dimanche 31 août 2014

"Nourrir l'amour en soi"


Amy Hutman Bates


Je continue mon voyage intérieur tout en prenant soin de ce véhicule terrestre, mon corps physique qui est en pleine mutation. Je le ressens de l’intérieur et ça se voit à l’extérieur. La patience et la tendresse pour soi, sont des ingrédients essentiels pour être bien dans son corps et dans sa tête. 
On parle beaucoup de l’importance de l’alimentation mais je crois que ce qui modèle le corps physique, c’est plutôt les émotions, les énergies que l’on porte et nourrit. Le fait de se traiter avec respect, c'est-à-dire d’agir selon ses envies, sans se juger mais en vérifiant si c’est vraiment  bon pour nous, participe au mieux être, à l’épanouissement. Si je regarde les vies que j’aie eues avant, je constate que beaucoup ont été consacrées au service aux autres. Même si cette « vocation » est noble, si l’élan qui pousse à aider vient d’une forme de peur de se voir en face, de devenir responsable de soi, ou un besoin de reconnaissance, c’est totalement voué à l’échec. Ce n’est qu’une façon de reculer pour mieux sauter. Plusieurs fois lors de conversations avec ma mère, je disais que la vie ne m’intéressait pas pour moi-même. Je ne trouvais pas le sens de celle-ci puisque je n’avais que moi à m’occuper.

samedi 30 août 2014

« Oui mais » film et « paroles de sagesse » de Caroline Gauthier


Je pense donc je suis...


Pour une fois, j’ai regardé un film, il y a quelques jours et j’ai apprécié de pouvoir me détendre malgré le sujet : le développement personnel, les prises de conscience, la libération des rôles et même la démarche peu orthodoxe mais cependant efficace du thérapeute  incarné par Gérard Jugnot. Une façon agréable et reposante pour le mental, d’intégrer de grands principes concernant les comportements humains…J’espère que vous apprécierez ce film, en fin d’article.
J’ai découvert la page Facebook d’une auteure, Caroline Gauthier, dont les textes résonnent fortement. Encore un clin d’œil de la vie ! Je publierais quelques unes de ses citations remplies d’une sagesse simple. Le style est mélodieux ce qui équilibre avec le côté « cru », vrai de certains sujets. Voici donc par Caroline Gauthier:

« Au cœur de sa chair, il y avait sa propre musique, mais aussi la force cosmique.. 
Elle savait que cette force était dans son corps, qu'elle n'est pas en dehors ! 
Elle savait que dans les profondeurs de son corps, il y avait un trésor. 
Pourtant, comme beaucoup, elle en avait perdu la clé, et il lui appartenait de la retrouver. 

"Au sujet du refus de notre Part d’Ombre" Saint Germain via Alexandra et Dan



Damien Douxchamps



Publié le 30 août 2014
Cette canalisation transmise par Alexandra et Dan fait partie d’une lecture du but de l’Âme avec Saint-Germain. Elle est reproduite ici avec la permission de leur client.

Question : « Je sais ce que je devrais faire et ne pas faire. Mais ma part d’ombre me rend peureux et coupable, comme si tout était de ma faute. Qu’est-ce que cela signifie ? »

Saint-Germain : En effet, cher ami. Vous avez raison sur le fait que cette part d’ombre n'est pas qui vous êtes. Il n'y a en vous rien de sombre qui vous poursuivrait, ou qui essaierait de vous maintenir dans la peur et la culpabilité.
En Essence, vous n'êtes même pas « lumière », comme beaucoup d'entre vous le perçoivent. Lorsque vous vous attendez à ce que la lumière à l'intérieur de vous s’oppose aux pensées et sentiments plus sombres, vous ne faites que légitimer le « sombre » — lui donner une apparence de réalité et de pouvoir, alors que ça n'est pas le cas.

Votre identité réelle — votre Divinité — est au-delà de la dualité. 
Elle est au-delà de la lumière et de l’obscurité, du noir et du blanc. 
Elle est sans attributs positifs ou négatifs, au sens où les êtres humains les perçoivent.

Souvent, alors que les humains voyagent vers le souvenir de leur Divinité, ils sont amenés à croire qu'ils doivent se dissocier de tout ce qui est sombre ou désagréable à leur sujet, au sujet du monde, ou de leurs expériences dans ce monde — pour ne vivre que dans la « lumière ».

"13 choses dont vous devez absolument vous souvenir quand tout va mal..." par démotivateur.fr


S'autoriser à être heureux!


Nous sommes tous passés par des moments difficiles, au moins une fois dans notre vie. Et nous arrivons tous, tôt ou tard, à surmonter ces difficultés. Cependant, certaines personnes arrivent mieux que d'autres à franchir les obstacles de la vie. Alors, quel est leur secret ? Rien de bien sorcier, pourtant. La réponse se trouve dans leur attitude, dans leur manière de voir les choses. Voici 13 choses à garder à l'esprit quand la vie vous joue des tours:

1. Ce qui est, est.  
"C'est notre résistance à ce qui est -- et à ce que nous ne pouvons pas changer, qui cause la souffrance" disait Bouddha. Je vous invite à y réfléchir un instant : ça signifie que nous ne souffrons que lorsque nous cherchons à résister aux choses immuables. Si vous pouvez changer quelque chose, alors agissez ! Mais si vous ne pouvez rien faire, alors il vous reste deux choix: (1) accepter la situation et vous débarrasser des sentiments négatifs ou (2), souffrir en vous enfermant dans les lamentations et dans une obsession destructrice. À vous de choisir.

