mercredi 18 septembre 2013

"La sagesse amoureuse" Yann Thibaud







Un texte encore bien inspiré, où je me retrouve totalement. 
Nous sommes loin d'avoir fait le tour de la question mais nous commençons à appréhender ce qu'est l'amour, avec plus de sagesse, de justesse et de raison. 
L'expérience, les nombreuses incarnations dont nous portons la mémoire, notre état d'être, l'état du monde, tout nous amène à conclure que cette énergie divine, qui est en chacun, est La solution à tous les maux. 
Ce qui est extraordinaire, c'est de pouvoir le ressentir en soi, naturellement, sans que rien d'extérieur ne l'ait suscité. 
C'est le chemin, la mission de tout être qui recherche le vrai sens de la vie. 
Cette énergie est en chacun, elle se révèle bien souvent par contraste, quand nous acceptons de lâcher prise, d’accueillir tout ce que nous sommes en totalité. 
J'ai remis le lien de la vidéo où il explique comment transmuter une émotion.

Nous sommes le livre que nous cherchons




Image trouvée sur Just Channeling

Encore une nuit très intense au niveau de la libération des mémoires cellulaires. Beaucoup recherchent une échappatoire dans la lecture de messages spirituels, et je les comprends puisque lorsqu’on est conscient de l’état du monde, il est normal et même sain, de vouloir s’en extraire ou de tourner son regard ailleurs. Cependant, il m’apparaît de plus en plus logique et évident que tout passe par notre corps physique. Le moyen de la source de faire passer la lumière dans la matière, c’est le corps humain. Notre constitution regroupant divers plans, nous permet d’être de véritables canaux pour cette énergie d’amour et de lumière. Des « piles » électriques et magnétiques au potentiel infini. Pas étonnant que beaucoup cherchent à nous manipuler. Notre façon de trouver la force, le divin, réside en l’harmonisation de nos corps, qui se réalise par l’amour de ceux-ci. La première étape c’est de devenir conscient. Tant de notre dimension divine que de notre dimension humaine. Connaître les outils dont nous disposons, les comportements qui nous dirigent, permet de retrouver son pouvoir de réunifier l’ensemble et de créer en conscience. Il est donc important de savoir comment nous fonctionnons aussi énergétiquement. La médecine avance beaucoup dans ses recherches et constate de plus en plus que notre corps physique est une conscience autonome, que notre cœur possède une intelligence très « supérieure » à celle du cerveau et qu’il est aussi un organe parfaitement autonome. La santé résulte de la libre circulation énergétique et la guérison dépend du patient, de son « terrain ». Pour cette raison il n’y a pas une technique de guérison mais bien autant de façon de guérir qu’il y a d’humains. Ce qui nous amène à la nécessité de se réconcilier avec notre corps physique qui porte tout en lui. L’idée du corps physique temple de l’esprit, énoncée par Jésus-Christ, n’est pas seulement une belle image, c’est une vérité. Le temple étant le lieu de rencontre avec le divin, le sacré, c'est à travers lui que nous apprenons à connaitre la source et à communier avec elle.

mardi 17 septembre 2013

A propos des 4 accords Toltèques...



Image trouvée sur The sacred of geometry


La réécoute des 4 accords Toltèques est très bénéfique. Un petit rappel est toujours bienvenu. « Que votre parole soit impeccable » explique entre autres, la puissance de la parole et son effet sur autrui. Je résume pour me rafraichir la mémoire et je devrais peut-être commencer par le quatrième qui permet de réaliser les trois autres. « Faites toujours de votre mieux ». L’accent est mis sur la nécessité de se pardonner de rompre ces accords, de ne pas y arriver systématiquement. Aucun humain sur cette planète n’est parfait et l’acceptation de cette réalité est une clef ! C’est aussi une chance de ne pas y arriver du premier coup. Il y a beaucoup de qualités dans les ratages qui nous apprennent la tolérance envers nous-même et envers les autres puis la persévérance qui amène la force. Tout art demande une certaine pratique acquise par la répétition. Un virtuose commence par des couacs, des fausses notes qui vont le pousser à persévérer; L’amour de la musique et la patience envers soi lui donneront l’énergie pour atteindre son objectif. La recherche d’élévation est un moteur mais le souci de perfection peut freiner l’élan. Le besoin de perfection éveille très souvent le juge intérieur quand la motivation initiale est celle de la peur, la peur de l’erreur, du rejet. Faire de son mieux, c’est tenir compte de nos limites, savoir les reconnaître et les accepter. C’est alors que nous pouvons nous surpasser, quand nous lâchons prise sur nos attentes, quand nous libérons la pression. On croit que c’est en forçant, en se donnant de la peine que nous assimilons des connaissances mais très souvent, c’est l’amour de ce que l’on fait qui nous propulse, nous élève. Lorsque nous agissons à partir du cœur, les choses viennent facilement. L’enthousiasme et la joie sont des facteurs incontestables de réussite. La neuroscience le prouve aujourd'hui.

