lundi 5 août 2013

"La troisième voie" Jeshua reçu par Pamela Kribbe




Je partage avec vous le chapitre que je lis en ce moment, tout à fait synchrone avec ce que je vis depuis une dizaine de jours. Quand je l'ai lu la première fois, l'année dernière, je crois, je n'ai pas saisi les choses avec autant de profondeur que maintenant. A cette période, je n'avais pas encore libéré la notion de bien et de mal, au niveau du mental. Je ne pouvais donc pas appliquer ce qui est recommandé. Encore une fois, il n'y a pas à craindre de devenir un monstre si on accepte ces émotions. Nous sommes tous fondamentalement des êtres d'amour et de lumière et c'est quand on accepte son humanité, qu'elle peut fusionner avec le divin intérieur. Apprendre à se connaitre en profondeur amène à aimer mieux, plus sincèrement, à être transparent, intègre, lucide et honnête. L'année dernière, j'avais encore une image très paternaliste du divin, un genre d'humanoïde parfait, brillant, lumineux, totalement éthéré mais le divin est en chaque cellule. Au niveau de la conscience, nous sommes pure énergie, nous sommes sans formes et nous pouvons prendre toutes les formes. Seule celle-ci subsiste, mais la part éphémère, celle qui expérimente la matière est tout aussi divine et sacrée. C'est à travers ce corps que le divin s'expanse, grandit, explore. Il ne peut que nous aimer, nous sommes une part de lui-même, intimement reliés.

Question de perspective



JosephineWall


Le mouvement de l’océan intérieur provoque des remous qui font remonter à la surface des débris qui n’ont pas eu le temps de se solidifier, et c’est une bonne chose. Tant que l’énergie bloquée arrive à s’exprimer, c’est qu’elle n’est pas cristallisée. Ces débris peuvent être des joyaux. Et même si ça peut chambouler, savoir que le mouvement intérieur est un signe de vie, d’expansion, est toujours rassurant.
Je dois dire que la semaine a été à l’image des températures élevées et l’air suffoquant illustrait bien les moments de remontée de ces énergies enfouies bien profondément. 
J’ai bien eu quelques réflexions du style, "jusqu’à quand il va falloir patauger dans ces mémoires "! Puis l’idée de délivrer des émotions contenues de générations en générations me ramenait à la joie. Car c’est là et seulement là, que notre action peut porter ses fruits pour notre famille. Si nous choisissons nos parents c’est parce que nous avons un lien karmique et surtout un immense amour pour ces âmes qui cheminent près de nous depuis si longtemps.  
Cette fois-ci, fraîcheur oblige, la fenêtre est grande ouverte ! J’ai pris la décision de laisser le pigeon s’envoler mais pour le moment, il s’approche doucement de la fenêtre. Merde ! La chatte est à l’autre fenêtre ! Elle regarde abasourdie cet oiseau qui vient de s’envoler sans sortir ! Il a dû flairer le danger, ce qui est une bonne chose. J’ai fait en sorte de ne pas l’apprivoiser pour qu’il garde son instinct naturel mais ça n’a pas été facile. La tentation de le caresser est grande. Mais ça ne serait pas de l’amour, ça serait de l’appropriation. Il m’enseigne pas mal de choses concernant l’amour, l’attachement. Dès qu’on sent des affinités avec quelqu’un, on a tendance à vouloir posséder l’autre, se le garder, l’emprisonner pour ne pas qu’il nous échappe.

dimanche 4 août 2013

Électrique !




