lundi 11 novembre 2013

El Quetzal - IK – Trecena* de la Communication – du 8 au 20 Novembre 2013



Voici un aperçu de ce que sera la période à venir, au niveau énergétique, selon le calendrier Maya. La Trecena dernière était celle de l’harmonie...




Ik', ou Iq 'en Maya K'iche' représente le Vent et l'Air sous toutes leurs formes, depuis les chaudes brises tropicales aux zéphyrs océaniques - depuis la foudre et le tonnerre jusqu'aux hurlements sauvages des ouragans. Voici le Vent qui nettoie le cœur et la psyché, le corps et l'esprit. Voici le souffle de vie qui guérit toute énergie négative et toute maladie, qu'elles soient de nature physique ou psychologique, mais particulièrement si le problème provient de la colère ou de la rage. C'est l'énergie des mots, de la communication, de la conception et de l'expression des idées. C'est le signe-du-Jour du nettoyage et de la purification. Ik' est le Nagual de la Lune et de l'Air, du souffle divin et vital de l'esprit au sein de notre existence humaine.

Mais il signifie également la crise, la souffrance et le chagrin, l'asphyxie, la perversion sexuelle et l'échec. Ik' symbolise la pureté et la transparence du verre. Son graphique représente les fenêtres en forme de T des temples Mayas qui servaient d'une part à déterminer quel type de vent soufflait - par le bruit qu'il émettait à travers la fenêtre - et d'autre part à observer les phénomènes astronomiques et les mouvements des étoiles et des planètes.

Personne d’autre que moi, ne peut choisir mes pensées, ma foi; Là sont ma liberté, mon pouvoir et ma félicité!



Linzi Lynn


Ce matin, la violence du vent fait écho à mon état d’esprit ! Colère, agacement, ennui...un beau mélange de sensations ! Je laisse tout ça circuler en moi, sans m'y attacher. A l'image du souffle éolien, qui balaye tout sur son passage, j'y vois un nettoyage en profondeur. Puis ce souffle est chaud, ce qui m'incite à beaucoup de tendresse pour moi-même, pour ces mouvements intérieurs qui finalement sont la preuve que je suis vivante. Pour prendre ces choses à la légère, j’ai commencé la journée en écoutant de la musique à fond malgré qu'il soit 6h. Tant pis pour les voisins (je ne suis pas certaine qu'ils entendent d'ailleurs) ! Si quelqu’un me dit quelque chose, je répondrais qu’ainsi je n’entends pas les volets qui claquent depuis hier soir ! Sans vouloir nourrir ces énergies, je les laisse être sachant que c’est « normal » d’être sensible à ce qui se passe autour et en dedans et sans vouloir changer ce qui est, tout s'équilibre naturellement.
Voici un petit échantillon de ce que j’ai partagé sur « face de bouc ». La géante Nina Hagen dans une performance vocale admirable, "Naturtäne"! Une interprétation magistrale du cri; première expression de l'humain qui s'incarne! J'aime bien le mélange des genres et les gloussements de poule à la fin qui rappellent la question: qui de l’œuf ou de la poule?...



Je précise ici qu’il n’y aucune connotation dans cette expression: "face de bouc" puisque selon ce que je crois, rien n’est « diabolique ». Ce concept n’est que la création de la peur et plus on la nourrit, plus elle prend forme selon la personnalité qui projette ces émotions de basses  vibrations. Associer le bouc au diable, c’est méconnaitre la nature, sa perfection dans le fait d’être toujours dans l’harmonie, le respect de son environnement.

dimanche 10 novembre 2013

L’abandon à la source, à sa propre présence est largement suffisant...« à toi de jouer mon âme»



Je suis en train de vivre quelque chose de magnifique dont je prends conscience peu à peu. Le seul fait de vouloir restaurer ma vision du père, de l’autorité, du masculin, suffit à ce que ça change naturellement et facilement. Ce sont des petits détails insignifiants pour l’extérieur, qui ont pour moi une grande valeur puisqu’ils confirment la réalité des changements en même temps que l’efficacité, la vérité de la loi d’attraction. Ce dont je parle ici c’est du fait d’attirer à soi, ce que l’on veut sincèrement, ce qui nous tient à cœur et qui est voulu par tous nos corps. Comme j’ai bien fait le ménage intérieur, au niveau des pensées inconscientes, de la façon d’envisager les choses et que mon regard est beaucoup plus neutre, j’arrive enfin à créer ce que je veux de façon consciente sans qu’il y ait d’interférences au niveau inconscient. 
Une étape importante du processus de manifestation et celle de la foi qui intervient tant par rapport à la loi d’attraction elle-même que dans la phase qui suit l’affirmation. Il est essentiel de s’en remettre totalement à la part qui a le pouvoir de manifester toutes choses dans la matière, en étant dans la certitude de « recevoir ». Il ne s’agit pas de scruter l’horizon, de guetter ce qui va venir mais juste de lâcher prise, d’avoir une totale confiance dans la réalisation de "l’objet" de notre désir. 
Ainsi, je « demande » et n’y pense plus.  
Le mental n’a plus à intervenir dans le processus. Il est un merveilleux « outil » de création par son côté imaginatif mais celui-ci est à double tranchant. Lorsqu’il anticipe, appréhende, il révèle des peurs qui peuvent saboter l’intention. 

samedi 9 novembre 2013

Aimantation...messages de plusieurs "Je Suis", trouvés sur Facebook


Face à face!


