samedi 12 octobre 2013

Quand on exige trop de soi, on est en mode « violence »



Oleg Kuchorenko


J’ai décidé, ce matin, de me relâcher encore plus. Comme j’ai constaté que j’étais beaucoup plus efficace quand je libérais la pression, quand je suivais mes désirs au fur et à mesure de leur manifestation, j’ai choisi d’écouter et de suivre ses pulsions de vie. Résultat, je me suis recouchée à mon premier réveil puis au second, j’ai fait la même chose sentant que mon corps physique avait encore besoin de sommeil. Vouloir planifier est une bonne chose pour peu qu’il n’y ait pas de rigidité ou que ne soit pas motivé par une peur. Courir après le temps, finalement, ne donne aucun résultat satisfaisant puisqu’on se dit toujours qu’on aurait pu mieux faire. Quand on exige trop de soi, on est en mode « violence » au lieu d’agir dans la confiance en se contentant de suivre l’inspiration. Une bonne façon de déterminer si c’est notre âme qui nous parle, c’est de se poser la question ; pourquoi je veux faire ça ? Si la réponse commence par ; "pour ne pas" ou toute autre forme négative, il y a fort à parier que c’est l’ego qui inspire. L’âme nous pousse à satisfaire nos besoins vitaux; l’entretien du corps physique dans la tendresse et l’envie d’aimer, d’être sur la fréquence du cœur, dans la paix. Je distingue ici le besoin d’aimer et l’envie d’aimer parce que tout besoin exprime un manque, une nécessité. Il est évident qu’on ne peut se passer d’amour mais si on tend vers lui avec l’idée que ça nous manque, c’est que l’on n’est pas "centré". L’amour est en nous et peut être activé justement en étant authentique avec soi-même, en étant clair quand à ce que nous voulons. Personnellement, mon objectif premier, c’est le bien-être, la paix. Tout sera donc déterminé, passé à travers ces questions, est-ce que ça me permet de me sentir bien, est-ce que je suis en paix à l’intérieur ? Je n’ai même pas à me demander quelles en seront les conséquences sur l’entourage puisque j’ai pu constater que celui-ci agissait en fonction de mon comportement, me renvoyant l’écho de ma vibration intérieure. Et comme chacun veut vivre dans la paix...

vendredi 11 octobre 2013

C'est en étant pleinement incarnée, dans l'acceptation totale de tout ce qui est, que je reconnais mon essence véritable.


Image trouvée sur facebook "Spiritual Nature"


Il fait frais ce matin, c’est la première fois que j’ai des frissons depuis le printemps dernier ! Le ramoneur vient tout à l'heure et le nouveau poêle devrait être installé dans la journée. Je suis relax alors qu’il vient à 8h30 et que je dois dégager des trucs autour du poêle. Remarque, j’ai le temps, il n’est que six heures. Je n’appréhende pas trop pourtant le système de chauffage est un problème depuis 2012. La première année que j’ai emménagé ici, le poêle était tout neuf et j’allais à la rivière ramasser du bois mort. Le truc, c’est que je mettais des résineux et que le conduit, enfin il n’y avait qu’un encadrement en plâtre, a commencé à brûler tant il y avait de résidu, au niveau des combles ! Il a fallu batailler avec le propriétaire pour qu’il installe un conduit en inox. Evidemment c’est un voisin qui l’a posé « au noir ». Là encore, il m’a posé les tuyaux à l’envers, les sciant et les coupant, pour que ça rentre, en aplatissant le tube de 10 mètres pour être sûr qu’il rentre dans le conduit, bref, la misère, du bricolage d’amateur qui fait que depuis deux ans, ça dégouline, ça fume, ça tire mal; j’ai mis le feu à la cheminée, trois fois...Je commence à chauffer fin octobre et déjà en février, ça ne fonctionne plus. Cette année, j’ai arrêté de faire du feu le 8 février ! Cet hiver, ça devrait être autre chose. Je verrais bien comment ça se passe avec le ramoneur. La première année, il a passé un hérisson rond dans un conduit carré ! Quand j’ai reçu la facture, on me demandait le double du prix annoncé alors que je m’étais emm...à nettoyer le poêle et les tuyaux avec une spatule scotchée à un manche à balai! 
J’ai réussi à me « défendre » mais ça m’a coûté beaucoup, j’en étais malade à l’idée de devoir crier à l’injustice. En fait, j’ai pu expliquer qu’il y avait un malentendu, avec humour en étant sincère. Je m’étais épatée sur ce coup là ! Je sortais peu à peu du rôle de la victime.

jeudi 10 octobre 2013

"L’amour de soi", d'après Lise Bourbeau suite et fin

Image trouvée sur Facebook, source non citée


Voici donc les deux dernières vidéos de la conférence. Je vous souhaite d'oser croire à ce qu'elle dit. Bien que ça puisse sembler difficile à accepter, c'est une vérité que je vis et qui me rapproche chaque jour un peu plus de ma vraie nature. Mais c'est à vous d'en faire l'expérience. 

