mercredi 13 novembre 2013

Le Peuple des Fourmis, message reçu par Caroline Leroux



Ance
© National Géographique Magazine

Bonjour!
Il est bien rare que quelqu’un se penche sur nous, les petites ouvrières noires!...
Nous avons donc décidé de venir à vous afin de vous livrer nos nombreux cadeaux. Nous avons autant de qualités, de cadeaux, que de pattes!
Nous sommes des Êtres pratiques, reliés entre nous par une cohésion remarquable. 
Oups, mine de rien, nous venons de vous livrer un de nos plus grands attributs: le travail de groupe. 
Nous sommes, je crois, reconnues dans votre monde pour cette faculté. Pour nous, fonctionner en groupe n’est pas une obligation sociale dictée par l’extérieur mais une chorégraphie, une danse d’apparence parfois chaotique, parfois fluide, mais toujours organisée. 
Notre capacité à œuvrer en tant que groupe nous procure des sensations très agréables.
Chacune d’entre nous est reliée par une énergie de groupe à la fois globale et spécifique. Nous communiquons télépathiquement et nous sommes sensorielles: nous sentons les vibrations des mouvements, des déplacements d’autrui. Grâce à nos antennes, nous captons des ondes de mouvements pour la plupart fort agréables! 
Lorsque nous réussissons une tâche et aussi pendant que nous l’effectuons, nous ressentons une sorte de profonde satisfaction vibratoire dans nos petits corps car dans notre collectivité, notre interdépendance représente pour nous un facteur de joie. Lorsque l’une d’entre-nous est blessée ou tuée, nous le ressentons toutes et cela crée une sorte de vide, nous mettant temporairement en état de déséquilibre. C’est la fonction de notre reine de «décider», si je peux employer ce terme, laquelle d’entre-nous prendra la place de la fourmi disparue.

Le plus grand "travail" de l’humanité, c’est d’arriver enfin à s’aimer, à se prendre en charge individuellement et à aimer toute vie.


Image trouvée sur "Rivers in the ocean"


Ce matin, j’ai la gorge irritée. Il y a longtemps que je n’avais pas eu ce genre de symptôme. Je vais me préparer une mixture maison composée de thym, d’ail et de miel. Le thym est très bon pour les bronches, l'ail pour "nettoyer" le sang et le miel pour adoucir la gorge et apporter une touche de plaisir à ce breuvage pas très bon. Parce que nourrir des idées telles que: "un médicament doit nécessairement être mauvais..." n'est pas du tout en accord avec ma nouvelle façon d'envisager la vie; la souffrance n'est pas obligatoire...
Je ne sais plus d’où me vient cette recette mais elle est efficace. Le chakra de la gorge doit être en plein réajustement ! Je continue de réviser ma vision de l’autorité, du père, qu’il soit divin ou des hommes en général qui se positionnent comme tel. Ou même des femmes, enfin tous ceux qui se situent au-dessus des autres, qui pensent devoir les éduquer. Nous avons en nous la sagesse qui permet de faire les bons choix, ceux qui nous rendent la vie belle. Même un enfant de trois ans sait lorsqu’il cause de la souffrance à quelqu’un et la ressent. Tout le monde dispose de sa propre guidance, d’une conscience. Et même quand la peur pousse à agir dans un certain sens, une part de nous sait que nous faisons fausse route. Sauf ceux qui sont tellement empêtrés dans la croyance du bien et du mal qu’ils s’imaginent être la proie d’entités maléfiques. Et donc le sont effectivement puisqu’ils en sont convaincus, ils attirent ces énergies de basse fréquence. 
Nous avons toujours le pouvoir de choisir, même si celui-ci ne dure qu’une fraction de seconde. Quand je ressens des énergies lourdes ou une peur qui se manifeste, je reformule mon désir de vivre dans l’amour, la paix, la joie, la liberté, l’équilibre et tout redevient calme. Je ne cherche même plus à savoir d’où me vient le trouble.

mardi 12 novembre 2013

Ne minimisez-pas ou ne sous estimez pas l’importance et la puissance de votre intention aimante, par John Smallman