Les trésors cachés du monde émotionnel



Michael Maguire, photo trouvée sur facebook TransLight


En ce moment, j’ai la pêche un jour sur deux. Hier levée à 8h, j’ai eu bien du mal à élever mon taux vibratoire, tout comme samedi. Ce matin, je suis réveillée à 4h40 complètement alerte, pleine d’énergie! Ce qui est encourageant, c’est d’avoir ainsi l’occasion de voir que les moments de tristesse peuvent être modifiés. Laisser venir, ressentir, dans un premier temps, procure un mieux être qui permet de trouver la joie naturelle ;  on dirait que c’est un temps d’exercice, de maîtrise de l’émotion. Parce que lorsque notre ciel s’obscurcit, il est toujours possible de voir le soleil derrière les nuages. Cet entrainement permet d’exercer son libre arbitre et son pouvoir, de focaliser son attention sur les petits détails positifs ou négatifs et ainsi créer son état d'être. Finalement, chaque journée étant constituée de petits instants consécutifs, il s’agit de choisir ce à quoi on donne vie, par notre regard, ce que l’on amplifie par notre attention. Comme si nous étions invités à jouer à écouter l’émotion et rectifier notre parcours selon ce qu’elle nous indique. 
Le jeu auquel j’ai commencé à me livrer dimanche, qui consiste à scanner mon corps pour repérer les crispations et les dissoudre par la respiration, me permet d’être dans le moment présent, plus consciente de ce que je vis. Ce repérage et cette attention aident à capter les moments où l’humeur change et permet de rectifier immédiatement. Habituellement, il me faut faire un flash back pour déterminer ce qui a baissé mon taux vibratoire mais en étant dans l’instant présent, on voit carrément lorsqu’on bascule d’un côté ou de l’autre. 

lundi 16 septembre 2013

Entrer en soi pour trouver la source




L’effet miroir, en ce moment, me renvoie l’image de ma difficulté à accepter le caractère peu reluisant de ma raison d’être. Mon âme a choisi de s’incarner afin de guérir les blessures puis de réunifier tout ce qui me constitue pour ascensionner, pour passer de la dimension de l’ego à celle du cœur. Beaucoup de gens, dont j’ai fait partie un certain temps, s’imaginent que c’est en rejetant nos dimensions terrestres, en refoulant les mauvaises pensées, les émotions désagréables...qu’on laisse émerger le divin en soi. C’est tout à fait l’inverse !
Tout en nous est divin et il n’existe de hiérarchie que dans l’illusion de la séparation. Le rejet, l’exclusion sont les causes majeures des conflits dans le monde, à l’image de notre propre monde intérieur. Tant qu’on persiste à croire qu’il nous faille rejeter nos « défauts », nos aspects les plus denses, on se coupe de notre essence la plus pure. Bien sûr, focaliser son attention sur ce qui en nous est le plus lumineux peut aider à se reconnaître, s’aimer, mais il arrive un moment où cet amour doit s’étendre jusqu’à nos parts les plus sombres. Elles sont ainsi qualifiées parce que nous en ignorons l’aspect sacré.
Mettre en évidence ce que l’on croit être parfait tout en rejetant ce que l’on juge « mauvais », ne fait que diviser et construit une personnalité, une société basées sur des valeurs superficielles. La tyrannie du perfectionnisme fait des ravages. Ainsi, sont exclus tous ceux qui ne correspondent pas aux canons imposés par la société qui sont l’expression du dictateur intérieur. Les personnes âgées, les handicapés, les gros, les attardés mentaux, les laids, les gens de couleurs, et la liste est longue, se trouvent relégués aux rangs de parasites. L’eugénisme, la vision du monde d’Hitler, et d’autres, en sont des exemples extrêmes mais le système de valeurs basé sur l’apparence, la mode, la publicité, le dictat des médias...répond au même souci de contrôle, de division et de rejet. Où est l’amour dans tout ça ? Où est la liberté d’être ?

