Deux
heures au jardin m’ont permises de faire un petit break au niveau du mental. Les
questions de choix reviennent au galop et j’en suis à tout poser sur la table,
en vrac, sans juger, juste pour y voir un peu plus clair. Bien que je sois
convaincue d’être un humain divin constitué de plusieurs corps, inspirés par
mon âme, il est l’heure d’associer tout ce que je suis, de trouver l’harmonie
non plus comme un vœu, une prière mais par l’application des méthodes qui me
correspondent. Les questions qui viennent me ramènent à la source de ma quête,
cette recherche existentielle menée depuis l’enfance. Elle a été enclenchée par
le trauma de l’inceste et la première solution que mon corps ait trouvé, c’est
un semblant d’équilibre entre fuite et présence, souffrance et plaisir. Ce sont
les drogues qui ont crée cette impression d’harmonie, du moins c’était un moyen
de rester « vivante », de ne pas sombrer dans le désespoir. Malgré
tout j’étais consciente que ça n’était pas La solution même si je ne voyais pas
d’autres voies de secours. Si je parle beaucoup des drogues, c’est qu’elles ont
fait partie de ma vie depuis l’adolescence et que ça concerne pas mal de monde
puisque l’addiction est une « maladie » qui n’est pas limitée à l’usage
de produit stupéfiants. Tout ce qui tente d’éliminer la souffrance peut être
considéré comme une fuite de la réalité, du moins de ce que l'on croit être la réalité. Une peur du moment présent, de ce qu’il
offre à priori, c'est-à-dire rien pour le mental. Celui-ci existe par
contraste, par opposition. Il connaît les choses par leur contraire. Il sait
que le jour existe par opposition à la nuit, la joie par opposition à la
douleur, sa conception des choses se limite à cette vision dualiste. C’est
juste sa façon d’être et je ne suis pas certaine qu’il soit possible de changer
son mode de fonctionnement. Malgré ma fuite permanente dans des états seconds, quelque
chose en moi voulait tenir le coup, rester sur terre, un espoir demeurait. Puis,
quand j’ai cru en Jésus Christ à cause de l’immense amour qui vibrait en ma
poitrine, je me suis dit : « J’ai trouvé la vérité ! » Je
me souviens avoir croisé un passant et m’être dit, c’est mon frère ! Le
mépris que j’avais pour l’humanité en laquelle je ne voyais que les défauts, la
perversion, s’est changé en sentiment de fraternité, une impression d’être très
proche, semblable.
Ce titre un peu provocateur a été choisi intuitivement pour montrer que tout le monde est issu de cette conscience Une et par conséquent que chacun est potentiellement capable de devenir autonome et co-créateur conscient de sa vie. Tout est question de perspective…
samedi 29 juin 2013
Joyeux méli-mélo !
Hier, à peine visible sur le lys |
Ce matin
de façon flagrante et depuis quelques heures, en léger murmure, une sorte de
confusion intérieure s’installe. J’ai beaucoup regardé de vidéos d’Isabelle
Padovani et lu quelques articles qui m’ont mise face à des questions ou plutôt
face à deux positionnements. La certitude que l’on crée son monde par la
focalisation de nos pensées. Du moins notre état d’esprit se forme selon les
pensées sur lesquelles nous choisissons de nous focaliser. Puis la sensation
que tout est vain, que le mouvement de la vie décide pour moi et ma seule
option, c’est de m’y adapter, de l’accepter. Bien que ça semble incompatible,
contradictoire, le dilemme entre vouloir et accepter
revient en surface mais là aussi, la voie du juste milieu doit exister. Et rebelote, la sensation d’être une marionnette revient.
