que la majorité de l’humanité est blessée intimement et profondément dès son enfance, on peut comprendre la raison des souffrances de ce monde. 
La négation de l’enfant intérieur devient plus évidente tout autant que la certitude que cet être fragile est le sauveur de l’humain.

Puisque tout commence par le déni et le rejet, puisque la souffrance de l’humain vient de l’enfance, la guérison dépend totalement de la façon dont on va prendre en compte les appels de l’enfant que nous avons été et qui demeure en soi.

Tant qu’on n’admet pas l’existence de cet aspect intérieur, on ignore sa vraie nature et l’amour en soi s’étiole. L’enfant intérieur, c’est cet être que nous avons été, qui porte les rêves de notre âme, mais aussi nos plus grandes souffrances.

Nous avons vécu des millénaires en projetant nos besoins sur le monde, en essayant de manifester notre essence primordiale, nos énergies, au travers du couple, de la famille, dans l’espoir inconscient de réparer la blessure originelle. Mais en cela, nous nous sommes décentrés, nous avons perdu le sens de notre vie, de notre raison d’être, de qui nous sommes en réalité. L’expérience nous a permis de comprendre que tout ce que nous attendions, tout ce que nous cherchions, est en nous et l’a toujours été.

« Se libérer de la peur » par Mirena





Dans la peur, nous avons la capacité de conscientiser la Vérité. 
Avec elle, nous pouvons grandir. Pourquoi cela ? 
Parce que la peur est issue d’un passé accompli et grâce à ce vécu toujours présent dans notre corps et dans notre aura par les mémoires qui le représentent, nous pouvons accéder à la forme simple du pardon.

Mais me direz-vous, qu’est-ce que le pardon vient faire dans le cas précis des peurs en soi ? Le pardon est salvateur de bien des maux
Grâce à lui, nous avons la capacité de lâcher prise sur les peurs ainsi que sur tous les sentiments négatifs qui assombrissent nos énergies. 
Grâce à lui, nous accédons au changement.

Le pardon nous permet d’accéder aux différentes étapes de la conscience individuelle. Il s’agit là du pardon de soi qui coupe les liens avec les actes du passé lorsqu’ils sont reconnus de notre propre création.

Car en nous tout est inscrit ; dans notre ADN, dans nos centres énergétiques du corps, dans nos organes, dans nos tissus, dans notre aura. 

En nous pardonnant pour les peurs ressenties, nous nous pardonnons également pour les actes du passé, qu’ils soient conscients ou non. Nous accédons ainsi à la libération des peurs en nous. Dans ce positionnement, nous nous reconnaissons responsables de tout ce qui vient à nous.