jeudi 8 août 2013

"Votre corps traverse un processus de revitalisation, de revivification"Jésus par John Smallman



Voici un message de Jésus à travers John Smallman que j’apprécie pour sa simplicité, sa justesse et le bien qu'il m’a fait. C’est encore le flou intérieur, les interrogations, le doute à propos de mes « visions »...Bref, un temps de pause, d’intériorisation, s’impose. Je vais au jardin.  

Josephine Wall

Mémoire ancestrale ou projection mentale ?




Un réveil dans la joie de constater que la pluie est enfin tombée ! C’est comme si le féminin sacré avait versé toutes les larmes de son corps, libérant le passé, pardonnant la sauvagerie d’un masculin débridé. Parce qu’il est bien question de cela. Tant que les femmes ne pardonneront pas le comportement abusif des hommes, elles continueront de réparer les dégâts des prédateurs, donnant la vie comme pour remplir le vide laissé par les hommes tombés au combat. Et le masculin intérieur en chaque femme, sera faussé. On ne peut continuer de jouer le jeu de la victime, nourrissant l’avidité masculine, son besoin de pouvoir, en jouant la séduction. Les énergies masculines et féminines ont été si perverties qu’elles ont perdu leur véritable sens, leur essence primordiale. Pardonner ne veut pas dire s’agenouiller, c’est juste une façon de dire stop. Stop au jeu de massacre, stop au jeu de cache-cache, stop au rejet des différences, à la séparation. Homme ou femme, nous sommes tous constitués des deux énergies qui ne s’opposent pas mais s’harmonisent afin de créer la vie. Ce n’est pas en dehors de soi qu’il faille trouver la complétude mais à l’intérieur. Nous nous sommes créés entiers, complets, capables d’autonomie dans tous les domaines de la vie. Nous sommes Humains Divins. En nous, cohabitent des forces que nous maintenons éloignées l’une de l’autre mais en les fusionnant, la paix, la joie, l’amour divin, deviennent notre quotidien. 
Notre désir primordial est de marier le ciel et la terre en nos corps, de réaliser l’unité, de canaliser les énergies père mère dans un équilibre harmonieux afin de nous épanouir telles des fleurs, sur cette planète qui nous porte avec amour.

mercredi 7 août 2013

Masculin Sacré?




Enfin, des nuages, de la fraîcheur ! La nuit a été longue et coupée par l’envie de faire pipi, quatre fois ! Les reins sont en pleine détoxication et c’est certainement relié à mon aspect féminin. La recherche d’équilibre masculin/féminin et la libération de tout ce qui est relatif aux histoires d’amour doit en être la cause. Il s’agit de nettoyer des mémoires karmiques et génétiques. Voyons ce qu’en dit Lise Bourbeau. C’est assez large mais je peux trouver une certaine résonance avec le fait de ne pas se sentir à la hauteur. Il est vrai que dans une situation où les sentiments sont sollicités, je ne suis pas du tout à l’aise. Je continue d’interroger mes corps à propos de la déception amoureuse, de la trahison et libère ce qui est bloqué. C’est un travail purement ressenti, à l’aveugle, si on peut dire parce que le mental ne saisi pas vraiment ce qui se passe intérieurement. Quelques indices seulement me motivent à continuer et la certitude de libérer aussi. Puisqu’il semble que le problème remonte très loin et qu’il soit partagé par toute une lignée de femmes de ma famille, je ne suis pas arrivée au bout mais j’ai confiance en la vie, au processus de guérison par l’accueil des émotions. La colère et le sentiment d’injustice sont prédominants, la tristesse est aussi présente et les séances d’EFT ont été un peu modifiées.

mardi 6 août 2013

L’extraordinaire est en fait l’incarnation





Le réveil tardif a un peu bouleversé le cours de la matinée. Habituellement, je me lève vers cinq heures et ainsi, je profite de la fraîcheur matinale, du silence ambiant, pour écrire, me connecter consciemment à mon âme, à la terre, au ciel...
Ce matin, à 7h30 seulement, je sortais avec peine de mon lit. 

Depuis hier, je me dis que c’est dingue d’avoir une telle foi et un quotidien aussi banal. 
Ce n’est pas rien d’être convaincu de ses origines divines, de savoir qu’on créé sa vie selon sa foi, ses pensées et que la résonance est la règle. En même temps, croire être humain divin rends totalement responsable de soi, de ses choix, de sa vie. Il est beaucoup plus facile de déifier l’extérieur, de rendre l’autre responsable de son malheur que de croire qu’on en est le créateur. 

Se réveiller n’est pas de tout repos, il est justement question de ne plus dormir, de ne plus se laisser bercer par nos propres illusions, nos jeux de rôle, nos masques. 
Si le quotidien est banal malgré ma grandeur, c’est parce que je ne suis pas encore tout à fait maître de mes pensées. 
Celles-ci sont encore trop parasitées par des fausses croyances.

