lundi 28 octobre 2013

L’enfant intérieur c’est l’enfant Christ en personne.



image trouvée sur "Art of the feminine"

Depuis hier, j’ai la forte sensation que l’enfant et l’ange intérieur ou le Christ ne font qu’un. J’ai déjà eu ce genre d’éclair de lucidité il y a quelques temps mais une fois de plus les mots risquent de pervertir la sensation profonde que j’aie. C’est comme si cet enfant intérieur était le Christ en personne, la reliance directe à la source. Puisqu’il agit à partir du cœur, dans une pure innocence et une spontanéité rafraichissante, je le vois comme cette part de nous-même, trop négligée, qui porte en lui les qualités divines. Notre conception du divin est tellement loin de la réalité ! Nous imaginons des scénarios mirobolants dans la rencontre avec notre vraie nature, prédite par tant de personnes, de façons si diversifiées mais qui ont en commun une vision à l'image de nos frustrations et de nos attentes. Nous sommes déjà dans la dimension du cœur, nous sommes déjà dans les énergies de cinquième dimension et la seule porte d’accès est celle du cœur. La nouvelle terre est là et il nous suffit de passer le portail de notre propre cœur.
Tous les humains portent des blessures liées à leurs différentes incarnations, à leur enfance qui ne fait que reproduire les traumas du passé afin de pouvoir les libérer, en ces temps particuliers de transition. Plus l’âme veut grandir, et plus elle choisira des circonstances de vie lui permettant de libérer les traumas et ainsi de s’affranchir, de pouvoir guider la personnalité humaine à partir de l’amour et la lumière, du cœur et de la conscience de l’humain divin. Ce principe christique qui est notre essence éternelle n’attend que notre accord pour s’activer en tous nos corps et guider notre mental, nos gestes, nos pas. Cette activation passe par la guérison de l’enfant intérieur.

dimanche 27 octobre 2013

Chaque enfant intérieur dispose de l’amour exclusif de parents divins "incarnés" dans la source qui coule en tous...vidéo Isabelle Padovani



 
Signature illisible
Tiens, j’ai oublié de changer d’heure ! Peu importe, ce qui compte, c’est que je sois à mon heure, en accord avec ce que je suis. D’ailleurs, la raison d’être de la source, c’est la création harmonieuse, équilibrée, juste pour la joie d’être et la beauté créée par la danse des énergies. Enfin, c’est la vision que j’aie. Je ne précise pas création « évolutive » puisque ça va de soi et ça implique aussi des phases involutives enfin disons plutôt une éternelle respiration, un mouvement perpétuel que rien ne peut arrêter, à l’image de la vie qui s’écoule en nous. Être accordé à ce mouvement intérieur éternel me semble primordial. Il en va de même pour chaque individu, « l’évolution » n’est pas linéaire, elle est faite d’élévation et de redescente. Il est vrai que ça n’est pas facile à accepter parce que lorsqu’on se trouve dans des vibrations élevées, on ne veut plus retomber. Cependant, les rechutes nous apprennent beaucoup et apportent leur vertus telles que l’humilité, le sentiment d’égalité entre tous qui mène peu à peu à la réalisation concrète de l’unité. Dire l’humanité est UNE, bien qu’on puisse en faire l’expérience et que le mental puisse le concevoir peu à peu, n’est pas simplement une belle image, une phrase qui nous situe dans le cercle privilégié de ceux qui ont « goûté la lumière ». Pour que ça devienne une réalité, il est nécessaire d’intégrer des qualités divines telles que la patience, l’égalité et la fraternité.
Je vois bien au quotidien que plus je m’élève et plus j’ai tendance à m’éloigner du monde. C’est une très bonne chose que de se détacher mais si c’est pour s’isoler, ne plus tenir compte du reste de l’humanité, à quoi bon, d’autant que ça créé un vide intérieur. Selon ce que je crois, la spiritualité est un chemin qui nous permet de vivre notre humanité dans la paix et l’amour. D’être en amour pour tous les aspects de la personnalité ce qui revient à pouvoir aimer toute vie. 