Ce matin, levée à 5 heures, j’ai couru pour faire un maximum de choses avant que la chaleur ne soit insupportable. Je suis rentrée du jardin complètement énervée. Le sentiment de n’avoir le temps de rien faire, d’être obligée de cavaler et arriver dans un appart salit par la chienne en chaleur m’a fait péter un câble ! Parfois, je trouve l’incarnation si chiante ! Devoir s’occuper du corps physique est tout un travail ! J’ai entamé la libération des émotions relatives au couple, et je sens que cette colère intérieure en est la source. Colère d’être seule à assumer le quotidien, même si c’est un choix, il est motivé par des peurs, peur de se faire avoir, peur de devenir esclave, peur d’être trahie, peur d’être déçue sexuellement...la liste est longue ! Je sais bien que tout est en moi et que ça résulte certainement d’expériences passées tout comme des gènes du côté maternel où les histoires d’amour ont été douloureuses. Alors j’ai laissé la colère s’exprimer sans trop chercher son origine bien que des pistes soient apparues. Evidemment, la colère vis-à-vis du manque affectif paternel qui me renvoie directement à celle vis-à-vis de la source qui semblait si lointaine et distante. Colère d’être née dans la souffrance, dans la densité lourde de la dualité, colère du sentiment d’abandon lors de la séparation d’avec la source...
Même si je sais que cette naissance était une magnifique opportunité de grandir, d’évoluer, d’arriver à une certaine maturité. Peut-être que j’oublie un peu trop que c’est aussi une danse entre esprit et matière et que les positionnements de victime/bourreau/sauveur ont imprimés trop de culpabilité, de sens du devoir, d’obligations, de regrets et d’amertume. Je laisse venir, monter, sortir.  
Peu importe son origine, ce qui compte, c’est qu’elle soit en moi et qu’elle demande à être vue, reconnue, aimée et libérée. Je pourrais passer des heures à chercher à trouver son origine mais ça n’aurait aucun effet guérissant. Ce serait amplifier l’émotion alors qu’il suffit de la laisser être, de l’accepter pour ce qu’elle est, une masse énergétique qui cherche la sortie, la lumière. Alors va, ma colère, retourne à la source, je t’autorise à faire le voyage de retour. Merci pour tout ce que tu m’as appris, pour ton énergie qui m’a donné l’élan de m’affirmer, dans certaines circonstances.  

"La Clarté Intérieure" journée sacrée "18", Par Murielle Robert



Ce dimanche ainsi que la semaine, porte la vibration du 18, la clarté intérieure. Il me reste encore des vieux souvenirs, des déchirures et des peurs, à libérer énergétiquement et cette fin de semaine m’a montrée le thème à approfondir. Comme notre âme prends grand soin de nous donner l’occasion de guérir, elle créé des situations qui feront monter en surface ce qui a trop longtemps été mis de côté. Il est vrai que j’ai eu tendance à refouler les douleurs de l’adolescence, le premier amour déçu. Même si la raison a pu faire la part des choses et si j’ai compris que j’avais une vision distorsionnée de l’amour romantique, croyant que l’amour d’un homme me sauverait de mes souffrances, les émotions d’alors, bien enfouies, doivent être amenées à la lumière et libérées. Encore une fois, ce sont tous les corps qui doivent être purifiés. Les fausses croyances au niveau du mental et les émotions qu’elles ont créé forment des barrières énergétiques qui empêchent l’énergie de pur amour divin, de la source de vie, de s’écouler éternellement. Ainsi, aimer et être aimé fait ressurgir tant de peurs que c’est bien souvent la solitude qui est choisie. Le programme de la semaine promet d’être chargé mais comme je ne crains plus mes émotions, comme j’arrive à les accueillir, c’est de la guérison en perspective et peut-être un ressenti intérieur amoureux ! Là, le mental se fait déjà des films ! On va prendre les choses une par une, sans anticiper ; pas d’attente égal pas de déception !

samedi 3 août 2013

Ouvrir son coeur...






