vendredi 15 novembre 2013

"Le progrès que vous avez fait dans l'évolution spirituelle dans un laps de temps aussi court est véritablement extraordinaire".



Comme les encouragements sont toujours bienvenus, voici un message reçu par John Smallman. Spécialement adressé à tous ceux qui doutent de leurs origines universelles, divines, et ont du mal à croire en leur propre puissance, en leur présence divine, Christique ou Bouddhique, selon la culture, mais le principe reste le même. 

Il est plus que jamais, l'heure de choisir entre l'Amour et la peur...

Je précise une fois de plus que l'usage du mot "Dieu" a pour but de "toucher" ceux dont la foi est née dans une des nombreuses institutions religieuses. Mais il est clair qu'il s'agit de la Source Père/Mère et que celle-ci ne se limite pas au principe masculin. Le temps est venu de rendre hommage à l'aspect féminin du divin afin de retrouver l'harmonie, l'unité originelle qui restitue à l'humain  son entièreté, sa complétude et finalement sa souveraineté. 

Roue de sagesse

jeudi 14 novembre 2013

Maintenir ses choix, et ainsi élever sa fréquence vers la source.


 Facebook TransLight


En toute « logique », --en tous cas selon ma foi aux lois universelles et au fait d’être créatrice de ma vie--comme j’ai proclamé choisir l’abondance, l’ajoutant à ma liste de désirs sincères, la vie me montre où j’en suis dans ce domaine, au niveau inconscient. Je suis allée au jardin pour arroser mais le canal était fermé. Non seulement ça m’oblige à trouver un autre moyen d’arrosage momentanément, mais en plus des petits malins ont obstrué le canal, selon les dires d’un voisin qui a cru bon d’ajouter que pour le bois que j’attendais, rien n’était sûr. Cerise sur le gâteau, j’apprends que c’est du bois vert !  Ce qui signifie qu’il ne pourra être utilisé que dans deux ans. Face à ces nouvelles données, j’ai deux choix possibles, soit réagir par la peur et la colère, soit réaffirmer ce que je veux en accord avec le divin intérieur, à savoir, vivre dans l’amour, la joie, la liberté, la paix, l’équilibre et l’abondance en toutes choses. Le confort physique, mental, émotionnel, l’abondance financière, les bienfaits en tous genres, bref une vie digne d’un humain divin, conscient des lois universelles et de son pouvoir créateur par l’alignement de tous ces corps. J’ai commencé par flipper à l’idée de voir mon avenir compromis. En effet, ce qui me « rattache » momentanément sur ce plan, ce qui me permet de guérir et de trouver de la joie, c’est le fait d’être en connexion à mon âme et à celle de la Terre Mère. Mon mental est partit à 100 à l’heure dans des développements basés sur la peur puis, je me suis rappelée ce que j’ai écrit ce matin.

Facettes...multiples


Image trouvée sur Facebook "Cœurs d'Anges"


Une longue nuit de huit heures, contrairement à l’habitude, m’a redonné force et vitalité. A mesure que j’accepte ce que je suis en totalité, que je cesse de m’en vouloir d’être dépendante des médicaments et de la cigarette, une nette progression s’effectue en coulisse. Je parle ici de l’inconscient qui s’ajuste à mes nouveaux choix de vie, d’état d’esprit, répétés régulièrement. Bien que le côté répétitif des choses m’ait toujours agacée, j’accepte le fait qu’une nouvelle croyance ait besoin d’être imprimée en profondeur et donc imprégner les nombreuses strates de l’humain, afin d’être pleinement intégrée jusque dans les profondeurs de l’inconscient, qui permettra une application « réflexe » de ces nouvelles données. Nous sommes ainsi constitués de plusieurs corps dont chacun possède son « langage », son degré de conscience spécifique. Il ne s’agit pas d’échelle de valeur, c'est-à-dire qu’aucun d’eux n’est mieux ou pire mais il est plutôt question de façons différentes d’appréhender le monde, de le percevoir, de le comprendre et d’en restituer une « image ». Nous disposons de sens qui restituent leur vision de la vie, chacun dans une gamme de sensation des plus diverses. Elles sont ensuite traduites par notre cerveau et filtrées au travers de nos croyances, de notre cœur. 
Je suis toujours épatée de constater la perfection de ce que nous sommes. Ainsi, l’objectif de tous nos corps est de trouver l’harmonie et ce que notre mental qualifie de bon ou mauvais est en fait un moyen de trouver l’équilibre intérieur. Il n’y a donc rien de mal dans ce que nous faisons mais simplement des comportements adaptés à nos croyances. La meilleure façon de changer, sans créer le chaos, c’est donc d’agir au niveau du mental. Celui-ci étant composé d’une conscience, d’une part réagissant par « réflexe » ; l’inconscient et d’une forme de sagesse émanant de la « super-conscience » ou subconscient, bref de notre aspect divin. L’harmonie se créé donc naturellement entre ces différents aspects et en modifiant nos croyances conscientes, un nouvel équilibre se met en place.

