samedi 30 août 2014

"13 choses dont vous devez absolument vous souvenir quand tout va mal..." par démotivateur.fr


S'autoriser à être heureux!


Nous sommes tous passés par des moments difficiles, au moins une fois dans notre vie. Et nous arrivons tous, tôt ou tard, à surmonter ces difficultés. Cependant, certaines personnes arrivent mieux que d'autres à franchir les obstacles de la vie. Alors, quel est leur secret ? Rien de bien sorcier, pourtant. La réponse se trouve dans leur attitude, dans leur manière de voir les choses. Voici 13 choses à garder à l'esprit quand la vie vous joue des tours:

1. Ce qui est, est.  
"C'est notre résistance à ce qui est -- et à ce que nous ne pouvons pas changer, qui cause la souffrance" disait Bouddha. Je vous invite à y réfléchir un instant : ça signifie que nous ne souffrons que lorsque nous cherchons à résister aux choses immuables. Si vous pouvez changer quelque chose, alors agissez ! Mais si vous ne pouvez rien faire, alors il vous reste deux choix: (1) accepter la situation et vous débarrasser des sentiments négatifs ou (2), souffrir en vous enfermant dans les lamentations et dans une obsession destructrice. À vous de choisir.

2. C'est seulement un problème si vous pensez que c'est un problème.
Très souvent, nous sommes nous-mêmes notre propre pire ennemi. Le bonheur est entièrement dépendant de la perspective et de la manière d'envisager la réalité. Si vous vous dites que quelque chose est un problème, alors vos pensées seront fatalement négatives. Mais si vous vous dites que c'est une expérience dont vous pouvez tirer un enseignement, une leçon, alors soudain le problème se transforme en un élément positif et acceptable.

"Le féminin de l'être" : pour en finir avec la côte d'Adam par Annick de Souzenelle



Katerina Plotnikova




LE LIVRE / Après le temps du féminisme, mouvement social dont Annick de Souzenelle note à la fois la nécessité historique et les limites, et après le temps d'une féminité artificielle exploitée par la publicité, l'heure est venue d'explorer le sens du féminin. A partir d'une lecture du texte biblique en hébreu, l'auteur du Symbolisme du corps humain nous introduit dans cette dimension essentielle. Scrutant la Genèse, elle s'inscrit en faux contre l'image d'une Eve « sortie de la côte d'Adam », pour mettre en évidence Isha, « l'autre côté d'Adam », la réalité féminine présente en chacune de nous. Elle réinterprète ensuite d'autres grandes figures de la Bible - Marie, Marie-Madeleine, Lot ou Lazare - pour les replacer dans une perspective mystique dans laquelle l'âme de l'homme est une « fiancée » promise aux noces divines. -4ème de couverture- (date de publication : 15 octobre 2006)

Extrait d’un entretien d’Annick de Souzenelle – auteur du livre Le Féminin de l’être – avec la comédienne Juliette Binoche. Entretien paru dans Libération.

"La femme solaire" de Paule Salomon



Merci à Françoise pour ce texte qui répond à mes questions du jour...



"La femme d’aujourd’hui est en pleine émergence. Une femme qui n’a pas encore existé, une femme consciente qui hérite des blessures et des richesses du passé, une femme décidée à se libérer des vieilles chaînes de servitude extérieures et intérieures, une femme qui a la force de la révolte et le pouvoir de l’amour, une femme créative et solaire.
Pendant des millénaires les femmes se sont englouties sous les eaux de l’inconscient, elles ont perdu la parole fécondante de la tradition initiatique des Déesses-mères, elles ont accepté de croire qu’elles étaient des êtres inférieurs et coupables, que leur corps était synonyme de tentation pour l’homme, que le sexe et le plaisir entraînaient la perdition. Elles se sont soumises à l’autorité masculine, au plaisir masculin, elles se sont aliénées et ont cherché leur rédemption en se mettant au service d’un homme et de sa descendance. C’est ainsi que l’humanité s’est trouvée privée d’une partie d’elle-même : la valeur féminine de l’existence reliée à la jouissance, au réceptif en alliance avec l’actif. Depuis des millénaires la civilisation manque cruellement de dimension féminine, se dessèche et se durcit, s’enkyste dans la guerre sous l’influence du masculin. Les hommes et les femmes souffrent également de ce déséquilibre. Même aujourd’hui les femmes ne sont encore que des caricatures d’elles-mêmes et les hommes sont privés de l’accès à leur féminin intérieur positif.

"Être femme"...?...extrait du livre "Femmes-réponses essentielles" d'Apple Guéry


Christina Mac Allister



Ce matin, ça n’est pas la super forme ! Depuis hier, je pose mes mains sur le bas de mon ventre pour calmer le feu. L’arrêt de la pilule a permis la reprise du cycle menstruel et ça n’est pas sans douleur. Je ne m’y attache pas en m’inquiétant, au contraire, je considère cette purge naturelle comme quelque chose d’important à accompagner avec beaucoup de tendresse. 
Guérir les blessures du passé, surtout celles qui affectent le corps émotionnel, demande de la douceur, de la patience. Là aussi, le fait de savoir que c’est « normal », naturel et tout à fait approprié, aide à relativiser. C’est une occasion de guérir les blessures liées à l’inconscient collectif, à la femme universelle tout autant que de restaurer l’énergie féminine qui circule en moi et balayer les clichés à ce sujet. 
Accepter d’être une femme n’est toujours pas évident parce que les croyances liées au genre féminin, sont encore très tenaces ! Je ne suis pas encore totalement claire à ce sujet. Je vois encore le fait d’être une femme comme un fardeau, une « injustice » même si je perçois le "pouvoir" du féminin. 
Il me faut libérer la féminité de tous les clichés de soumission, d’infériorité, de fragilité, de naïveté, mais aussi ceux de la séduction, de la manipulation en bref tout ce qui dégrade l’image de la femme et la place soit dans un rôle de mère soit dans celui de « fille de joie » ! A propos de la puissance de la femme, j’ai trouvé ce texte sur Facebook (je ne me souviens plus qui l’a publié) :

