mardi 27 août 2013

La vision s'éclaire, peu à peu, le brouillard se dissipe





Cinq heures de sommeil m’ont suffit, cette nuit. Enfin, disons plutôt que je n’ai pas réussi à me recoucher. Mon chat « préféré », m’a tenu compagnie. Il y a bien longtemps que nous avions partagé le lit et j’avoue que malgré que j’apprécie sa présence je n’ai pas très bien dormi, du moins pas aussi détendue que lorsque je suis seule. J’ai remarqué que je n’osais pas le déranger et ce comportement reflète bien celui que j’aie avec l’extérieur. J’ai encore beaucoup de mal à affirmer ce que je veux préférant faire en sorte de ne pas risquer de déranger. Derrière ça, il y a encore la peur du rejet qui amène la difficulté à faire des choix.
Je continue d’écouter des conférences de Lise Bourbeau, à petite dose parce que je dois dire que le fait de se voir nu et surtout là où ça bloque a tendance à me faire culpabiliser, à faire chuter l’estime de soi, qui me pousse à pratiquer à nouveau avec un peu plus de rigueur, les séances d’EFT que j’avais un peu laissées de côté. Aller encore plus profondément dans l’inconscient provoque un mouvement naturel de recul qui se manifeste de plusieurs façons. J’ai tendance à m’éparpiller et à manquer de constance mais au moins, même si je culpabilise toujours, c’est « moins pire » qu’avant. Ces choses qui se montrent ne sont pas totalement inconnues mais les réflexes de l’ego sont si habituels qu’on ne se rend même pas compte de la façon parfois subtile qu’il a de les cacher. Ce n’est pas par hasard si je me suis retrouvée à lire les 10 stratégies de manipulation de masse ! Nous nous les appliquons régulièrement pour nous maintenir dans l’inconscience. Ce sera l’occasion d’un autre post si j’ai le courage de le faire ! En ce moment, c’est la flemme qui l’emporte sur tout. La démotivation est aussi une stratégie de l’ego !

lundi 26 août 2013

Accepter ce qui est, c'est devenir responsable




Je ne sais pas si c’est à cause ou grâce d’ailleurs, à la fraîcheur qui revient peu à peu, mais j’ai dormi comme un gros bébé pendant 8h. En repensant à la journée d’hier, je me dis que l’énergie de paix se sentait fortement et j’ai l’impression que pour une fois, les prières ou méditation collectives ont été faites avec plus d’amour qu’avant et n’ont donc pas produit l’effet inverse de ce qui était attendu. Comme si le fait que de plus en plus de gens intéressés par l’ascension aient libéré la notion de dualité, la notion de bien et de mal, avait permis un envoi de l’énergie d’amour divin, cet amour neutre qui ne juge pas, n'évalue pas, qui s'émet sans chercher à savoir où il doit aller. Je constatais, l’année dernière que les méditations collectives me rendaient nerveuse, que je ne ressentais pas du tout ce que j’espérais et au lieu de m’apporter la paix, ça amenait le chaos intérieur. Les channels n’osaient pas parler clairement du besoin de cesser de se distinguer en tant qu’être de lumière « sauveur » du monde, meilleur que les ignorants, de la nécessité de revoir totalement cette notion duelle qui divise l’humain. Les messages diffusés sur les sites d’éveil n’étaient pas aussi clairs qu’aujourd’hui, la peur d’être taxé de personne de l’ombre l’emportait. Bref, l’humanité s’éveille vraiment.
Nous avons été placés devant nos propres ombres tant de fois ces derniers temps, que beaucoup, dont je fais partie, ont enfin compris que d’accuser l’autre était une façon de se décharger de la responsabilité de s’aimer soi-même. 
C’est beaucoup plus facile de pointer du doigt la violence, la noirceur des autres que de regarder ses propres faiblesses. On veut bien croire que l’on créé les événements heureux de notre vie mais pour les situations malheureuses, on garde souvent le vieux réflexe de désigner l’autre comme coupable. Je ne blâme personne même plus moi-même. La culpabilité ne fait qu’éloigner de la responsabilisation. 

dimanche 25 août 2013

"L’Ouverture" journée sacrée 21, par Murielle Robert





Journée sacrée 21  du 25-8-2013

C’est tout un honneur que celui de vous présenter le chiffre 21 en ce beau dimanche car son Essence Sacrée se manifeste dans toutes les parties de notre être et vibre à l’unisson avec les 4 plans :
physique-émotionnel-mental-spirituel.

