Alléluia !
Est le mot qui me vient spontanément, bien que je n’en connaisse pas le sens
exact, après une longue nuit de 7h30 !!! Un an au moins, que je dors selon
les bruits extérieurs qui reflètent le parasitage intérieur. J’ai changé
quelques gestes mais surtout pris conscience de ma façon d’être et de penser
qui me rendaient la vie chiante et même parfois douloureuse. Le propos le plus
simple et cependant le plus difficile, dans cette incarnation, c’est d’acquérir
un amour de soi total, entier, inconditionnel. Notre inconscient est si
fortement imprégné de croyances nées de la peur, du besoin de plaire, d’être
parfait et de répondre aux attentes des autres qu’il nous est presque
impossible d’oser nous aimer sans complexes et de penser d’abord à nous-mêmes. Il
ne s’agit pas d’ignorer non plus, le monde extérieur, l’entourage, les autres,
mais de cesser les interdépendances qui conditionnent et formatent l’être.
C’est en grande partie grâce à l’enseignement de Lise Bourbeau, que je prends
conscience de ce que je suis et comment j’ai fonctionné jusqu’à
maintenant. J’ai demandé, il y a quelques jours, à mes guides, mes anges et
avant tout à mon âme et ma présence divine, de m’expliquer précisément ce que
veut dire : « s’aimer » et surtout comment y arriver. J’ai donc
lâché prise, en agissant avant tout par instinct, et plus par raisonnement.
J’ai suivi l’inspiration et l’ai laissée me guider vers ce qui répondrait à mes
questions. Je n’ai pas été inspirée à lire des textes métaphysiques complexes,
des messages d’êtres de lumière, mais à écouter un être humain simple,
authentique et conscient de bien des choses observées sur lui-même et ses
contemporains.
Ce titre un peu provocateur a été choisi intuitivement pour montrer que tout le monde est issu de cette conscience Une et par conséquent que chacun est potentiellement capable de devenir autonome et co-créateur conscient de sa vie. Tout est question de perspective…
lundi 2 septembre 2013
dimanche 1 septembre 2013
Journée sacrée "16": "L'éveil libérateur", par Murielle Robert
Le
calcul de la date d’aujourd’hui donne le chiffre 16. Il se fait de la façon
suivante : 1-09-2013, soit 1 (jour) +9 (mois)= 10+6 (année: 2+1+3)= 16. Ce qui suit a été écrit pour la journée du 27 janvier de cette année. Comme
d’habitude, je l’ai actualisé en respectant le texte d’origine. En le lisant, j’ai commencé à me dire, « ça y’est, ça va recommencer »
puis, plutôt que d’anticiper et ainsi appeler des énergies de peur, de colère,
de doute...je me suis dit " j’ai des outils efficaces pour prendre les choses
comme elles viennent au jour le jour". La peur étant très créatrice, en
l’accueillant , en l’observant, dès qu’elle se manifeste, c'est-à-dire en
m’asseyant, en respirant calmement et en focalisant mon attention sur les
mouvements intérieurs, les ressentis, je peux être enseignée et soulagée en
portant un regard amoureux ou encore neutre sur elle. Elle n’est pas là par
hasard, elle demande de l’attention et porte un message que je peux essayer
d’entendre. Ce n’est que dans le calme et le silence que je pourrais
éventuellement en comprendre le sens. La leçon que j’en tire, une fois de plus;
être dans le moment présent, vivre les choses dans l’instant, accueillir une à
une chaque pensée, émotion en observateur, en conscience. Envisageons les choses comme un sport,
une pratique qui amènera la maitrise. Je suis le cavalier de mes corps mental,
émotionnel et physique et il s’agit simplement de les faire avancer tel un
attelage à trois têtes, en les guidant à travers le cœur.
Finalement, ce que
nous vivons en ce moment est tout simplement la vie, une danse perpétuelle des
énergies. Apprendre le mouvement et se laisser porter amène la grâce, dans le
moment présent. C’est certainement ça « lâcher prise » !