Depuis trois jours, je n’ai pas envie d’écrire, ça ne vient pas. Il faut dire que je vais directement au jardin pour arroser et que je savoure le bien-être qui résulte du fait de savoir comment laisser les émotions s’exprimer. Le bien-être est quelque chose de naturel qui devrait être continuel. Nous avons fabriqué tant de masques, de rôles que nous ne savons plus vraiment vivre. Nous analysons tout, dès qu’une envie, un désir arrive, nous le censurons, le jugeons, le rangeons dans des cases bien ou mal, correct, pas correct et du coup, nous nous contentons de vivre à moitié. Nous passons notre temps à nous frustrer et à nous censurer. Les enfants, les adolescents ne se posent pas tant de questions ! Ils vivent tout simplement, répondant à chaque appel de leurs corps.
Nous croyons qu’être adultes, c’est être raisonnable. Mais en fait, ça revient à faire uniquement ce que les autres nous autorisent à faire. Ce que la télévision nous dicte, ce que nos parents nous ont inculqués comme étant « moral ». Des règles soit disant de bienséance qui finalement nous formatent tous. Il faut être poli, ne pas dire ce que l’on pense, sourire et saluer tout le monde. A quoi bon si ça n’est pas sincère ? C’est comme si paraître bon et juste allait nous rendre meilleur. Ce n’est qu’en s’aimant d’abord sans jugement, sans rejeter des parts de soi que l’on peut avoir un regard neutre puis finalement aimant sur l’entourage.
En ce moment, comme j’ai découvert que le fait d’accueillir une émotion ne me bouleversait pas, je vais à la découverte de celles-ci privilégiant le ressenti. C’est un exercice qui demande de l‘attention et du silence. Ce n’est pas évident de pouvoir ressentir ce qui vibre en soi, sans commenter, chercher à interpréter, comprendre, mais c’est pourtant ce qui s’avère être efficace. C’est tellement intime que ça ne peut pas non plus être vraiment exprimé. Il faut le vivre.

vendredi 2 août 2013

"Le chakra du coeur" de Marie Lise Labonté; "La transcendance"






Voici la dernière partie extraite du livre de Marie Lise Labonté ; « Maître de ses chakras, maître de sa vie ». Il est clair que la maîtrise du mental et du corps émotionnel permet déjà un mieux être évident. Je préfère parler de corps plutôt que de chakra parce que c’est plus concret, bien que tout soit énergétique. Même si les émotions et les pensées sont invisibles, elles ont néanmoins un impact très important sur le comportement et sur ce que nous créons. Ce qui est encourageant, c’est que nous pouvons orienter nos pensées, les choisir. Sans pour autant renier les mauvaises pensées mais en ne les nourrissant pas, en ne s’identifiant pas à elles, ou en les considérant à partir du cœur, nous pouvons modifier les réactions chimiques dans notre corps physique. Le plus difficile, c’est de pouvoir prendre du recul, se détacher de ce qui se vit à l‘intérieur. On est tellement habitués à chercher la cause de notre mal être, en dehors de nous, qu’on se laisse vite embarquer dans la victimisation. Pourtant, notre pouvoir réside dans notre cœur, l’énergie d’amour inconditionnel restructure, restaure, régénère, illumine...

mercredi 31 juillet 2013

Le plus beau cadeau de la vie! canalisation reçue par Daniel Miron





Je viens de recevoir la newsletter de Daniel Miron qui canalise les êtres de lumière. C’est toujours appréciable de constater la résonance dans les propos. C’est une canalisation reçue pour une personne en particulier mais qui peut être utile à tout le monde, même des gens qui n’ont pas vécu le problème dont il est question. 

Nous avons tous à nous responsabiliser en libérant l’idée de victime, de bourreau et de sauveur. C’est vrai qu’il n’est pas évident de lâcher cette notion puisque tous nos systèmes de croyances reposent sur elle. Cependant, la délivrance, l’autonomie et la souveraineté passent obligatoirement par ce processus. 

Tant que nous jugeons, divisons les choses, les événements de la vie en bien ou mal et les gens en bons ou méchants, nous restons piégés dans des rôles et ressassons les mêmes dialogues intérieurs qui nous rendent la vie pénible. Ce système de croyance s’applique à nous-mêmes et nous condamne systématiquement, amenant la culpabilité, le devoir, le sacrifice...
En faisant appel à la guidance de son cœur, de son âme, on peut finalement voir les choses avec du recul et changer de perspective sans se sentir coupable et sans croire que l’on bascule dans le côté obscur. 
Notre véritable nature, c’est l’amour divin, inconditionnel, nous ne pouvons pas devenir des monstres en libérant la notion de bien et de mal, nous devenons alors comme le christ, capables d’aimer nos ennemis. Certes pas du même amour mais au moins nous pouvons nous libérer de l’emprise qu’ils ont sur nous, en ne les nourrissant pas par des pensées négatives qui ne feront que les fortifier dans leur rôles de persécuteur et nourrir la haine en nous-mêmes, amplifiant notre statut de victime.