Image trouvée sur "The sacred of geometry" signature malheureusement illisible


Ce n’est pas souvent que j’ai envie de partager des messages reçus par channeling, sauf évidemment ceux qui m’ont aidé à prendre conscience du Christ intérieur, mais celui-ci me semble intéressant puisqu’il est dans la voie du juste milieu concernant l’aide qu’on peut apporter à l’extérieur sans tomber dans le rôle de sauveur, sans déresponsabiliser l’autre. Tout y est, la notion de service par l’intention aimante (et d’autres moyens à distance ; envoi d’agent de vêtements...), ainsi on ne reste pas insensible aux problèmes des autres et on peut "agir" même si nos moyens financiers ne nous le permettent pas. La réalité que nous sommes responsables de nos seuls actes et le choix du lieu d’incarnation de l’âme qui nous place au bon endroit, au bon moment dans des conditions où même nos « faiblesses » ont été prises en compte, est aussi largement évoquée. Enfin je vous laisse lire en essayant de ne pas bloquer sur les termes tels que « Dieu », Père créateur...Comme il m’arrive encore de le faire. Mais ça, c’est un peu « normal » vu mon passé et même si je me « soigne »...

Quand le « je » et le « Je » jouent ensemble et se confondent



Caras Ionut


Ce matin, je mesure à quel point je suis « isolée » du reste du monde. Non que je me sente renfermée mais plutôt différente. J’ai toujours eu cette sensation d’être en décalage. Pas forcément au-dessus des autres mais autrement, comme si ma conscience était plus « ouverte ». Loin d’être un sentiment de supériorité, ça m’a longtemps porté préjudice de me sentir autant « à part ». Déjà, à la maternelle, je me souviens m’être dit étonnée et déçue : « c’est ça qu’on nous apprend ? » Comme si j’imaginais que j’allais en savoir plus sur la nature de l’humain, le sens de la vie, la quête existentielle. 
En allant sur la presse galactique pour essayer de penser à autre chose, je suis tombée sur un article qui parle des enfants surdoués* et je m’y suis totalement reconnue, mais dans les aspects les plus « négatifs » comme l’estime de soi à regagner , le fait de n’avoir pas eu à forcer pour avoir de bons résultats à l’école jusqu’en 5ème, d’avoir appris à lire et écrire dès la maternelle et de ne pas avoir fait de primaire mais de ne pas avoir appris à apprendre ce qui m'a vite fait décrocher dès la quatrième, le fait de se sentir seul et incompris, pas même de sa propre famille, d’utiliser son intuition plutôt que le cerveau droit, l’intellect ; les émotions exacerbées, la capacité à ressentir les émotions des autres, à « lire » leurs pensées, la sensibilité à l’injustice, la quête de vérité, la lucidité qui amène beaucoup de désillusions, le fait de se lier d’amitié avec des plus âgées, l’impertinence vis-à-vis des adultes, des professeurs, le problème que pose l’orientation au lycée...Autant de capacités qui peuvent rendre inadapté socialement.

lundi 11 novembre 2013

El Quetzal - IK – Trecena* de la Communication – du 8 au 20 Novembre 2013



Voici un aperçu de ce que sera la période à venir, au niveau énergétique, selon le calendrier Maya. La Trecena dernière était celle de l’harmonie...




Ik', ou Iq 'en Maya K'iche' représente le Vent et l'Air sous toutes leurs formes, depuis les chaudes brises tropicales aux zéphyrs océaniques - depuis la foudre et le tonnerre jusqu'aux hurlements sauvages des ouragans. Voici le Vent qui nettoie le cœur et la psyché, le corps et l'esprit. Voici le souffle de vie qui guérit toute énergie négative et toute maladie, qu'elles soient de nature physique ou psychologique, mais particulièrement si le problème provient de la colère ou de la rage. C'est l'énergie des mots, de la communication, de la conception et de l'expression des idées. C'est le signe-du-Jour du nettoyage et de la purification. Ik' est le Nagual de la Lune et de l'Air, du souffle divin et vital de l'esprit au sein de notre existence humaine.