Il semble que le jeu, soit de se situer entre ces deux voies. Poser des intentions,
formuler ses rêves, « jouer » à être telle ou telle personnalité tout
en sachant que ça n’est qu’un jeu, une illusion de façon à ne pas être
déstabilisée par une vague qui viendrait tout bousculer. Ne pas s’identifier à
l’aspect humain puisque nous ne sommes pas uniquement cette apparence de chair
et d’os et ne pas non plus négliger cette part qui expérimente. Ce n’est pas à
proprement parler de la confusion mais la nécessité d’être précise se fait
sentir. Bien que je me sois invitée à lâcher les lectures spirituelles ou les
points de vue extérieurs concernant l’être, l’humain divin, je ne peux m’empêcher
de plonger le nez dedans comme quelqu’un qui a besoin de se rassurer dans ses
croyances. En même temps, les croyances sont des stratégies du mental qui
peuvent enfermer et qui ne sont pas forcément la vérité de l’être. Comme j’ai beaucoup de
mal à ressentir ce qui se passe en moi, quand il n’y a pas de mouvement violent
comme la colère, la tristesse, la joie, je suis un peu frustrée et je vais chercher à l’extérieur la confirmation par résonance, de ce en quoi je crois. Il y a un tel business
autour de ça que ça devient confus.
J’ai expérimenté la sensation d’être unie à
tous les humains par un lien familial comme décrit Isabelle Padovani et reste
persuadée que cette expérience avait pour but de me libérer de l’enfer de se croire
uniquement constitué de chair et d’os, de m’aider à relativiser les questions
existentielles afin que j’ose vivre pleinement cette incarnation. Mais plutôt
que de m’ouvrir au monde, je me suis enfermée dans une église d’où j’ai dû
sortir pour retrouver la liberté d’être.
J’ai la
sensation d’être arrivée à un point où l’autonomie spirituelle tant espérée
demande de lâcher toutes les croyances pour être dans le mouvement de la vie. D’arrêter
de se poser des questions et de vivre simplement, dans le moment présent mais
je n’y arrive pas toujours. Quand je suis au jardin, je ne suis plus sous la
contrainte du mental, dépendante de ces mouvements. Une certaine harmonie se
créé. Le fait que la frontière entre les dimensions soit de plus en plus mince,
rend les choses encore plus confuses. Si on part du principe que le monde est
manipulé pas des entités prédatrices, comme le dit Olivier de Rouvroy, par
exemple, on retombe dans la peau de la marionnette et même dans la déresponsabilisation,
si on ne se positionne pas. On est passé de l’humain victime du diable, à
l’humain victime d’extra-terrestres. On est encore dans une vision duelle.
vendredi 28 juin 2013
Libérer le dictateur intérieur...vidéos EFT, Jean Michel Gurret
Ellen Love Vaman |
Ce texte
est dédié à tous ceux qui se jugent, se dévalorisent, passent leur temps à
focaliser sur tous ce qui est en échec dans leur vie. Il n’y a pas trente six
solutions. Tant que vous porterez un regard négatif sur ce que vous êtes, votre
vie sera pourrie, remplie de culpabilité et de souffrance. Je ne suis pas en
train de dire que c’est facile de changer, mais c’est possible. Si j’ai pu le
faire, tout le monde le peut. C’est juste une question de choix. Chacun porte
en lui plusieurs entités, facettes, voix qui passent leur temps à se
manifester, le plus souvent, sous forme de conflit.
Quand on
prend conscience de ce bavardage intérieur, on est déjà dans le recul, on se
situe en spectateur et on peut donc se désidentifier de toutes ces voix
discordantes. Il y a les pensées qui arrivent et en même temps, on est
conscient de ces pensées. Cette part de nous est la conscience, l’aspect divin
et éternel de qui nous sommes. Dans le papotage intérieur, chaque entité va
défendre son point de vue, ses croyances. Je parle d’entités parce que chacune
de ces voix peut devenir un vrai tyran si nous croyons être seulement ces
aspects de soi. Il y a celle qui critique systématiquement, celle qui dit
« tu devrais », « il faut », « fais pas ci, fais pas
ça » ; il y a celle qui dit « la vie devrait être une joie
permanente », « je crois en mes rêves », « je ne suis pas
seulement de la chair », il peut y en avoir un paquet qui vont tour à
tour, influencer notre comportement et nous plonger soit dans la joie, soit
dans la déprime. Nul besoin de croire en Dieu, au fait d’être humain divin pour
être capable de distinguer ces entités. Nos pensées se regroupent selon des
croyances et forment comme des corps énergétiques qui prennent le pouvoir sur
nos vies. Mais, la bonne nouvelle, c’est que nous pouvons choisir de suivre une
de ces voix plutôt qu’une autre, dans un premier temps. Puis finalement, les unifier de façon à ce qu’elles
s’entendent et soient guidées par l’aspect de nous qui est toujours là, qui ne
juge pas, qui est dans l'amour inconditionnel et la paix.
