Au
même titre que la peur, la tristesse et la joie, la colère est une émotion de
base.
Chacun a maille à partir avec elle dans sa vie, souvent ou peu. Ce n’est cependant pas une émotion qui a la cote.
En effet, si la tristesse est une émotion acceptée par tous, la colère ne l’est pas.
Elle fait l’objet d’une réprobation à peu près générale, vu qu’on l’associe à des comportements très souvent blessants à l’égard d’autrui.
Et pourtant, il est normal de l’éprouver.
Elle fait partie de la palette des émotions, y compris de celles des personnes équilibrées.
Chacun a maille à partir avec elle dans sa vie, souvent ou peu. Ce n’est cependant pas une émotion qui a la cote.
En effet, si la tristesse est une émotion acceptée par tous, la colère ne l’est pas.
Elle fait l’objet d’une réprobation à peu près générale, vu qu’on l’associe à des comportements très souvent blessants à l’égard d’autrui.
Et pourtant, il est normal de l’éprouver.
Elle fait partie de la palette des émotions, y compris de celles des personnes équilibrées.
Un chemin…
Sa
nature et son fonctionnement dans notre vie, la place qu’elle prend ont
cependant avantage à être compris. Et il est important que son mode
d’expression soit adéquat, c’est-à-dire non violent. En ce sens, elle peut
devenir un chemin de progression. Un chemin, oui. Que faire d’autre d’ailleurs,
si l’on est colérique ? Et que faire quand on est confronté à la colère d’une
personne proche ? La langue a des expressions parlantes pour décrire la colère.
Lorsque la colère monte, on dit que la personne « bouillonne », qu’elle
est « prête à exploser », qu’elle est « rouge de colère » !
Explosion, donc. Le plus souvent.
Explosion difficile à endiguer. Difficile à vivre des deux côtés.
Explosion difficile à endiguer. Difficile à vivre des deux côtés.