Ce titre un peu provocateur a été choisi intuitivement pour montrer que tout le monde est issu de cette conscience Une et par conséquent que chacun est potentiellement capable de devenir autonome et co-créateur conscient de sa vie. Tout est question de perspective…
lundi 1 juillet 2013
La communication inter-dimensionnelle, par Joéliah.
l'Eft, une belle façon de s'aimer sans conditions...
Je
remarque l’efficacité de l’EFT et la rapidité avec laquelle mon cœur et ma
conscience s’ouvrent. Tout l’effort que j’ai eu à faire, c’est de maintenir
vivant ce désir d’acceptation en faisant une séance dès qu’une émotion négative
ou une pensée de jugement me venait à l’esprit. En vérité, comme mon mental a
déjà bien intégré et compris que l’amour inconditionnel est la clef qui ouvre
la source d’amour intérieure qui guérit tout sur son passage, je n’ai fait que
quatre séances en deux jours. Je préfère le faire quand les circonstances
s’y prêtent plutôt que d’en faire un rituel planifié. On dirait que quelque
chose en moi se décrispe, s’ouvre à de nouvelles perspectives, une vision des
choses totalement neuve alors que mon décor reste le même. Des idées viennent
répondant à des questions que je me pose depuis longtemps et m’apparaissent si
lumineuses et évidentes que je me demande comment j’ai pu être si aveugle. Même
si j’ai lu le message des être de lumière reçu par Daniel Miron, publié hier,
je n’avais pas percuté avec autant de clarté. Je ne retombe pas dans l’auto-critique
non plus. Des phrases lues dans les messages de Jeshua, par Paméla Kribbe ou du collectif Ashtar, par Simon
Leclerc, deviennent vivantes en moi. Tout ce que j’ai pu lire concernant le lâcher
prise, l’acceptation de ce qui est, se vérifie à chaque instant.
Et
pourtant, je ne fais que tapoter sur des points spécifiques de mon corps
physique. J’y mets tout mon cœur quand je prononce les phrases et je sens de
suite une détente et un sourire qui se dessine sur me lèvres. J’avais du mal à interpréter
la loi d’attraction comme un genre de baguette magique où il suffisait de
vouloir pour que ça se réalise. Il y avait quelque chose de contradictoire entre affirmer
que l’on créé sa vie selon son désir et accepter ce qui est. Le désir de l’ego répond au besoin de palier
une carence, de combler un manque, de contrôler les choses mais en même temps,
c’est une façon de nier l’existence du divin en soi. Si nous sommes sur terre
pour apprendre à aimer divinement et que le choix d’incarnation a été fait par notre âme
et notre conscience élargie, tout ce que nous vivons a un sens et une raison d’être.
Celle de nous amener à comprendre la valeur de la puissance de l'amour inconditionnel ? Cet amour étant la capacité à aimer et à
accepter ce qui est, l’ego ou la volonté doivent être amenés à accepter de se
laisser guider par le cœur et pour ce faire, adopter la « volonté »
de l’aspect divin de qui nous sommes, donc la situation que nous vivons
présentement, nos conditions de vie.
Purifier son récepteur intérieur...extraits du livre de Sanaya Roman et Duane Packer
Patricia Ariel |
Depuis
que j’ai reposé l’intention de proposer un conseil en matière de développement
personnel et spirituel, je reçois beaucoup d’infos, de nouveaux questionnements
de façon à élargir ma compréhension et à mettre le tout à plat pour ordonner
tout ce qui est en moi. La quantité de pièges sur ce chemin d’aide est assez
conséquente et il est nécessaire d’être précis et d’avoir libéré tout le bagage
émotionnel qui peut interférer dans la réception et la diffusion d’informations.
Il me reste à traiter la peur de se planter que des séances d’EFT pourront
diluer. De plus, pour le moment, mon objectif en faisant ce blog, c’est de transmettre des
outils d’élévation et de témoigner de l’efficacité de leur application au
quotidien, de mon expérience, sans me positionner en maitre mais en élève en
perpétuelle expansion.