Devenir ses propres parents
Jesse et sa magnifique cocréation* |
Réveil
très matinal certainement déclenché par les bruits du voisin mais ça ne me
dérange pas, au contraire, je peux voir cette situation de deux façons. Soit au
travers de l’ego, du côté, "je veux avoir raison et m'imposer en force", "on" se fout de
moi (je nourris la victime intérieure)...Soit en regardant honnêtement les avantages de la situation et ainsi me
souvenir que je créé mon quotidien afin de m’élever, d’agir à partir de mon
cœur et de ma conscience unifiés. Profitons donc du silence du matin, de la fraîcheur,
pour écouter notre âme et entretenir la relation intime dans un dialogue amoureux...
J’ai
passé une heure à survoler les articles de la presse galactique, des trois derniers
jours et constaté une fois de plus la synchronicité dans les sujets abordés et
le degré de conscience qui agit de plus en plus à partir du cœur. Une chose m’a
un peu dérangée, c’est le décalage entre ce qui est écrit et mes textes publiés
à deux ou trois jours d’intervalles. Le temps s’accélère tellement que ma
vision peut changer de 180° en une journée. Dès que je me place en mon cœur et
vois les situations de cette perspective, tout change en un clin d’œil. Je sais
ça depuis longtemps mais entre savoir et en faire concrètement l’expérience,
dans les situations réelles du quotidien, donc à travers des petites choses
insignifiantes comparativement aux grandes théories métaphysiques, là est la
difficulté. Je ne vais pas encore incriminer l’ego qui fait selon ses
connaissances et ses capacités, dans le but de m’éviter la douleur. Or ça, on
l’a vu, c’est inévitable. La souffrance par contre peut l’être.
Concernant
les rêves et le fait de savoir si ce sont des inspirations de l’âme ou de
l’ego, il y a plusieurs façons de le voir. Premièrement, quelque chose revient
régulièrement, si ça se manifeste spontanément et créé une sensation de
plénitude, c’est que ça vient du cœur.
samedi 31 août 2013
"Le Portail" message de Marie-Madeleine, reçu par Pamela Kribbe
Voici le dernier message du livre de Pamela Kribbe ; « Vivre
selon le cœur », que vous pouvez aussi lire sur son site dont le lien est en fin de message. J’ai beaucoup de mal à faire la méditation guidée en
entier. J’arrive à visualiser le portail au bout du tunnel, à ressentir les
énergies dans ma main, mes bras mais dès que j’essaie d’aller plus loin, je m’endors !
Je ne force pas les choses et me fixe « l’objectif » de recommencer
chaque soir jusqu’à ce que je puisse le franchir naturellement. De toute façon,
je suis convaincue que ces messages éveillent ma propre source et agissent en
profondeur, au niveau de l’inconscient. Les situations vécues en ce moment et
les prises de conscience qu’elles suscitent ne sont pas le fruit du hasard! L’univers et nos présences divines déploient toute
leur énergie pour nous ouvrir les yeux et le cœur en créant des synchronicités de toutes sortes.
Et si j’agissais à partir du cœur ?
"The sacred of geometry" |
Je viens
de prendre conscience d’une évidence que je n’ai jamais expérimentée avant, faute
de clarté, d’amour de soi et par peur d’être rabaissée. Plutôt que de foncer
tête baissée en réagissant aux stimuli émotionnels et mentaux, je vais essayer
d’appliquer ma foi en l’amour inconditionnel en chacun et la manifestation de
celui-ci à travers les gestes anodins du quotidien, qui cependant sont chargés
d’énergie spécifique. Par exemple, plutôt que de courir pour étaler le linge,
amplifiant ainsi la compétition autour de ce pauvre fil, qui semble être une
occasion pour la voisine, d’affirmer sa légitimité, sa dominance ; Elle
l’étale en plein milieu comme pour marquer son territoire et indiquer par la
fréquence des lessives, sa capacité à être une femme de ménage parfaite,
propre, impeccable. Elle passe ses journées à la fenêtre, au milieu du bâtiment, épiant les allées et venues, continue de claquer les porte pour exprimer son mécontentement...
