vendredi 7 février 2014

"Comment" au lieu de "pourquoi"


Megan Whiteley



Je continue de m’interroger sur le sens de cette vie et la quête existentielle, celle qui pousse à savoir qui on est, ce que l’on fait sur cette terre, à quoi ça sert… ? A mesure que j’avance, je cherche moins à connaitre la vérité absolue puisqu'il m'apparait que la peur de vivre tout simplement, génère des questionnements qui sont censés rassurer le mental, avant toute chose. Alors la question que je me pose aujourd’hui, serait plutôt ; qu’est-ce que je veux vivre, comment je veux me sentir à l’intérieur et avec les autres? Puis est-ce que je veux me sentir libre d’agir, de penser, d’expérimenter, de connaitre à travers l’expérience ou est-ce que j’ai besoin de suivre des maitres, des guides, des enseignants capables de répondre à toutes mes questions, afin de ne pas me planter, d’être sûre d’avancer sur le bon chemin ? 
Le principe même de la question/réponse, c’est de pallier la peur de la vie, de l’autre.  Déjà, la motivation est portée par une énergie particulière. Le savoir pour avoir du pouvoir sur soi ou sur les autres ne m'intéresse pas. Ce qui me semble le plus utile réside dans le fait de pouvoir vivre en harmonie à l’intérieur et avec l’extérieur. D’être en relation pacifique avec son monde et avec le monde. Pour ce faire, la connaissance de ma façon de fonctionner en tant qu’humain et la connaissance que je suis aussi d’origine divine, savoir que deux chemins se présentent à moi, c'est suffisant pour choisir où et comment je veux cheminer et assumer la responsabilité de mes choix.

jeudi 6 février 2014

Je n’ai plus besoin de carapace, de protection puisque la sécurité est en mon cœur, ma foi.






A nouveau, je me sens portée, tout est parfaitement synchrone et j’ai pu me rendormir ce qui me fait un total de huit heures trente de sommeil ! Un signe de tranquillité mentale qui ne trompe pas d’autant que je n’ai même pas souvenir de mon rêve. Là aussi, les rêves sont des indications, des expressions de l’inconscient qui renseignent sur l’état de nos croyances, la façon dont elle évoluent ou encore comment elles restent ancrées. Quand l’inconscient ne peut pas se manifester dans la journée parce que le corps émotionnel est anesthésié ou qu’on n’est pas à son écoute, il le fait durant la nuit. La prise de conscience qui vient juste après un moment de pause, de détente physique au contact du divin, est toujours une piste qui permet d’avancer sur le chemin de l’amour de soi, en direction de la source, la conscience unitaire ou christique. La meilleure façon d’y être, c’est de vivre dans l’unité intérieure, sans renier ou rejeter un aspect de soi-même. Je vois mieux comment le divin se manifeste et un signe qui démontre cet état intérieur, c’est quand tout s’écoule facilement.

Cohérence, harmonisation des corps.





La clarté qui revient me remplit de gratitude ce matin. J’ai essayé de travailler sur mon projet hier, pendant toute la matinée et déjà, pour écrire le message quotidien du blog, j’ai dû m’y reprendre à trois fois. Habituellement, ça sort tout seul, le mental est synchrone et je n’ai pas trop à réfléchir. Là, ça coinçait régulièrement, je devais recommencer afin d’être de bonne foi. Je n’arrivais pas à m’aligner sur le cœur et en me relisant je voyais l’expression du corps émotionnel bousculé. J’ai parlé plusieurs fois à mon âme, au divin intérieur, pour retrouver l’équilibre et arriver à écrire honnêtement. J’ai pratiqué l’échelle émotionnelle qui consiste à chercher la croyance cachée derrière une émotion et j’en ai conclu que des peurs subsistaient en même temps qu’une confusion tout à fait logique. 
En effet à chaque fois que j’essayais de me mettre à mon projet, c’était si confus que je n’avançais pas et comme le message du matin avait révélé des accusations de « malhonnêteté » que je portais envers d’autres, j’arrivais à me dire que selon la technique du miroir, je portais ces mêmes accusations à mon encontre. Ce n’est pas tout à fait de malhonnêteté dont il s’agit mais d’incohérence, ça revient un peu au même. Je décelais un manque d’authenticité qui amenait la confusion. 
En effet, comment parler de techniques pour se libérer du passé tout en continuant de prendre des cachets, d’affirmer par ce geste, être « malade », avoir besoin de panser des plaies. C’était pourtant évident mais je n’ai pas réussi à voir ce problème, cette contradiction. 

