mercredi 5 novembre 2014

« Métamorphose » par Joanna





Métamorphose, un mot soufflé à mon oreille par Malek à qui je racontais ces deux derniers mois de transformation.

Comment toucher avec les mots la subtilité d'un changement intérieur si ténu que je n'arrive pas moi-même à en comprendre la substance ?

Septembre, octobre, la routine. Les gadins habituels, les joies et hasards du quotidien mais ce jeu de dominos là, cet alignement particulier d'événements à ouvert mon cœur comme jamais auparavant.

N'essaye-t-on pas tous de changer, de modifier notre environnement pour être heureux ? Ne met-on pas du relief sur les manquements des autres pour lustrer notre auréole ? "Bien sûr que non" me direz-vous car vous avez conscience que tout est en vous, que tout part de vous. Moi aussi j'en avais conscience, enfin je le croyais.

« Le juste milieu libère de la dualité, de l'illusion »





Depuis mon réveil tardif ce matin, je savoure la chaleur du poêle allumé depuis hier soir ! Il ne fait pas si froid dehors mais comme il a pas mal plu, l’appart commençait à sentir l’humidité. Enfin, ça n’est pas tout à fait l’odeur d’humidité mais un genre de relent désagréable que je ne saurais définir. En tous cas, je prends cette odeur comme une invitation à chauffer l’appart. 
La sensation de confort m’a permis de repousser la prise du premier bout de cachet. Je ne l’ai pas calculé, ça s’est fait tout seul et c’est ce que j’aime, ce qui m’encourage à poursuivre cette expérience de sevrage. 
J’insiste sur l’aspect expérimentation de l’affaire parce que ça me situe sur une fréquence légère qui favorise l’acceptation de ce qui est, le lâcher prise et fait de ce sevrage un jeu comme un autre. 
La volonté ici, est celle de l’authenticité et comme elle est portée par l’énergie du cœur, elle est équilibrée et donc ne pousse pas à performer, à forcer les choses. 
Le chat a passé la moitié de la nuit avec moi et m’a réveillée à deux heures du mat’ ! Je me suis levée pour lui ouvrir la porte non sans lui faire remarquer qu’il abusait. Du coup, j’ai ravivé le feu avant de me rendormir et c’est une bonne chose parce que ce matin, il y avait encore des braises chaudes. 
Malgré les moments assez difficiles, j’arrive mieux à me recentrer et je peux en avoir la preuve par le fait que l’intellect intervient de moins en moins dans le processus d’accueil de ce qui se manifeste en dedans.

mardi 4 novembre 2014

« Libérer le mental par l’écriture »





Je suis profondément touchée par la lecture de l'article qui parle de la circoncision. C’est une info à laquelle je n’avais prêté aucune attention jusqu’à aujourd’hui mais elle vient d’ouvrir un peu plus mon cœur et ma conscience à propos du masculin, de l’énergie mais surtout de l’homme. 
Si on considère que la majorité de l’humanité est blessée intimement et profondément dès son enfance, on peut comprendre la raison des souffrances de ce monde. 
La négation de l’enfant intérieur devient plus évidente tout autant que la certitude que cet être fragile est le sauveur de l’humain.

Puisque tout commence par le déni et le rejet, puisque la souffrance de l’humain vient de l’enfance, la guérison dépend totalement de la façon dont on va prendre en compte les appels de l’enfant que nous avons été et qui demeure en soi.

Tant qu’on n’admet pas l’existence de cet aspect intérieur, on ignore sa vraie nature et l’amour en soi s’étiole. L’enfant intérieur, c’est cet être que nous avons été, qui porte les rêves de notre âme, mais aussi nos plus grandes souffrances.

Nous avons vécu des millénaires en projetant nos besoins sur le monde, en essayant de manifester notre essence primordiale, nos énergies, au travers du couple, de la famille, dans l’espoir inconscient de réparer la blessure originelle. Mais en cela, nous nous sommes décentrés, nous avons perdu le sens de notre vie, de notre raison d’être, de qui nous sommes en réalité. L’expérience nous a permis de comprendre que tout ce que nous attendions, tout ce que nous cherchions, est en nous et l’a toujours été.

« Se libérer de la peur » par Mirena





Dans la peur, nous avons la capacité de conscientiser la Vérité. 
Avec elle, nous pouvons grandir. Pourquoi cela ? 
Parce que la peur est issue d’un passé accompli et grâce à ce vécu toujours présent dans notre corps et dans notre aura par les mémoires qui le représentent, nous pouvons accéder à la forme simple du pardon.

Mais me direz-vous, qu’est-ce que le pardon vient faire dans le cas précis des peurs en soi ? Le pardon est salvateur de bien des maux
Grâce à lui, nous avons la capacité de lâcher prise sur les peurs ainsi que sur tous les sentiments négatifs qui assombrissent nos énergies. 
Grâce à lui, nous accédons au changement.

Le pardon nous permet d’accéder aux différentes étapes de la conscience individuelle. Il s’agit là du pardon de soi qui coupe les liens avec les actes du passé lorsqu’ils sont reconnus de notre propre création.

Car en nous tout est inscrit ; dans notre ADN, dans nos centres énergétiques du corps, dans nos organes, dans nos tissus, dans notre aura. 