dimanche 15 septembre 2013

Auto-guérison ;)



Être une mère pour soi-même; notre puissance au service de notre vulnérabilité*


Rien de tel qu’une bonne nuit pour retrouver mon dynamisme habituel et la santé ! Je pense que le fait d’avoir choisi de suivre ma foi, en allant pas voir un toubib et surtout d’avoir accueilli avec tendresse, toutes les parts de moi en souffrance, a rétabli l’équilibre et l’harmonie intérieurs. Plus de sensation très désagréable au niveau du plexus, juste un peu de raideur que la relaxation et la respiration consciente pourront effacer. J’ai été réveillée par des éclairs et le tonnerre. Ce temps me fascine et j’ai remarqué que j’étais en paix dans ce genre de déchainement, ça semble paradoxal mais je me sens en sécurité. C'est encore une belle illustration de la puissance divine qui fait écho à ma propre puissance d'auto-guérison par la responsabilisation. Mes deux chats ont encore passé la nuit avec moi, le mâle à la tête et la femelle aux pieds ! Là encore, ils ont illustrés un grand principe celui de l'équilibre des forces masculine et féminine, de l'énergie du ciel et de la terre...Le nettoyage des reins est particulièrement efficace et le regain d’énergie me remplit de gratitude. Comme quoi, il n’y a pas à craindre de suivre son cœur, sa foi et de faire des choix en conséquence. 
J'interprète les symptômes selon ma foi, mon intuition et le livre de Lise Bourbeau, "ton corps dis aime-toi", au lieu de me fier à la croyance populaire ou encore à la science qui se contredit régulièrement. Ainsi, j'associe douleur du plexus à la difficulté de lâcher prise, au manque d'amour de soi, les pointes au cœur à l'ouverture de celui-ci...
Je vais encore rabâcher mais il m'apparait de plus en plus évident que la culpabilité, le non amour de soi, sont des poisons beaucoup plus nocifs pour l'organisme que n'importe quel produit.
Je précise que tout le monde ne peut pas se passer d’aller chez un toubib. Je ne frime pas en disant cela mais je suis consciente que la peur de choisir, de se planter, celle de la mort, et la difficulté à accepter d’être 100% responsable de sa vie, peuvent créer un conflit intérieur qui va amplifier le problème. 

samedi 14 septembre 2013

Lâcher prise, laisser aller



Ciel d'aujourd'hui avant la pluie; un profil féminin?


La journée a été intense et m’a mise face à ma dureté de cœur, envers moi-même et l’extérieur. J’ai eu beaucoup de difficulté à accepter la gêne à l’estomac qui représente entre autres, de l’intolérance, de la difficulté à accepter de nouvelles idées. J’ai commencé par chercher d’où elle venait, qui était coupable en moi. Il est clair que le fait d’écouter les conférences de Lise Bourbeau, notamment celle où elle explique ce qu’est, s’aimer vraiment, m’a bien remuée intérieurement. Le perfectionnisme est une conséquence de la blessure d’injustice qui bloque le processus d’acceptation de soi, de ses faiblesses. La difficulté à accepter de prendre le temps de guérir, de suivre son propre rythme, le besoin d'aller vite, d'être efficace, ont formé un genre de carapace intérieure. Comme si elle allait bloquer les émotions, les empêcher de se manifester! C'est un mécanisme inconscient parce que mon désir c'est vraiment de libérer tout ce qui a été refoulé. 
Puis, le repos, le calme, le fait de décider de suivre mon envie de ne rien faire m’a permis de ne pas amplifier la culpabilité, l’auto-critique et la dépréciation. Tout y est passé, le côté répétitif de ce que j’écris sur le blog, la liste de mes blocages, imperfections, ma frustration de ne pas oser exprimer du désir au point de le taire par des médicaments, en plus de la fermeture inconsciente. Heureusement qu’ils n’anesthésient pas tout et que je peux parfois sentir un genre de montée énergétique dans les chakra racine et sacré qui me permettent de garder vivante l’envie d'aimer, enfin de vivre une relation de couple. 
L’habitude de placer la barre très haut, dans tous les domaines, est finalement un frein qui bien souvent m’empêche d’agir. Comme en plus au niveau du cœur, des sentiments, la peur d’être trahie n’a pas totalement disparu, il m’arrive de désespérer de pouvoir connaître l’échange amoureux. Pourtant tout est en place, si on peut dire.