jeudi 27 juin 2013
La confiance amène à oser être...vidéo Isabelle Padovani "Argent, gratuité, spiritualité"
"The sacred of geometry" |
Ce matin,
la confiance en soi me remplit de la tête au pied. Certainement que d’avoir
écouté deux conférences de thérapeutes du site « Réussir au féminin »
a déclenché les prises de conscience qui m’ont amené cette nuit, à travailler
sur ce thème en lumineuse compagnie. Je ne cherche plus à savoir qui m’assiste exactement
puisque tout est en soi. Que ce soit l’âme, la présence divine, le corps
christique, les guides, les anges, les maîtres ; la source de toute
façon, peu importe, je dirais que c’est l’aspect de qui je suis, celui qui sait
ce que je me suis proposée de vivre au niveau de l’âme, avant de plonger sur
cette belle planète, en cette période extraordinaire de transition. Et même si
des puissances qualifiées de moins lumineuses participent à mon évolution par
rejet, ou tout simplement par leur vibration spécifique, puisque j’ai libéré la
notion de bien et de mal, ça n’a aucune importance. Ce qui est essentiel, c’est
mon bien-être, la paix intérieure et l’amour inconditionnel de soi dans le
respect de toute vie. Avant même de pouvoir aimer tout ce qui est, en commençant
par aimer tout ce que je suis, par la loi de résonance, par ma fréquence
vibratoire, l’entourage prendra forme selon mes émissions. Que ces formes
soient agréables ou non, l’importance c’est la façon dont je les vois et les interprète.
Je
proposerais donc mes services en tant que conseil en développement personnel et
spirituel et un catalogue de produits adaptés. Ceci dans un cadre légal puisque
l’honnêteté est une de mes « qualités ». Je me donne deux mois pour
mettre au point se service, accessible au plus grand nombre, tant en matière de
coût que dans la présentation des outils et le mode de transmission des
connaissances acquises par l’expérience. Les méthodes, techniques, moyen d’approche
de sa lumière intérieure, sont tous évoqués sur ce blog ainsi que ma façon de
concevoir l’aide. J’ai choisi d’utiliser les critiques dans cette démarche,
comme des indicateurs de mon degré de confiance en la vie et d’amour
inconditionnel de soi.
mercredi 26 juin 2013
Le sommet Réussir au Féminin, conférences gratuites
Aujourd’hui,
il semble que j’aie pour « rôle » de transmettre. Dans un genre
beaucoup plus concret, voici un site qui propose des conférences gratuites dans
le cadre du sommet « Réussir au féminin »
Il est
clair que c’est aussi accessible aux hommes. Il vous suffit de cliquer sur le titre de la conférence qui vous intéresse pour accéder au formulaire, sur le site,
pour vous inscrire. Je l’ai fait à l’instant. Il est demandé le nom et l'adresse mail. Des clefs pratiques sont
essentielles pour trouver sa place dans le monde d’autant que les intervenants
abordent des sujets ciblés. J’ai vu cette info un peu tard mais il reste encore
beaucoup de conférences. J’assiste
en ce moment à celle de Caroline Dubois
Chaque
conférence sera disponible gratuitement pendant 24 heures après sa diffusion.
Après vérification, il est encore possible d’accéder à la première conférence et donc aussi aux autres.
Après vérification, il est encore possible d’accéder à la première conférence et donc aussi aux autres.
Le Programme : du lundi 24 au dimanche 30 juin 2013
Une clé offerte par Gaïa, reçue par Simon Leclerc
Kinuko Craft |
Décidément
tout me pousse à me connecter encore plus en profondeur avec la terre mère, le
corps physique. Ce message arrive à propos. Je l’ai retrouvé en rangeant le
précédent, dans le dossier consacré aux messages du collectif Ashtar.
