un regard, un appareil photo, une connexion... |
Le
réveil n’a pas été des plus agréables ce matin. Des douleurs enfin plutôt une gêne
à l’estomac m’empêche de sourire. J’essaie de ne pas tomber dans la peur, la
superstition et les vieilles croyances. Tiens, en écrivant je me dis que c’est peut-être là « l’erreur ».
Et si j’accueillais cette peur, pour commencer ? Je voulais y résister
pour ne pas m'embarquer dans les pensées telles que « et si on m’avait jeté
un sort ? » ; là, j’en rigole en me disant « ne retombes
pas dans la superstition, la déresponsabilisation...La notion de bien et de mal
te divises et tu perds la paix qui résulte de l‘harmonie intérieure ; « et
si l’heure de ma mort approchait ? » Si c’était le cas, qu’est-ce
que je peux y faire ?, Rien; « Et si j’avais fait quelque chose de « mal » » ?
Rebelote, la notion de bien et de mal est une vision distorsionnée de la réalité; tu fais toujours ce que tu penses être le mieux dans le moment
présent et il n'y a pas à avoir "raison" mais à être cohérent.
Prenons les choses dans l’ordre :
La
douleur est un message de mon corps physique, l’indication qu’une énergie est
bloquée et même en train de se cristalliser.
Voyons
ce qu’en dit Lise Bourbeau. Vous allez penser que j’y fais souvent référence
mais j’y trouve tant de résonance et comme elle a de l’expérience en la
matière, bien que je crois que chacun ait en lui toutes les réponses, entendre le
point de vue de gens qui vivent la même foi et en l’appliquant trouve un mieux-être,
ne peux qu’être utile. Je cite donc ce qui est extrait de son livre : « Ton
corps dit : Aime-toi » et trouve écho. Il y a plusieurs « raisons »
mais je cite celle qui parait me correspondre: