samedi 9 novembre 2013

Aimantation...messages de plusieurs "Je Suis", trouvés sur Facebook


Face à face!


Réveillée à 3h50, je me suis levée bien que je n’étais pas tout à fait "présente". D’ailleurs, un geste de travers m’a obligée à nettoyer la machine à laver sur laquelle je pose le bric à brac pour faire du café. Les machines et moi, ça fait deux et plus c’est basique, plus ça me plait. Je fais mon café avec un porte filtre, une cafetière en verre et des filtres non blanchis. Bien que ça puisse paraître anodin, c’est une façon d’ancrer dans la matière, dans mon quotidien, des valeurs qui me sont chères ; la simplicité et l’authenticité. Je ne l’ai pas calculé non plus puisqu’en général, j’agis par « instinct » ou par impulsion. J’ai appelé les énergies chamaniques du Condor, dans la semaine, afin de voir mes profondeurs avec du recul. Là encore, on va me dire, ça n’est pas sérieux de se fier à des animaux et je répondrais sans hésiter, qui peux m’enseigner avec pureté sinon ceux qui vivent dans leur véritable être, essence, présence ? Ceux qui sont pleinement eux-mêmes, sans complexe, sans tabou et donc sans limites. Les animaux n’ont pas de « mental », pas d’occasion de s’embrouiller, de s’enfermer dans l’idée de bien/mal. Ils sont tout simplement. Les humains sont si « falsifiés », « tordus », ça n’est pas un constat à partir de ce que je vois à l’extérieur mais bien de l’intérieur. Toutes ces voix qui s’expriment en nous compliquent sérieusement notre vision de nous-même et des autres. D’un autre côté, ce potentiel imaginatif que porte le mental est à chérir absolument ! C’est grâce à cela que nous pouvons créer continuellement, que nous créons sans arrêt. Donc, me fiant à la sagesse animale, j’ai capté les énergies qui permettent de prendre de la hauteur sur ce qu’on vit afin d’examiner les comportements issus de l’inconscient, sans m’y noyer, sans en prendre peur, sans critiquer, bref, sans m’y identifier totalement. Oui, ce sont des attitudes qui m’appartiennent mais elles demandent simplement à être étudiées puis révisées. Tant que je nie ce que je suis à tous les niveaux, je ne suis pas complète, dans l’amour total, qui seul permet d’avoir la vision de ce que je suis de plus "élevé". 

vendredi 8 novembre 2013

S'AIMER VRAIMENT, ENTIEREMENT



A Andrew Gonzales


Bien que je me sois dit au réveil que je n’écrirai pas aujourd’hui, impulsivement, je m’y colle. Même si la question suivante émerge : que peux-ton avoir à dire chaque jour ? Je me mets au clavier sans complexe et même enthousiaste à l’idée de diffuser de l’énergie d’amour véritable de soi, de confiance en soi, de joie et d’abondance. Je ne sais plus qui disait dans « Les guignols de l’info », je crois, « on nous aurait menti ? » Et bien oui ! Et le plus gros mensonge auquel nous avons cru et que nous nous plaisons à nourrir avec le plus grand masochisme, c’est l’idée de la séparation, du bien et du mal, de la nécessité de servir l’autre pour gagner le ciel...On va me dire, et c'est la réaction première de tous, "Oui mais s'il n'y a plus de mal, c'est la porte ouverte à tous les excès...." Et je répondrais une porte ouverte, c'est la possibilité de changer. Puis l'humain n'est pas fou!
Toutes ces croyances n’amènent que souffrances, division, distance, bref nous éloignent de nos aspects divin, de notre cœur et de la vérité de la source ; elle est AMOUR INFINI. Les notions de devoir, de mérite, de récompense, de privilège ne font que nourrir la jalousie, la haine, l’amertume et les regrets. Or nous sommes l’amour et nous avons pour seule responsabilité, celle de nous aimer en totalité. Je proclame ceci avec une certaine assurance parce que mon expérience quotidienne en est la preuve flagrante. Je n’ai jamais autant progressé que depuis que j’ai balayé les fausses croyances de 3D. C’est le plus bel acte d’amour que je me sois donné et qui m’ouvre sur tant de potentiels, de perspectives que je ne cesserais jamais d’en témoigner, même si parfois mon mental se fatigue dans la répétition, si mon ego se « choque »...
J’en suis à un stade où mon cœur grandit au point de couvrir mon enveloppe corporelle. C’est une image mais pas seulement. Comment peut-on amplifier l’amour de soi si ce n’est en s’autorisant à répondre à toutes les demandes d’amour de nos différents corps. A ce propos voici une citation de Marshal Rosenberg, trouvée sur Facebook :

jeudi 7 novembre 2013

Il est l’heure de jouer avec la matière, de créer, d’agir, dans la légèreté, la paix, l’amour, l'équilibre et la liberté, portée par la joie d’être, tout simplement.


