samedi 6 juillet 2013

LA SEXUALITÉ SACRÉE _ Message de Marie Madeleine reçu par Anamaria Molina






Quand j’ai lu ce message, je me suis dit ; « C’est exactement comme ça que je l’imaginais ! » C’est ce que j’ai recherché depuis mes premières rencontres. Le fait d’avoir vécu des histoires très loin de cet idéal, de cette vision, m’a découragé. J’ai fini par me dire que je préférais arrêter les souffrances et laisser ce rêve de côté. Puis peu à peu, j’ai compris qu’il me fallait d’abord guérir de mon passé et cultiver l’amour inconditionnel de soi afin de pouvoir espérer à nouveau vivre quelque chose de sacré. Le fait de regarder son partenaire dans les yeux demande une confiance et une transparence totale. On ne peut pas tricher. Le regard est le miroir de l’âme. La gêne, la honte ou la culpabilité ne peuvent être cachées. Pour cette raison, il est nécessaire de se connaître intimement, individuellement dans ses faiblesses tout comme dans ses qualités et de s’aimer sans conditions. Puis de connaître son partenaire par des conversations à cœur ouvert, une amitié sincère et sans tabou est nécessaire. Tout comme un même désir d’agir en conscience, de tout son être. Je vous laisse découvrir ce magnifique message, dans son intégralité.

"DU COUPLE ATTACHEMENT AU COUPLE LIBERTE"; "DE L’AMOUR-POSSESSION A L’AMOUR VRAI", message de Marie Madeleine reçu par Anamaria Molina


Autumn Skye


Plus le cœur s’ouvre et plus la conscience le fait aussi. Ces derniers temps m’ont amené à aller sonder les profondeurs afin d’amplifier ma capacité d’aimer et surtout de m’aimer sans conditions. Oui, je le répète souvent mais c’est parce que c’est la base de toute évolution, dans quelque domaine que ce soit. La vie nous reflète notre degré d’amour de soi et nous renvoie des êtres et des situations qui nous le montrent de façon récurrente. Jusqu’à ce que nous soyons si secoués que le choix de s’accepter en totalité reste l’unique voie possible. Nous n’en sommes plus à nous bercer d’illusion au niveau du couple et même de la vie de famille qui a montré ses limites, ces cinquante dernières années. La canalisation qui suit est tout à fait en accord avec ce que je crois ou plutôt avec ce dont je suis certaine. Chercher sa moitié n’est qu’une fuite à soi-même, une nostalgie de l’unité que nous avons connu auprès de la source et que nous recherchons à revivre au travers du couple. C’est un attachement qui devient vite une prison et un calvaire. Ce message de Marie Madeleine, reçu par Anamaria Molina, vient donner un éclairage net et précis sur ce qu’est le couple et ce vers quoi il peut aller. La méditation dont il est question a été publiée dans le post précédent.
Mon âme recommence à m’inspirer à réaliser une grande partie de ce pour quoi je me suis incarnée, arriver à m’aimer sans conditions et à faire la même chose avec une personne du sexe opposé. Je présente les choses comme un challenge mais c’est plus un sentiment, une certitude que je chéris depuis l’enfance. Vivre une relation de couple dans la transparence, l’authenticité, le respect mutuel et le transcender à travers la sexualité sacrée. Il est clair que tout est à réinventer! Pour ces raisons, je n’ai jamais cherché à rencontrer quelqu’un sur le Net, ou même à sortir dans ce but. Je suis tout à fait consciente de la nécessité de réaliser premièrement le mariage des énergies féminine et masculine intérieures, ce qui demande avant toutes choses de guérir son enfant intérieur. Cet étape constitue déjà un immense travail en soi et a occupé toute ma vie. Je ne suis pas au bout, bien que je me rapproche d’un certain équilibre. Ce message sera suivi d’un autre qui explicitera un peu plus ce qu’est un couple sacré. Celui-ci explique ce qu’il n’est pas et ce qu'il peut devenir quand on est conscient de qui on est. En même temps, il ne s’agit pas de critiquer mais juste de constater les faits pour se rendre à l’évidence que l’amour de couple tel que nous l’avons connu depuis des centaines d’incarnations, est loin d’être la joie et le bonheur. Malgré tout, je crois qu’il est possible de le vivre d’une façon pure, libre et épanouissante.  

Communier avec son âme..."Méditation du mariage intérieur, Marie Madeleine canalisée par Anamaria Molina




Ce matin, l’équilibre, l’harmonie et la joie sont au rendez-vous et ça n’est pas le fruit du hasard, c’est la conséquence de mon attention portée sur le désir d’unité intérieure. Les séances d’EFT continue de produire leur effet. Les phrases deviennent de plus en plus simples et appuyés spontanément par l’émotion correspondante. Je suis allée faire la méditation de connexion à la Terre Mère, au pied du chêne où j’ai pu une fois de plus, ressentir un frisson me parcourir de la tête au pied. Sa présence est indéniable bien que ce soient des petits signes très subtils qui me l’indiquent. Je cite les frissons mais ce n’est pas la seule façon de sentir une présence, au niveau de l’âme. Au fil de la matinée, un dialogue intérieur s’est installé avec mon âme tout comme avec la Terre Mère et j’ai reçu beaucoup de réponses à mes questions. Je vois plus clairement ce qu’il me reste à libérer et j’accepte plus facilement l’idée d'être cocréatrice dans mes interactions quotidiennes. Même si je sais que je crée tout ce qui m'arrive, le reconnaitre dans ce genre de circonstances n'est pas évident. Cependant, plusieurs choses me sont revenues en tête comme ce qui suit :
« Si tu veux être libre d’être toi-même, tu dois aussi accorder ce droit aux autres. Tu vois bien que le libre arbitre donné à chacun te préserve de la condamnation. Combien de fois n’as tu pas critiqué, souhaité la vengeance auprès de ceux qui te causaient du tort. Si tu devais être punie, comme tu souhaites que tes « agresseurs » le soient, tu ne serais plus de ce monde. Tu as constaté la puissance du verbe et même des pensées. Apprendre à les maîtriser fait partie du jeu de l’incarnation. Il n’est pas question de morale mais de respect mutuel. On ne peut apprendre l’amour dans la contrainte, par peur d’être puni. On n’ouvre pas son cœur par peur du jugement ou du poids du karma.