lundi 5 août 2013

"La troisième voie" Jeshua reçu par Pamela Kribbe




Je partage avec vous le chapitre que je lis en ce moment, tout à fait synchrone avec ce que je vis depuis une dizaine de jours. Quand je l'ai lu la première fois, l'année dernière, je crois, je n'ai pas saisi les choses avec autant de profondeur que maintenant. A cette période, je n'avais pas encore libéré la notion de bien et de mal, au niveau du mental. Je ne pouvais donc pas appliquer ce qui est recommandé. Encore une fois, il n'y a pas à craindre de devenir un monstre si on accepte ces émotions. Nous sommes tous fondamentalement des êtres d'amour et de lumière et c'est quand on accepte son humanité, qu'elle peut fusionner avec le divin intérieur. Apprendre à se connaitre en profondeur amène à aimer mieux, plus sincèrement, à être transparent, intègre, lucide et honnête. L'année dernière, j'avais encore une image très paternaliste du divin, un genre d'humanoïde parfait, brillant, lumineux, totalement éthéré mais le divin est en chaque cellule. Au niveau de la conscience, nous sommes pure énergie, nous sommes sans formes et nous pouvons prendre toutes les formes. Seule celle-ci subsiste, mais la part éphémère, celle qui expérimente la matière est tout aussi divine et sacrée. C'est à travers ce corps que le divin s'expanse, grandit, explore. Il ne peut que nous aimer, nous sommes une part de lui-même, intimement reliés.

Question de perspective



JosephineWall


Le mouvement de l’océan intérieur provoque des remous qui font remonter à la surface des débris qui n’ont pas eu le temps de se solidifier, et c’est une bonne chose. Tant que l’énergie bloquée arrive à s’exprimer, c’est qu’elle n’est pas cristallisée. Ces débris peuvent être des joyaux. Et même si ça peut chambouler, savoir que le mouvement intérieur est un signe de vie, d’expansion, est toujours rassurant.
Je dois dire que la semaine a été à l’image des températures élevées et l’air suffoquant illustrait bien les moments de remontée de ces énergies enfouies bien profondément. 
J’ai bien eu quelques réflexions du style, "jusqu’à quand il va falloir patauger dans ces mémoires "! Puis l’idée de délivrer des émotions contenues de générations en générations me ramenait à la joie. Car c’est là et seulement là, que notre action peut porter ses fruits pour notre famille. Si nous choisissons nos parents c’est parce que nous avons un lien karmique et surtout un immense amour pour ces âmes qui cheminent près de nous depuis si longtemps.  
Cette fois-ci, fraîcheur oblige, la fenêtre est grande ouverte ! J’ai pris la décision de laisser le pigeon s’envoler mais pour le moment, il s’approche doucement de la fenêtre. Merde ! La chatte est à l’autre fenêtre ! Elle regarde abasourdie cet oiseau qui vient de s’envoler sans sortir ! Il a dû flairer le danger, ce qui est une bonne chose. J’ai fait en sorte de ne pas l’apprivoiser pour qu’il garde son instinct naturel mais ça n’a pas été facile. La tentation de le caresser est grande. Mais ça ne serait pas de l’amour, ça serait de l’appropriation. Il m’enseigne pas mal de choses concernant l’amour, l’attachement. Dès qu’on sent des affinités avec quelqu’un, on a tendance à vouloir posséder l’autre, se le garder, l’emprisonner pour ne pas qu’il nous échappe.

dimanche 4 août 2013

Électrique !




Ce matin, levée à 5 heures, j’ai couru pour faire un maximum de choses avant que la chaleur ne soit insupportable. Je suis rentrée du jardin complètement énervée. Le sentiment de n’avoir le temps de rien faire, d’être obligée de cavaler et arriver dans un appart salit par la chienne en chaleur m’a fait péter un câble ! Parfois, je trouve l’incarnation si chiante ! Devoir s’occuper du corps physique est tout un travail ! J’ai entamé la libération des émotions relatives au couple, et je sens que cette colère intérieure en est la source. Colère d’être seule à assumer le quotidien, même si c’est un choix, il est motivé par des peurs, peur de se faire avoir, peur de devenir esclave, peur d’être trahie, peur d’être déçue sexuellement...la liste est longue ! Je sais bien que tout est en moi et que ça résulte certainement d’expériences passées tout comme des gènes du côté maternel où les histoires d’amour ont été douloureuses. Alors j’ai laissé la colère s’exprimer sans trop chercher son origine bien que des pistes soient apparues. Evidemment, la colère vis-à-vis du manque affectif paternel qui me renvoie directement à celle vis-à-vis de la source qui semblait si lointaine et distante. Colère d’être née dans la souffrance, dans la densité lourde de la dualité, colère du sentiment d’abandon lors de la séparation d’avec la source...
Même si je sais que cette naissance était une magnifique opportunité de grandir, d’évoluer, d’arriver à une certaine maturité. Peut-être que j’oublie un peu trop que c’est aussi une danse entre esprit et matière et que les positionnements de victime/bourreau/sauveur ont imprimés trop de culpabilité, de sens du devoir, d’obligations, de regrets et d’amertume. Je laisse venir, monter, sortir.  
Peu importe son origine, ce qui compte, c’est qu’elle soit en moi et qu’elle demande à être vue, reconnue, aimée et libérée. Je pourrais passer des heures à chercher à trouver son origine mais ça n’aurait aucun effet guérissant. Ce serait amplifier l’émotion alors qu’il suffit de la laisser être, de l’accepter pour ce qu’elle est, une masse énergétique qui cherche la sortie, la lumière. Alors va, ma colère, retourne à la source, je t’autorise à faire le voyage de retour. Merci pour tout ce que tu m’as appris, pour ton énergie qui m’a donné l’élan de m’affirmer, dans certaines circonstances.