J'y vois l'illustration du mental (le chien fougueux) qui se laisse porter par la sagesse divine (l'éléphant), belle assoc'**



Au réveil, j’étais en "classe", écoutant quelqu’un me parler de l’illusion de la réalité, des choses qui existent uniquement parce qu’on porte notre conscience dessus. Je dois dire que ça m’a soulé de me réveiller à l’école et je me suis levée en signe de rébellion. Moi qui ait demandé à la terre mère de me porter pendant mon sommeil afin que je sois en sécurité et puisse me reposer, j’étais un peu irritée de constater que je ne dors pas réellement. Si mon corps et mon mental sont immobiles, une autre part de moi se ballade, vit sa vie...C’est assez troublant d’avoir la forte sensation de ne pas connaître une partie de soi-même aussi bien que la personnalité humaine. Disons que c’est la première fois que j’ai cette sensation de ne pas « m’appartenir ». Une petite crise de l’ego qui voudrait tout contrôler ! Précision, l’ego, je ne le considère pas comme un ennemi au contraire, c’est avec lui que je chemine la plupart du temps et il me permet de ne pas me diluer dans le tout, de ne pas me faire envahir et de savoir poser des limites. Je ne suis pas très douée pour l’ensemble de ces « activités » mais c’est comme tout, ça s’apprend. C’est peut-être pour ça que j’aurais préféré éviter de prendre des cours sur les lois universelles cette nuit. Mon ego a du mal à comprendre que la vraie vie fonctionne à partir de celles-ci. Il faut dire qu’il se fait des idées à propos de ces lois qui ne correspondent pas à la réalité alors merci, je ne sais qui, de clarifier les choses. J’avoue que je ne saisi pas bien encore le pourquoi de cette leçon nocturne mais la vie me le montrera. Disons plutôt que je ne sais pas pourquoi ça vient maintenant, précisément. Je vais tout de même tenter d’interpréter et d’agir en fonction de ce principe, aujourd’hui, du moins essayer d’y penser. Il faut dire que depuis que j’ai décidé de laisser tomber mon idée "d’aider", des pensées viennent me perturber. Ce matin, je me disais que du "conseil" serait plus approprié. J’ai bien l’impression qu’il me faille trouver le juste milieu, ne pas abandonner totalement le projet mais le revisiter. Un des côtés chiant de la flexibilité, c’est justement de ne pas être fixée. Oh, "un jour avant sa mort, Lapalisse vivait encore"!

mercredi 6 novembre 2013

Se laisser guider par la joie, l'enthousiasme et regarder ses peurs avec tendresse




Je suis tombée du lit à 3h du matin, toute contente d’être encore en vie ! Merci maman de m’avoir refilé l’info des gens morts par des émanations de monoxyde de carbone ! C’est une peur à laquelle je n’avais pas pensé, qui sur le coup m’a un peu affolé puis surtout agacée de la recevoir en héritage. Elle n’est pas consciente de l’effet que peut produire un tel « cadeau » comme la plupart des gens qui pense exprimer leur amour par des mises en garde. Une chance que je sache relativement bien traiter ce genre d’émotions et utiliser ce qu’on m’offre pour « grandir ». Puis comme j’ai mis sur le tapis, il y a quelques jours, le « concept » de liberté afin de l’examiner, il est logique que je me trouve face à ce qui peut m’empêcher d’en jouir. J’ai eu droit à la peur d’être abusée, à peu près bien accueillie, celle de se croire incapable de gérer les aspects matériels de la vie, de ne pas être à la hauteur, de dépendre systématiquement des autres pour mon confort affectif et physique...Je ne fais pas toute la liste, j’en aurais pour des heures d’autant plus que j’en parlerai certainement au fur et à mesure. Après la peur de mourir donc, j’explore celle d’être dépendante. De ne pas arriver à « gagner ma vie ». Une idée lumineuse m’est apparue quand je me suis enfin décidée à trier les photos de fleurs. J’ai passé cinq heures d’affilée sans me lasser à effectuer des recadrages, à sélectionner des photos en vue de créer mes « cartes mémoires » puis tandis que je m’éclatais, je me suis dit : mais c’est ça mon « truc » ! C’est ça que j’aime faire, qui peut me permettre d’être autonome financièrement en travaillant dans l’amour, la facilité, la joie et la liberté ! « Lucidia », la voix intérieure qui veille à ce que je ne m’égare pas dans les rêves inaccessibles, ne s’est pas trop manifestée, elle m’a bien susurrée que ce n’était pas nouveau mais j’ai répondu à son sens de la réalité, que rien n’était nouveau. Ce qui fera la différence c’est le regard spécifique que je porte sur les choses et ma façon de transmettre ma foi en l’humain divin.

mardi 5 novembre 2013

Douce chaleur intérieure et extérieure





Alors que je revoyais certains moments passés ces derniers jours, je me disais que finalement, le miroir avait été plutôt équilibré et « positif » dans l’ensemble. 
Oui il y a toujours le côté enfant qui a souffert et qui a du mal à devenir adulte mais je n’ai plus trop la fâcheuse tendance à jouer les Caliméro, à me plaindre de mon sort, même si je l’exprime intérieurement, une autre voix vient la consoler. Je ne parle pas non plus de ce blog puisqu’il est un témoignage fidèle du parcours d’un humain conscient de sa vraie nature et qui tente de faire cohabiter ces deux réalités, au quotidien.