L’ouverture
de conscience doit s’accompagner de l’ouverture du cœur. Tout le monde reçoit
des messages, des visions et comme nous nous ouvrons à de nouvelles dimensions,
il semble logique que le nombre d’infos reçues se multiplie. Là encore, le
discernement et la capacité à reconnaître la provenance de ce qui est reçu,
sont essentiels. Je ne parle pas ici de savoir si ce sont des êtres de la
lumière ou de l’ombre qui transmettent les messages mais si ça vient du cœur et
de la conscience ou bien de l’ego. Il est donc nécessaire d’avoir une bonne
connaissance de son ressenti, des modes de communication du cœur et de l’esprit
et d’avoir libéré la notion de dualité de manière à accueillir ce qui est entendu ou ressenti, d’une façon neutre.
Avant
toutes choses, une connaissance approfondie de ses aspects humains, de ses
souffrances et de ses peurs est nécessaire afin de déterminer la source des
infos.
La foi
en l’humain divin, au fait d’être multidimensionnel implique que des aspects de
nous-mêmes soient peu éclairés et la plongée dans ses profondeurs est une étape
obligatoire afin de libérer ce qui peut obstruer la réception ou en déformer le
sens. A ce stade, des exercices de libération des peurs et d’amplification de
l’amour inconditionnel de soi, peuvent faciliter le nettoyage et nécessitent
d’être honnête et humble. L’ego voudra toujours s’approprier une expérience, se
valoriser à travers elle. C’est là où l’ouverture du cœur permet de se
recentrer sur l’objectif premier de la démarche : le mieux-être intérieur
afin de s’accepter sans conditions et d’accepter l’autre de la même manière, et
l’ouverture de conscience pour appréhender sa vie avec recul et neutralité.
dimanche 30 juin 2013
Préparer sa terre intérieure au changement, message des entités de lumière, reçu par Daniel Miron
Comme il
me semble que l’attitude la plus adéquate en cette période
« spéciale » soit d’accepter ce qui est, d’amplifier l’amour
inconditionnel de soi, en se tournant vers sa vraie nature, je partage cette
question/réponse reçue en canalisation par Daniel Miron. Bien que je sois dans
une période de retour à la vie réelle par la connexion au jardin et que je ne
visite pas trop les sites d’éveil, puisque je suis tournée vers l’écoute de mon âme
et des pulsions de vie, ce texte reçu par mail est en parfaite résonance avec
ce que je crois. J’ai choisi d’être à l’écoute de mon ressenti plus que jamais,
afin de ne plus être ballotée par les contradictions des autres mais
d’apprendre à accepter les miennes. Il y a comme un danger à se gaver de
lectures spirituelles qui parlent d’ascension. D’une part, on perd sa propre
écoute et on donne trop de pouvoir à ce qui vient de l’extérieur. Que ce soient
les messages «lumineux » ou encore les infos dans les médias, on reste
focalisé sur un futur hypothétique, les yeux rivés sur l’ordi passant à côté de
la vie, de sa réalité, dans le moment présent. De sa propre réalité, celle qui
se vit à l’intérieur et s’exprime à l’extérieur. Le divin, l’âme ou la présence
sont en nous et nous contactent, nous parlent ou nous touchent de façon
particulière. Il est important d’apprendre à reconnaître cette connexion qui se
fait au travers de sensations, d’idées lumineuses, dans des moments précis où
nous sommes les seuls à pouvoir comprendre ce qui nous est donné. Il y a
plusieurs méthode qui ont quasiment toutes les mêmes principes ;
« s’aimer sans conditions, accepter ce qui est ». Enfin, c’est ce que
j’expérimente qui m’amène un mieux être même s’il reste des peurs, des moments
de doute, d’incertitude... Je me dis que c’est logique puisque tout change. J’en
suis même à penser que le fameux balancier dont je parlais ce matin, ce
mouvement vers les opposés, finira par se stabiliser tout seul, pour peu qu’on
y ajoute pas d’énergie en s'identifiant à l'un ou l'autre des aspects.