samedi 26 octobre 2013

Relier, reconnecter par l'amour




La nuit a été très agitée à cause de la chaleur. Je devrais me réjouir de ne pas avoir à allumer le poêle mais quand je vois l’état du jardin...Ce n’est pas tant le soleil qui dérange mais le vent de sud. Chaque fois, j’ai remarqué qu’il amenait de la nervosité comme si toutes les énergies de l’Espagne nous remontaient en pleine face. Je ne sais pas si ces impressions sont liées à mes origines, au fait que mon père soit espagnol, bien que né en France, mais ça me semble être le cas. L’adulte que je suis a pardonné, la raison, la réflexion, le constat de la délivrance qu’il procure on facilité cet acte, j’en suis même à me dire par moments que ce drame a été la voie d’une certaine forme d’éveil. La découverte de mon monde intérieur et surtout mon essence, mais pour l’enfant ? Cette part restée bloquée, comme figée par le trauma a bien du mal à digérer, encaisser l’injustice ressentie alors. Même si enfant je sentais qu’il y avait une forme de logique dans cette histoire puisque je ressentais fortement le mal-être de mon père. Plus tard, j’ai pensé que des souvenirs de vie antérieure devaient influencer les pensées de cet enfant mais il m’apparaît que c’est plutôt le sentiment d’être coincée dans cette histoire et de se dire, "je n’ai pas d'autre choix que de subir", qui m’a donné l’impression que cet enfant était dans l’acceptation.
Comme si je pouvais créer un transfert entre mon raisonnement d’adulte et les croyances de l’enfant que j’étais, qui vit encore au fond de moi. Il m'apparait qu'il soit plus judicieux de créer un pont, d'établir un dialogue. En fait, cet aspect enfantin de ma personnalité, continue de souffrir d’injustice et d’incompréhension. Je libère ses croyances erronées comme celle de ne pas être aimable, d’être coupable, d’avoir mérité ça...en étant patiente quand des émotions négatives relatives au passé surgissent mais il est aussi nécessaire que je lui explique certaines choses et le laisse exprimer ces rêves.

vendredi 25 octobre 2013

Ma patience et ma foi en mon pouvoir d’aimer, guérissent mon enfant intérieur.




J’ai rendez-vous tout à l’heure avec le toubib pour le renouvellement d’ordonnance et comme j’ai commencé la journée par écrire, je n’ai plus le temps d’aller arroser. Une fois de plus je me trouve confrontée à la nécessité de faire un choix et en plein face au problème récurent dans ma vie, que choisir ? Qu’est-ce qui est le plus urgent, prioritaire ? Je nourris encore l’idée qu’il faille lutter, batailler et que le fait de faire des choix implique non seulement de se planter mais surtout oblige à abandonner quelque chose. La peur d’échouer, de faire le mauvais choix, de passer à côté de l’opportunité en or...
Tout ceci se résout pourtant facilement, en s’abandonnant en toute confiance à son intuition, en partant du principe que ce qui est le mieux à faire dans l‘instant présent, est la chose qui me réjouit le plus. Celle qui me fait le plus envie. Peu importe finalement ce que c’est, pourvu que la motivation soit là. En me laissant aller à suivre l’élan de mon cœur, l’énergie de joie qui rayonnera me donnera la motivation pour faire le reste dans les meilleures conditions. La loi d’attraction est maintenant une certitude pour moi bien que ça ne soit pas toujours évident à vivre en conscience. Je sais que c’est la joie qui est le moteur d’action le plus puissant et que celle-ci est l’indicateur que je fais le bon choix. C’est par cette émotion que je sais que mon aspect divin me guide.

Guérir mutuellement par la confiance, la sincérité, la transparence et la connaisance que nous sommes UN




Mon cœur déborde ce matin, j’ai été enseignée toute la nuit et cette fois-ci, je n’étais pas dans une classe avec d’autres mais directement enseignée de l’intérieur. Je commence à goûter les bénéfices de la diminution des cachets et ça me motive pour continuer dans ce sens, de la même façon, tout en douceur par l’écoute attentive des voix intérieures et l’acceptation des émotions qui se montrent le soir, afin d’être libérées. Je ne m’effraie plus trop de les voir et du coup, elles ne s’éternisent pas. Les deux phrases que je prononce suffisent à calmer le « jeu » et constitue un genre de lâcher prise ; « Je choisis l’amour, je choisis la paix ». L’enseignement de cette nuit portait sur l’attention au moment présent le fait d’agir plus en conscience. D’ailleurs, au lever, plutôt que de me lever en équerre, j’ai pris le temps de me mettre sur le côté et de m’appuyer sur mon bras pour ne pas faire travailler les abdominaux, en plus à froid, ce qui avait renforcé ou peut-être même créé le mur dans mon ventre. C’est un détail qui en dit long et détermine la façon d’agir durant la journée. Ce lever presque en sursaut est conditionné par l’instinct de survie, la nécessité de lutter pour vivre, de gagner sa vie, d’être sur les starking- blocks...Bref, des comportements basés sur la peur qui sont libérés par la prise de conscience et l’ouverture du cœur. Ces deux « actes » forment le processus d’élévation tout comme celui de la guérison.

jeudi 24 octobre 2013

Nous ne vivons rien par hasard et nous avons toujours l’énergie de la solution en même temps que le problème, c’est livré avec !