J’interroge en ce moment mon corps physique à propos de l’utérus, des règles,
de leur puissance secrète, sacrée. J’ai posé la question il y a deux jours et
ces messages tout comme le désir d’aller au jardin dès le lever du jour, sont
des formes de réponses. Peut-être en saurais-je plus avec cette clef ?
J’aborde cette expérience comme le ferait un enfant, dans la conscience d’être
liée à cette planète, de façon viscérale et en même temps très familière. Il
n’est donc pas question de rituel compliqué avec un ton grave malgré le
caractère sacré de la connexion. Je le fais comme je m’adresserais à ma mère
biologique.
Une clé
offerte par Gaïa
Par le
Collectif Ashtar et la conscience de Gaïa (la Terre)
Reçu le 25 août 2008, par Simon Leclerc
Reçu le 25 août 2008, par Simon Leclerc
Message du collectif Ashtar reçu par Simon Leclerc: "Lumière sur la dualité ombre/lumière"
Je
ressens beaucoup d’agitation sur les sites d’éveil, beaucoup de contradiction. Il
est logique, lorsqu’on cherche à trouver l’équilibre intérieur, que tout ce qui
s’oppose en nous, se manifeste. Pour que nous puissions comprendre quelque
chose, il nous faut en voir tous les aspects. Il semble que la confusion intérieure
gagne les sites d’éveil qui avant parlaient à peu près d’une même voix. Tant qu’on
se reconnaissait comme pure lumière par opposition à l’ombre, il était « facile »
de se situer. Maintenant que de plus en plus de gens s’interrogent sur le véritable
sens de l’ombre et de la lumière et que quelques uns les perçoivent comme deux
forces complémentaires et non opposées, il est normal que ça créé des remous. La
confusion intérieure se reflète à l’extérieure et pour que le jeu se calme, il
nous faut nous calmer individuellement.
Bien que
je parle régulièrement de l’obsolescence de la notion de bien et de mal, il m’arrive
encore de trouver les choses un peu confuse mais ce qui a changé, c’est que ça
ne me panique plus, ça ne crée plus de vagues au niveau émotionnel. Jusqu’à ce
que la voix du juste milieu soit trouvée en toute choses, il semble logique d’être
comme « ballotté » au niveau de la compréhension et de finir par ne
plus y voir clair. D’autant plus quand on est friand de lecture spirituelle. Trop
d’info tue l’info et j’y vois la nécessité d’être toujours plus à l’écoute de mon
ressenti. Ces moments m’amènent toujours à me tourner vers la nature qui est
stable malgré ses « humeurs ». Celle à l’extérieur tout comme celle à
l’intérieur. Ma véritable nature, ma guidance sensorielle, celle de l’âme, me
permet de trouver la paix du mental. Le fait d'accepter le bavardage intérieur, de me dire que c'est un processus qui est l'expression de la multidimensionnalité, m'apporte la paix. Passer du temps au jardin est une façon de
se tourner vers la source intérieure aussi. Nous sommes liés aux éléments
puisque nous avons la même consistance physique.
Le chat
revient dormir avec moi depuis deux nuits. J’ai vraiment la sensation d’intégrer
les énergies actuelles, autant pendant le sommeil que par les prises de conscience et que sa présence favorise le processus. Ses ronronnements ont un effet relaxant et familier qui m'apaisent.
Je dors beaucoup, depuis quelques jours, je m’hydrate souvent, en bref, j’écoute et réponds aux appels de mon
corps physique.
J’ai
retrouvé ce message du collectif Ashtar, reçu par Simon Leclerc, qui parle de l’ombre
et de la lumière. Bien que ce soit assez « intello », en lisant avec
le cœur, avec l’âme, on peut être éclairé, non en se disant que c’est une
vérité, que ces êtres savent mieux que nous, mais en se rappelant que nous avons
la connaissance des lois universelles en nous et que celle-ci peut être ravivée
par résonance. Rien ne remplace l’expérience qui est la compréhension vivante
des choses mais un point de vue nouveau peut aider à libérer les vieux schémas.
Lumière
sur la dualité ombre/lumière
Par le
Collectif Ashtar
Reçu le 3 mars 2009 par Simon Leclerc
Reçu le 3 mars 2009 par Simon Leclerc
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