lundi 11 novembre 2013

Personne d’autre que moi, ne peut choisir mes pensées, ma foi; Là sont ma liberté, mon pouvoir et ma félicité!



Linzi Lynn


Ce matin, la violence du vent fait écho à mon état d’esprit ! Colère, agacement, ennui...un beau mélange de sensations ! Je laisse tout ça circuler en moi, sans m'y attacher. A l'image du souffle éolien, qui balaye tout sur son passage, j'y vois un nettoyage en profondeur. Puis ce souffle est chaud, ce qui m'incite à beaucoup de tendresse pour moi-même, pour ces mouvements intérieurs qui finalement sont la preuve que je suis vivante. Pour prendre ces choses à la légère, j’ai commencé la journée en écoutant de la musique à fond malgré qu'il soit 6h. Tant pis pour les voisins (je ne suis pas certaine qu'ils entendent d'ailleurs) ! Si quelqu’un me dit quelque chose, je répondrais qu’ainsi je n’entends pas les volets qui claquent depuis hier soir ! Sans vouloir nourrir ces énergies, je les laisse être sachant que c’est « normal » d’être sensible à ce qui se passe autour et en dedans et sans vouloir changer ce qui est, tout s'équilibre naturellement.
Voici un petit échantillon de ce que j’ai partagé sur « face de bouc ». La géante Nina Hagen dans une performance vocale admirable, "Naturtäne"! Une interprétation magistrale du cri; première expression de l'humain qui s'incarne! J'aime bien le mélange des genres et les gloussements de poule à la fin qui rappellent la question: qui de l’œuf ou de la poule?...



Je précise ici qu’il n’y aucune connotation dans cette expression: "face de bouc" puisque selon ce que je crois, rien n’est « diabolique ». Ce concept n’est que la création de la peur et plus on la nourrit, plus elle prend forme selon la personnalité qui projette ces émotions de basses  vibrations. Associer le bouc au diable, c’est méconnaitre la nature, sa perfection dans le fait d’être toujours dans l’harmonie, le respect de son environnement.

Les superstitions, nées de la peur, ont créé toutes sortes d’images, d’entités selon l’égrégore correspondant. Il y a effectivement des forces complémentaires qui permettent de créer le contraste mais ce n’est que notre interprétation des choses en termes de bien et mal, qui nous plonge dans l’illusion de la séparation et l'idée d'opposition. 
Comme la peur est un juteux business, on va amplifier les superstitions, les nourrir et ainsi pervertir la création de la source et les humains fragiles, en mal d’amour, ignorants de leur propre pouvoir, de leur puissance. 
Comme nos pensées sont créatrices, rêver, projeter la beauté, l’harmonie la paix et la liberté permet de se délivrer soi-même de toute illusion et en même temps favorise l’émergence d’un monde nouveau, basé sur ces valeurs divines. Lorsque c’est le chaos en dedans ou en dehors, savoir prendre le recul nécessaire et affirmer ses choix de vie, d’état d’esprit, libère de l’illusion d’être manipulé. Face aux « injustices » aux scandales aux ingérences dans le monde, je me dis, le seul pouvoir que j’aie c’est de revenir à l’essentiel, je suis responsable de moi-même et uniquement de moi-même, des énergies que je porte et que j’émets. Que chacun assume ses propres responsabilités.

La mienne c’est de créer ma vie, mon monde selon mon désir le plus profond. Et plutôt que d’accuser l’extérieur de mon mal être, j’apprends à maitriser les énergies, à focaliser mon attention sur mon désir d’harmonie intérieure, de paix et de félicité. On va me dire que c’est une façon de se dérober, de nourrir l’illusion, d’être indifférent face à la misère du monde. Mais est-ce qu’entretenir l’impuissance en criant au scandale ou la violence en « prenant » parti, change effectivement quelque chose dans le monde ? Se positionner, vouloir défendre des « causes », ne fait que flatter la conscience de celui qui se place dans les rangs des « bons », « des gentils » qui peut ainsi se croire "sauveur", alors qu'il amplifie la division, le conflit. C’est aussi une façon de nier le divin en chacun, sa capacité de se prendre en main. Ce qui n'empêche pas non plus d'agir, mais à partir du cœur, dans un élan d'amour.