vendredi 29 août 2014

"Tout est comme il doit être… n’est-ce pas?" par Pamela Kribbe





 « Cela devait arriver »…. « Il doit y avoir un but plus profond derrière cela »…. « Tout est exactement comme il doit être »… Ce sont des remarques fréquemment entendues chez ceux qui s’intéressent au spirituel. Souvent, de telles affirmations sont dites face à des situations ou des événements qui peuvent sembler insensés, tragiques, ou cruels. Il est vrai que les accidents, les maladies et les gros coups durs mettent à l’épreuve notre sens de la justice. Pourquoi cela m’arrive à moi ? Pourquoi cela devait-il arriver ? Il est rassurant de se dire que derrière tout ce qui arrive il y a un ordre divin, une main divine bienveillante. Mais cela est-il vrai ?
L’idée que tout se déroule comme cela est sensé se dérouler est une croyance déterministe : cela implique qu’il existe un pouvoir supérieur qui prédétermine les événements qui vont se dérouler dans nos vies terrestres. Ce pouvoir supérieur peut être Dieu, ou notre âme, ou notre soi profond. Quel qu’il soit, ce pouvoir créateur appartient non pas à nous mais à cette source supérieure. Cette croyance met en question l’idée que l’être humain a un libre arbitre et la possibilité de faire des choix indépendants.
Ainsi, il existe un paradoxe : depuis une vision spirituelle du monde, la plupart des gens estiment que le pouvoir de faire des choix et de prendre la responsabilité de leurs vies fait partie intégrante de leur essence. Sans ce pouvoir-là, la notion même de croissance personnelle ou de transformation serait obsolète. D’un autre côté, il y a cette affirmation, telle une invocation, que « tout est comme il doit être », ou comme diraient d’autres, que « le Plan est parfait ».

"EFT : libération des émotions par la stimulation des points d’acuponcture"…


Atsushi Hayakawa


Le « hasard » m’amène sur l’EFT, technique de gestion des émotions qui peut être très utile…Comme il ne s’agit pas de penser à tout va mais de diriger son attention sur le cœur d’un problème afin d’en extraire la charge émotionnelle, ça peut faciliter la gestion émotionnelle par le fait de lâcher les questions superflues et de faire confiance à la capacité du corps physique de trouver l’équilibre, en l’aidant au niveau énergétique. Puis la phrase qu’on utilise permet d’ancrer l’acceptation de soi, à des niveaux subtils mais bien réels. J’ai étoffé l’article avec un documentaire que je n’ai pas encore regardé, passé sur Arte, « la puissance de l’esprit pour guérir le corps ». Voici donc quelques explications concernant l'EFT

"La permission d’être vous-même" par John Bradshaw


Aldo Rey


Votre enfant intérieur a besoin que vous lui donniez la permission inconditionnelle d’être lui-même et, dans cet ordre d’idées, la discipline éducative que je viens d’exposer lui fera faire de grands pas vers le rétablissement de son moi. Cependant, vous pouvez l’aider encore davantage en lui donnant la permission d’abandonner le(s) rôle(s) rigide(s) qu’il a endossé(s) afin d’équilibrer son système familial et de sentir qu’il était important aux yeux des autres. J’ai déjà suffisamment parlé des rôles et de la façon dont ils se mettent en place dans un système familial dysfonctionnel. Vous avez commencé à permettre à votre enfant intérieur d’abandonner ces rôles figés quand vous avez retrouvé votre moi de bambin puis votre moi d’enfant d’âge préscolaire, et vous allez maintenant pouvoir aller plus loin. Dans cette démarche, les rubriques suivantes pourront vous servir de modèle général pour travailler tous les rôles que joue votre faux moi. Laissez tomber les rôles de votre faux moi

Première étape
Tout d’abord, vous avez besoin de vous faire une image plus claire de vos divers rôles au sein de votre système familial. Comment avez-vous appris à vous sentir important lorsque vous étiez enfant? Que faisiez-vous pour maintenir les liens de la famille et combler ses besoins ? Voici quelques-uns des rôles les plus couramment adoptés: le Héros, la Vedette, le Perfectionniste, le Petit Homme de maman, l’Époux Substitut de maman ou l’Épouse Substitut de papa, la Petite princesse de papa, le Copain de papa, la Complice de collège ou la Sœur de sang de maman, le Soutien ou le Protecteur de maman ou papa, la Mère de maman, le Père de papa, le Pacificateur, le Médiateur, l’Enfant Sacrifié, le Bouc Émissaire ou le Rebelle de la famille, l’Incapable, l’Enfant Problème, l’Enfant Perdu, la Victime. Les rôles sont inépuisables, mais chacun remplit la même fonction: garder le système familial en équilibre, immobile et à l’abri du changement.