mercredi 13 novembre 2013

Le Peuple des Fourmis, message reçu par Caroline Leroux



Ance
© National Géographique Magazine

Bonjour!
Il est bien rare que quelqu’un se penche sur nous, les petites ouvrières noires!...
Nous avons donc décidé de venir à vous afin de vous livrer nos nombreux cadeaux. Nous avons autant de qualités, de cadeaux, que de pattes!
Nous sommes des Êtres pratiques, reliés entre nous par une cohésion remarquable. 
Oups, mine de rien, nous venons de vous livrer un de nos plus grands attributs: le travail de groupe. 
Nous sommes, je crois, reconnues dans votre monde pour cette faculté. Pour nous, fonctionner en groupe n’est pas une obligation sociale dictée par l’extérieur mais une chorégraphie, une danse d’apparence parfois chaotique, parfois fluide, mais toujours organisée. 
Notre capacité à œuvrer en tant que groupe nous procure des sensations très agréables.
Chacune d’entre nous est reliée par une énergie de groupe à la fois globale et spécifique. Nous communiquons télépathiquement et nous sommes sensorielles: nous sentons les vibrations des mouvements, des déplacements d’autrui. Grâce à nos antennes, nous captons des ondes de mouvements pour la plupart fort agréables! 
Lorsque nous réussissons une tâche et aussi pendant que nous l’effectuons, nous ressentons une sorte de profonde satisfaction vibratoire dans nos petits corps car dans notre collectivité, notre interdépendance représente pour nous un facteur de joie. Lorsque l’une d’entre-nous est blessée ou tuée, nous le ressentons toutes et cela crée une sorte de vide, nous mettant temporairement en état de déséquilibre. C’est la fonction de notre reine de «décider», si je peux employer ce terme, laquelle d’entre-nous prendra la place de la fourmi disparue.

Le plus grand "travail" de l’humanité, c’est d’arriver enfin à s’aimer, à se prendre en charge individuellement et à aimer toute vie.


Image trouvée sur "Rivers in the ocean"


Ce matin, j’ai la gorge irritée. Il y a longtemps que je n’avais pas eu ce genre de symptôme. Je vais me préparer une mixture maison composée de thym, d’ail et de miel. Le thym est très bon pour les bronches, l'ail pour "nettoyer" le sang et le miel pour adoucir la gorge et apporter une touche de plaisir à ce breuvage pas très bon. Parce que nourrir des idées telles que: "un médicament doit nécessairement être mauvais..." n'est pas du tout en accord avec ma nouvelle façon d'envisager la vie; la souffrance n'est pas obligatoire...
Je ne sais plus d’où me vient cette recette mais elle est efficace. Le chakra de la gorge doit être en plein réajustement ! Je continue de réviser ma vision de l’autorité, du père, qu’il soit divin ou des hommes en général qui se positionnent comme tel. Ou même des femmes, enfin tous ceux qui se situent au-dessus des autres, qui pensent devoir les éduquer. Nous avons en nous la sagesse qui permet de faire les bons choix, ceux qui nous rendent la vie belle. Même un enfant de trois ans sait lorsqu’il cause de la souffrance à quelqu’un et la ressent. Tout le monde dispose de sa propre guidance, d’une conscience. Et même quand la peur pousse à agir dans un certain sens, une part de nous sait que nous faisons fausse route. Sauf ceux qui sont tellement empêtrés dans la croyance du bien et du mal qu’ils s’imaginent être la proie d’entités maléfiques. Et donc le sont effectivement puisqu’ils en sont convaincus, ils attirent ces énergies de basse fréquence. 
Nous avons toujours le pouvoir de choisir, même si celui-ci ne dure qu’une fraction de seconde. Quand je ressens des énergies lourdes ou une peur qui se manifeste, je reformule mon désir de vivre dans l’amour, la paix, la joie, la liberté, l’équilibre et tout redevient calme. Je ne cherche même plus à savoir d’où me vient le trouble.