Réveillée à 3h50, je me suis levée bien que je n’étais pas tout à fait "présente". D’ailleurs, un geste de travers m’a obligée à nettoyer la machine à laver sur laquelle je pose le bric à brac pour faire du café. Les machines et moi, ça fait deux et plus c’est basique, plus ça me plait. Je fais mon café avec un porte filtre, une cafetière en verre et des filtres non blanchis. Bien que ça puisse paraître anodin, c’est une façon d’ancrer dans la matière, dans mon quotidien, des valeurs qui me sont chères ; la simplicité et l’authenticité. Je ne l’ai pas calculé non plus puisqu’en général, j’agis par « instinct » ou par impulsion. J’ai appelé les énergies chamaniques du Condor, dans la semaine, afin de voir mes profondeurs avec du recul. Là encore, on va me dire, ça n’est pas sérieux de se fier à des animaux et je répondrais sans hésiter, qui peux m’enseigner avec pureté sinon ceux qui vivent dans leur véritable être, essence, présence ? Ceux qui sont pleinement eux-mêmes, sans complexe, sans tabou et donc sans limites. Les animaux n’ont pas de « mental », pas d’occasion de s’embrouiller, de s’enfermer dans l’idée de bien/mal. Ils sont tout simplement. Les humains sont si « falsifiés », « tordus », ça n’est pas un constat à partir de ce que je vois à l’extérieur mais bien de l’intérieur. Toutes ces voix qui s’expriment en nous compliquent sérieusement notre vision de nous-même et des autres. D’un autre côté, ce potentiel imaginatif que porte le mental est à chérir absolument ! C’est grâce à cela que nous pouvons créer continuellement, que nous créons sans arrêt. Donc, me fiant à la sagesse animale, j’ai capté les énergies qui permettent de prendre de la hauteur sur ce qu’on vit afin d’examiner les comportements issus de l’inconscient, sans m’y noyer, sans en prendre peur, sans critiquer, bref, sans m’y identifier totalement. Oui, ce sont des attitudes qui m’appartiennent mais elles demandent simplement à être étudiées puis révisées. Tant que je nie ce que je suis à tous les niveaux, je ne suis pas complète, dans l’amour total, qui seul permet d’avoir la vision de ce que je suis de plus "élevé". 

vendredi 8 novembre 2013

S'AIMER VRAIMENT, ENTIEREMENT



A Andrew Gonzales


Bien que je me sois dit au réveil que je n’écrirai pas aujourd’hui, impulsivement, je m’y colle. Même si la question suivante émerge : que peux-ton avoir à dire chaque jour ? Je me mets au clavier sans complexe et même enthousiaste à l’idée de diffuser de l’énergie d’amour véritable de soi, de confiance en soi, de joie et d’abondance. Je ne sais plus qui disait dans « Les guignols de l’info », je crois, « on nous aurait menti ? » Et bien oui ! Et le plus gros mensonge auquel nous avons cru et que nous nous plaisons à nourrir avec le plus grand masochisme, c’est l’idée de la séparation, du bien et du mal, de la nécessité de servir l’autre pour gagner le ciel...On va me dire, et c'est la réaction première de tous, "Oui mais s'il n'y a plus de mal, c'est la porte ouverte à tous les excès...." Et je répondrais une porte ouverte, c'est la possibilité de changer. Puis l'humain n'est pas fou!
Toutes ces croyances n’amènent que souffrances, division, distance, bref nous éloignent de nos aspects divin, de notre cœur et de la vérité de la source ; elle est AMOUR INFINI. Les notions de devoir, de mérite, de récompense, de privilège ne font que nourrir la jalousie, la haine, l’amertume et les regrets. Or nous sommes l’amour et nous avons pour seule responsabilité, celle de nous aimer en totalité. Je proclame ceci avec une certaine assurance parce que mon expérience quotidienne en est la preuve flagrante. Je n’ai jamais autant progressé que depuis que j’ai balayé les fausses croyances de 3D. C’est le plus bel acte d’amour que je me sois donné et qui m’ouvre sur tant de potentiels, de perspectives que je ne cesserais jamais d’en témoigner, même si parfois mon mental se fatigue dans la répétition, si mon ego se « choque »...
J’en suis à un stade où mon cœur grandit au point de couvrir mon enveloppe corporelle. C’est une image mais pas seulement. Comment peut-on amplifier l’amour de soi si ce n’est en s’autorisant à répondre à toutes les demandes d’amour de nos différents corps. A ce propos voici une citation de Marshal Rosenberg, trouvée sur Facebook :

jeudi 7 novembre 2013

Il est l’heure de jouer avec la matière, de créer, d’agir, dans la légèreté, la paix, l’amour, l'équilibre et la liberté, portée par la joie d’être, tout simplement.