En nous pardonnant pour les peurs ressenties, nous nous pardonnons également pour les actes du passé, qu’ils soient conscients ou non. Nous accédons ainsi à la libération des peurs en nous. Dans ce positionnement, nous nous reconnaissons responsables de tout ce qui vient à nous.

« Retrouver son intégrité en cassant le cycle de la vengeance »





J’ai bien du mal à concevoir comment quelques milligrammes de médicaments en moins peuvent me perturber à ce point ! J’ai dû prendre un petit bout hier soir pour arrêter le vacarme et les sensations de vertiges pire même, l’impression de devenir folle. Ce n’était pas un défilé de pensées insensées mais la confusion et carrément une forte sensation de sombrer, de glisser vers le néant ou la mort. Comme je ne suis pas masochiste, j’ai calmé le jeu par la prise de 0,01mg de produit ! L’équilibre intérieur tient à peu de choses !

Pour couronner le tout, je viens de lire un article à propos de la circoncision* ! 
Je n’avais jamais vraiment réfléchi à la question mais il se pourrait bien qu’on ait ici une des causes des difficultés dans la relation homme femme. 

Il est expliqué à quel point cette opération représente un traumatisme pour l’enfant, tant au niveau de la douleur physique qu’au niveau psychologique. 

Déjà, la naissance par elle-même est d’une rare violence puisque le bébé passe de l’oxygénation via le sang de sa mère à la respiration pulmonaire. Il nait dans un bain de sang, torturé par la douleur, quand il n’y a pas en plus quelques excréments expulsés lorsque le nouveau né appuie sur les intestins. 

On peut rêver mieux comme arrivée sur cette planète ! Il ne faut pas s’étonner que l’amour soit aussi distorsionné si à l’âge de huit jours, un bébé subit une des pires choses qui existe pour un humain, la mutilation et à travers elle, le déni, l’humiliation, le sentiment d’abandon, de trahison même, d’injustice, la rupture de confiance vis-à-vis des parents qui entraine un déni, un rejet de soi et brise la confiance en soi.

lundi 3 novembre 2014

« Ça avance malgré les apparences »





Je dois aller voir le toubib pour mon rendez-vous mensuel et je pensais y aller à vélo pour éviter d’utiliser la voiture qui fait beaucoup de bruit à cause du pot d’échappement qui est déboité mais avec le vent qui souffle en fortes rafales, je prends le risque de la prune. Après tout, le bruit du pot ne met pas la vie des autres en danger, ni la mienne d’ailleurs. 
Il est bon de ne pas agir par peur, par obligation mais de voir les choses objectivement et d’agir selon la logique. 
Bizarrement plus le monde a accès à la connaissance et plus les gens de pouvoir veulent limiter les libertés. En fait c’est d’une logique navrante, il ne faut pas oublier qu’il n’y a que quelques années que les infos ne sont plus l’exclusivité des médias traditionnels. 

Il y a deux cent ans, les connaissances se basaient exclusivement sur la bible qui était en latin. Celui qui voulait comprendre les mystères de la vie, devait appartenir à des groupes occultes, des loges, des partis politiques…il devait être initié, recevoir la connaissance de ses pères et se contenter de cela. 
La contestation n’était surtout pas à l’ordre du jour parce que le plus important était de conserver ses privilèges, d’être accepté et reconnu, validé, dans ces cercles très privés. Le savoir bien que limité était réservé à l’élite qui pouvait ainsi manipuler les populations à loisir. 
Le phénomène est aujourd’hui inversé, on reçoit des infos du monde entier dont il est difficile de connaitre l’origine, la source. Il ne s’agit plus d’être intégré au cercle très fermé des initiés mais de faire résonner les infos reçues, en son propre cœur, afin de déterminer ce qui est valable pour soi, ce qui permet de grandir en sagesse, en amour, en lucidité et en confiance en soi.

dimanche 2 novembre 2014

« Croire en toi » par Erena et le Collectif d'Orion





    Ami/e bien-aimé/e, comment peux-tu croire en toi si tu doutes de tout, du temps passé, tu temps présent et de ton futur ?...Comment te sentir à l’aise dans les circonstances si tu penses ne pas être suffisamment grand/e, évolué/e, capable, ou si tu crois que la Vie ne vaut pas la peine d’être vécue ici-bas ?... Comment atteindre le seuil de l’Immortalité si tu ne crois en tes potentiels profonds, ceux que tu connais et ceux dont tu ignores encore l’existence ?... il est important que tu crois en toi !...
Or, pour croire en toi, il t’est suggéré de « prendre conscience »… oui, « prendre conscience » que tout est en toi, que les autres sont en toi, que la force de ton esprit est plus importante que la force de la matière, que le temps n’existe que sur un certain niveau et plan vibratoire… 
Tout se relie progressivement au fond de toi lorsque tu penses que l’essentiel est d’aimer, d’être aimé/e, de porter haut les couleurs de l’espace de ton cœur…
Tous tes sentiments t’honorent et prennent une dimension spirituelle lorsque tu conduis ton chemin vers la grâce d’ÊTRE… ÊTRE et NE PAS DOUTER que ton existence est tout aussi sacrée que celle d’autrui…