Quelle puissante vibration que celle de ce chiffre sacré 21.
C’est l’apothéose, le Monde en tarot de Marseille et je dirais les Mondes qui nous habitent intérieurement d’abord pour s’exprimer par la suite à l’extérieur dans une beauté parfaite. C’est ce qu’on pourrait appeler : L’Épanouissement et L’Accomplissement.

Pas de sauveurs, juste des amoureux!



source inconnue

Ce matin, je ressens les effets de l’écoute de la conférence de Lise Bourbeau à propos du sucre, qui me permet de voir que je ne suis pas tout à fait prête à être totalement responsable de mon corps physique. Enfin de ma santé. J’ai tellement tendance à facilement culpabiliser que savoir la vérité sur certaines choses comporte ce risque. La tentation de l’innocence est grande ! Ou plutôt de l’ignorance, de l’inconscience. En même temps, comme j’ai toujours vécu dans cette forme de déni de mon corps physique souhaitant m’effacer, devenir invisible, je me donne le temps de m’incarner en douceur pour que ce soit l’amour qui me dirige et me motive. Je considère que c’est le seul élan qui ait le pouvoir de faire changer les choses. Ni la peur, ni la contrainte, ni le devoir, ni l’obligation n’ont d’effet positif sur moi ni sur la majorité des gens, de toute façon.
Cependant, même si je ne suis pas allée au bout de la conférence, les infos reçues font déjà leur effet. Je note l’étourdissement dû à la première cigarette, chose dont je ne prêtais aucune attention jusqu’alors. Je vais essayer de réaliser des vidéos pour mettre cette conférence ici parce que les révélations qu’elle contient me semblent très importantes. Ce n’est pas nouveau de savoir que le sucre comble un manque affectif mais qu’il soit une drogue au même titre que l’alcool et l’opium change totalement la donne ! Qu’il ait la faculté de créé des maladies telles que la skizophrénie, et d’autres maladies mentales et que les scientifiques soient manipulés par les multinationales, aussi dans ce domaine, est une nouveauté effrayante qu’il est bon de faire circuler.

samedi 24 août 2013

La peur d’aimer


Eder Muniz


Les thèmes que j’ai eu à revisiter, ces derniers temps, m’amenaient toujours plus loin dans l’affirmation de soi. Les situations me montraient la nécessité d’oser dire les choses. C’est la peur d’être rejeté, incompris qui empêche de le faire. On en revient toujours au même principe de base ; seul l’amour de soi, l’acceptation de tout ce qui nous traverse où demeure enfoui en soi depuis des siècles, libère de toutes peurs.
Tant qu’on croit que dire ce que l’on pense, c’est être égoïste, on ne fait que nourrir les peurs, les rôles de victime, de bourreau ou de sauveur. Une personne qui se croit victime aura tendance à agresser pour prévenir une éventuelle attaque. Elle se sentira obligée de se situer en défenseur face à l’injustice. Ou encore à se laisser écraser. Tant qu’on n’est pas suffisamment dans l’amour inconditionnel de soi, on est coincé dans ces schémas. On ne fait que passer d’un rôle à l’autre selon notre degré d’amour de soi. Je peux le dire pour l’avoir vécu mais j’avoue que la suite...Que se passe-t-il quand on sort de ce triangle ? Là, il est indispensable d’avoir une grande foi en la bienveillance de la vie, au divin en soi et aux lois universelles. En fin de compte, la notion de bien et de mal n’est pas appropriée, il s’agit plutôt de deux voies ; celle du cœur ou celle de la peur. Le cœur ne mentalise pas et pour cette raison, on ne peut prévoir ce que c’est que de vivre à partir du cœur, on ne peut que s’abandonner en confiance. L’expérience humaine amène à voir, ces deux chemins et à choisir celui qu’on veut emprunter. Soit réagir comme avant dans la sécurité relative du « connu », soit plonger dans l’inconnu en tenant sa peur par la main. Tant qu’on n’a pas regardé une peur en face et qu’on ne sait pas que celle-ci est naturelle et inoffensive, on tourne en rond dans son agoraphobie. C’est tout à fait normal d’avoir peur de l’inconnu puisqu’on ne sait pas ce qu’il nous réserve. Lâcher la peur de la peur est une première étape nécessaire pour oser avancer. Mais, nous avons ce courage en nous.