vendredi 5 juillet 2013

Yourtes et tipis reconnus par la loi comme habitats permanents (27 juin 2013)



http://mongolyurt.fr

 

Voici une bonne nouvelle pour tous ceux qui vivent dans des habitations hors du commun et pour la liberté, en  général. Les Pyrénées Orientales abritent beaucoup de marginaux qui se contentent de cabanes, de tipis..., par choix parce que le temps s'y prête. J’ai eu l’occasion de vivre de cette façon pendant une très courte période de ma vie et j’en garde de bons souvenirs. D’ailleurs, Maya se régalait dans la cabane, en compagnie de Willy, le Doberman. La forêt nous offrait des ceps poussés dans la nuit et le fait d'être en pleine nature m'avait reconnecté au désir, à l'amour. J'ai été submergée par les émotions et suis replongée dans ma cachette d'opiacés tant j'étais incapable de gérer ce qui m'arrivait!

J’ai ajouté des photos ainsi que le lien du site d’une amie qui vend des Yourtes Mongoles, non loin de l’endroit où je suis née. Nous avons beaucoup d'affinités et des liens quasiment familiaux. Il n'y a pas de hasard... 


« Montée et redescente, montée et redescente.... »





Aujourd’hui, j’ai la sensation d’être redescendue dans la 3ème, voir la seconde dimension tant j’ai le moral dans les chaussettes. J’étais réveillée à 4h30 et je ne sais pas pourquoi, je me suis levée. Je retombe dans des vieux schémas de peur, d’auto-critique. 

Ce qui me « rassure », c’est que ça semble normal vu que nous sommes dans une période de transition, mais c’est pénible. Alors je tapote, je formule des phrases basiques qui évoluent au fur et à mesure vers le cœur du ressenti. Un petit exemple pour le fun !
« Même si j’en ai ras le bol de régresser, de retomber dans les vieux clichés 3D, je m’aime sans conditions et je me pardonne »
« Même si j’en ai marre de répéter les mêmes choses et de tourner en rond, je m’aime infiniment, je m’accepte comme je suis et je me pardonne. »
« Même si je me critique de ne pas arriver à accepter ceux que je qualifie de bourreaux, je m’aime sans conditions, je m’accepte et je me pardonne. »
« Même si je fatigue d’être encore dans le conflit intérieur, je m’aime infiniment et je me pardonne »
« Même si j’ai l’impression de ne plus rien capter, j’aime le divin en moi et je me pardonne »
« Même si je me languis de ressentir à nouveau l’amour en moi, j’ai confiance en la bienveillance de ma présence divine »
« Même si je suis dégoûtée de l’attitude de certains humains, je m’aime inconditionnellement et je me pardonne. »

jeudi 4 juillet 2013

Vous espérez ce que vous ne connaissez pas ! message reçu par Monique Mathieu



Voici un message reçu par Monique Mathieu, il y a quelques jours. Je suis dans une période où les moments de silence prédominent. 

« La vigilance »





Bien que je sois absolument convaincue de trouver la paix par l’acceptation, je vois que j’ai vite fait de retomber dans le jugement. Heureusement qu’une âmie sur le même parcours, veille à m’éclairer. 
Il est vrai que le recul d’une personne extérieure à soi, quelqu’un qui ne vit pas les mêmes émotions au même moment, peut aider par son regard détaché mais néanmoins bienveillant, à élargir la vision. 
Ma tendance à culpabiliser reste bien ancrée et je dois être vigilante à ne pas m’identifier à cette part de moi qui veut aimer ou pardonner par « devoir » ou même avoir peur de le faire. 
Tout ce qui créé une tension intérieure est à embrasser. Ce réflex n’est pas encore imprimé mais les séances d’EFT sont justement ce qui permet d’intégrer dans la chair, par les points spécifiques, par la fluidité énergétique. Le geste appuyé par l’intention ; la vibration d’amour, aligne les corps physique et énergétiques sur la fréquence d’amour inconditionnel, du cœur, de l’âme.

Je n’ai plus de tristesse concernant Maya puisqu’elle est encore très présente dans ma vie. Le fait de la voir par moments, m’aide à intégrer la réalité que la mort n’est qu’un passage vers une autre dimension. Mes autres compagnons, la chienne et les chats m’ont enseigné l’illusion de la mort par leur calme, leur facilité à accepter ce qui est. 
Les relations avec mon entourage sont devenues beaucoup plus tendres. 
J’ai la chance de côtoyer des gens dont la simplicité permet d’accueillir les énergies d’amour et tout le monde ici, change au fil du temps. La solidarité devient naturelle, elle n’est plus motivée par le besoin de se sentir accepté ou de montrer qu’on a le sens du partage.