J'y vois l'illustration du mental (le chien fougueux) qui se laisse porter par la sagesse divine (l'éléphant), belle assoc'**



Au réveil, j’étais en "classe", écoutant quelqu’un me parler de l’illusion de la réalité, des choses qui existent uniquement parce qu’on porte notre conscience dessus. Je dois dire que ça m’a soulé de me réveiller à l’école et je me suis levée en signe de rébellion. Moi qui ait demandé à la terre mère de me porter pendant mon sommeil afin que je sois en sécurité et puisse me reposer, j’étais un peu irritée de constater que je ne dors pas réellement. Si mon corps et mon mental sont immobiles, une autre part de moi se ballade, vit sa vie...C’est assez troublant d’avoir la forte sensation de ne pas connaître une partie de soi-même aussi bien que la personnalité humaine. Disons que c’est la première fois que j’ai cette sensation de ne pas « m’appartenir ». Une petite crise de l’ego qui voudrait tout contrôler ! Précision, l’ego, je ne le considère pas comme un ennemi au contraire, c’est avec lui que je chemine la plupart du temps et il me permet de ne pas me diluer dans le tout, de ne pas me faire envahir et de savoir poser des limites. Je ne suis pas très douée pour l’ensemble de ces « activités » mais c’est comme tout, ça s’apprend. C’est peut-être pour ça que j’aurais préféré éviter de prendre des cours sur les lois universelles cette nuit. Mon ego a du mal à comprendre que la vraie vie fonctionne à partir de celles-ci. Il faut dire qu’il se fait des idées à propos de ces lois qui ne correspondent pas à la réalité alors merci, je ne sais qui, de clarifier les choses. J’avoue que je ne saisi pas bien encore le pourquoi de cette leçon nocturne mais la vie me le montrera. Disons plutôt que je ne sais pas pourquoi ça vient maintenant, précisément. Je vais tout de même tenter d’interpréter et d’agir en fonction de ce principe, aujourd’hui, du moins essayer d’y penser. Il faut dire que depuis que j’ai décidé de laisser tomber mon idée "d’aider", des pensées viennent me perturber. Ce matin, je me disais que du "conseil" serait plus approprié. J’ai bien l’impression qu’il me faille trouver le juste milieu, ne pas abandonner totalement le projet mais le revisiter. Un des côtés chiant de la flexibilité, c’est justement de ne pas être fixée. Oh, "un jour avant sa mort, Lapalisse vivait encore"!

mercredi 6 novembre 2013

Se laisser guider par la joie, l'enthousiasme et regarder ses peurs avec tendresse




Je suis tombée du lit à 3h du matin, toute contente d’être encore en vie ! Merci maman de m’avoir refilé l’info des gens morts par des émanations de monoxyde de carbone ! C’est une peur à laquelle je n’avais pas pensé, qui sur le coup m’a un peu affolé puis surtout agacée de la recevoir en héritage. Elle n’est pas consciente de l’effet que peut produire un tel « cadeau » comme la plupart des gens qui pense exprimer leur amour par des mises en garde. Une chance que je sache relativement bien traiter ce genre d’émotions et utiliser ce qu’on m’offre pour « grandir ». Puis comme j’ai mis sur le tapis, il y a quelques jours, le « concept » de liberté afin de l’examiner, il est logique que je me trouve face à ce qui peut m’empêcher d’en jouir. J’ai eu droit à la peur d’être abusée, à peu près bien accueillie, celle de se croire incapable de gérer les aspects matériels de la vie, de ne pas être à la hauteur, de dépendre systématiquement des autres pour mon confort affectif et physique...Je ne fais pas toute la liste, j’en aurais pour des heures d’autant plus que j’en parlerai certainement au fur et à mesure. Après la peur de mourir donc, j’explore celle d’être dépendante. De ne pas arriver à « gagner ma vie ». Une idée lumineuse m’est apparue quand je me suis enfin décidée à trier les photos de fleurs. J’ai passé cinq heures d’affilée sans me lasser à effectuer des recadrages, à sélectionner des photos en vue de créer mes « cartes mémoires » puis tandis que je m’éclatais, je me suis dit : mais c’est ça mon « truc » ! C’est ça que j’aime faire, qui peut me permettre d’être autonome financièrement en travaillant dans l’amour, la facilité, la joie et la liberté ! « Lucidia », la voix intérieure qui veille à ce que je ne m’égare pas dans les rêves inaccessibles, ne s’est pas trop manifestée, elle m’a bien susurrée que ce n’était pas nouveau mais j’ai répondu à son sens de la réalité, que rien n’était nouveau. Ce qui fera la différence c’est le regard spécifique que je porte sur les choses et ma façon de transmettre ma foi en l’humain divin.