Signature illisible

Par expérience, je sais que ça n’est qu’en changeant son regard sur soi-même, qu’on change sa vie, son monde, son entourage. Plus je suis dans l’équilibre intérieur et moins ce qui se passe autour peut m’affecter. Plus je constate ma progression vers le bien-être, par la prise en charge de mes pensées, de mes émotions et plus je sens la puissance divine et sa guidance. Plus ce que je vis est en harmonie avec mes pensées et plus la paix s’installe durablement. Le chaos extérieur est la conséquence de toutes les pensées non traités de chaque humain. Chaque personne qui délègue son pouvoir d’agir sur sa vie en choisissant de focaliser ses pensées sur son état de victime, participe à l’injustice, amplifie l’impuissance et les inégalités. Tant qu’on croit être manipulé, on joue le jeu de ceux qui dirigent le monde. Dès qu’on accepte de guérir en commençant par se dire que notre plus grande souffrance, c’est le manque d’amour, et qu’on cesse d’attendre d’être reconnu par l’extérieur pour s’aimer véritablement, l’énergie d’amour qui nous remplit alors, nous restitue notre souveraineté. 
Tant que je croyais que j’étais malheureuse à cause de mon passé de victime d’inceste, je nourrissais cet état et mon impuissance. Même si une part de moi en souffre encore, en la traitant avec respect et tendresse, sans la nier, elle guérit par l'amour que je lui offre. Tant que je me dis que mon mal-être est dû aux injustices sur terre, je continue d’amplifier mon état de victime et celui de ceux qui se croient aussi manipulés par les circonstances extérieures. Depuis que j’ai pris conscience de qui je suis en vérité et que le contact avec le divin intérieur est rétabli, je sais que je crée ma vie selon mes croyances. J’ai pu vérifier que j’attirais des expériences similaires au trauma vécu enfant, tant que je me croyais impuissante.  Mais en choisissant les énergies que je veux porter, mon monde change totalement. Evidemment pas du jour au lendemain, quoique, par moment certaines prises de conscience ont bouleversé radicalement les choses. 
Savoir que je suis humain divin, créateur de ma vie, m’a ouvert sur mon potentiel de guérison, de bien-être, d’expansion et de réalisation. Soit je me dis que je suis victime, soit je refuse de nourrir cet état et change ma perception des choses et ma vie en même temps. Puisque je crée mon monde selon mes pensées, il me suffit de choisir des pensées qui créent mon bien-être. 
Ce n’est pas suffisant d’exprimer une seule fois ces choix, il faut répéter inlassablement ces intentions pour qu’elles prennent forme dans la matière. C’est souvent là que beaucoup abandonne et retourne à leurs vieilles croyances. Pourtant, en faisant preuve de patience, de persévérance, et en étant attentif aux petits progrès, on constate que ça marche !

L’acceptation de ce qui est, est essentielle dans ce processus créatif puisque les pensées d’hier créent mon monde d’aujourd’hui et celles d’aujourd’hui créent celui de demain. Ainsi, mes pensées de victime impuissante, nourries depuis trente cinq ans, continuent d’influencer mon présent. C’est tout à fait logique puisque il y a un décalage entre l’intention et la manifestation. Mais cet espace peut être grandement diminué par l’acceptation, puisque celle-ci crée une détente qui favorise la circulation énergétique de l’amour et que cette énergie élève la fréquence vibratoire. Ainsi, la fréquence de la matière s’élève au niveau de la pensée, du cœur, de l’émotion, qui vibrent à l’unisson et attire des situations de même vibrations. L’alignement, la cohérence entre le vouloir et l’état d’esprit du moment accélère le processus de manifestation.  