Un nouveau matin
Ce
matin, je suis lasse de cogiter et j’ai commencé par faire une séance d’EFT dès
le réveil. Des phrases épurées, allant à l’essentiel, comme me l’a rappelé
gentiment, Eve dans son mail, hier :
« Même
si.....Je m’aime infiniment et je me pardonne »
L’essence
même de toute libération.
J’ai
remercié la Terre Mère
pour sa présence et son soutien, pour notre connexion éternelle. J’ai oublié
hier, que j’avais fait une petite méditation au réveil, pour sentir ce lien
indestructible. En me levant, j’ai repassé ma journée d’hier et c’est
là que j’ai constaté avec une grande reconnaissance, qu’elle avait répondu à
mon appel. La paix ressentie au jardin, la paix dans mes interactions avec les
voisins, la spontanéité exempte de peur, de sentiment de supériorité ou d’infériorité,
le fait de me rendre utile tout en étant rétribuée, les moments de pause que je
me suis accordés sans culpabilité. Enfin, la sensation de ne pas être à ma
place, bienvenue sur cette planète, n’est plus nourrie en moi et n’existe même
plus. Ce sentiment d’illégitimité qui me poussait à me recroqueviller sur moi-même,
c’est envolé.
Au lieu
de ça, je me sens chez moi, bien dans mon corps, même si le critique intérieur
voudrait me faire culpabiliser de ne pas être à la hauteur. Je retrouve mon
désir d’unité intérieure et le laisse exprimer ses remarques sans y croire,
convaincue que ce jeu de la vie est avant tout « inventé » afin de
trouver de la joie dans l’épanouissement, par la créativité et le laisser aller, enfin le lâcher prise.
(Les mots ont un impact plus ou moins positif!) Un mouvement perpétuel entre faire et non faire, entre mouvement et immobilité,
un balancement continu qui peut donner le « tournis » si on se crispe
à la balançoire mais qui devient chatouillis si on se laisse porter par elle.
samedi 29 juin 2013
Pas à pas.
Deux
heures au jardin m’ont permises de faire un petit break au niveau du mental. Les
questions de choix reviennent au galop et j’en suis à tout poser sur la table,
en vrac, sans juger, juste pour y voir un peu plus clair. Bien que je sois
convaincue d’être un humain divin constitué de plusieurs corps, inspirés par
mon âme, il est l’heure d’associer tout ce que je suis, de trouver l’harmonie
non plus comme un vœu, une prière mais par l’application des méthodes qui me
correspondent. Les questions qui viennent me ramènent à la source de ma quête,
cette recherche existentielle menée depuis l’enfance. Elle a été enclenchée par
le trauma de l’inceste et la première solution que mon corps ait trouvé, c’est
un semblant d’équilibre entre fuite et présence, souffrance et plaisir. Ce sont
les drogues qui ont crée cette impression d’harmonie, du moins c’était un moyen
de rester « vivante », de ne pas sombrer dans le désespoir. Malgré
tout j’étais consciente que ça n’était pas La solution même si je ne voyais pas
d’autres voies de secours. Si je parle beaucoup des drogues, c’est qu’elles ont
fait partie de ma vie depuis l’adolescence et que ça concerne pas mal de monde
puisque l’addiction est une « maladie » qui n’est pas limitée à l’usage
de produit stupéfiants. Tout ce qui tente d’éliminer la souffrance peut être
considéré comme une fuite de la réalité, du moins de ce que l'on croit être la réalité. Une peur du moment présent, de ce qu’il
offre à priori, c'est-à-dire rien pour le mental. Celui-ci existe par
contraste, par opposition. Il connaît les choses par leur contraire. Il sait
que le jour existe par opposition à la nuit, la joie par opposition à la
douleur, sa conception des choses se limite à cette vision dualiste. C’est
juste sa façon d’être et je ne suis pas certaine qu’il soit possible de changer
son mode de fonctionnement. Malgré ma fuite permanente dans des états seconds, quelque
chose en moi voulait tenir le coup, rester sur terre, un espoir demeurait. Puis,
quand j’ai cru en Jésus Christ à cause de l’immense amour qui vibrait en ma
poitrine, je me suis dit : « J’ai trouvé la vérité ! » Je
me souviens avoir croisé un passant et m’être dit, c’est mon frère ! Le
mépris que j’avais pour l’humanité en laquelle je ne voyais que les défauts, la
perversion, s’est changé en sentiment de fraternité, une impression d’être très
proche, semblable.