Mais il signifie également la crise, la souffrance et le chagrin, l'asphyxie, la perversion sexuelle et l'échec. Ik' symbolise la pureté et la transparence du verre. Son graphique représente les fenêtres en forme de T des temples Mayas qui servaient d'une part à déterminer quel type de vent soufflait - par le bruit qu'il émettait à travers la fenêtre - et d'autre part à observer les phénomènes astronomiques et les mouvements des étoiles et des planètes.

Personne d’autre que moi, ne peut choisir mes pensées, ma foi; Là sont ma liberté, mon pouvoir et ma félicité!



Linzi Lynn


Ce matin, la violence du vent fait écho à mon état d’esprit ! Colère, agacement, ennui...un beau mélange de sensations ! Je laisse tout ça circuler en moi, sans m'y attacher. A l'image du souffle éolien, qui balaye tout sur son passage, j'y vois un nettoyage en profondeur. Puis ce souffle est chaud, ce qui m'incite à beaucoup de tendresse pour moi-même, pour ces mouvements intérieurs qui finalement sont la preuve que je suis vivante. Pour prendre ces choses à la légère, j’ai commencé la journée en écoutant de la musique à fond malgré qu'il soit 6h. Tant pis pour les voisins (je ne suis pas certaine qu'ils entendent d'ailleurs) ! Si quelqu’un me dit quelque chose, je répondrais qu’ainsi je n’entends pas les volets qui claquent depuis hier soir ! Sans vouloir nourrir ces énergies, je les laisse être sachant que c’est « normal » d’être sensible à ce qui se passe autour et en dedans et sans vouloir changer ce qui est, tout s'équilibre naturellement.
Voici un petit échantillon de ce que j’ai partagé sur « face de bouc ». La géante Nina Hagen dans une performance vocale admirable, "Naturtäne"! Une interprétation magistrale du cri; première expression de l'humain qui s'incarne! J'aime bien le mélange des genres et les gloussements de poule à la fin qui rappellent la question: qui de l’œuf ou de la poule?...



Je précise ici qu’il n’y aucune connotation dans cette expression: "face de bouc" puisque selon ce que je crois, rien n’est « diabolique ». Ce concept n’est que la création de la peur et plus on la nourrit, plus elle prend forme selon la personnalité qui projette ces émotions de basses  vibrations. Associer le bouc au diable, c’est méconnaitre la nature, sa perfection dans le fait d’être toujours dans l’harmonie, le respect de son environnement.

dimanche 10 novembre 2013

L’abandon à la source, à sa propre présence est largement suffisant...« à toi de jouer mon âme»



Je suis en train de vivre quelque chose de magnifique dont je prends conscience peu à peu. Le seul fait de vouloir restaurer ma vision du père, de l’autorité, du masculin, suffit à ce que ça change naturellement et facilement. Ce sont des petits détails insignifiants pour l’extérieur, qui ont pour moi une grande valeur puisqu’ils confirment la réalité des changements en même temps que l’efficacité, la vérité de la loi d’attraction. Ce dont je parle ici c’est du fait d’attirer à soi, ce que l’on veut sincèrement, ce qui nous tient à cœur et qui est voulu par tous nos corps. Comme j’ai bien fait le ménage intérieur, au niveau des pensées inconscientes, de la façon d’envisager les choses et que mon regard est beaucoup plus neutre, j’arrive enfin à créer ce que je veux de façon consciente sans qu’il y ait d’interférences au niveau inconscient. 
Une étape importante du processus de manifestation et celle de la foi qui intervient tant par rapport à la loi d’attraction elle-même que dans la phase qui suit l’affirmation. Il est essentiel de s’en remettre totalement à la part qui a le pouvoir de manifester toutes choses dans la matière, en étant dans la certitude de « recevoir ». Il ne s’agit pas de scruter l’horizon, de guetter ce qui va venir mais juste de lâcher prise, d’avoir une totale confiance dans la réalisation de "l’objet" de notre désir. 
Ainsi, je « demande » et n’y pense plus.  
Le mental n’a plus à intervenir dans le processus. Il est un merveilleux « outil » de création par son côté imaginatif mais celui-ci est à double tranchant. Lorsqu’il anticipe, appréhende, il révèle des peurs qui peuvent saboter l’intention.