Pour ne pas jouer
son jeu, je choisi de faire tourner la machine à neuf heures, même si je suis
levée depuis 5h, respectant ainsi le sommeil de chacun et exprimant une
nouvelle façon d’être qui pourra éventuellement inciter les autres à changer,
par mimétisme. J'ai étalé mon linge dans un coin, laissant la place pour deux autres machines. L’humain à tendance à copier les comportements extérieures et en
ayant une attitude issue du cœur, les façons de faire des autres, peuvent changer naturellement. Quand on suggère
quelque chose à quelqu’un, à travers un conseil, en général, l’ego réagit en se
braquant alors que si les choses sont faites dans un esprit d’élévation
mutuelle, sans rien dire, il se peut que ça incite l’autre à faire la même chose tout en ayant
l’impression qu’il en est l’initiateur. Je ne dois pas non plus le faire par
besoin de performance, de montrer « je suis la meilleure » mais dans
l’ardent désir de manifester la réalité de 5ème dimension, celle du
cœur et de la conscience.
S’accueillir pleinement...vidéo Isabelle Padovani; "L'amour inconditionnel et la relation amoureuse"
Chuck Hepner |
Je suis
remplie d’une belle énergie ce matin ! La nuit fût pourtant courte, à
cause ou grâce aux bruits des voisins, vers 5h. J’ai repensé à la scène de
l’hystérique, dans la semaine, en relatant les faits à une voisine qui est très ouverte
et dont le rire explosif et spontané, démontre un lâcher prise évident. Je n’ai pas raconté
cette histoire en me plaignant mais en expliquant les faits tels que je les ai
vécus. J’ai été assez stupéfaite par la réaction démesurée de la femme, à la vue
de mon affiche qui pourtant n’était pas du tout agressive. Si je m’étais
empressée de raconter cette histoire, juste après en cherchant l’approbation
extérieure, ça aurait démontré mon besoin de reconnaissance, renforcé le côté
victime et reflété mon manque d’assurance, mon incapacité de "défendre" ma
position...Je ne dis pas non plus que j’aurais pu réagir avec plus de
neutralité, j’ai fait au mieux de mes possibilités, dans le moment présent, de
façon spontanée. Je ne me suis pas non plus trop empêchée de parler de cette
histoire, sur le moment, j’ai juste constaté que je n’avais plus besoin de me
sentir soutenue même si la réaction du voisin de jardin, aux attaques
injustifiées de la furie, m’a interloquée. Un homme de soixante ans qui prends
une voix d’enfant pour dire « c’est pas moi, je n’ai rien
dit ! ». Sa compagne, une femme assez baraquée, est venue le
défendre, le réconforter. Ce tableau des diverses réaction de ces personnages m’a laissé songeuse et
sachant que tous me reflétaient des aspects de ma personnalité, j’ai compris
finalement qu’il me faudrait changer d’air, mais avant tout, acquérir encore plus de paix
intérieure par l’amour de soi, afin de ne plus être dans la réaction, mais l'observation. Tant que je vis des situations de ce genre, c’est que tout en moi,
n’est pas totalement libéré des schémas victime, bourreau, sauveur. L'étape actuelle, c'est de faire de l'observation, sans commentaires, un réflex premier.
"L'envie d'être parfait" par le Collectif Ashtar via Simon Leclerc
Je reste sur mon idée de partager ce message que j'ai déjà publié le 1er mars de cette année, qui me semble tout à fait approprié en ce moment. On reste sur le thème de la nécessité de plus en plus pressante de s'accepter en totalité afin d'intégrer l'amour inconditionnel de façon réelle, permanente et durable. La première fois que j'ai lu ce texte, j'ai tout de suite senti sa vérité, sa lumière et l'amour qui en émane. Beaucoup restent dubitatifs quant à l'origine de ce genre de message, la réalité de son mode de réception...Pour ma part, le ressenti et surtout le contenu sont des preuves irréfutables de sa véracité. Mon cœur tout comme mon mental ont approuvé ensemble ce qui est développé ici. Plus d'un an et demi après, je peux en attester la pertinence et la réalité, au travers de mes expériences vécues. Le parcours n'a pas toujours été facile mais ces vérités sont maintenant intégrées dans ma chair, ma conscience, mes corps denses et subtils. Même si dans un premier temps il est nécessaire d'accueillir des connaissances en "aveugle", par la foi en nos aspects divins invisibles, il n'y a que l'expérimentation qui puisse la rendre réelle. L'amour inconditionnel, l'acceptation totale de soi, est le chemin de l'éveil, de la réalisation et la libération de l'être.
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