mardi 12 novembre 2013

Ne minimisez-pas ou ne sous estimez pas l’importance et la puissance de votre intention aimante, par John Smallman


Image trouvée sur "The sacred of geometry" signature malheureusement illisible


Ce n’est pas souvent que j’ai envie de partager des messages reçus par channeling, sauf évidemment ceux qui m’ont aidé à prendre conscience du Christ intérieur, mais celui-ci me semble intéressant puisqu’il est dans la voie du juste milieu concernant l’aide qu’on peut apporter à l’extérieur sans tomber dans le rôle de sauveur, sans déresponsabiliser l’autre. Tout y est, la notion de service par l’intention aimante (et d’autres moyens à distance ; envoi d’agent de vêtements...), ainsi on ne reste pas insensible aux problèmes des autres et on peut "agir" même si nos moyens financiers ne nous le permettent pas. La réalité que nous sommes responsables de nos seuls actes et le choix du lieu d’incarnation de l’âme qui nous place au bon endroit, au bon moment dans des conditions où même nos « faiblesses » ont été prises en compte, est aussi largement évoquée. Enfin je vous laisse lire en essayant de ne pas bloquer sur les termes tels que « Dieu », Père créateur...Comme il m’arrive encore de le faire. Mais ça, c’est un peu « normal » vu mon passé et même si je me « soigne »...

Quand le « je » et le « Je » jouent ensemble et se confondent



Caras Ionut


Ce matin, je mesure à quel point je suis « isolée » du reste du monde. Non que je me sente renfermée mais plutôt différente. J’ai toujours eu cette sensation d’être en décalage. Pas forcément au-dessus des autres mais autrement, comme si ma conscience était plus « ouverte ». Loin d’être un sentiment de supériorité, ça m’a longtemps porté préjudice de me sentir autant « à part ». Déjà, à la maternelle, je me souviens m’être dit étonnée et déçue : « c’est ça qu’on nous apprend ? » Comme si j’imaginais que j’allais en savoir plus sur la nature de l’humain, le sens de la vie, la quête existentielle. 
En allant sur la presse galactique pour essayer de penser à autre chose, je suis tombée sur un article qui parle des enfants surdoués* et je m’y suis totalement reconnue, mais dans les aspects les plus « négatifs » comme l’estime de soi à regagner , le fait de n’avoir pas eu à forcer pour avoir de bons résultats à l’école jusqu’en 5ème, d’avoir appris à lire et écrire dès la maternelle et de ne pas avoir fait de primaire mais de ne pas avoir appris à apprendre ce qui m'a vite fait décrocher dès la quatrième, le fait de se sentir seul et incompris, pas même de sa propre famille, d’utiliser son intuition plutôt que le cerveau droit, l’intellect ; les émotions exacerbées, la capacité à ressentir les émotions des autres, à « lire » leurs pensées, la sensibilité à l’injustice, la quête de vérité, la lucidité qui amène beaucoup de désillusions, le fait de se lier d’amitié avec des plus âgées, l’impertinence vis-à-vis des adultes, des professeurs, le problème que pose l’orientation au lycée...Autant de capacités qui peuvent rendre inadapté socialement.