Image trouvée sur Facebook, publiée par Ally

Plus on résiste à ce qui est et plus on entretient la division, la disharmonie. Il est important de savoir que c’est en soi qu’il est nécessaire d’être centré et cohérent. Ainsi, les pensées de colère, dès lors qu’elles ne sont pas refoulées, peuvent être utilisées énergétiquement pour amplifier le désir de paix, d’amour, par l’acceptation.
Même si je ne sais pas d’où elles viennent, je m’en fous, le plus important, c’est de ne pas les amplifier en les reniant, en les rejetant. Elles sont là, donc, elles m’appartiennent même si elles ont été suscitées par l’extérieur. J’ai deux options dans de telles circonstances. Soit je me plains, accuse l’extérieur et ainsi je proclame mon impuissance, soit j’accepte que ça soit en moi et active mon pouvoir de choisir. Comme ce que je veux vivre, c’est la paix, l’amour, la joie, la liberté et l’équilibre, je reformule mes choix, sans repousser ce qui est dans le moment présent et ce faisant, j’appelle, j’active et j’amplifie ces énergies qui ont ma préférence. Elles sont aussi en moi mais la confusion m'empêche de les voir. Là encore, si le résultat n’est pas immédiat, j’accompagne mon affirmation d’une respiration calme et profonde qui amplifie alors mon intention puisque la détente se créée intérieurement. Evidemment, il me faut croire en ce processus parce que si des pensées de doute se manifestent, elles amplifieront le mal-être, nourriront la colère et l’impuissance, rien ne changera dans le bon sens. Je dis volontairement "bon sens" et non "bien" parce que toute notion de bien et de mal divise intérieurement et amplifie la discorde.
Finalement, c’est très simple d’être en paix et de créer sa vie selon ses rêves. C’est justement ce qui fait que nous avons beaucoup de mal à y croire et à l’expérimenter. Depuis que j’ai ajouté la notion de facilité dans ce que je veux vivre, les choses sont beaucoup plus fluides, moins rigides et comme l’énergie circule librement, tout s’écoule naturellement, sans que j’aie à forcer.
Le vent d’Espagne souffle très souvent après que j’aie constaté que des trainées de passage d’avions remplissaient le ciel. Là, j’ai deux options, comme pour toutes choses, soit je choisis l’amour, soit je choisis la peur ; Est-ce que je vais nourrir des croyances d’impuissance, de doute, d’accusation et ainsi les amplifier ou est-ce que je reviens au centre de qui je suis, choisissant l’amour et mon pouvoir d’aimer ? 
En l’occurrence, je reviens à ma foi, je suis un humain divin qui crée selon ses pensées, je focalise donc mon attention sur la paix, l’amour, la bienveillance de mon âme. Si je suis en vie ici et maintenant, c’est pour expérimenter mon pouvoir créateur selon mes choix. Incarner l’amour dans toute sa puissance, en laissant cette énergie agir sur moi et tout ce qui m’entoure. Pour les trainées des chemtrails, je me dis qu’il existe effectivement des gens qui veulent manipuler, détruire...mais c’est leur ignorance qui les manipule, leur peur de perdre leurs privilèges. 