2. C'est seulement un problème si vous pensez que c'est un problème.
Très souvent, nous sommes nous-mêmes notre propre pire ennemi. Le bonheur est entièrement dépendant de la perspective et de la manière d'envisager la réalité. Si vous vous dites que quelque chose est un problème, alors vos pensées seront fatalement négatives. Mais si vous vous dites que c'est une expérience dont vous pouvez tirer un enseignement, une leçon, alors soudain le problème se transforme en un élément positif et acceptable.

"Le féminin de l'être" : pour en finir avec la côte d'Adam par Annick de Souzenelle



Katerina Plotnikova




LE LIVRE / Après le temps du féminisme, mouvement social dont Annick de Souzenelle note à la fois la nécessité historique et les limites, et après le temps d'une féminité artificielle exploitée par la publicité, l'heure est venue d'explorer le sens du féminin. A partir d'une lecture du texte biblique en hébreu, l'auteur du Symbolisme du corps humain nous introduit dans cette dimension essentielle. Scrutant la Genèse, elle s'inscrit en faux contre l'image d'une Eve « sortie de la côte d'Adam », pour mettre en évidence Isha, « l'autre côté d'Adam », la réalité féminine présente en chacune de nous. Elle réinterprète ensuite d'autres grandes figures de la Bible - Marie, Marie-Madeleine, Lot ou Lazare - pour les replacer dans une perspective mystique dans laquelle l'âme de l'homme est une « fiancée » promise aux noces divines. -4ème de couverture- (date de publication : 15 octobre 2006)

Extrait d’un entretien d’Annick de Souzenelle – auteur du livre Le Féminin de l’être – avec la comédienne Juliette Binoche. Entretien paru dans Libération.

"La femme solaire" de Paule Salomon



Merci à Françoise pour ce texte qui répond à mes questions du jour...



"La femme d’aujourd’hui est en pleine émergence. Une femme qui n’a pas encore existé, une femme consciente qui hérite des blessures et des richesses du passé, une femme décidée à se libérer des vieilles chaînes de servitude extérieures et intérieures, une femme qui a la force de la révolte et le pouvoir de l’amour, une femme créative et solaire.
Pendant des millénaires les femmes se sont englouties sous les eaux de l’inconscient, elles ont perdu la parole fécondante de la tradition initiatique des Déesses-mères, elles ont accepté de croire qu’elles étaient des êtres inférieurs et coupables, que leur corps était synonyme de tentation pour l’homme, que le sexe et le plaisir entraînaient la perdition. Elles se sont soumises à l’autorité masculine, au plaisir masculin, elles se sont aliénées et ont cherché leur rédemption en se mettant au service d’un homme et de sa descendance. C’est ainsi que l’humanité s’est trouvée privée d’une partie d’elle-même : la valeur féminine de l’existence reliée à la jouissance, au réceptif en alliance avec l’actif. Depuis des millénaires la civilisation manque cruellement de dimension féminine, se dessèche et se durcit, s’enkyste dans la guerre sous l’influence du masculin. Les hommes et les femmes souffrent également de ce déséquilibre. Même aujourd’hui les femmes ne sont encore que des caricatures d’elles-mêmes et les hommes sont privés de l’accès à leur féminin intérieur positif.

"Être femme"...?...extrait du livre "Femmes-réponses essentielles" d'Apple Guéry


Christina Mac Allister



Ce matin, ça n’est pas la super forme ! Depuis hier, je pose mes mains sur le bas de mon ventre pour calmer le feu. L’arrêt de la pilule a permis la reprise du cycle menstruel et ça n’est pas sans douleur. Je ne m’y attache pas en m’inquiétant, au contraire, je considère cette purge naturelle comme quelque chose d’important à accompagner avec beaucoup de tendresse. 
Guérir les blessures du passé, surtout celles qui affectent le corps émotionnel, demande de la douceur, de la patience. Là aussi, le fait de savoir que c’est « normal », naturel et tout à fait approprié, aide à relativiser. C’est une occasion de guérir les blessures liées à l’inconscient collectif, à la femme universelle tout autant que de restaurer l’énergie féminine qui circule en moi et balayer les clichés à ce sujet. 
Accepter d’être une femme n’est toujours pas évident parce que les croyances liées au genre féminin, sont encore très tenaces ! Je ne suis pas encore totalement claire à ce sujet. Je vois encore le fait d’être une femme comme un fardeau, une « injustice » même si je perçois le "pouvoir" du féminin. 
Il me faut libérer la féminité de tous les clichés de soumission, d’infériorité, de fragilité, de naïveté, mais aussi ceux de la séduction, de la manipulation en bref tout ce qui dégrade l’image de la femme et la place soit dans un rôle de mère soit dans celui de « fille de joie » ! A propos de la puissance de la femme, j’ai trouvé ce texte sur Facebook (je ne me souviens plus qui l’a publié) :