J’ai croisé au supermarché, avec mon amie, une femme qui est championne dans l’art de jouer la pauvre victime, mais comme le « tableau » était plutôt comique, ça ne m’a pas affectée. Sa façon de débiter ses plaintes sans interruptions, un monologue chanté sur le même ton, me laissait souriante. Elle maitrise mal le français et je ne comprenais pas tout ce qu’elle me disait et d’ailleurs on aurait pu croire que son discours était joyeux puisqu’elle a eu le sourire aux lèvres, du début à la fin. Les asiatiques ont cette habitude de sourire en permanence, comme si tout était idéal. Du coup, ce miroir m’a plutôt réjouie d’autant plus qu’elle a déménagé et n’habite plus mon voisinage. 

Là aussi, je peux voir l’efficacité dans l’accueil de l’enfant intérieur, la façon dont l’extérieur se conforme à mon état d’être. Disons plutôt que ma vision change selon mon état intérieur. Quoique, le voisin chiant d'en haut n'est toujours pas revenu!

Message du Peuple des Chevaux, reçu par Caroline Leroux



Nicola Tancrel


Salutations! Nous sommes le peuple des Chevaux et nous faisons UN avec le Vent! De tous les animaux terrestres, vous ne trouverez pas un animal plus connecté que nous à l’élément air car lorsque nous galopons, nous devenons une partie intégrante du vent. Saviez-vous que le vent est vivant, saviez-vous qu’il y a des êtres qui habitent dans le vent? Ces êtres s’appellent les windwalkers, et ils sont nos alliés et nos guides. Ce sont eux qui murmurent à nos oreilles, qui nous avertissent des changements de température, des mouvements de la terre et du danger, même lointain. Ce sont eux qui nous guident à travers la noirceur, celle de la vie et celle de la nuit... Ce sont aussi eux qui nous maintiennent connectés à l’âme collective de nos ancêtres-chevaux. Les windwalkers sont des messagers, des anciens eux aussi.
Nous sommes le peuple des Chevaux, et notre plus grand cadeau à l’humanité est l’enseignement de ce qu’est la véritable liberté! Pas la liberté «débridée» qui erre sans but et se laisse distraire par le moindre courant d’air... La véritable liberté est celle qui est basée sur l’équilibre des choix intérieurs.
Nous, chevaux, sommes toujours connectés avec l’immatérialité de l’âme et nous savons que la vie terrestre constitue une évolution en mouvement, un retour vers ce que vous êtes depuis toujours. De ce point de vue, la liberté est un attribut divin car elle repose sur votre droit et votre obligation à faire des choix conscients et à en prendre la responsabilité à titre de créateur.
La liberté exige de vous que vous soyez toujours congruents avec ce que vous ressentez! C’est en agissant avec cohérence et avec responsabilité qu’un Être évolue et peut, un jour, connecter avec une grande vérité: nous sommes incarnés, divinités dans la matière et la mort est une illusion, un passage, l’ultime transformation!

Objectif premier: harmonie intérieure


Jardin l'été dernier


Dès le réveil, une voix intérieure répétait : comment peux-tu être aussi naïve ! Au bout d’un moment, je l’ai remercié d’être là, de rester vigilante. Plutôt que de la considérer comme une ennemie, une voix critique, j’ai choisi de la voir comme une qualité indispensable à ma capacité de discerner. Dans la mesure où je l’autorise à « m’avertir » lorsque je tombe dans l’aveuglement. Mon « erreur » est d’identifier la voix qui rêve d’un monde pacifiste où l’amour règne, comme celle de ma présence divine. Or toutes les voix intérieures viennent pratiquement toujours du mental qu’il soit « inférieur » ou « supérieur ». La présence ne se manifeste pas par une voix la plupart du temps mais par une vibration. Même les voix qui sont « spirituelles » ne sont pas l’expression de la présence qui est « essence pure ». Certaines paroles de sagesse peuvent être inspirées par l’âme, les anges, les archanges, les guides...mais la présence divine est plus une sensation, un état d’être, une perception.
Après avoir connecté mon âme et appelé la vibration de ma présence à se manifester afin que je me sente guidée, j’ai pu voir clairement que ces voix qui se manifestent depuis hier, ne sont pas « négatives », bien au contraire, elles sont justement celles que j’ai le plus besoin d’entendre en ce moment, pour redescendre de mon petit nuage, pour arriver à vivre sur terre tout en étant conscient du divin.