« Les moyens pour s’aimer véritablement »

Apprivoiser le mental en douceur



Bartabas et Soutine


Levée à cinq heures, ce matin. Encore reconnaissante vis-à-vis de tous mes corps d’avoir pu s’entendre à merveille lors de mon entretien avec la personne de la chambre des métiers. Ce qui est bien quand on fait les choses étape par étape, en se focalisant sur le moment présent, c’est de voir et de vivre chacune d’elles intensément. Quand on se laisse guider par l’amour de soi, par l’âme, on trouve les bonnes personnes, au bon moment, c’est comme si tout conspirait à rendre magique notre voyage. Par moments, quand j’étais sur la route et que je mesurais le chemin parcouru depuis que je crois au christ intérieur, ma foi s’amplifiait tellement que j’en avais le vertige. Le mental est perturbé quand il est question de grandeur, d’éternité, d’infini ! La puissance de ce que nous sommes est telle que ça fait peur. Rien que l’idée d’être un humain divin, même si pour moi, il n’y a absolument aucun doute, c’est immense ! Savoir et reconnaître que nous existons dans d’autres plans, que finalement, nous sommes tous UN, c’est aussi très troublant pour le mental et difficile à concevoir. Non pas qu’il veuille nous maintenir dans l’ignorance par besoin de pouvoir mais tout simplement qu’il ne peut saisir quelque chose de si grandiose. Comme son mode de fonctionnement de base c’est la peur, il faut que le cœur puisse l’apprivoiser, le rassurer afin qu’il intègre les vérités divines. Quand il peut en toute confiance suivre la guidance de l’âme, il se réjouit de s’élever, de se remplir de lumière, de changer ses croyances. Quand il saisit qu’il est bienvenu, que sa participation à notre souveraineté est essentielle, il devient un partenaire docile, actif et efficace. Je vais comparer avec ce que je connais bien, les animaux. Je vois le mental, tout comme l'inconscient d'ailleurs, comme un animal sauvage apeuré qu’il convient de pacifier, d’aimer afin qu’il devienne un fidèle compagnon.

mercredi 9 octobre 2013

"L’amour de soi", d’après Lise Bourbeau 2ème partie



Olivier Richter

Pour ne pas vous faire attendre, voici deux autres séquences.
"Pourquoi est-ce si difficile de s'aimer?"

"L'amour de soi", d'après Lise Bourbeau

Jeremy Mann



Je redescends peu à peu de mon nuage, en douceur. Ces deux derniers jours ont été très puissants et la vibration très élevée m’a un peu déroutée bien que j’ai apprécié grandement ces moments de montées énergétiques. Heureusement que le jardin et les connexions régulières à l’énergie de la terre mère m’ont aidé à m’ancrer. Je n’ai pas pu faire autre chose que d’écouter de la musique, chanter, tout l’après midi d'hier. Impossible de me poser, de faire une séance de relaxation tant l’énergie était forte, j’étais pourtant levée depuis 4h30 du matin ! Il est nécessaire de trouver l’équilibre en toute chose et plus on veut atteindre le ciel plus il est primordial de s’enraciner avant de se centrer. J’ai vraiment la sensation d’avoir monté d’un cran vibratoirement. J’étais si excitée, sollicitée par tous les centres (chakras) que j’ai eu du mal à canaliser l’énergie que j’ai préféré exprimer dans la musique, le chant et la danse.

mardi 8 octobre 2013

Notre plus grand pouvoir, c’est de choisir l’amour




Réveillée à 4h30, je n’ai pas pu m’empêcher de me lever pour écrire, pour répondre aux nombreux mails. Ce n’est pas tant le nombre qui m’a surprise mais le fait que pas un seul n’était négatif. J’ai pu accueillir cet amour sans complexe puisque je sais qu’il ne comble pas un vide mais qu’il est un amplificateur de l'amour qui circule déjà en moi. J’ai beaucoup apprécié votre sincérité bienveillante mais non complaisante. Cet effet miroir constitue une immense vague d’amour que je continuerais de nourrir par l’amour de soi et le partage. Nous avons fait un grand pas dans l’unité. Chacun de nous a progressé vivement sur le chemin de l’amour de soi et de toute vie. Le réseau qui se met en place doit s’agrandir et se fortifier mutuellement. Même si vous me lisez, et parce que vous me lisez, vous avez aussi à faire le pas de manière à exprimer votre lumière. Chacun est unique, nous avons tous été préparés à rayonner l’amour inconditionnel en premier lieu en nous-même de façon à savoir l’exprimer naturellement à l’extérieur. Nous nous rencontrons dans d’autres plans afin de préparer la voie pour que chacun puisse exprimer l’unité à travers sa personnalité spéciale, son unicité, ses qualités d’âmes. Nous ne sommes pas « concurrents » mais associés dans cette grande œuvre. L’heure n’est plus à l’isolement, à la marginalité, ni même aux réunions d’âmes sœurs qui se protègent par le nombre, du monde extérieur, « nous contre eux ». L’heure est à répandre des vagues d’amour et de lumière, croissantes, par notre interconnexion qui sera de plus en plus puissante à mesure que nous nous retrouverons dans cet espace virtuel, reconnaissant nos propres qualités et la force dans nos différences. Même si le statut juridique sera le même pour nous tous, ce qui fera notre force, ce sont nos différentes façons d’être.  Nos dons spécifiques nous sont révélés à mesure que nous ouvrons notre cœur. Chacun de nous est important, a son « rôle » spécifique à jouer. Plus on s’aime et plus on se reconnaît soi-même plus on est en mesure de jouer notre propre mélodie qui saura toucher les cœurs réceptifs à ce chant spécial.