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A Andrew Gonzales |
Bien que
je me sois dit au réveil que je n’écrirai pas aujourd’hui, impulsivement, je m’y
colle. Même si la question suivante émerge : que peux-ton avoir à dire
chaque jour ? Je me mets au clavier sans complexe et même enthousiaste à l’idée
de diffuser de l’énergie d’amour véritable de soi, de confiance en soi, de joie
et d’abondance. Je ne sais plus qui disait dans « Les guignols de l’info »,
je crois, « on nous aurait menti ? » Et bien oui ! Et le
plus gros mensonge auquel nous avons cru et que nous nous plaisons à nourrir
avec le plus grand masochisme, c’est l’idée de la séparation, du bien et du
mal, de la nécessité de servir l’autre pour gagner le ciel...On va me dire, et c'est la réaction première de tous, "Oui mais s'il n'y a plus de mal, c'est la porte ouverte à tous les excès...." Et je répondrais une porte ouverte, c'est la possibilité de changer. Puis l'humain n'est pas fou!
Toutes
ces croyances n’amènent que souffrances, division, distance, bref nous éloignent
de nos aspects divin, de notre cœur et de la vérité de la source ; elle
est AMOUR INFINI. Les notions de devoir, de mérite, de récompense, de privilège
ne font que nourrir la jalousie, la haine, l’amertume et les regrets. Or nous
sommes l’amour et nous avons pour seule responsabilité, celle de nous aimer en
totalité. Je proclame ceci avec une certaine assurance parce que mon expérience
quotidienne en est la preuve flagrante. Je n’ai jamais autant progressé que
depuis que j’ai balayé les fausses croyances de 3D. C’est le plus bel acte d’amour
que je me sois donné et qui m’ouvre sur tant de potentiels, de perspectives que
je ne cesserais jamais d’en témoigner, même si parfois mon mental se fatigue dans la répétition,
si mon ego se « choque »...
J’en suis à un stade où mon cœur grandit
au point de couvrir mon enveloppe corporelle. C’est une image mais pas
seulement. Comment peut-on amplifier l’amour de soi si ce n’est en s’autorisant
à répondre à toutes les demandes d’amour de nos différents corps. A ce propos
voici une citation de Marshal Rosenberg, trouvée sur Facebook :