Image trouvée sur "The garden of pensiveness"


Depuis hier après midi, c’est le cirque au niveau énergétique ! Enfin depuis deux jours, ça balance entre une dimension de paix et d’enthousiasme le matin et une autre de conflit, de dualité intérieure qui se reflète évidemment à l’extérieur. Comme j’ai voulu réajuster les doses de médicaments, il y a des émotions habituellement enfouies, comme tapies dans l’ombre, qui surgissent et comme je n’ai pas l’habitude d’y faire face, c’est un peu la panique au premier abord. Heureusement, je ne suis plus submergée comme avant ! Cependant, ça entraine encore de la culpabilité et de la peur. Peur d’être la proie d’entités négatives, d’être manipulée ou d’être désagréable avec les autres.
J’ai répondu à des mails de façon plutôt directe, sans faire preuve de patience et la culpabilité s’est installée. Puis, je me suis dit, tu ne peux pas continuer à croire qu’il te faille adopter une attitude particulière pour aller vers l’autre. Ce serait du fayotage, du reniement, ce n’est pas de l’amour véritable de soi ni de l'autre d'ailleurs, ça n'est que du conformisme, de la complaisance à la limite de la condescendance. 
Il est beaucoup plus facile d’être en lien quand la paix est en soi que quand la colère monte. J’ai traité ces émotions discordantes avant d’écrire et ma façon de dire mes besoins, n’a pas été balancée pour blesser l’autre mais seulement pour poser mes limites. La façon dont ça sera reçu ne me concerne pas finalement. C’est toujours selon notre propre état d’esprit que nous interprétons ce que nous recevons. La seule chose que je sache, c’est qu’en commençant par avoir de l’amour et du respect pour soi-même, l’autre nous le renvoie. 

mercredi 23 octobre 2013

l’amour se vit librement selon l’élan du cœur et non selon les croyances mentales si justes soient-elles.


Anne Dewailly


Ce matin, je n’ai pas pu me mettre au clavier avant 9h ! Habituellement, ça glisse tout seul, l’enthousiasme me porte. Là, rien, ou plutôt, un genre de lassitude m’envahit. Certainement que le fait d’avoir décidé de changer a créé un conflit intérieur entre mon cœur et mon ego. L’un fonctionne à partir de la peur et l’autre de l’amour. Pas question que je nourrisse la lutte, il n'est pas question de se forcer mais de satisfaire tout ce que je suis. Mon choix est fait, celui de l’amour en toutes circonstances. Vouloir changer sous prétexte, que le doute s’est installé quant à l’image que j’aie de moi, parce que j’ai constaté par deux rêves que je nourrissais de la « jalousie » envers ma sœur, est idéal pour amplifier le malaise. Les rêves sont des images de ce qui se vit à l’intérieur, au niveau de l’inconscient. Dans le premier, je hurlais ma colère envers elle et dans le second, je pleurais comme une madeleine, envahie par la culpabilité et elle venait me consoler, me rassurer. Il y a une progression entre les deux et la seule chose à retenir est ce fait, j’avance, ma vision de l’autre et de moi-même se conforme a la seule vérité qui compte maintenant pour moi : Nous sommes UN. L’autre est moi, je suis tout ce qui est.
Tant que je doute d’être parfaite, que je créé tout ce qui m’arrive afin de garder le cap, je vais me sentir victime, à côté de la plaque, inadaptée...Alors que si je nourris ma conviction profonde dans la seule chose qui soit vraie et utile : « Je suis tout ce qui est », plus rien ne peut m’affecter. Dans cette optique, seule l’acceptation m’amène à la paix et la reconnaissance de ce que je suis en vérité.
Tu es bien gentil mon ego que tu sois « inférieur » ou « spirituel » mais je ne veux pas changer qui je suis pour être crédible dans mon offre d’aide. La seule chose que je puisse faire d’utile tant pour moi-même que pour les autres, c’est d’être vrai, de témoigner en toute authenticité du paradoxe de l’humain divin qui peut s’unifier dans l’amour, l’acceptation de ce qui est, tel que c’est maintenant. Peux-tu comprendre que la reconnaissance de la perfection de l’être passe par celle de la personnalité humaine puisque celle-ci agit selon l’essence divine. Il n’y a rien à changer il y a juste à reconnaître et accepter tout ce que je suis et tout ce qui est. Puisque ce que Je Suis est tout ce qui est, puisque la seule reconnaissance qui permette la libération de toutes les peurs, c’est celle du Je Suis, l’espace où tout se rejoint.