Savoir poser des limites...en douceur



Kapakan


Ma façon de concevoir l’humain divin et d’en parler est totalement enfantine, simple. Si une part de nous, celle qui est reliée à  la source nous a créé dans le but de faire l’expérience de l’amour dans la chair, tout ce qui à trait à celle-ci est donc sacré. Dans cette optique, il n’y à rien que nous fassions qui soit bon, mauvais ou encore inutile. Si cette part créatrice de notre être est divine, elle est donc omnisciente, omnipotente et omniprésente. Il n’y a donc pas à la chercher ailleurs qu’en soi ni à douter de la pertinence des choix d’incarnation, de notre famille, le contexte dans lequel nous sommes nés. Pour retrouver notre vraie nature, qui nous sommes réellement, nous n’avons qu’à libérer tout ce qui ne nous appartient pas. L’éducation, les croyances des autres, celle que nous avons cru être nôtres mais qui en fait nous permettaient juste de nous sentir acceptés ou du moins non rejetés. Dès lors que l’on porte un regard amoureux sur soi, peu à peu on se libère du regard de l’autre et il devient plus aisé de se faire confiance. Le secret, c’est d’accepter tout ce que nous sommes et tout ce qui est puisque ce qui est, nous montre seulement ce que nous sommes en dedans. Je parle de secret parce qu’il y a un immense pouvoir dans l’acceptation. Ce lâcher prise du mental nous permet d’accéder à l’intelligence du cœur celle qui nous ouvre à notre âme, notre aspect divin. Nous sommes parfaits en tous points puisque l’aspect divin l’est par nature, par essence et puisque l’humain que nous sommes, rempli totalement son « contrat » dès qu’il cesse de rejeter une part de lui-même si infime soit-elle.
Pas grand-chose de nouveau pour la théorie mais c’est dans la mise en pratique que ça se corse. Au début de mon parcours, je n’ai fait que ressentir la véracité de ces propos puis à mesure que j’ai expérimenté, j’ai constaté l’efficacité de l’application de l’amour inconditionnel de soi.
La façon dont nous nous traitons créé notre quotidien et influence directement le comportement des autres à notre égard.
Bon, je vais aller repiquer les plans de salade envoyés en colissimo par ma mère ! Merci mum de m’avoir transmis la passion du jardin, de la terre et ainsi de me donner l’opportunité de trouver mon essence véritable ainsi que mes origines ancestrales. Merci pour qui tu es, pour ta sagesse terrienne, ta simplicité, ton authenticité, même ta froideur apparente qui m’a permis de me tourner vers l’intérieur et de chercher l’autonomie affective. Tout est parfait !

jeudi 22 août 2013

C'était juste rock'n'roll!



 
N. Bukanova
Depuis ce matin ou plutôt depuis hier après midi, je suis colère ! Colère face au jeu de la victime qui se rejoue intérieurement, face aux frustrations vécues par mon corps physique, face au constat que des peurs subsistent. L’impatience, le ras le bol de devoir regarder en profondeur et libérer ce que j’ai l’impression d’avoir déjà offert cinquante mil fois à la source. Je tombe encore dans le piège de l’identification à tout ce merdier intérieur. Bien que ce soit énormément rafraîchit, il reste des résidus de peur et je me dis que le meilleur truc à faire et d’accepter que la peur sera toujours présente et voir son côté positif : "l’annonce de quelque chose de nouveau", ça tombe bien, je ne demande que ça ! 
Bon, Lydiouze, plutôt que de râler, remercie tes corps pour tous les progrès accomplis. 
Tu vois ce qui se passe et réussi à prendre le recul nécessaire pour avoir une vision plus claire de la situation. Voir comment ça fonctionne en dedans c’est ne plus en être l’acteur qui subit mais le spectateur. La prochaine étape sera d’en rire, tu t’en approches lentement mais sûrement. Pour ce qui est du rôle de la victime, il semble que sa disparition soit impossible. En fait, c’est un des nombreux personnages que l’ego peut jouer et là encore, une potentialité plus ou moins active à laquelle il s’agit de ne pas s’identifier afin de ne plus la nourrir. Il faut que j’arrive à comprendre que chercher à transformer l'ego n'est pas le propos mais qu’il suffit de ne pas m’identifier à tous les rôles qu’il est capable de jouer.