Image trouvée sur Facebook

Or le plus grand privilège, c’est de savoir que je suis humain divin créateur de ma vie. Alors, je me focalise sur l’amour. Cette énergie qui me remplit alors, pallie toute peur et ça suffit à me maintenir dans des vibrations élevées où je côtoie le divin. Là, rien ne peut m’atteindre, pas même la mort. Si celle-ci survient, c’est juste parce qu’il est l’heure de retourner dans les mondes spirituels et comme je sais que je suis éternelle, il me suffit de m’abandonner en confiance à ce voyage, ce passage, en toute confiance.
Mais comme je sais que je suis ici non par hasard mais pour réaliser le but de mon âme, en lui faisant confiance, je ressens sa présence, son soutien. Cette sensation amplifie ma foi et me donne le courage de continuer d’avancer, malgré ce qui se passe autour. 
La mission de ma personnalité humaine, c’est de m’accorder à la volonté du divin intérieur. Malgré tout, j’ai le droit de me rebeller, de trouver le chemin difficile et de m’insurger mais je ne tarde pas à revenir à la raison et la sensation vécue, tout comme l’histoire du fils prodigue, relatée dans la bible, adouci mon regard. La tendresse qui en découle me replace en mon cœur où la présence divine consolatrice, déverse toute son affection. Ce sentiment d’être en sécurité, à la maison, me donne une nouvelle fois, la force d’avancer.
Mon seul « job », c’est de dire Oui à ce qui se présente sachant que dès que j’accepte, l’alchimie intérieur se réalise changeant mon regard sur ce qui est, ramenant la joie, la sensation de puissance qui m’ouvre à nouveau la porte sur l’immensité, un nombre infini de potentiel s’ouvre à moi et la joie qui découle de la maitrise, forme un sourire complice sur mes lèvres. Je vois alors la vie comme une occasion renouvelée de jouer avec les énergies, de choisir ce que je veux vivre.

Je fais des rêves plutôt chaotiques depuis hier et loin de m’en affoler, je considère que des libérations sont réalisées. Je n’ai même pas besoin de savoir ce qui se passe mais juste de faire confiance. Chacun son boulot ! Il me suffit de me souvenir que tout a sa raison d’être et de savoir qu’en coulisse, des réajustements sont effectués pour mon plus grand bien et ma progression. Comme j’ai libérée l’idée qu’il faille souffrir et en chier pour avancer, et comme je vois ce que j’appelais avant une « épreuve », simplement comme une expérience, un passage, je me laisse aller à ce qui est, sans opposer de résistance et ça passe comme c’est venu. Je me pose et respire quand ça bloque en dedans puis tout se décoince...et rebelote jusqu’à la prochaine fois. 
 
Publié par "Carpe diem" sur Facebook

14° degrés dehors, 20° dedans, tout est bien, pas besoin d’allumer le poêle. Cette année est magnifique au niveau des températures beaucoup plus modérées que d’habitude ! Tout comme à l’intérieur, la tempérance, l’équilibre remplace la violence des extrêmes, même si aujourd’hui le vent d’Espagne ramène leur côté exubérant, excessif. Mais comme en toute chose, il y a son contraire et par l’appel à l’équilibre tout se stabilise...no souci !
Puis la vie est mouvement et je remercie le « ciel » de se montrer clément tout en accompagnant les âmes qui s’en sont retournées à leurs origines lors des tempêtes de ces derniers jours. Un grand mouvement de solidarité accompagnera les survivants et ceux qui s’en sont allés, sont maintenant en paix. C’est sûr que pour ceux qui ne croient pas en l’existence de l’âme, du divin et pensent que la mort est la fin, mon discours peut être choquant. Mais là encore, chacun voit le monde selon sa capacité de s’aimer et d’aimer la vie. Même si celle-ci est chiante par moments, l’envisager à partir de son être essentiel, de son cœur, lui redonne son côté aventure, découverte, expérimentation...
Si je me donne le droit d’être tout ce que je suis, sans porter de jugement sur ce qui est, la vie devient alors magique et magnifique. Personne d’autre que moi, ne peut choisir mes pensées, ma foi et mon état d’esprit; Là sont ma plus grande liberté, mon pouvoir et ma félicité!
Alors malgré les rafales, je souris à la vie et aborde ce jour comme une occasion qui m’est donnée de créer tout ce que je veux pour mon bien-être intérieur et extérieur. En ce sens, je participe activement à l’élévation des consciences, par le maintien des vibrations divines en tout ce que je suis. C’est le seul pouvoir que j’aie sur le monde et ce, sans combattre, sans violence, juste par l’acceptation d’être responsable de moi-même, de ce que je vis et veux vibrer.