Joyeux méli-mélo !
Hier, à peine visible sur le lys |
Ce matin
de façon flagrante et depuis quelques heures, en léger murmure, une sorte de
confusion intérieure s’installe. J’ai beaucoup regardé de vidéos d’Isabelle
Padovani et lu quelques articles qui m’ont mise face à des questions ou plutôt
face à deux positionnements. La certitude que l’on crée son monde par la
focalisation de nos pensées. Du moins notre état d’esprit se forme selon les
pensées sur lesquelles nous choisissons de nous focaliser. Puis la sensation
que tout est vain, que le mouvement de la vie décide pour moi et ma seule
option, c’est de m’y adapter, de l’accepter. Bien que ça semble incompatible,
contradictoire, le dilemme entre vouloir et accepter
revient en surface mais là aussi, la voie du juste milieu doit exister. Et rebelote, la sensation d’être une marionnette revient.
Il semble que le jeu, soit de se situer entre ces deux voies. Poser des intentions,
formuler ses rêves, « jouer » à être telle ou telle personnalité tout
en sachant que ça n’est qu’un jeu, une illusion de façon à ne pas être
déstabilisée par une vague qui viendrait tout bousculer. Ne pas s’identifier à
l’aspect humain puisque nous ne sommes pas uniquement cette apparence de chair
et d’os et ne pas non plus négliger cette part qui expérimente. Ce n’est pas à
proprement parler de la confusion mais la nécessité d’être précise se fait
sentir. Bien que je me sois invitée à lâcher les lectures spirituelles ou les
points de vue extérieurs concernant l’être, l’humain divin, je ne peux m’empêcher
de plonger le nez dedans comme quelqu’un qui a besoin de se rassurer dans ses
croyances. En même temps, les croyances sont des stratégies du mental qui
peuvent enfermer et qui ne sont pas forcément la vérité de l’être. Comme j’ai beaucoup de
mal à ressentir ce qui se passe en moi, quand il n’y a pas de mouvement violent
comme la colère, la tristesse, la joie, je suis un peu frustrée et je vais chercher à l’extérieur la confirmation par résonance, de ce en quoi je crois. Il y a un tel business
autour de ça que ça devient confus.
J’ai expérimenté la sensation d’être unie à
tous les humains par un lien familial comme décrit Isabelle Padovani et reste
persuadée que cette expérience avait pour but de me libérer de l’enfer de se croire
uniquement constitué de chair et d’os, de m’aider à relativiser les questions
existentielles afin que j’ose vivre pleinement cette incarnation. Mais plutôt
que de m’ouvrir au monde, je me suis enfermée dans une église d’où j’ai dû
sortir pour retrouver la liberté d’être.
J’ai la
sensation d’être arrivée à un point où l’autonomie spirituelle tant espérée
demande de lâcher toutes les croyances pour être dans le mouvement de la vie. D’arrêter
de se poser des questions et de vivre simplement, dans le moment présent mais
je n’y arrive pas toujours. Quand je suis au jardin, je ne suis plus sous la
contrainte du mental, dépendante de ces mouvements. Une certaine harmonie se
créé. Le fait que la frontière entre les dimensions soit de plus en plus mince,
rend les choses encore plus confuses. Si on part du principe que le monde est
manipulé pas des entités prédatrices, comme le dit Olivier de Rouvroy, par
exemple, on retombe dans la peau de la marionnette et même dans la déresponsabilisation,
si on ne se positionne pas. On est passé de l’humain victime du diable, à
l’humain victime d’extra-terrestres. On est encore dans une vision duelle.
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