mercredi 5 février 2014

"L'Art de faire la paix spirituellement" Jeshua via James Twyman, leçon 27


Luis Argerich


La clarté : 
Qui est, présentement, en train de vous parler ? Nous avons posé cette question auparavant, et votre décision est peut-être déjà prise. Nous allons revoir cette question car votre réponse est d’une grande importance à cette étape de votre apprentissage. La décision que vous ferez en regard de ceci, se rapportera à vous-même, car c’est finalement, la plus importante de tous.
Qui est Jeshua, et quel est le rôle que je joue dans votre apprentissage sur la façon d’être un Instrument de Paix? Suis-je un homme avec une personnalité qui a existé sur cette Terre il y a deux mille ans, mais qui n’est plus ici maintenant? À quel endroit suis-je actuellement, est-ce possible pour moi ou n’importe quel autre dans ce domaine, de partager ma sagesse et mon énergie avec ceux et celles qui pensent encore être un corps physique dans le monde de la matière? Se peut-il, qu’après avoir partagé ces leçons avec vous pendant toutes ces semaines, que votre bonne volonté accepte cet enseignement, et qu’elle crée une ouverture rendant possible, le fait que nous « sommes » semblables? Ou bien, avez-vous accepté cette idée comme étant plutôt une histoire ou un concept, parce que ces leçons ont une certaine valeur pour votre vie?

"L'autre" est un miroir qui reflète mes ombres. Il me suffit de les aimer pour qu'elles révèlent l'amour et la lumière que je suis



Elena Shumilova



Je suis de plus en plus tracassée par ce que je lis sur les sites spirituels et j'ai dû revenir à la base de ma foi afin de ne pas tomber dans l'accusation. Malgré ma volonté de ne plus visiter ses pages, j'ai continué puis finalement comme je crois que tout a un sens, j'ai fini par me dire que c'était une occasion de grandir, une fois que la colère envers le divin intérieur a été accueillie. J'étais furax de me dire qu'au moment où je devais mettre en place mon projet, je me trouvais dans le brouillard! J'ai donc commencé par "vider mon sac", par écrire tout ce qui me venait en tête afin de faire le tri entre ce qui émane de la peur et ce qui vient du cœur. J'ai pu constater que lorsque le corps émotionnel est meurtri, il filtre tout ce qui est perçu au travers des blessures et fausse totalement la vision. Il m'a fallu relire encore et encore, en appliquant la technique du miroir afin de savoir quelles émotions brouillaient ma vision.

mardi 4 février 2014

Peut mieux faire!




C’est aujourd’hui que commence le stage à la chambre de métiers. Je réveillée enthousiaste et reposée malgré que je me sois levée toutes les heures à partir de 3h. Chaque fois, je sortais d’un rêve où j’étais chamane, conseillère en relation amoureuse afin de préparer les gens à rencontrer leur partenaire, pour vivre le couple sacré ! J’avoue que je n’en fais pas une révélation concernant mon futur emploi d’autant que cette idée n’a jamais été évoquée puis ça peut aussi concerner la préparation à vivre la fusion avec l’esprit divin. Je n’en tiens pas compte, n’anticipe pas puisque j’ai choisi de me laisser porter dans l’instant, par le duo âme/esprit pour la réalisation de ce qui semble être le rêve de mon âme. Il y a du stress mais pas de peur. Ma connexion à la terre mère m’a bien ancrée dans la réalité, en douceur et le bon transit intestinal me montre que les libérations des énergies passées sont effectives. Comme je ne ressens plus la peur de façon violente, évidente, j’ai scanné mon corps physique afin de déceler les tensions éventuelles. Les quelques raideurs ont été effacées par la respiration et les énergies de ma présence divine à qui je me suis adressée avant de parler à mon âme, afin de l’autoriser à s’exprimer à travers ma personnalité humaine. J’ai tout de même demandé à mon âme de me guider puisque celle-ci est directement concernée.  

lundi 3 février 2014

Quoi que je fasse ou choisisse, je suis aimée éternellement


Juan Carlos Casado



En ce moment, c’est le règne de la confusion qui mine beaucoup de personnes, conscientes ou non de leur origine divine. Le besoin de clarté, de justesse et de lumière devient urgent. 
Lorsqu’on guérit l’enfant intérieur et donc en même temps l’âme, bien que la vie se manifeste de façon beaucoup plus agréable, fluide, il reste un sentiment d’incomplétude, de manque et de vide. Même si je suis la guidance de l’âme pour réaliser ce que je crois être son rêve, des questions restent sans réponses et le manque d’assurance est aussi présent. Il est clair que le fait de connaitre son âme, de suivre sa guidance rend la vie beaucoup plus joyeuse et facile quand on lui fait confiance, mais la vérité de l’âme est subjective. Sa vision est conditionnée par la dualité. Elle se fixe des objectifs de croissance en venant s’incarner et ce fait même démontre qu’elle n’a pas accès à toute la connaissance. Également, elle arrive chargée d’un bagage lourd, de blessures à guérir et ne peut donc pas être parfaitement objective. Elle permet d’accéder à une dimension de connaissance plus large mais qui reste limitée et conditionnée.